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[Téléphonie Mobile] "Mobilis" lance en Exclusivité la technologie 4.5G


Hicham

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"Mobilis" lance en Exclusivité la technologie 4.5G

 

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Avec le réseau mobile 4.5 G, l’opérateur de la téléphonie mobile Mobilis, a pu réaliser,ce mardi à Oran, lors du sommet « Smart Algeria Sailing From Oran », une vitesse de téléchargement de test atteignant 1.8 Gbps. Ce qui constitue une réalisation remarquable non seulement en Algérie mais dans le monde entier.

Pour le directeur de la division technique de Mobilis, Samir Bouzekri, cette opération, une première en Algérie, est « un succès ». « C’est la première fois en Algérie qu’on teste des débits très importants. Cette vitesse ne peut être atteinte qu’avec la 5 G et d’autres technologies », a-t-il précisé. Selon lui, seule la 5G peut se permettre d’atteindre ces débits, même chez les opérateurs des pays européens.

 

« Nous avec 4.5 G, et en faisant des améliorations dans l’utilisation et l’optimisation de nos bandes de fréquences nous avons pu atteindre ce débit », a-t-il indiqué, tout en soulignant l’importance de cette performance.

 

« Avec notre partenaire technologique Huawei, nous avons réalisé l’exploit ». Le même responsable a en outre fait savoir que cette expérience va être généralisée graduellement dans d’autres wilayas, notamment Alger, Sidi Bel Abbès, Tlemcen et Laghouat, au début du premier semestre 2019.

 

Il a néanmoins souligné la nécessité d’accorder des bandes de fréquences supplémentaires. « La généralisation va dépendre des bandes de fréquences allouées par les autorités », a-t-il expliqué. Pour ce qui est du choix de la wilaya d’Oran, M. Bouzekri a indiqué que « cette wilaya représente un intérêt particulier car nous voulons en faire une ville intelligente ». Il a par ailleurs confié que Mobilis a un programme spécifique pour que cette ville accueille les jeux Méditerranéens 2021 dans les meilleures conditions. « Nous travaillons déjà en vue de couvrir les zones d’intérêt, particulièrement les stades et les zones de regroupement ». De son côté, Ali Morsi, responsable solution à Huawei, a fait savoir que cette technologie est basée sur la solution 4.5 G, qui est une étape de transition vers la 5G. Celle-ci, dit-il « nous a permis d’expérimenter des services qui seront disponibles avec la 5G notamment la vitesse de l’ordre de 1 Gbps/seconde ». Selon lui, Mobilis est un partenaire stratégique et c’est grâce aux efforts conjoints que nous avons pu réaliser cet exploit. « C’est le fruit de notre collaboration », a-t-il rappelé.

 

Notons que l’Algérie connaît actuellement une révolution dans la transformation numérique. Une transformation orientée vers l’avenir, la construction d’une Algérie intelligente et, donc, un défi pour Mobilis et Huawei. En tant que nouveau réseau de neurones dans la ville, cette réalisation jouera, entre autres un rôle primordial, dans la sécurité urbaine, la gestion quotidienne et l’amélioration du niveau de vie des habitants. Ce sommet est le deuxième entre ces deux entreprises de haut niveau au sujet du développement futur du secteur des télécommunications en Algérie. Chose qui incitera les deux parties à approfondir leur coopération dans ce domaine et à réaliser conjointement l’objectif de Smart Algérie.


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même avec la 5g , jsuis sûre qu'ils vont réussir l'exploit de ne pas avoir du 10mo/s stable :p

 

 

" Notons que l’Algérie connaît actuellement une révolution dans la transformation numérique. Une transformation orientée vers l’avenir "

l'avenir qui sera mort dans 10 ans

2030 : plus de pétrol en algérie = plus d'argent = même crise qu'au Venezuela

Modifié par mahdidu10
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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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