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[Test] Tomb Raider (2012) décroche son 18/20


Hicham

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Test Tomb Raider- Xbox 360

 

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Vous êtes-vous déjà demandé comment faire pour devenir un véritable aventurier ? Vous aurez beau harceler votre conseiller d'orientation, il ne vous dégotera jamais un CAP baroudeur avec option survie en milieu dangereux. C'est plutôt un job qu'on découvre sur le tas. Ne vous attendez pas à une partie de plaisir, c'est le genre d'apprentissages qui se paye en sang et en larmes. Demandez donc à Lara Croft de quelle manière elle a obtenu ses galons et comment elle est devenue une héroïne mythique. La licence Tomb Raider s'offre justement un reboot qui nous donne l'occasion de découvrir ses débuts. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle en a vraiment bavé...

 

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La licence Tomb Raider n'en est pas à son premier reboot mais les équipes de Crystal Dynamics ont mis cette fois-ci les petits plats dans les grands pour nous faire vivre les premiers pas de Lara Croft en tant qu'aventurière des temps modernes. Ce nouveau départ nous permet donc de découvrir une Lara plus jeune, plus humaine mais aussi moins expérimentée qu'à l'accoutumée. Bref, ce Tomb Raider ambitionne tout simplement de réécrire l'histoire, de poser les jalons d'une nouvelle légende. Les fans purs et durs de la série poussent déjà des cris d'orfraie en imaginant que leur icône a été maltraitée ? Il faut leur donner raison au moins sur un point : la petite Lara va souffrir le martyre tout au long de cette aventure ! On pourrait aussi leur répondre que ce nouvel opus constitue bel et bien une petite révolution en matière de gameplay mais que le joueur n'en sort pas perdant. La licence prend ici un tournant plus spectaculaire sans pour autant trahir l'ADN de la série. Vous êtes encore sceptique ? Ces quelques lignes devraient vous convaincre que ce nouveau Tomb Raider est pourtant un vrai petit chef-d’œuvre.


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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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