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et ils parlent de voyou , désolé mais je ne sais qui est le voyou ici.

 

Si tu te prends une lacrymogène en pleine tète, c'est que t'avait rien à foutre la bas à ce moment là, donc oui ils ont raison de balancer des lacrymogène périmés, pourvu que sa leur donne à ces petits voyous une diarrhée chronique.

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Algérie : Les émeutes ont déjà fait 3 morts à Msila et à Bou Smaïl

 

Trois morts. Les émeutes qui secouent l’Algérie depuis quatre jours ont fait déjà trois victimes Un manifestant de 32 ans est mort vendredi lors d'une manifestation à Bou Smaïl, petite ville située à 50 km à l'ouest d'Alger, dans des affrontements avec la police, selon l'AFP qui cite samedi une source médicale. Un deuxième manifestant blessé par balle vendredi à Ain El Hedjal, M’sila, a succombé à ses blessures samedi 8 janvier. La veille un garçon de 18 ans a été tué par balles à Msila.

Un manifestant de 32 ans est mort vendredi 7 janvier lors d'une manifestation à Bou Smaïl, dans la wilaya de Tipaza, selon l’agence AFP qui cite des sources médicales. Akriche Abdelfattah serait décédé après avoir reçu une grenade lacrymogène en pleine figure, selon cette source médicale. Son corps a été transporté à la morgue de la petite ville de Qolea, à un vingtaine de kilomètres d'Alger, selon cette même source.

A M'sila un deuxième manifestant a succombé à ses blessures samedi 8 janvier, i a été blessé la veille lors ‘affrontements avec la police dans la commune d’Ain El Hadjel, dans la wilaya de Msila, à 300 kms au sud d’Alger. Vendredi, Azzedine Labza, 18 ans, est décédé sur le coup, touché par une balle suite à l'intervention des forces de l'ordre qui tentaient d’empêcher des manifestants de mettre à sac la poste et la daïra dans la commune d’Ain El Hadjel.

Les affrontements entre manifestants et forces de l'ordre ont repris vendredi à Alger, Annaba,, à Oran, à Msila, Laghouat, Mostaganem, Setif ainsi qu’en Kabylie où des manifestants ont affronté la police.

La journée du vendredi 7 janvier a enregistré divers émeutes dans au moins une vingtaine de wilayas (départements ) mais aussi des actes de destruction et de vandalisme. De nombreux édifices publics ont été détruits, mis à sac, brûlés ou pillés.

Ces émeutes son les plus graves et les plus importantes en Algérie depuis la révolte d'octobre 1988 et les événements de Kabylie en 2001.

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Cherté de la vie, embouteillages, corruption, bureaucratie, insécurité…

 

Les Algériens vivent sous pression depuis des années

 

 

Les dernières hausses des produits alimentaires n’expliquent pas à elles seules les émeutes qui secouent le pays depuis mercredi. Depuis quelques années, les Algériens sont en effet habitués à ces hausses des prix, notamment durant le ramadhan. Le malaise est beaucoup plus profond. Le gouvernement, qui se réunit aujourd’hui, doit apporter des réponses qui iront au-delà d’une simple annonce de gel des prix du sucre et de l’huile.

 

En fait, les Algériens vivent sous pression depuis plusieurs années. Après une décennie de terrorisme qui a fait plus de 200.000 morts durant les années 1990, les Algériens sont confrontés ces dernières années à de nouveaux problèmes, conséquence d’une gestion désastreuse du pays par le pouvoir en place. Les riches comme les pauvres vivent dans l’insécurité totale. Il faut une journée entière pour établir un extrait de naissance dans la majorité des mairies du pays. Les automobilistes passent quotidiennement des heures dans les embouteillages provoqués par les barrages fixes de gendarmerie et de la police.

 

Les Algériens sont obligés de se réveiller très tôt acheter du lait en sachet, courir pour trouver des médicaments qui se raréfient ou encore user du piston et de pots de vin pour se soigner dans les hôpitaux publics, trouver un emploi stable, obtenir un logement social. La garantie de trouver du pain et du lait en sachet chaque matin dans le commerce est sérieusement menacée par la mauvaise distribution, la spéculation et la hausse des prix. Après avoir échappé au terrorisme, de nombreux Algériens sont confrontés à un autre type d’insécurité : celle de trouver à manger.

 

Les cités croulent sous les déchets ménagers même dans la capitale, le transport public est anarchique. L’insécurité règne, malgré l’augmentation des effectifs de la police et de la gendarmerie. Les Algérois par exemple sont obligés de se barricader, pour éviter le vol de leurs appartements et maisons. Les routes sont mauvaises et les salaires dérisoires. Les loisirs sont inexistants. Les visas pour l’étranger de plus en plus difficiles à obtenir pour la majorité de la population. Les possibilités d’immigrer légalement ou illégalement pour améliorer ses revenus sont extrêmement réduites.

 

Dans un pays qui dort sur plus de 220 milliards de dollars d’économies (155 milliards de dollars de réserves de change et 65 milliards de dollars dans le fonds de régulation des recettes), la population n’arrive pas à trouver des explications à la cherté de la vie. Dépassé, le gouvernement n’arrive même pas à produire un discours pour donner de l’espoir aux jeunes qui vivent dans la précarité totale.

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Si tu te prends une lacrymogène en pleine tète, c'est que t'avait rien à foutre la bas à ce moment là, donc oui ils ont raison de balancer des lacrymogène périmés, pourvu que sa leur donne à ces petits voyous une diarrhée chronique.

 

Klaw Zbal Hachak ou ma sralhom walou Donc une bombe lacrymogène périmé ma Dir walou :D

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Emeutes en Algérie

 

Reprise des émeutes samedi à Béjaïa et Tizi Ouzou

 

 

Les affrontements ont repris, samedi 8 janvier dans la matinée, dans plusieurs localités de l’est de Béjaïa. En effet, Kherrata, Derguina et Taskriout, situées sur la route nationale RN9, connaissent des manifestations. A Kherrata, plusieurs édifices publics ont été incendiés ou saccagés par les manifestants. Vers 11 heures, une épaisse fumée a été aperçue au-dessus du siège de la daïra. La veille, le tribunal a été incendié par les manifestants. La poste, la Sonelgaz, l’administration des forêts et la daïra sont les sièges incendiés par les manifestants de Derguina. A Taskriout, les manifestants ont coupé la route nationale RN9 à l’aide de pneus brûlés.

 

A l’ouest de la wilaya, le climat est relativement calme mais la situation demeure toujours, dans la matinée d’aujourd’hui, très tendue à travers toutes les localités après les émeutes de la veille qui ont ébranlé plusieurs grands centres urbains. Les axes routiers sont toujours coupés à la circulation. C’est le cas de la RN N°12 à Oued Ghir où la route est fermée à la circulation par des barricades. Des attroupements de citoyens aussi sont signalés dans plusieurs localités. Du moins jusqu’à midi.

 

La veille, dans la soirée, c’est dans la ville de Bejaia qu’on a enregistré un pic de violence. Les sièges des banques CNEP, BNP, Société générale, Mobilis et le bloc administratif ont été carbonisés très tard dans la soirée. Les affrontements entre CNS et émeutiers se sont poursuivis jusqu’à une heure tardive de la nuit. Amizour est la dernière localité à être contaminée, hier soir, par les émeutes qui ont embrasée la wilaya de Bejaia. Le tribunal, la daira, la Sonelgaz, et la CASOREC été incendiés.

 

A Tizi Ouzou, les affrontements ont repris vers 13 heures en centre ville. Plusieurs centaines de manifestants ont coupé les rues. Ils se sont attaqués à des édifices publics, notamment la CNEP. Les policiers ont riposté à coups de gaz lacrymogène.

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Quels sont les nouvelles sur Alger ?

Y'a t'il eu reprises des émeutes, on parle de Ain Taya, est-ce vrai ?

 

Moi j'ai une séance de Kung-fu, ce soir, je sais pas si je dois y aller ou pas, car au retour (21h), il serait très probable que la route soit fermé comme hier et avant hier.

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Quels sont les nouvelles sur Alger ?

Y'a t'il eu reprises des émeutes, on parle de Ain Taya, est-ce vrai ?

 

Moi j'ai une séance de Kung-fu, ce soir, je sais pas si je dois y aller ou pas, car au retour (21h), il serait très probable que la route soit fermé comme hier et avant hier.

 

restes a la maison; c'est mieux . on sait jamais kache balle perdue b3id char wella le ramassage aléatoire de la police .

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