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Le fondateur du « GIA » Abdelhak Layada à « El Khabar »


Invité salimdz

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Invité salimdz

« Je n’appellerai jamais à l’arrêt des violences »

 

Le fondateur du « GIA » Abdelhak Layada à « El Khabar »

 

dimanche 17 août 2008.

 

Abdelhak Layada, fondateur du Groupe Islamique Armé et ex Emir, a déclaré qu’il a été condamné à la prison par contumace lui et son fils Adlène sans être entendu, et souligne qu’il ne veut pas condamner les actes terroristes. Dans une interview accordée à El Khabar, dans sa maison située au Sud de la capitale, Abdelhak Layada déclare que le général Khaled Nezzar lui a demandé de lui pardonner, alors que Ouyahia « m’a demandé de prendre soins de ma personne »

 

El Khabar : La situation sécuritaire connaît une dégradation dangereuse, pensez-vous pouvoir jouer un rôle dans l’arrêt des actes terroristes ?

Layada : Tout citoyen peut jouer un rôle pour mettre fin à la discorde, mais moi, comment voulez-vous que je fasse quelque chose dans ce sens alors que les autorités prononcent un jugement par contumace contre moi et confisquent mon véhicule et elles ont déjà gelé mes fonds.

 

El Khabar : Quelle lecture faites-vous de la recrudescence des actes terroristes ?

Layada : Cette question doit être posée au ministre de l’intérieur Yazid Zerhouni qui a déclaré qu’il a éliminé les groupes armés et qu’il n’en reste qu’un groupuscule, et il semble, d’après ses déclarations, que les âmes qui tombent quotidiennement sont sans importance.

 

El Khabar : Pensez-vous que les groupes armés cantonnés, actuellement, dans les montagnes peuvent fragiliser l’Etat à travers les actes terroristes commis ?

Layada : Certainement oui, ils peuvent même changer le système de gouvernance.. Si les autorités pouvaient les éliminer, elles n’auraient pas hésité à le faire, le comble dans tout cela c’est que j’ai remarqué que les groupes armés deviennent de plus en plus forts, car leurs actes terroristes ont touché des institutions sensibles, à l’image du Palais du Gouvernement, le Conseil Constitutionnel et le bâtiment des Nations Unies, alors que reste t-il pour prouver sa force ?

 

El Khabar : Est-ce que vous pensez que ces actes terroristes sont légitimes ?

Layada : Je ne peux dire ni légitimes ni illégitimes, tout ça est prématuré et je ne suis pas dans une position me permettant d’en parler, car je suis privé de l’exercice de mes droits politiques et il nous est interdit de créer un parti ou de nous présenter aux élections, comme il nous est interdit de former une association caritative et de prêcher dans les mosquées…alors pourquoi m’immiscer dans ces questions ?

 

El Khabar : Si l’on vous demande de lancer un appel aux membres d’Al Qaida, les incitant à arrêter cette violence, le feriez vous ?

Layada : Je ne le ferai pas, mais si on me demande d’être un intermédiaire entre les deux parties, j’accepterai. Et que voulez-vous que je dise dans cet appel…les appeler à quitter leurs fiefs ? Pour eux, nous ne sommes pas des exemples à suivre sur le plan des droits obtenus, les repentis non plus, donc il n’y a rien qui les encourage à cesser les actes terroristes.

 

El Khabar : Vous aviez déclaré, dans le passé, que vous aviez gardé des secrets concernant la période où vous résidiez au Maroc, quand vous étiez l’Emir du GIA. Il ne serait pas temps d’en parler ?

Layada : J’ai adressé, depuis trois ans, une lettre au président de la république, lui demandant la permission d’introduire une action en justice contre le Royaume Marocain, et je lui ai adressé, après ma sortie de prison, une autre lettre mais qui est restée sans suite. Je lui ai affirmé, dans les deux lettres, que je voulais ester en justice des responsables Marocains à cause de ce qu’ils m’ont demandé à cette période et les conditions qu’ils ont essayé de m’imposer en contrepartie de ma libération, que j’ai refusée.

 

El Khabar : Avez-vous rencontré le Général Nezzar après son déplacement au Maroc en 1994 pour vous rapatrier vers l’Algérie ?

Layada : Je l’ai rencontré lors de l’enterrement du Général Ismail Lamari (Septembre 2007), il m’a accolé et il m’a dit à trois reprise : je vous demande de me pardonner et il m’a dit qu’il était malade tout en arborant une boite de médicaments. J’ai discuté avec la plupart des officiers supérieurs qui étaient présents à l’enterrement, en l’occurrence le Général Maiza et le Général Cherif Fodil qui m’a invité à lui rendre visite au complexe de Moretti où il résidait avant de décéder. J’ai rencontré aussi Said Bouteflika qui m’a salué et accolé et on a marché ensemble dans le cimetière, il m’a promis d’informer son frère, le président de la république, sur ma volonté de le rencontrer, et j’attends toujours qu’il tienne sa promesse. J’ai rencontré également Abdelkader Ben Salah, et je me suis entretenu avec Ouyahia qui m’a demandé de prendre soins de ma personne.

 

source : El Khabar

 

source : http://algerie.actudz.com/article2446.html

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Bonjour

Il ne nous reste qu'a verser une grosse larme de crocodile pour cette pauvre personne innocente, harcelee et victime par des personnes qui furent ou font la loi dans notre malheureux pays .

C'est a se demander qui est bourreau dans cette histoire le MECHANT PEUPLE ou le Pauvre et intouchable repentit protegée et renumere par la loi de la reconciliation.?

Comme dit l'autre fumons notre the et restons eveilles.....

A bientot pour d'autres Gags du pouvoir.

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Il ne lui reste qu'a se présenter pour l election à la présidence de l'Algérie !!!!!!!!!!!!!!!

 

blague à part, si éventuellement il se présente pour les élections présidentielles, et si ces élections ne sont pas truquées, il risque fort bien de devenir notre futur président, y a tellement de gens qui rêvent d'une "Dawla islamia " et qui ont la mémoire courte.

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Une dawla islamiya ?

 

laisse moi rire : ça voudrait dire la plupart des algériens avec soit une main en moins ( tous ceux qui ne font pas leurs heures de travail, qui glandent au boulot, qui font passer leurs amis en piston, et les tchipistes )

 

et l'autre partie soit flagellée ( ceux qui critiquent leurs amis dans le dos, leur voisine, la femme de leur voisin ...)

 

soit considérée comme des athés : tous ceux qui mentent ( 99 % ) et qui sont donc sortis de l'ISLAM.

 

si vraiement on les prenait au mot, un dawla islamiya commencerait par brûler VIF tout ceux qui ont pris le maquis, ceux qui n'ont pas comdanné les attentats lâches, et tout ceux qui ont menti en fesant croire que faire péter des bombes, se suicider, buter un flic, tout ça pour prendre le pouvoir, c'était du DJIHAD.

 

Bref, tous les soi disant musulmans, qui a cause de leurs dires, leurs faits et leurs gestes, ont poussé la jeunesse Algérienne a haïr l'islam, et a aller voir aileurs, dans les boites de nuits ou les clips , si l'herbe est plus verte.....

 

 

A+++++

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Fondateur du GIA et en plus il ose s'exprimer sur les journaux, non, moi tout cela me dépasse, tout ce que je sais et que je n'arrive pas à comprendre, c'est: Pourquoi des gens se disant Algériens et musulmans tuent d'autres Algériens pour une cause encore inconnue (parce que pour me dire pour une soit disant "dawla islamya" sa c'est du n'importe quoi)

 

Tuer des Algériens, pour rien, pourquoi??

 

C'est quoi leur objectifs??

 

Quel est ce "dieu" en qui ils croient??

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faut pas y aller par 36 chemins, tout ce qu'ils veulent, c'est le pouvoir, et pour l'avoir ils sont capable de tuer la moitié des algériens.

et dire qu'il y a des gens qui croient encore en eux et qui rejoignent leur rang, à croire qu'ils ont de la merde dans les yeux et du vide à la place du cerveau.

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  • Modérateurs

ils tuent les algeriens parcequ'ils pensent (a tord) que nous sommes des kouffar, donc passibles de la peine de mort , meme un barbus avec kamis qui est contre leurs idées deviens automatiquement kaffir

cette façon de voir les choses a eté importée d'afghanistan, certains algerien y sont allé pour combattre les russes, a leur retour, leur ideologie s'est +- repandue, heureusement que seulement une minoritée a epousé cette doctrine sanguinaire, mais qui continue a recruter dans les rangs des populations les plus defavorisés

 

d'apres la sunna

tuer un musulman, meme s'il est alcoolique, corrompu, usurier , braqueur de banques est un tres grave peché,

 

d'apres eux, fumer une cigarette suffit largement a te rendre coupable de mecreance, donc meriter la mort

 

pas la peine de discuter avec eux, il faut les eliminer et discuter apres

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« Je n’appellerai jamais à l’arrêt des violences »

 

Le fondateur du « GIA » Abdelhak Layada à « El Khabar »

 

dimanche 17 août 2008.

 

Abdelhak Layada, fondateur du Groupe Islamique Armé et ex Emir, a déclaré qu’il a été condamné à la prison par contumace lui et son fils Adlène sans être entendu, et souligne qu’il ne veut pas condamner les actes terroristes. Dans une interview accordée à El Khabar, dans sa maison située au Sud de la capitale, Abdelhak Layada déclare que le général Khaled Nezzar lui a demandé de lui pardonner, alors que Ouyahia « m’a demandé de prendre soins de ma personne »

 

El Khabar : La situation sécuritaire connaît une dégradation dangereuse, pensez-vous pouvoir jouer un rôle dans l’arrêt des actes terroristes ?

Layada : Tout citoyen peut jouer un rôle pour mettre fin à la discorde, mais moi, comment voulez-vous que je fasse quelque chose dans ce sens alors que les autorités prononcent un jugement par contumace contre moi et confisquent mon véhicule et elles ont déjà gelé mes fonds.

 

El Khabar : Quelle lecture faites-vous de la recrudescence des actes terroristes ?

Layada : Cette question doit être posée au ministre de l’intérieur Yazid Zerhouni qui a déclaré qu’il a éliminé les groupes armés et qu’il n’en reste qu’un groupuscule, et il semble, d’après ses déclarations, que les âmes qui tombent quotidiennement sont sans importance.

 

El Khabar : Pensez-vous que les groupes armés cantonnés, actuellement, dans les montagnes peuvent fragiliser l’Etat à travers les actes terroristes commis ?

Layada : Certainement oui, ils peuvent même changer le système de gouvernance.. Si les autorités pouvaient les éliminer, elles n’auraient pas hésité à le faire, le comble dans tout cela c’est que j’ai remarqué que les groupes armés deviennent de plus en plus forts, car leurs actes terroristes ont touché des institutions sensibles, à l’image du Palais du Gouvernement, le Conseil Constitutionnel et le bâtiment des Nations Unies, alors que reste t-il pour prouver sa force ?

 

El Khabar : Est-ce que vous pensez que ces actes terroristes sont légitimes ?

Layada : Je ne peux dire ni légitimes ni illégitimes, tout ça est prématuré et je ne suis pas dans une position me permettant d’en parler, car je suis privé de l’exercice de mes droits politiques et il nous est interdit de créer un parti ou de nous présenter aux élections, comme il nous est interdit de former une association caritative et de prêcher dans les mosquées…alors pourquoi m’immiscer dans ces questions ?

 

El Khabar : Si l’on vous demande de lancer un appel aux membres d’Al Qaida, les incitant à arrêter cette violence, le feriez vous ?

Layada : Je ne le ferai pas, mais si on me demande d’être un intermédiaire entre les deux parties, j’accepterai. Et que voulez-vous que je dise dans cet appel…les appeler à quitter leurs fiefs ? Pour eux, nous ne sommes pas des exemples à suivre sur le plan des droits obtenus, les repentis non plus, donc il n’y a rien qui les encourage à cesser les actes terroristes.

 

El Khabar : Vous aviez déclaré, dans le passé, que vous aviez gardé des secrets concernant la période où vous résidiez au Maroc, quand vous étiez l’Emir du GIA. Il ne serait pas temps d’en parler ?

Layada : J’ai adressé, depuis trois ans, une lettre au président de la république, lui demandant la permission d’introduire une action en justice contre le Royaume Marocain, et je lui ai adressé, après ma sortie de prison, une autre lettre mais qui est restée sans suite. Je lui ai affirmé, dans les deux lettres, que je voulais ester en justice des responsables Marocains à cause de ce qu’ils m’ont demandé à cette période et les conditions qu’ils ont essayé de m’imposer en contrepartie de ma libération, que j’ai refusée.

 

El Khabar : Avez-vous rencontré le Général Nezzar après son déplacement au Maroc en 1994 pour vous rapatrier vers l’Algérie ?

Layada : Je l’ai rencontré lors de l’enterrement du Général Ismail Lamari (Septembre 2007), il m’a accolé et il m’a dit à trois reprise : je vous demande de me pardonner et il m’a dit qu’il était malade tout en arborant une boite de médicaments. J’ai discuté avec la plupart des officiers supérieurs qui étaient présents à l’enterrement, en l’occurrence le Général Maiza et le Général Cherif Fodil qui m’a invité à lui rendre visite au complexe de Moretti où il résidait avant de décéder. J’ai rencontré aussi Said Bouteflika qui m’a salué et accolé et on a marché ensemble dans le cimetière, il m’a promis d’informer son frère, le président de la république, sur ma volonté de le rencontrer, et j’attends toujours qu’il tienne sa promesse. J’ai rencontré également Abdelkader Ben Salah, et je me suis entretenu avec Ouyahia qui m’a demandé de prendre soins de ma personne.

 

source : El Khabar

 

source : http://algerie.actudz.com/article2446.html

RE,

d'apres une de mes connaissances qui etait a l'enterrement de Smail Lamari,Ouyahia(oukatal dit jamais 2 sans3) a tenu les propos suivants a layada() je cite

"TA PLACE N'EST PAS ICI MAIS EN PRISON" conclusion non seulement ce pauvre tueur qui se dit combattant pour un etat islamique n'est qu'un simple Idiot mais en plus un menteur de la pure espece.

NB:

les personnes citees par ce criminel ne sont gueres des references mais ne sont que de la vermine.

Salut a vous

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