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Washington s'inquiète de l'augmentation du nombre de Maghrébins aux côtés d'Al Qaïda


Invité salimdz

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Washington s'inquiète de l'augmentation du nombre de Maghrébins aux côtés d'Al Qaïda au Pakistan

 

Par hayet zitouni (avec AFP) le 10/07/2008 à 12:27

 

Les services de renseignement américains ont constaté une augmentation du nombre de combattants étrangers dans les zones tribales du nord-ouest du Pakistan où ils rejoignent des groupes liés à Al-Qaïda présents dans la région, rapporte jeudi le quotidien américain The New York Times.

 

Des dizaines, voire plus, d'Ouzbèks, de Nord-africains ou de combattants venant de pays arabes et du Golfe sont entrés au Pakistan au cours des derniers mois, renforçant les groupes locaux qui appuient l'insurrection des talibans chez le voisin afghan, indique le journal qui cite des sources au sein du renseignement et de l'armée américaine.

 

Dans le même temps, il y a eu récemment une baisse du nombre de combattants étrangers entrant en Irak, selon un porte-parole de l'armée américaine à Bagdad cité par le quotidien.

 

« Ce flux pourrait refléter un changement qui fait du Pakistan et non de l'Irak la destination préférée des extrémistes sunnites du Moyen-Orient, d'Afrique du Nord et d'Asie centrale qui veulent prendre les armes contre l'Occident », écrit le Times, citant des responsables américains.

 

Pour le général David McKiernan, le nouveau commandant en chef des forces de l'Otan en Afghanistan, également cité par le journal, la situation dans les zones tribales du nord-ouest du Pakistan, frontalières de l'Afghanistan, s'est aggravée.

 

« La frontière poreuse a donné aux groupes insurgés une plus grande liberté de mouvement pour passer la frontière, ainsi qu'une plus grande liberté d'approvisionnement, ce qui permet au leadership de consolider des sanctuaires et de fournir des soldats », a-t-il dit.

 

Selon un responsable de la défense cité par le quotidien américain, le mouvement de combattants étrangers entrant au Pakistan s'est transformé « d'un filet en un ruisseau ».

 

Le gouvernement américain s'inquiète de voir ces zones servir de base arrière à une insurrection revigorée qui vient d'infliger en juin aux forces internationales en Afghanistan leurs plus lourdes pertes depuis le début de la guerre en 2001.

 

Washington s'inquiète aussi de voir Al-Qaïda se reconstituer dans ces zones tribales.

 

Le président américain George W. Bush doit recevoir le Premier ministre pakistanais Yousuf Raza Gilani le 28 juillet pour le presser d'empêcher que son pays ne devienne le sanctuaire des insurgés combattant en Afghanistan, mais aussi d'Al-Qaïda.

 

source : http://www.toutsurlalgerie.com/Algerie--al-qaida--pakistan-4162.html

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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