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Face book censuré en ALGERIE


mohzvinga

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Corrigez moi si je me trompe, mais si notre FAI avait bien censuré facebook, ce dernier ne serait pas accessible via un simple serveur proxy HTTP, or ce n'est pas le cas.

Pour moi ca ressemble plus a un bannissement de plages d'IP qu'a autre chose, etant donné que les IP étrangères offertes par les proxy sont autorisées, sauf que cette dernière supposition est bien plus improbable que la première.

... et dites! vous faites confiance aux proxy?? (qui peuvent éventuellement ne pas crypter vos identifiants et... pire les stoquer?) pour ma part je ne les utilise jamais pour aller sur un site requérant une identification

 

PS: je suis chez Fawri et pas d'acces a facebook depuis hier soir sauf par Proxy (page d'accuil) et VPN

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selon le site ts-algerie face book enquete sur ce probleme voici l article complet

 

Facebook, le réseau social mondial, est-il victime de censure en Algérie ? Depuis quelques jours, des internautes algériens rencontreraient des difficultés pour accéder au site. Difficiles à quantifier, les cas de personnes résidant en Algérie et ayant rencontré ces derniers jours des difficultés seraient to^^^^ois nombreux si on se fie à des témoignages publiés sur Facebook ou internet. Ces blocages pourraient être liés aux dernières émeutes.

 

Interrogé lundi 10 janvier par TSA, un porte-parole de Facebook a indiqué que le site mène actuellement une enquête pour connaître la réalité de ces blocages signalés en Algérie. « Nous avons eu connaissance de ces affirmations (de censure) et nous enquêtons », a indiqué Stefano Hesse, directeur de la communication EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) de Facebook.

 

En Algérie, Facebook compte actuellement 1,2 million d’utilisateurs, selon une enqu^te publiée en octobre dernier par deux entreprises algériennes spécialisées dans le conseil en webmarketing (Med&Com) et les solutions logicielles (Ideatic).

 

En Tunisie, le réseau Facebook a été victime de blocages après le déclenchement des émeutes contre le régime. La semaine dernière, l'ambassadeur tunisien aux Etats-Unis s'est vu convoqué au département d'Etat. Washington exige de son pays le respect des libertés individuelles, notamment en matière d'accès à internet. Washington a aussi répercuté une plainte du réseau social Facebook qui s'inquiète d'un piratage venu de Tunisie contre certains comptes d'internautes.

 

voici le lien

 

http://www.tsa-algerie.com/divers/facebook-enquete_13707.html

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Élément de réponse pour le mystère facebook en Algérie

 

Les casseurs de moral

 

le 12.01.11 | 03h00

 

 

Première blague post-émeute : «Gallek ouahed tlaâlou essokker, agressaweh.» Traduction : quelqu’un a fait un pic d’hyperglycémie (taux de sucre en hausse) et s’est fait agresser. Cette dérision alimentaire prouverait que tout commence à rentrer dans l’ordre. Si les émeutes se sont calmées, il y a pourtant quelque chose de désespérant : depuis quelques jours, les réseaux sociaux, facebook et twitter, subissent un gros ralentissement de trafic et les internautes peinent à naviguer, s’informer et échanger idées, humeurs ou avis sur la situation. La raison est simple : l’année dernière, les services de sécurité ont installé un nouveau système d’écoute des communications internet. Cet appareillage (un Gix), placé à grand renfort de finances publiques et de spécialistes étrangers, permet de pomper directement d’Internet tout ce qui y entre et en sort.

Le fait «d’écouter» Internet en permanence, comme en ce moment où le million et demi de facebookeurs algériens sont actifs, réduit considérablement le trafic et cause des lenteurs désagréables, voire l’impossibilité à certaines heures de se connecter. Que cherchent les services ? Comme d’habitude, les appels aux grèves, aux rassemblements et aux marches, fichant les activistes les plus radicaux et prenant la température de la révolte. On l’aura noté, cette opération contredit le discours officiel, qui explique que ce sont les casseurs qui ont fomenté les émeutes. Même Ould Kablia le sait, les casseurs ne sont pas sur facebook et si l’on épie ainsi les réseaux Internet, c’est pour prévenir toute protestation pacifique. Les casseurs de moral viennent de montrer qu’ils n’ont aucune intention de changer ou d’ouvrir le débat, avec ou sans casseurs, et avouent leur intention de laisser l’Algérie sans oxygène, quitte à leur donner un petit sucre, comme

à un caniche. L’émeute actuelle va se calmer. Il y en aura d’autres demain.

 

Chawki Amari

 

source

Annexe :

 

 

Internet Exchange Point (GIX)

 

 

Un Internet Exchange Point (ou IX ou IXP ou point d’échange Internet), également appelé Global Internet eXchange (ou GIX), est une infrastructure physique permettant aux différents fournisseurs d’accès Internet (ou FAI ou ISP) d'échanger du trafic Internet entre leurs réseaux de systèmes autonomes grâce à des accords mutuels dits de «peering». Ces échanges de trafic se font ainsi sans coût supplémentaire. Les IXP réduisent la part du trafic des FAI devant être délivrés par l’intermédiaire de leurs fournisseurs de trafic montant, réduisant de ce fait le coût moyen par bit transmis de leur service. De plus, un nombre important de chemins appris par l’IXP améliore l’efficacité du routage et sa tolérance aux pannes.

Le but premier d’un IXP est de permettre l’interconnexion directe des réseaux, par l’intermédiaire des points d’échanges, plutôt qu’à travers un ou plusieurs réseaux tiers. Les avantages de l’interconnexion directe sont nombreux mais les premiers sont le coût, le temps de latence et la bande passante. Le trafic passant par un point d’échange n’est pas facturé alors que les flux vers le fournisseur de trafic montant du FAI le sont. L’interconnexion directe, souvent localisée dans la même ville que les deux réseaux, évite que les données n’aient à changer de ville, voire de continent, pour passer d’un réseau à un autre, ceci permet de réduire le temps de latence. Le troisième avantage, la vitesse, est le plus évident dans les régions qui ont des connexions longues distances peu développées. Les FAI de ces régions pourraient avoir à payer 10 à 100 fois plus pour le transport de données que les FAI en Amérique du Nord, Europe ou Japon. De ce fait, ces FAI ont généralement des connexions plus lentes et plus limitées au reste de l’Internet. Cependant, une connexion à un IXP local peut leur permettre de transférer des données de façon illimitée et gratuite, améliorant ainsi considérablement la bande passante entre clients de deux FAI voisins.

Un IXP classique est composé d’un ou plusieurs switches réseaux auquel chacun des FAI participants se connecte. Avant l’existence de ces switches, les IXP utilisaient généralement des hubs FOIRL ou des anneaux FDDI, ces équipements ont été remplacés par des switches Ethernet et FDDI lorsque ceux-ci sont sortis, en 1993 et 1994. À la fin des années 1990, quelques IXP ont utilisé des switches ATM totalisant environ 4% maximum du marché. Il y a également eu une tentative échouée d’utilisation de SRP/DPT (un regroupement malheureux de FDDI et SONET) par l’IXP de Stockholm NetNod. Finalement, Ethernet a emporté les suffrages avec plus de 95% des switches équipant les points d’échanges.

Toutes les vitesses possibles des ports Ethernet peuvent être rencontrées dans les IXP modernes, allant de 10 Mégabits/seconde dans les pays en cours de développement à des ports de 10 Gigabits/seconde agrégés dans les endroits à forte concentration de population tels que Séoul, Londres, Amsterdam et Palo Alto.

Lorsqu’un IXP encourt des coûts d’opération, ces coûts sont partagés entre tous les participants. Pour les points d’échange les plus chers, les participants payent une taxe mensuelle ou annuelle déterminée par la vitesse du (ou des) port(s) qu’ils utilisent ou, moins souvent, par le volume des données traversant le point d’échange. Les taxes basées sur le volume de données sont impopulaires car elles fournissent une contre-incitation à la croissance du point d’échange. D’autres points d’échange ont également des honoraires d’installation permettant de répercuter les coûts des ports du switch, des adaptateurs média (GBICs, SFPs, XFPs, XENPAKs…) et le temps de travail pour les configurer aux participants en ayant besoin.

 

 

source

 

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