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Transport objet fragile soute à bagage


boubazm

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Salut tout le monde,

je voudrais rapporter avec un ami une antenne rateau 4g de france (qui fait à peu près dans son carton 1m40 de long et qui pèse environ moins de deux kilos) par avion dans la soute à bagage. Le problème c'est que le paquet est fragile vu que c'est une antenne et j'ai peur que les bagagistes l'emdommage en la rangeant avec les autres valises.Qu'en pensez vous? c'est risqué ? j'ai besoin de vos avis et expériences

 

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Modifié par boubazm
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Bonjour,

 

Y a ce que l'on appelle un tapis hors gabarit au niveau de l'enregistrement, le soucis qui se pose c'est maintenant la plupart des aérogare n'ont plus 'étiquette fragile, vu qu'il y a un tapis hors gabarit qui normalement c'est bagages doivent être mis dans une soute a l'avant ou on range les bagages fragiles, comme des poussettes ...etc, arrivé a destination les bagages hors gabarit doivent être récupéré dans un tapis spéciale pas avec le reste des bagages, or en Algérie des fois on retrouve ca sur un tapais pour les bagages spéciaux , mais la plupart du temps sur le tapis avec les autres bagages surtout quand c'est l'heure de la relève.

 

tout ca en connaissance de cause, je te souhaite bon courage sachant que c'est comme a la loterie chez nous malheureusement .

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Antenne 4g arrivée intacte mais bloquée par la douane au niveau de l'aéroport de sétif. il paraît qu'il faut une autorisation des télécoms. j'ai contacté l'arpce et l'anf pour cette sois- disante autorisation et les deux organismes me renvoient la balle.je doute qu'elle existe cette autorisation ! ils croient que je vais faire de l'espionnage avec cette antenne où quoi?

 

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    • @youcef17fr c'est où ? Donc de nouveaux conteneurs arrivent de Chine contenant les équipements fibre optique (PBO , ONT , ...ect) après la crise maritime en mer Rouge.
    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
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