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Alerte à la Nakba : privatisation des ressources hydrocarbures.


algérien_dz

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Ce que de nombreux patriotes avaient annoncé depuis des mois, est en passe de se réaliser :

La privatisation rampante des ressources hydrocarbures au profit des barons du régime. Ainsi, la boucle sera bouclée. Le pays tout entier leur appartiendra. Ils deviendront nos maîtres au sens propre du terme.

Le quotidien d’Oran qui relaie l’APS, nous apprend que: “Le premier appel à la concurrence national et international pour l’octroi de périmètres d’exploration et d’exploitation d’hydrocarbures a été lancé, hier, par l’agence nationale de valorisation des hydrocarbures (Alnaft). Selon l’APS, qui cite le site internet du ministère de l’Energie et des mines, l’appel concerne quelque 45 blocs, partagés sur 16 périmètres qui sont situés dans une dizaine de bassins, notamment à Illizi, Gourara, Béchar, Berkine, etc…”

Ce que l’on ne nous dit pas, par contre, est que cette opération, menée en catimini par notre ministre américain de l’énergie, dans une opacité totale, est destinée à ouvrir la porte de notre ressource essentielle aux barons du régime et à leurs clientèles. Aucun doute ne subsiste qu’une vaste magouille a été montée pour permettre à ceux qui ont mené le pays à la dérive, de faire main basse sur cette manne qui les faisait tant rêver. Nous connaissons déjà le modus operandi avec lequel ils vont mettre le grappin sur le trésor tant convoité, et qui s’offre dorénavant à leur voracité. Ils vont commencer par noyer le poisson en laissant s’engouffrer dans l’opportunité, des compagnies plus ou moins patentées. En prélevant toutefois leur traditionnel “droit d’entrée”. Pas celui officiel, mais celui que toutes les compagnies autorisées à activer dans le pays doivent payer sous la table à qui de droit. Quelques millions de dollars qu’elles ne tarderont pas à récupérer sur la bête.

Ensuite, les barons, ou plutôt les parrains qui ont réussi à mettre en place cette vaste fumisterie, à faire entrer leur cheval de Troie dans la place, vont se trouver quelques compagnies pétrolières en difficulté, texanes, russes, britanniques ou autres, qu’ils vont inviter à venir s’installer dans notre Sahara où ils leur auront déblayé tout le terrain, et ouvert toutes les perspectives, à la seule condition qu’ils seront leurs associés. Cette combine a déjà fait ses preuves. Comme dans le cas d’une certaine compagnie aérienne de droit français, qui avait deux coucous et un vieux hangar, et qui est devenue une entreprise florissante, grâce à un certain général major Smaïl Lamari et Cie.

Et puis, doucement, doucement, quand l’opinion publique se sera résignée, quand elle aura été suffisamment conditionnée, nous apprendrons que le fils du général H’mida et l’épouse du général Hamdane sont les actionnaires principaux de la Compagnie Tikharbichine, de Vautour des Dunes et autres Ched Med. Et si d’aventure, nous pourrions faire la moindre moue désabusée, on nous demanderait pourquoi des Algériens n’auraient-ils pas le droit de posséder des compagnies pétrolières dans leur propre pays. On nous taxerait même d’anti patriotes, puisque nous acceptons que des étrangers s’installent chez nous et pas nos propres compatriotes qui ont sauvé la république. C’est d’une logique!

Donc voilà! Que personne ne dise demain qu’il ne savait pas! Ne comptons pas trop sur notre presse “indépendante” pour nous alerter. Ni sur nos partis des travailleurs qui ont découvert une façon plus dorée sur tranche de dénoncer le complot! Ils ne nous seront d’aucun secours. C’est à nous de faire connaître cette Naqba à nos compatriotes. Car c’est une Naqba.

Ils se sont arrangés sur notre dos, ces odieux manipulateurs. Ils ont conclu un horrible marchandage sur l’avenir de nos enfants. Ils ont scellé notre destin. L’Algérie va devenir leur propriété pleine et entière. Et leurs enfants feront subir aux nôtres bien pire que ce que eux nous ont fait subir. Puisque nous deviendrons tous leurs esclaves.

Le retour de Ouyahia aux affaires, ou dans les affaires, n’est pas fortuit. Il procède du deal qu’ils viennent de conclure. Ils se sont mis d’accord pour que Bouteflika reste Président. D’une manière ou d’une autre. En échange, ils ont exigé de cet homme aveuglé par le pouvoir, et qui ne voit même plus qu’il est à l’article de la mort, de prendre Ouyahia comme chef de leur gouvernement. Parce que Ouyahia est leur meilleure garantie d’arriver à leurs fins. A toutes leurs fins. Ils ont exigé de lui que le viol de la Constitution, qu’ils vont faire perpétrer par leur parlement de vendus prévoit la création d’un vice-président. Poste déjà destiné à ce même Ouyahia. Ils vont y prévoir qu’en cas de vacance du Chef de l’État, c’est Ouyahia qui en assumera la charge. Et ils ont déjà prévu que le peuple l’élise à une forte majorité comme président de la république. Leur république.

Ils croient ainsi avoir tout réglé. Peut être même ont-ils consenti à Bouteflika des faveurs dont nous finirons par savoir la teneur. Une fortune pour sa famille qu’il chérit tant, un poste pour son frère préféré. Peut être aussi, dans son délire et dans sa haine inextinguible de ce peuple qu’il déteste tant, et qu’il méprise, Bouteflika a cherché à se venger de cette populace que nous sommes, qui a laissé Chadli Bendjedid l’humilier et le bannir.

On ne saurait pas expliquer d’une autre manière qu’il nous livre ainsi, pieds et poings liés, à ces monstres sanguinaires qui vont nous dévorer tout crus.

Mais tant va la cruche à l’eau. Cette ultime forfaiture donnera peut être le signal au sursaut et à la résistance. Debout les morts! La nation est en danger. L’heure est venue de remiser nos divergences. Plus rien ne doit se mettre en travers de notre volonté de récupérer notre liberté et notre pays. Que vienne l’heure de la délivrance et de la dignité!

D.B

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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