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Le Courant porteur en ligne en 5 questions


Invité salimdz

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Décodage

Le Courant porteur en ligne en 5 questions

Technologie ancienne, le Courant porteur en ligne, ou CPL, progresse lentement sur le marché des réseaux. Quelques éléments pour faire le point sur les avantages et les risques de cette technologie.

 

Le CPL, qu'est-ce que c'est ?

Il s'agit d'une technologie qui permet le transfert d'informations numériques en utilisant les lignes électriques. Ainsi, il est possible de créer un réseau local mais aussi de se connecter à Internet par ce biais. Le courant porteur est aujourd'hui utilisé en bas débit pour des applications industrielles mais aussi et de plus en plus pour des applications domotiques.

C'est, par exemple, du courant porteur en ligne qui est utilisé pour faire basculer en tarif nuit un compteur électrique. Le CPL haut débit permet, quant à lui, de faire transiter des données informatiques par le courant électrique. Les débits atteints sont compris entre 14 Mbit/s et 200 Mbit/s.

 

Le CPL, comment ça marche ?

Couplé au courant électrique de 50 Hz, un signal de plus haute fréquence (bande 1,6 à 30 Mhz) mais d'énergie plus faible est utilisé sur le réseau électrique, transportant les données. Ce signal peut être reçu et décodé à distance.

 

Existe-t-il un standard ?

Oui, il s'agit du standard américain Homeplug, relatif aux installations mises en place après le compteur.

 

Quel est le cadre juridique du CPL ?

Les autorités de régulation ont du mal à définir le cadre juridique du CPL, puisqu'il est à la fois un réseau électrique et un réseau de télécommunication. Il n'existe pas, par ailleurs, de réglementation précise pour l'équipement CPL.

Les installations effectuées en aval du compteur électrique sont libres, sauf si l'installation provoque de la nuisance. Alors, l'installation doit être retirée. En revanche, les expérimentations à des fins de boucles locales doivent être autorisées par le régulateur.

 

Quels sont les inconvénients du CPL ?

La communication en CPL doit composer avec des bruits fréquents et de fortes atténuations. C'est pourquoi la technique de la redondance est nécessaire pour faire fonctionner correctement le CPL. Par ailleurs, le circuit électrique n'est pas blindé, ce qui fait que ce dernier se transforme en antenne et les ondes de haute fréquence rayonnent dans l'environnement proche, et ce jusqu'à une centaine de mètres. De ce fait, tout le matériel de réception radio est perturbé par l'utilisation du CPL. À l'inverse, le signal CPL peut être lui-même parasité par des flux électromagnétiques provenant d'écrans, de transformateurs, mais aussi des ondes radio. Enfin, les incidences sur la santé d'un rayonnement constant de CPL sont pour l'instant peu connues et soulèvent des interrogations.

 

source : http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=102081&titre=Le%20Courant%20porteur%20%20en%20ligne%20en%205%20questions

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  • 5 months later...
  • Administrateurs
une question : si j'achete ce truc pourais je creer un lan avec mon copain qui habite a 1km de moi?

 

NON cela s'arrête a ton compteur électrique, c'est a dire uniquement dans un appartement ou une maison/villa ou une entreprise

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une question : si j'achete ce truc pourais je creer un lan avec mon copain qui habite a 1km de moi?

 

bonsoir faut le meme compteur c tout, donc si c une villa, un apart enfin tout ça oui ça marche juste le meme compteur c tout

 

je te fait une legere remise avec livraison sur alger inchalah

 

salutations

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  • 1 year later...
  • 1 month later...
  • 3 months later...
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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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