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Bernard Henri Lévy ... pour la disparition de la nation algérienne


Invité salimdz

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Bernard Henri Lévy et des djihadistes «œuvrent» pour la disparition de la nation algérienne

 

Samedi 10 septembre à 21:41

 

henri.jpg

 

Le scénario concocté pour la Libye est-il lancé pour l’Algérie ? C’est la question qui se pose au regard d’un certain nombre de faits et de déclarations dangereuses jamais démenties. Il y a d’abord la confidence faite à Abdeldjelil par Sarkozy (dans un an l’Algérie, dans trois l’Iran), et les frémissements dans la blogosphère dont on sait qu’elle a joué un rôle stratégique dans la déstabilisation de la Tunisie, de l’Egypte, et actuellement de la Syrie. La date est choisie, celle du 17 septembre en cours, sous l’appellation de la «journée de la colère».

 

Un choix applaudi par ce sombre et trouble personnage qu’est Bernard-Henri Lévy, qui, dans un entretien, publié sur un site internet, se félicite qu’elle coïncide avec l’entrée, en Algérie, de Napoléon III. L’intention est claire, avec des relents colonisateurs, quand on sait que Napoléon n’était pas venu, en Algérie, pour une visite de courtoisie.

 

Le journaliste Daniel R. relate, dans un article publié dans le magasine Histoire en 1991, que Napoléon III est entré en Algérie le 17 septembre 1760, et qu’il rêvait de créer un Etat j.u.i.f s’étalant d’Alger à Bagdad, sous un protectorat français. Ce qui implique la disparition de la nation algérienne. Bernard-Henri Lévy avait, rappelle-t-on, fait le déplacement, il y a quelques mois, à Benghazi, pour soutenir les «insurgés» libyens contre Mouammar El Kadhafi.

 

Il avait, sans titre officiel ni mandat, apparu comme le conducteur de la campagne de déstabilisation qui a entraîné la chute de Kadhafi et le basculement de la Libye dans l’inconnu. On se rappelle que même le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, n’était pas briéfé. Dépassé par les événements, il avait appris par des journalistes, à Bruxelles, le degré de l’implication de son pays sur le terrain.

 

Il était patent alors qu’une diplomatie parallèle était en pleine manoeuvre. Les partisans libyens d’El Kadhafi avaient tenté d’utiliser le fait que Bernard-Henri Lévy soit de confession juive pour tenter de discréditer les «insurgés» libyens.

 

La communication de Kadhafi ne pouvait rien contre la formidable guerre médiatique lancée contre lui, par les grands médias internationaux et par les chaînes satellitaires. Bernard-Henri Levy, qui a été le porte-parole et l’ambassadeur des «insurgés», a parfaitement rempli sa mission. Et la tentative de metttre en avant sa judéité était maladroite, qaund lui-même revendique par ailleurs son statut d’agent spécial au service d’Israël.

 

Le philosophe Bernard-Henri Lévy souhaiterait, peut-être, venir en Algérie dans les mêmes conditions que son déplacement à Benghazi, à savoir sur un fond de conflit qui menacerait la stabilité du pays.

 

En tout cas, ses déclarations et son intérêt malsain pour notre pays, cette ingérence inacceptable même de la part d’un personnage qui a une sorte d’immunité induite par son statut de chargé de mission, sont préoccupants.

 

Pour Bernard-Henri Lévy, ^^^^ né en Algérie, à Beni Saf, le 5 novembre 1948, Ahmed El Bani, porte-parole du «ministère» de la Défense du CNT libyen, a apporté implicitement son soutien à la «journée de colère» du 17 septembre, dans une déclaration faite sur une chaîne de télévision satellitaire. Le scénario sentant clairement la manipulation est reconnu par d’autres détails, ajoutés à ce qui a précédé. En effet, des appels de «djihadistes» ont été diffusés dans des sites comme «shamikh» et «tahadi» pour le ralliement à cette journée qui se veut une «révolution» en Algérie.

 

Les deux sites “djihadistes» cités ont un point commun, celui d’avoir publié des messages électroniques de «djihadistes», se félicitant du double attentat suicide ayant ciblé l’académie interarmes de Cherchell et les passants, au cours du mois sacré de Ramadhan dernier. Les internautes «djihadistes»,

 

auteurs de cet appel sur les deux sites électroniques, sont égyptiens, tunisiens, marocains et libyens, est-il relevé. Une certaine coordination semble avoir lieu entre Bernard-Henri Lévy, qui tente de se rapprocher des auteurs de l’appel, et les «djihadistes» qui veulent que le même sort réservé à la Libye soit imposé à l’Algérie.

 

Par Mounir Abi

 

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Napoléon III est venu visiter l'algerie en 1865 et non pas 1760 il etait même pas de ce monde en 1760, et l'algerie etait un puissant pays qui dominait la mer méditerranéenne, c'etais dans leur reves de mettre les pays à Alger

 

Napoléon III voulait crée une empire arabe en Algérie, et il a ordonné l'arrêt totale de la destruction des médina et patrimoine arabo-mauresque d'Algérie,

on lui doit la préservation de ce qui reste de la casbah et les autres médina classé patrimoine mondiale de l'humanité

on lui doit aussi les premiers fondements de l'art neo-mauresque

 

un peu de sérieux Mr Mounir Abi

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Napoléon III est venu visiter l'algerie en 1865 et non pas 1760 il etait même pas de ce monde en 1760, et l'algerie etait un puissant pays qui dominait la mer méditerranéenne, c'etais dans leur reves de mettre les pays à Alger

 

Napoléon III voulait crée une empire arabe en Algérie, et il a ordonné l'arrêt totale de la destruction des médina et patrimoine arabo-mauresque d'Algérie,

on lui doit la préservation de ce qui reste de la casbah et les autres médina classé patrimoine mondiale de l'humanité

on lui doit aussi les premiers fondements de l'art neo-mauresque

 

un peu de sérieux Mr Mounir Abi

la reponse a Mr Mounir Abi est celle Kamel Daoud

 

Kamel Daoud

 

Le Quotidien d’Oran 10 septembre 2011

 

« Tous derrière le peuple puisque le peuple n’est pas derrière nous». C’est le slogan du régime et de ses petits-fils en ces jours de doute et de peur pour la peau et pas pour le drapeau. Le programme «tous unis, même si tous on n’est pas tous riches» vient d’être lancé pour éviter l’effet contagion du cas libyen. La recette ? Ancienne comme les fossiles : expliquer que l’Algérie est visée par un complot. Deux, appeler à la mobilisation contre un ennemie moyen, et crier au terrorisme dans le Sahel ; et trois, expliquer que le pétrole va être volé par des étrangers. Avec quel haut-parleur ? L’habituel Sidi Saïd qui vient de lancer l’idée d’un remake du CNSA (Comité national de sauvegarde de l’Algérie). Le CNSA avait servi à stopper la montée programmée du FIS durant les années 90 et peut servir aujourd’hui à rappeler ce souvenir. La ruse est habile : il s’agit de réactiver le traumatisme des années 90 en parlant du cas libyen et de présenter le régime comme seule barrage possible, comme à cette époque. Pour le sous-titrage, Sidi Saïd ne va pas chercher loin, là aussi, en terme de créativité : la métaphore est celle déjà usée par Boumediene, avocat de la souveraineté nationale par les hydrocarbures.

 

Que dit Sidi ? «Le pétrole qui est imbibé du sang des martyrs de la guerre de libération nationale et du sang de ceux qui ont défendu l’Algérie contre le terrorisme et que personne ni aucune génération ne peut trahir». Le paradoxe est le même depuis Boumediene : si le pétrole est le sang du martyrs, comment peut-on le vendre dans des barils ? Le Régime n’est-il pas coupable de la plus haute trahison, vendre le sang des martyrs, et nous de la plus haute infamie, en manger chaque jour ? Bien sûr, on n’a pas été consultés quand il s’agissait des grands contrats pétroliers et des grandes concessions, on n’est pas autorisés à se promener près des puits ni dans les comptes de Sonatrach, on ne nous dit rien de ce qu’a fait Chakib Khellil ou pas, mais quand il s’agit de défendre le pétrole, on nous rameute comme un bouclier humain.

 

Ensuite ? Ensuite Sidi Saïd si peu élu, depuis si longtemps subi, qui n’a rien dit sur rien depuis des mois, ose des définitions de la politique, appelant les Algériens à «se dresser contre toutes velléités d’exportation vers notre pays d’une démocratie définie dans des laboratoires étrangers». La raison ? «On n’en veut pas ! L’Algérie a des traditions ancestrales dans ce domaine, elle les défendra jusqu’au bout !» Quelles traditions ? La fraude, le bourrage d’urnes, l’usage du syndicat comme caisse noire et comme berger électoral, le filtrage des candidatures à la source, le verrouillage de l’ENTV et la matraque et le téléphone en guise de Justice. Faisant dans la poésie, Sidi expliquera à la fin, sans pensée pour les milliers de travailleurs algériens du textile réduit à coudre des souvenirs, que «c’est déjà beaucoup qu’ils nous exportent leur friperie, nous ne voulons pas de leur démocratie !» Que faut-il penser de cette préhistoire qui veut faire l’histoire ? Ce que vous pensez déjà : on nous prend encore pour des moutons. Il y a, comme dit plus haut, un usage ridicule du bouclier humain pour éviter les bombardements ciblés. Le régime essaye de nous rassembler autour de lui pour se faire passer pour nous. La seule différence est donc dans les habits. Vue du ciel, on peut reconnaître le peuple habillé de friperie et le régime habillé d’une fausse démocratie. Facile à cibler donc. Pour le reste, il ne faut même s’étonner de voir Sidi Saïd ne rien dire sur souveraineté habillée de friperie, 50 ans après l’indépendance et beaucoup dire sur la démocratie qu’il veut combattre.

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