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bonsoir

j'ai un ami qui avais easy un le modem ZTE utilise Gbox, mais depuis qu'il a installer le modem wifi Dlink DK-710 le Gbox ne fonctionne plus et No-ip est devenue difficile a ce connecter

serait il un probléme de port fermé? si oui comment les ouvrir avec ce modem?

merci

Modifié par Arthur
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re

en cherchant mieux, le nom du medem c'est dsl-2640r et j'ai trouver un tuto pour ouvrir les ports

http://portforward.com/english/routers/port_forwarding/Dlink/DSL-2640R/BitTorrent.htm

 

mais le probléme, c'est qu'ils disent qu'il faut une ip statique, alors que easy a des ip dynamiques

 

To setup port forwarding on this router your computer needs to have a static ip address.

Try our free PF Setup Static IP Address Program which will setup a static ip address for your computer.

 

Or you can take a look at our Static IP Address guide to setup a static ip address. When you are finished setting up a static ip address, please come back to this page and enter the ip address you setup in the Static IP Address box below.

 

et aussi ,dans les paramètres du modem il faut entré l'ip privée, alors que je ne sais pas ce que c'est

 

DSL-2640R3.jpg

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Salut,

Dommage je n'arrive pas à cliquer sur les images pour les agrandir ça me renvoit vers un site ou l'image n'apparait pas

sinon si tu as suivi les tutos ça devrait aller et pour l'IP je vois que tu l'as eu à partir de l'ipconfig c'est bon alors

parcontre là ou je creins que ça coince c'est quand tu as fixé l'IP sur la connexion reseau, il se peut que par exemple tu choisis 192.168.1.2 l'ordinateur etant eteint la place est libre un autre ordinateur se connecte en wifi, le routeur lui attribu forcement la premiere ip libre ce sera peut être la ...1.2, à ce moment là si tu allumes le pc et qu'il essaye de prendre cette IP il risque dy avoir confusion

il se peut que jme trompe aussi

en attendant que RacNet affirme ou infirme ce que j'ai dit

@+

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  • Messages

    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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