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pour les amateurs de limonade


emires

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ce n'est pas qu'en "limonade"

Fiche INFO du 20/02/2012

QUOI?

Un colorant alimentaire rouge de synthèse compatible avec une alimentation halal, casher ou végétarienne.

 

OU?

On le trouve dans certaines saucisses, pâtisseries, confiseries, glaces, conserves de fruits, soupes, boissons spiritueuses...

 

Il est utilisé dans les domaines cosmétiques sous l'appelation CI 16255 et en pharmacie (médicaments).

 

On le trouve dans certains shampooings, gels douche, crème de douche, huile-crème de douche...

 

PLUS D'INFOS:

En anglais appelé: Food Red 7, Cochineal Red A, Acid Red 18.

Il n'est pas fabriqué à partir de cochenilles (= E120) comme son nom pourrait le laisser croire.

 

La consommation de E124 peut provoquer :

- un syndrome d'hyperactivité chez les enfants s'il est associé à des benzoates (= les additifs de E210 à E215)

- déclencher des crises chez les asthmatiques

- provoquer de l'urticaire et de l'eczéma notamment si elle est couplée avec de l'aspirine (intolérance aux salicylates).

 

La DJA autorisée est de 0 à 4 mg/kg de poids corporel.

 

Il est interdit aux États-Unis et en Norvège.

 

CONCLUSION:

Le E124 peut causer des allergies et a été interdit dans certains pays. Le parlement Européen a décidé qu'à partir du 10 juillet 2010, les produits alimentaires contenant du rouge cochenille A doivent mentionner sur l'étiquette "peut causer des troubles de l'attention et du comportement chez les enfants".

Le E124 est à fuir surtout si consommé dans des produits multiples ou en association avec d'autres additifs. A EVITER.

 

http://www.avenir-bio.fr/additif,E124,ponceau-4r-rouge-cochenille-a.html

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  • Messages

    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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