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[ARPT] Rapport 2012 : 37 527 703 abonnés à la téléphonie mobile en 2012


Hicham

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37 527 703 abonnés à la téléphonie mobile en 2012

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L’Agence de régulation des Postes et Télécommunications (ARPT) vient de publier son rapport 2012 concernant les statistiques du parc de la téléphonie mobile et fixe.

 

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En 2012, le nombre d’abonnés à la téléphonie mobile a augmenté pour atteindre 37 527 703 abonnés, soit 5,3% de plus qu’en 2011, dans un pays où le nombre d’habitants était de 37, 1 millions au début de l’année 2012.

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Cette incohérence pourrait s’expliquer par la possession de multiples puces téléphoniques chez certains utilisateurs, le nombre de puces en circulation ou/et activées étant plus conséquent que celui des abonnés.

 

Concernant les autres statistiques, 85 100 millions de minutes d’appels ont été recensées en 2011, soit une moyenne de 169 minutes d’appels par mois par abonnés. Le texting a encore de beaux jours devant lui, on en veut pour preuve les 630 millions de SMS envoyés en 2011.

Sans surprise, les abonnés en prépayé reste majoritaire comparativement au postpayé, avec 93,04% du total des abonnés, une légère baisse par rapport à 2011 et ses 94,11% d’abonnés en prépayé.

 

La téléphonie fixe recense quant à elle 3 059 336 abonnés, soit une hausse de 4,67% par rapport à 2010.


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la telephonie mobiles est toujours trop chere en ALgerie...4 dinars l'unite?? le decompte se fait en logique en minute pas en30 seconds... en Europe je paye l'equivalent de 270 dinars par mois pour 300 minutes tt les reseaux, 1500 sms, internet illimite 4g.. donc inchalah rebbi rebbi idjib el khir en algerie!

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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