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NticWeb est désormais sur Smartphones Android !


Hicham

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Nticweb sort sa version mobile, n'ticmob

 

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Jusque-là, N'TIC se résumait à son magazine, à son site web ou encore à sa chaîne YouTube. Dorénavant, il faudra compter sur son application mobile destinée, dans un premier temps, aux terminaux tournant sous Android, n'ticmob.

 

L'application mobile de N'TIC est désormais accessible aux utilisateurs d’Android. Elle vous permet de rester connecté, gratuitement, à toute l'actu high-tech, que ce soit en Algérie ou partout dans le monde, depuis votre smartphone ou votre tablette.

 

Disponible sur Google Play, n'ticmob se dote d'une interface très simple, reprenant les couleurs de N'TIC. Dès accès à l'application, les actus à la Une sont directement affichées sur votre écran. Impossible de ne pas y inclure les rubriques incontournables de N'TIC à savoir IT, Telecom et Mobile.

 

Les utilisateurs auront évidemment la possibilité de télécharger le dernier numéro de leur magazine depuis la rubrique PDF.

 

Enfin, sachez que l'arrivée de cette application n'est que le début d'une longue série de surprises que vous réserve N'TIC pour cette fin d'année ;)

 

Un grand bravo à toute l'équipe de Feedz et de Med&Com qui sont derrière cette application : Fayçal MOUHOUBI, Mehdi SOUFFI, Redouane SAYAH, Malek KHELIFATI et Mohamed BOUDELAA.

 

Pour télécharger votre application suivez ce lien.

 

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Source

 

 

 

 

 

 

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  • Messages

    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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