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[Insolite] de faux quotidiens "El Watan" et "El Khabar" vendus 1,3£ en France


Hicham

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Une première dans les anales de la presse

 

Un faux El Watan vendu en France

 

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Un directeur d’un quotidien national de retour de France a alerté notre rédaction sur la commercialisation d’un faux journal El Watan qu’il a trouvé dans les étals d’un buraliste.

Il a remis à la rédaction la copie du faux journal en question du mardi 29 octobre 2013. Il s’agit, selon toute vraisemblance, d’un «clone» qui est vendu en toute illégalité dans certains kiosques de la capitale française. Le quotidien arabophone El Khabar a aussi été victime de la même escroquerie. Une première dans les annales de la presse algérienne. De format A4, il semble que la copie soit reproduite à partir du PDF du journal téléchargeable à partir du site web d’El Watan (www.elwatan.com). Cette éventualité est renforcée par le fait de l’existence de la mention «édition du centre». Ce qui laisse supposer l’existence d’une imprimerie clandestine et de tout un réseau de trafic.

 

Il y a lieu de signaler la mauvaise qualité d’impression sur du gros papier jauni et de mauvaise qualité et surtout le prix de vente qui a été fixé à 1,30 euro alors qu’El Watan vend officiellement à 1 euro l’exemplaire tel que mentionné juste sous le titre. Certaines pages sont restées blanches car elles comportent de la publicité (une page entière) que le journal ne met pas dans sa version PDF. Ce qui confirme que c’est à la base de ce procédé que le journal est copié. La direction du journal ayant pris connaissance de ces faits a décidé de recourir aux juridictions françaises pour tirer cette affaire au clair, enquêter et démasquer les faussaires. Elle qualifie ce procédé «d’imitation frauduleuse de produit». Il dévalorise forcément l’image de marque du quotidien El Watan.

 

Cette contrefaçon est également perçue comme un manque à gagner et comme des opportunités de ventes perdues. Reste à savoir quelles sont les motivations de ces malfaiteurs ? S’agit-il de gagner de l’argent facile ou est-ce un moyen de soutirer de la publicité, par exemple, auprès de certains clients ? L’enquête doit déterminer cela avec précision. Nous sommes face à une contrefaçon en bonne et du forme, voire une violation du droit de propriété intellectuelle par le fait de reproduire ou d’imiter quelque chose sans en avoir le droit ou en affirmant ou laissant présumer que la copie est authentique.


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    • @youcef17fr c'est où ? Donc de nouveaux conteneurs arrivent de Chine contenant les équipements fibre optique (PBO , ONT , ...ect) après la crise maritime en mer Rouge.
    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
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