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«Sat-Sleeve», le nouveau service d’Algérie Télécom Satellite

 

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Démocratiser le VSAT en Algérie, telle est l’ambition d’Algérie Télécom Satellite (ATS). Et dans cette optique, ATS a décidé de mettre un nouveau service sur le marché.

 

Il s’agit, en effet, d’une nouvelle technologie liée à la téléphonie mobile par satellite (Thuraya) qui sera lancée incessamment par Algérie Télécom Satellite (ATS), a indiqué la directrice de communication d’ATS, Louiza Ferhat.

 

Dans une déclaration faite à l’APS, cette responsable a expliqué que désormais les Algériens pourront profiter d’une nouveauté consistant dans l’utilisation d’un smartphone à l’aide d’un accessoire ou support appelé "Sat-Sleeve". En réalité, c’est un téléphone mobile satellitaire qui permet à ses heureux propriétaires de bénéficier d’une connexion internet haut débit.

 

" Nous sommes en train de finaliser ce produit et nous le mettrons incessamment sur le marché ", a affirmé Louiza Ferhat d’après laquelle "Sat-Sleeve" est un adaptateur satellite avec batterie intégrée pour iPhone. Et ce dernier permettra de bénéficier de la couverture satellite de Thuraya couvrant la planète via Internet.

 

Rappelons enfin qu’ATS est réputé pour ses offres de solutions Vsat pour les réseaux d’entreprises. Ces solutions permettent une connexion à large bande, " fiable, économique et sécurisée quel que soit l’emplacement du client et indépendamment de l’infrastructure terrestre ", se réjouit-on à ATS.

 

" Nous proposons, à cet effet, de la visioconférence, de la géo-localisation, Internet haut débit par satellite, la télémédecine, la VOIP (voix sur IP), un réseau privé virtuel (VPN) et autres solutions ", a souligné Louiza Ferhat.


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  • 2 months later...
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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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