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EEPAD (actualités et état actuelle)


didiss

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c'est pour ça que je me suis barrer de chez eux, ils ne font que mentir a leur clients, depuis que je suis chez eux j'avais mille problemes de connexion a chaque fois ils me disent d'aller voir avec algérie télécom car ma ligne avais un probleme d'atténuation, malheureusement ce n'etais pas le cas puisque depuis que j'ai anis (presque 10 jours) aucune coupure (hamdoullah), pourvu que ça dur

 

tu a bien dit pourvu que ça dure, en a une connexion Anis chez mon père depuis le problème d'Eepad elle est stable et rapide mais avant il y'avais beaucoup de déconnexion et le débit etait nul

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je suis prt a attend e rtour d'epad deja je pense que je suis oblger car le reseau de merde DA va etre saturé donc pas de connection pour nous meme avec l'argent on ne peut pas acceder a internt kel .............. de merde

vraiment dsl pour l'expression

 

oui donc t'as le choix entre aucune connexion et une connexion saturée :D fif lanjiriii :D

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Bonsoir et Saha ftourkoum ,

 

Tout en suivant avec attention l’actualité de notre chère provider eepad, j’ai finalement décidé de migrée {nouvel abonnement} vers AT, Actel Ben M’hidi, Fawri 1 MO, pas mal de monde surtout des eepadistes comme moi, c’est le rush ca m’a pris 2h…. file d’attente et pas mal de discussion entre eepadien.

Ah ! Mon abonnement mensuel expire demain a minuit, je n’ai pas résilié, Actel ne demande même pas la résiliation.

En tous cas nos chères chefs d’entreprise n’ont pas encore la notion de communication et de respect du client.

En tous cas c’est la fuite vers A.T et la perte de beaucoup de client pour eepad.

A+

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Salut tout le monde !!!

 

dernier article que j'ai trouvé qui donne une rétrospective de l'affaire vue par Algérie Telecom

 

Conflit commercial AT – Eepad

 

Bessalah a exécuté une instruction de Ouyahia

 

«Le ministre n’a pas changé de position. Bien au contraire, il est resté constant et exécute l’instruction du Premier ministre relative au recouvrement de la créance d’Algérie Télécom».

 

Aucun changement dans la position du ministre des Postes et Télécommunications n’a été enregistré dans l’affaire opposant le groupe Algérie Télécom au provider l’Eepad, confie-t-on de source proche de ce dossier. Le ministre a été contraint de suspendre la connexion à l’Eepad par devoir de récupération de l’argent du contribuable et défense des intérêts de son entreprise, même s’il aurait aimé éviter cette mesure et permettre à l’Eepad de continuer à travailler, ajoute cette source. «Au contraire, nous avons tout fait pour maintenir le partenariat avec l’Eepad, et le ministre n’a pas changé de position. Bien au contraire, il est resté constant dans ce qu’il fait et exécute l’instruction du Premier ministre pour la récupération de l’argent d’Algérie Télécom», nous a confié hier Abdelhakim Meziani, responsable de la communication à Algérie Télécom. «Nous avons tout fait pour le renforcement de l’Eepad qui est un partenaire privilégié et dont la clientèle est parmi l’élite, mais nous avons le devoir de récupérer l’argent de l’entreprise et défendre ses intérêts. C’est la mort dans l’âme que nous avons procédé à la suspension de la connexion à l’Eepad», ajoute-t-il.

 

L’entrée dans le capital de l’Eepad n’est pas à l’ordre du jour

 

Ce responsable dira, par ailleurs, que c’est la deuxième fois qu’une proposition d’entrée d’Algérie Télécom dans le capital de l’Eepad a été faite comme solution à l’endettement dont souffre ce provider. «Cela relève du conseil d’administration de l’entreprise qui a déjà eu à refuser cette proposition et, cette fois-ci, cette proposition n’est pas à l’ordre du jour», selon le responsable d’Algérie Télécom. Cette proposition a été faite par l’Eepad pour tenter de trouver une issue au problème l’opposant à Algérie Télécom. L’Eepad était endettée auprès d’Algérie Télécom de 2,6 milliards DA en mai de l’année en cours. Cette dette atteint actuellement 3,5 milliards DA, selon Algérie Télécom qui n’écarte pas que soit établi un nouvel échéancier pour le payement de la dette avec, comme possibilité, le rétablissement de la connexion. «Algérie Télécom gagnerait beaucoup dans le partenariat avec l’Eepad et nous aimerions que ce provider continue à exister ; mais notre entreprise est obligée de récupérer l’argent du contribuable», explique Abdelhakim Meziani, selon lequel «il fallait procéder à cette suspension de connexion car les dettes qui étaient de 2,6 milliards DA puis 3,5 milliards DA pourraient continuer à augmenter».

 

Genèse de l’affaire, selon Algérie Télécom

 

Algérie Télécom a signé avec cet opérateur, en date du 12 juin 2007, une convention portant sur la fourniture de services Internet et de la voix sur IP.

 

Cette convention prévoit notamment l’obligation pour l’Eepad d’honorer les factures émises par Algérie Télécom dans les trente jours qui suivent leur réception. Nonobstant les dispositions contractuelles prévues à cet effet, notre partenaire a en permanence refusé d’honorer les dettes contractées auprès de notre entreprise qui a décidé alors, dans une sorte de sortie de crise, de convenir avec lui, en décembre 2007, d’un premier échéancier de paiement fixant le montant de la dette à la somme de 1 384 297 252 DA au 31 octobre 2007, donc bien avant la décision ministérielle de réduire les tarifs d’accès à l’Internet. Cet échéancier est resté lettre morte. Ce qui a poussé Algérie Télécom à porter, en date du 16 juillet 2008, cette affaire devant le tribunal de Bir Mourad Raïs qui a notifié par voie d’huissier de justice à la partie incriminée, en date du 6 décembre 2007, une injonction de payer sa dette à l’effet de préserver les intérêts de ses clients. Comme de coutume, cette injonction n’a pas produit d’effet notable. En date du 28 février 2009, une mise en demeure a été adressée à l’Eepad, lui notifiant une sommation de payer sa dette dont le montant s’est élevé à la somme de 2 371 452 307 DA. Guidée toujours par le souci de préserver les abonnés de l’Eepad, Algérie Télécom a de nouveau accordé un nouvel échéancier, en date du 12 avril 2009, pour permettre à cet opérateur de s’acquitter de sa dette dont le montant était alors de 2 386 314 256 DA. Le procès-verbal signé par les deux parties en date du 12 avril 2009 a arrêté par ailleurs les engagements suivants :

 

Eepad reconnaît totalement le montant de sa dette et s’est engagée à payer, avant le 05/05/2009, les factures relatives au 1er trimestre 2009, d’un montant de 430 570 679 DA. Bien sûr, cet engagement est resté sans suite.

 

Eepad s’est aussi engagée à honorer des échéances mensuelles de l’ordre de 50 000 000 DA jusqu’à la fin de l’exercice 2009, en plus des factures périodiques émises par Algérie Télécom et cela à compter du 1er mai 2009. Mais en vain…

 

Le chèque tant attendu par les services de recouvrement était de l’ordre de 480 000 000 00 DA sur 2 671 452 307 DA.

 

Chiffres et explications

 

Il apparaît clairement donc, selon Algérie Télécom, que le versement de 50 000 000 DA représente à peine 10 jours de prestations fournies par Algérie Télécom à l’Eepad alors que la seule prestation fournie à cette entreprise de droit privé, au titre de la bande passante internationale par l’opérateur historique, est de l’ordre de 33 000 000 DA par mois. «Cette situation des plus inconfortables pour les finances d’Algérie Télécom n’a pas débouché sur l’irréparable puisque le P-DG du Groupe a fait dans l’apaisement pour ne pas perturber les candidats aux différents examens scolaires et universitaires. C’est là une des raisons objectives, avec celle qui a fait dire à Moussa Benhamadi que l’Eepad demeure l’un de nos partenaires stratégiques». La facture ayant atteint 3,5 milliards de dinars, Algérie Télécom, suite à une injonction de son conseil d’administration, a notifié une décision de suspension de services, 72 heures avant la date butoir du 2 septembre 2009, l’accusé de réception dûment signé par l’Eepad en fait foi. En d’autres termes, le Groupe Algérie Télécom est tenu de mener à bien l’opération de recouvrement, tenu qu’il est par les injonctions du Premier ministre, du conseil d’administration et des travailleurs de l’entreprise, et par le contrat de performance signé avec le ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la Communication. Entreprise commerciale s’il en est, portée par le souci de préserver ses intérêts indispensables à son redéploiement comme par celui lié à sa dimension citoyenne qui l’oblige en tant que service public à satisfaire y compris la clientèle de ses partenaires, c’est la mort dans l’âme que le Groupe Algérie Télécom a recours à des opérations de suspension de prestations, explique-t-on.

 

Par M. Abi

Vers un autre échéancier de paiement des dettes ?

L’Eepad peut bénéficier d’un autre échéancier pour le paiement de ses dettes. Une option qui évitera à ce fournisseur d’Internet de déposer son bilan et déclarer faillite. C’est du moins ce qu’on peut comprendre des déclarations du ministre de la Poste et des TIC, Hamid Bessalah qui rappelait avant-hier que le conflit entre Eepad et Algérie Télécom est «purement commercial» et «doit être réglé entre les deux opérateurs». M. Bessalah a ajouté «vouloir maintenir l’Eepad en tant que partenaire important de son secteur et soutenir la coopération et le partenariat avec d’autres opérateurs». Une déclaration qui lève momentanément le doute sur le sort réservé à cette société, bien qu’elle ne règle pas entièrement le problème. Cela puisque quelque 35 000 abonnés de ce provider demeurent toujours déconnectés d’Internet et ce, malgré le souci de la tutelle d’assurer la poursuite du service. La semaine passée, Hamid Bessalah interpellé à ce sujet a simplement invité les abonnés de l’Eepad à basculer vers le fournisseur de ces services au niveau d’Algérie Télécom. Une déclaration qui a suscité beaucoup de polémique et a été interprétée comme un message renseignant sur le début de la fin de cette société. A moins que ces dernières déclarations du ministre de tutelle ne soient considérées comme un recul, le règlement définitif du différend qui oppose l’Eepad à Algérie Télécom risque de durer encore dans le temps. Une éventualité que justifie l’incapacité du provider à honorer son engagement pris après une première suspension, il y a quelques mois. Interrogé lors des premières négociations, le P-DG de l’Eepad, Nouar Harzallah nous a affirmé que «la page est définitivement tournée», laissant entendre que les deux parties sont parvenues à un compromis à même d’éviter l’éclatement à nouveau de ce conflit. Ce qui n’est finalement pas le cas puisque la crise a fini par ressurgir. Et pour cause, des clients, des cybercafés et autres bénéficiaires de services proposés par cet opérateur se sont retrouvés pénalisés. De son côté, Algérie Télécom s’est montrée intransigeante sur son droit au recouvrement de ses créances, tout en refusant la proposition d’entrer dans le capital de l’Eepad.

 

A. F.

 

 

Source Le Jour d'Algérie

 

@+ tout le monde !!

Modifié par alboy
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