Aller au contenu
Règlement du forum ×
IPTV et arnaques ×

Ben Ali sort de son silence :«Je suis victime d’un coup d’Etat»


Invité salimdz

Messages recommandés

Ben Ali sort de son silence :«Je suis victime d’un coup d’Etat»

 

Lundi 12 décembre à 20:30

 

x610-2.jpg

 

Zine El Abidine Ben Ali nie avoir fui la Tunisie le 14 janvier 2011 et persiste dans la version d’un coup d’Etat monté par ses proches collaborateurs, dont le général Ali Seriati qui était le directeur de la garde présidentielle, et le chef d’état-major, le général Rachid Amar. A la suite de nouvelles révélations sur le récit de la chute de l’ancien président tunisien, Zine El Abidine Ben Ali, rapportées par le journal électronique français Média Part, l’ex-président tunisien a fait parvenir, par l’intermédiaire de son avocat, un droit de réponse dans lequel il a relaté les circonstances de son départ vers l’Arabie saoudite, niant catégoriquement une fuite. Il a maintenu sa version d’un coup d’Etat monté de toutes pièces et les preuves sont disponibles, selon les dernières conversations téléphoniques effectuées le jour de son départ avec des hauts responsables tunisiens, dont le chef de la garde présidentielle et le chef d’état-major.

 

Ali Seriati aurait informé le président tunisien d’une situation catastrophique dans le pays qui échappe à tout contrôle, où des dissidents militaires ont pris les armes pour le renverser, l’informant que le palais présidentiel de Carthage était encerclé par des militaires dissidents mobilisés pour le renverser. Le chef de la garde présidentielle aurait également informé Ben Ali qu’il est visé par un complot d’assassinat qui sera exécuté par des gardes rapprochées. Devant cette situation, Ali Seriati a «supplié» l’ex-président de laisser sa famille quitter Tunis vers Tripoli avant de rejoindre Djeddah.

 

Un avion était déjà prêt pour décoller à 17h00 et toutes les dispositions étaient prises pour assurer la sécurité de la famille. Selon l’avocat, Ben Ali n’allait pas quitter Tunis, mais l’ex-directeur de la garde présidentielle aurait proposé à l’ex-chef d’Etat de quitter son palais présidentiel pour quelques heures. «Mais, le 15 janvier, l’avion n’est pas rentré et la suite des évènements est connue. Il y a eu un coup d’Etat et le recours à l’article 57 de la Constitution», a souligné l’ex-président tunisien.

 

source

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai eu beaucoup de mal à ne comprendre que la moitié de ce que tu as écris.

 

wouDjou emkassdeR (emSSadeD :D), oscout matehchemch ew etfek fi fomek, alli foulcan vato digoulass :D

 

en arabe

وجهوا مقصدر مصدد اسكت متحشمش و اتفك في فمك الي فولكون ديقولاس
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

  • Messages

    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
×
×
  • Créer...