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La bataille de Damas a commencé


Arthur

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Les puissances occidentales et du Golfe ont lancé la plus importante opération de guerre secrète depuis celle des Contras au Nicaragua. La bataille de Damas ne vise pas à renverser le président Bachar el-Assad, mais à fracturer l’Armée syrienne pour mieux assurer la domination d’Israël et des États-Unis au Proche-Orient. Alors que la ville s’apprête à un nouvel assaut des mercenaires étrangers, Thierry Meyssan dresse le point de la situation.

 

 

 

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Venant de l’étranger, les "Contras" ont débuté leur invasion de la Syrie en prenant des postes frontière.

 

 

 

Voici cinq jours que Washington et Paris ont lancé l’opération « Volcan de Damas et séisme de la Syrie ». Il ne s’agit pas d’une nouvelle campagne de bombardements aériens, mais d’une opération de guerre secrète, comparable à celle conduite à l’époque Reagan en Amérique centrale.

 

 

 

40 à 60 000 Contras, principalement libyens, sont entrés en quelques jours dans le pays, le plus souvent par la frontière jordanienne. La majorité d’entre eux sont rattachés à l’Armée « syrienne » libre, structure paravent des opérations secrète de l’OTAN, placée sous commandement turc. Certains sont affiliés à des groupes de fanatiques, dont Al-^^^^^, placés sous commandement du Qatar ou d’une faction de la famille royale saoudienne, les Sudeiris. Au passage, ils ont pris quelques postes frontières, puis ont rejoint la capitale où ils ont semé la confusion en attaquant au hasard les cibles qu’ils trouvaient : groupes de policiers ou de militaires isolés.

 

 

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Les généraux Hassan Turkmani, Daud Rajha et Assef Chawkat, tombés au champ d’honneur, le 18 juillet 2012.

 

 

 

Mercredi matin, une explosion a détruit le siège de la Sécurité nationale où se réunissaient quelques membres du Conseil de sécurité nationale. Elle aurait coûté la vie au général Daoud Rajha (ministre de la Défense), au général Assef Chawkat (ministre adjoint) et au général Hassan Turkmani (adjoint du vice-président de la République). Les modalités de l’opération restent incertaines : il pourrait s’agir aussi bien d’un attentat suicide que d’un tir de drone furtif.

 

 

 

Washington espérait que la décapitation partielle de l’appareil militaire conduirait quelques officiers supérieurs à faire défection avec leurs unités, voire à se retourner contre le gouvernement civil. Il n’en a rien été. Le président Bachar el-Assad a immédiatement signé les décrets nommant leurs successeurs et la continuité de l’État a été assurée sans faille.

 

 

 

À Paris, Berlin et Washington, les commanditaires de l’opération se sont livrés au jeu indigne consistant à condamner l’action terroriste tout en réaffirmant leur soutien politique et logistique militaire aux terroristes. Sans honte, ils ont conclu que la responsabilité de ces assassinats ne revenait pas aux coupables, mais aux victimes en ce qu’elles avaient refusé de démissionner sous leur pression et de livrer leur patrie aux appétits occidentaux.

 

 

 

Caracas et Téhéran ont adressé leur condoléances à la Syrie, soulignant que l’attaque a été commanditée et financée et par les puissances occidentales et du Golfe. Moscou a également adressé ses condoléances et affirmé que les sanctions requises au Conseil de sécurité contre la Syrie équivalaient à un soutien politique aux terroristes qui l’attaquent.

 

 

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Le ministre de l’Information, Omran al-Zou’bi, s’exprime à la télévision nationale après l’attentat qui a partiellement décapité l’Armée syrienne

 

 

 

Les chaînes de télévision nationales se sont mises à diffuser des clips militaires et des chants patriotiques. Interrompant les programmes, le ministre de l’Information Omran al-Zou’bi a appelé à la mobilisation de tous : le moment n’est plus aux querelles politiques entre gouvernement et opposition, c’est la Nation qui est attaquée. Rappelant l’article de Komsomolskaïa Pravdadans lequel je décrivais l’opération médiatique de démoralisation préparée par les chaînes occidentales et du Golfe [1], il a alerté ses concitoyens sur son déclenchement imminent. Puis, il a démenti l’intox des chaînes du Golfe selon lesquelles une mutinerie aurait éclaté au sein de la 4ème division et des explosions auraient dévasté sa principale caserne.

 

 

 

Les chaînes nationales ont diffusé plusieurs fois par heure des bandes-annonces indiquant comment capter leurs programmes sur Atlantic Bird en cas d’interruption des satellites ArabSat et NileSat.

 

 

 

Au Liban, sayyed Hassan Nasrallah a rappelé la fraternité d’armes qui unit le Hezbollah à la Syrie face à l’expansionnisme ^^^^^^^^, et a assuré l’Armée syrienne de son soutien.

 

 

 

L’attentat a été le signal de la seconde partie de l’opération. Les commandos infiltrés dans la capitale ont alors attaqué diverses cibles, plus ou moins choisies. Ainsi, un groupe d’une centaine de Contras a attaqué la maison qui jouxte mon appartement au cri d’Allah Akbar !. Un haut responsable militaire y réside. Dix heures de combat ininterrompu ont suivies.

 

 

 

Alors qu’au début de la nuit, l’Armée ripostait avec mesure, l’ordre parvenait un peu plus tard de faire usage de la force sans retenue. Il ne s’agissait plus de lutter contre des terroristes venus déstabiliser la Syrie, mais de faire face à une invasion étrangère qui ne dit pas son nom et de sauver la patrie en danger.

 

 

 

L’aviation est entrée en action pour anéantir les colonnes de mercenaires se dirigeant vers la capitale.

 

 

 

En fin de matinée, le calme revenait progressivement dans l’agglomération. Les Contras et leurs collaborateurs étaient partout obligés de se retirer. La circulation était rétablie sur les grands axes routiers, et des barrages filtrants étaient installés dans le centre ville. La vie reprenait. Cependant, on entend encore des tirs épars ici ou là. La plupart des commerces sont fermés, et il y a de longues files d’attente devant les boulangeries.

 

 

 

Chacun s’attend à ce que l’assaut final soit lancé dans la nuit de jeudi à vendredi et la journée de vendredi. Il ne fait guère de doute que l’Armée syrienne en sortira à nouveau victorieuse car le rapport de force est tout à son avantage, et que cette armée de conscription est soutenue par la population, y compris par l’opposition politique intérieure.

 

 

 

Comme prévu, ArabSat et NileSat ont déconnecté le signal de la télévision Ad-Dounia en milieu d’après-midi. Le compte Twitter d’Ad-Dounia a été piraté par la CIA pour diffuser de faux messages annonçant une retraite de l’Armée syrienne.

 

 

 

Les chaînes du Golfe ont annoncé un effondrement de la monnaie préludant la chute de l’État. Le gouverneur de la Banque centrale, Adib Mayaleh, est intervenu sur la télévision nationale pour démentir cette nouvelle intox et confirmer le taux de change de 68,30 livres syriennes pour un dollar US.

 

 

 

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Conférence de presse du général Robert Mood sur la bataille de Damas qu’il observe depuis sa chambre d’hôtel.

 

 

 

Des renforts ont été déployés aux alentours de la place des Omeyyades pour protéger les studios de la télévision publique qui sont considérés comme une cible prioritaire par tous les ennemis de la liberté. Des studios de remplacement ont été installés dans l’hôtel Rose de Damas où se prélassent les observateurs des Nations Unies. La présence de ceux-ci, qui ont laissé perpétrer l’attaque de la capitale sans interrompre leur farniente, sert de facto de protection pour les journalistes syriens qui tentent d’informer leurs concitoyens au péril de leur vie.

 

 

 

Au Conseil de sécurité, la Fédération de Russie et la Chine ont opposé pour la troisième fois leur veto à une proposition de résolution occidentale et du Golfe visant à rendre possible une intervention militaire internationale. Leurs représentants ont inlassablement dénoncé la propagande visant à faire passer l’attaque extérieure contre la Syrie comme une révolte réprimée dans le sang.

 

 

http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=31989

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non, c'est toi qui a tort à cause de la guerre médiatique, tu crois que les occidentaux ont quelque chose a foutre de la syrie et de sa démocratie pour cherche une intervention militaire qui leur coute des milliards, tu trouve ça logique?

 

Te fatigues po Arthur , Big brother a déjà gagné , la majorité a failli , elle croit en son fort intérieure que 2+2=5

La fabrique du consentement fonctionne à plein régime

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Alep : le dernier espoir, bientôt déçu, de l’ASL et de ses supporteurs étrangers

 

Dans Le Parisien du 23 juillet, un certain Bruno Fanucci signe un petit concentré de désinformation, passant sous silence l’échec total de l’offensive ASL sur Damas, mais reportant son intérêt – et ses espoirs ? – sur la bataille « décisive » d’Alep, relayant avec déférence les martiales déclarations du chef de secteur de l’ASL et posant non moins gravement la rituelle question sur les « derniers jours » du régime de Bachar.

 

De la gémellité sociologique et militaire des cas de Damas et d’Alep

 

Bien sûr, dans cet article, aucun élément pour accréditer la thèse de l’irrésistible progression de l’ASL à Alep. Où les combats se poursuivent dans le quartier central de Salaheddine, et dans quelques quartiers plus périphériques, ainsi que dans des villages des environs, combats qui ont déjà coûté des pertes sensibles aux insurgés, invités par un colonel ASL commandant ce secteur à converger de toute la région vers Alep.

 

À Salaheddine, les insurgés ne paraissent pas excéder quelques dizaines en nombre. Lundi matin, l’OSDH faisait état de « combats intenses » dans les quartiers de Sahour et de Hanano (dans l’est de la ville) mais ne parlait plus de Salaheddine.

 

Des informations contradictoires circulent aujourd’hui sur la prise par les rebelles de l’académie militaire de Moussalmiyeh. Mais, le 20 juillet, des images avaient circulé sur l’échec de cet assaut et sur les pertes qu’il avait entraîné chez les rebelles. De toute façon, l’ASL ne pourra pas résister longtemps, dans cette configuration de rase campagne, à la contre-attaque de l’armée.

 

Comme à Damas, ces desperados, souvent de par leur origine assez étrangers aux réalités locales, comptent évidemment sur une insurrection pour faire basculer la situation. Mais comme à Damas, la sociologie et l’identité politique de la capitale économique de la Syrie leur sont défavorables : la ville n’a pratiquement pas bougé depuis 17 mois, si l’on excepte voici deux mois de brefs troubles autour de la cité universitaire. et des manifestations réduites le vendredi. Pas de quoi embraser cette cité de deux millions d’habitants. Les mêmes causes qu’à Damas devraient assez vite entraîner les mêmes effets : la destruction des bandes.

 

L’ASL le dos au mur… israélien

 

A noter que des combats sont en cours à l’extrémité ouest de la Syrie, autour de la localité de Jabata al-Kachab : or ce village où se sont installés des membres de l’ASL se trouve sur une frontière particulièrement « sensible », encore que non reconnue : celle déparant le Golan occupé par Israël du reste du territoire syrien. Jabata se situe exactement dans la zone-tampon démilitarisé et surveillée par les casques bleus, entre les deux lignes de cessez-le-feu définies en 1974 après la guerre du Kippour de l’année précédente.

 

Si, comme c’est probable, les ASL sont contraints d’évacuer leur position, on ne leur voit d’autre retraite que ce territoire pris par l’État hébreu à la Syrie en 1967, et carrément annexé en 1981. Les soi disant patriotes syriens de l’ASL venant se réfugier dans ce territoire auprès de Tsahal, quel raccourci symbolique et signifiant !

 

Source : infosyrie.fr

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On sais plus ou est la réalité. Et pour cette "contre-attaque" ca me rappelle celle de Al-Khadafi, il l'avais promis mais on la jamais vue ^^'.

 

Alep : le dernier espoir, bientôt déçu, de l’ASL et de ses supporteurs étrangers

 

Dans Le Parisien du 23 juillet, un certain Bruno Fanucci signe un petit concentré de désinformation, passant sous silence l’échec total de l’offensive ASL sur Damas, mais reportant son intérêt – et ses espoirs ? – sur la bataille « décisive » d’Alep, relayant avec déférence les martiales déclarations du chef de secteur de l’ASL et posant non moins gravement la rituelle question sur les « derniers jours » du régime de Bachar.

 

De la gémellité sociologique et militaire des cas de Damas et d’Alep

 

Bien sûr, dans cet article, aucun élément pour accréditer la thèse de l’irrésistible progression de l’ASL à Alep. Où les combats se poursuivent dans le quartier central de Salaheddine, et dans quelques quartiers plus périphériques, ainsi que dans des villages des environs, combats qui ont déjà coûté des pertes sensibles aux insurgés, invités par un colonel ASL commandant ce secteur à converger de toute la région vers Alep.

 

À Salaheddine, les insurgés ne paraissent pas excéder quelques dizaines en nombre. Lundi matin, l’OSDH faisait état de « combats intenses » dans les quartiers de Sahour et de Hanano (dans l’est de la ville) mais ne parlait plus de Salaheddine.

 

Des informations contradictoires circulent aujourd’hui sur la prise par les rebelles de l’académie militaire de Moussalmiyeh. Mais, le 20 juillet, des images avaient circulé sur l’échec de cet assaut et sur les pertes qu’il avait entraîné chez les rebelles. De toute façon, l’ASL ne pourra pas résister longtemps, dans cette configuration de rase campagne, à la contre-attaque de l’armée.

 

Comme à Damas, ces desperados, souvent de par leur origine assez étrangers aux réalités locales, comptent évidemment sur une insurrection pour faire basculer la situation. Mais comme à Damas, la sociologie et l’identité politique de la capitale économique de la Syrie leur sont défavorables : la ville n’a pratiquement pas bougé depuis 17 mois, si l’on excepte voici deux mois de brefs troubles autour de la cité universitaire. et des manifestations réduites le vendredi. Pas de quoi embraser cette cité de deux millions d’habitants. Les mêmes causes qu’à Damas devraient assez vite entraîner les mêmes effets : la destruction des bandes.

 

L’ASL le dos au mur… israélien

 

A noter que des combats sont en cours à l’extrémité ouest de la Syrie, autour de la localité de Jabata al-Kachab : or ce village où se sont installés des membres de l’ASL se trouve sur une frontière particulièrement « sensible », encore que non reconnue : celle déparant le Golan occupé par Israël du reste du territoire syrien. Jabata se situe exactement dans la zone-tampon démilitarisé et surveillée par les casques bleus, entre les deux lignes de cessez-le-feu définies en 1974 après la guerre du Kippour de l’année précédente.

 

Si, comme c’est probable, les ASL sont contraints d’évacuer leur position, on ne leur voit d’autre retraite que ce territoire pris par l’État hébreu à la Syrie en 1967, et carrément annexé en 1981. Les soi disant patriotes syriens de l’ASL venant se réfugier dans ce territoire auprès de Tsahal, quel raccourci symbolique et signifiant !

 

Source : infosyrie.fr

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Invité ToumiAmine

il parrait meme que omar solaimane(chef service secret d'egypte)et celui de la turc et un autre d'^^^^^^ ont trouvé la mort le meme jour.....

trop bizzare sa!!

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Je ne vois vraiment pas comment beaucoup de gens sont arrivés a la conclusion que le peuple syrien ne veut plus de Bachar, de la on voit des pro Bachar de l'autre des anti Bachar, ce qui reste dérisoire par rapport au bras de fer qu'est entrain de jouer l'opposition, mais bon sang qui sont ses opposants si ce n'est des homme de main du régime soit disant repentis ou qui se sont découvert une conscience récemment, il ne faut pas se leurrer, le mal existe certe mais les symptomes trompent souvent quant a la nature de ce dernier, le sionnisme fait rage et cette région est tres stratégique, croyez vous que la Russie et la Chine qui s'opposent farouchement a toute intervention militaire a Damas le font par amour de Bachar ou du peulple syrien, détromper vous l'enjeu est plus grand que ca les etats unis veulent mettre main basse sur la région en défragumentant l'armée syrienne qui est la mieux organisée dans la région pour y incruster ses labradors, chiens de garde d'^^^^^^ ainsi qu'affaiblir la situation du Hisbullah. Tout est calculé par ces batards de sionnistes et illuminatis. Rabi jibha fa swab. Salutations.

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On assiste impuissants aux manigances de l'occident, et ce qui fait le plus mal c'est que nos frères arabes les aident en se rebellant contre leurs régime. Je n'ai jamais été d'accord avec cette vague de printemps arabe (Ou plutôt le printemps noir) dès le premier jour.

 

Si on se pose la question, quel le pays qui se porte mieux depuis le printemps arabe ? La Tunisie ? La Libye ? L'Egypte ? Oui la réponse est aucun !!! Il n'y qu'à voir le commencement avec l'Irak, et prochainement l’Afghanistan.

 

On a le pincement au coeur, mais on ne peu que constater et se lamenter. Que dieu fasse que ces foutus occidentaux nous lâche un peu.

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Quand je met une chaîne pro-IL* je suis toujours sur le c**, chaque jours il y a 10, 20 mort (il n'y plus de mort naturel en Syrie..) et c'est qui leurs source? des activistes !! source inconnu=info pas crédible. et accompagner avec une video ou des groupes de gens danser et chanter dans des petits cartier. Comment certain de nos compatriote peuvent crois ce que dis elle Al-Jazeera et France24 !

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Le problème c'est que le régime syrien ne fait pas confiance en son peuple et vis versa, voici ce qui arrive quand il y a des doutes. C'est au régime syrien d'assumer les conséquences et si un jour le peuple syrien décidera de mettre au placard bachar el assad il le fera même si d'autres partis crieront au scandale.

 

Qu'est-ce que le régime syrien a fait pour libérer le Golan?

A-t-il réposté le jour où des avions ^^^^^^^^s ont attaqué des "soit disant" réacteurs nucléaires au environs de Damas?

Pourquoi le régime syrien a-t-il massacré son peuple en 1982?

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Confiance en ce peuple ==' wtf .. est ce que toi tu fais confiance envers tout t'es amis ? ... parce que les autres pays du monde ne surveilles pas leurs peuples ? 2+2=5 .. c'est bon vous etes formater mon vieux, tu te fais trop influancer par la télé point.

 

Alors je me suis pas tromper il brûlent le drapeau Palestinien cool .. jour après jour rabi yakchef fihoumhttp://jssnews.com/2012/07/24/rebelles/

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Confiance en ce peuple ==' wtf .. est ce que toi tu fais confiance envers tout t'es amis ? ... parce que les autres pays du monde ne surveilles pas leurs peuples ? 2+2=5 .. c'est bon vous etes formater mon vieux, tu te fais trop influancer par la télé point.

 

Alors je me suis pas tromper il brûlent le drapeau Palestinien cool .. jour après jour rabi yakchef fihoumhttp://jssnews.com/2012/07/24/rebelles/

 

That's not the Palestinian flag being burned it's actually the Baath Party flag they are torching and rightly so.

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Le problème c'est que le régime syrien ne fait pas confiance en son peuple et vis versa, voici ce qui arrive quand il y a des doutes. C'est au régime syrien d'assumer les conséquences et si un jour le peuple syrien décidera de mettre au placard bachar el assad il le fera même si d'autres partis crieront au scandale.

 

Qu'est-ce que le régime syrien a fait pour libérer le Golan?

A-t-il réposté le jour où des avions ^^^^^^^^s ont attaqué des "soit disant" réacteurs nucléaires au environs de Damas?

Pourquoi le régime syrien a-t-il massacré son peuple en 1982?

 

Glad you brought the Hama 1982 massacre up for the people that weren't born at that time and don't even know who the Bashars are but they still defend them. As they say History repeats itself.

 

Google Translation:

Heureux que vous souleviez le Hama 1982 massacre pour les gens qui ne sont pas nés à cette époque et ne savent même pas qui sont les Bashars mais ils les défendent pour toujours. Comme ils le disent L'histoire se répète

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ont ne défend personne, ont juste contre la trahison de la cause. Aujourd'hui c'est Bashar ou sont pere qui est ou pouvoir ? l’insurrection de Hama? L'histoire ce répète, il y a que les noms qui change.

(drpeau de Baath? désolé moi je voie que le drapeau de la Palestine)

Modifié par kamui13
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ont ne défend personne, ont juste contre la trahison de la cause. Aujourd'hui c'est Bashar ou sont pere qui est ou pouvoir ? l’insurrection de Hama? L'histoire ce répète, il y a que les noms qui change.

(drpeau de Baath? désolé moi je voie que le drapeau de la Palestine)

 

Déja de quoi on s'en mêle? si les syriens décidéront du maintient ou de l'éjection de bachar alssad rien ne les empecherai même si il utilisera des armes chimiques.

écoute mon frère aucun d'entre nous ne connais la réalité plus qu'un syrien des villes d'alep ou de hamma.

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ont ne défend personne, ont juste contre la trahison de la cause. Aujourd'hui c'est Bashar ou sont pere qui est ou pouvoir ? l’insurrection de Hama? L'histoire ce répète, il y a que les noms qui change.

(drpeau de Baath? désolé moi je voie que le drapeau de la Palestine)

 

It's funny you can't even make a difference between the Palestinian and the Baath flags, you come lecture us about the middle east history and politics.

 

Google translate:

 

C'est drôle que vous ne pouvez même pas faire une différence entre les deux drapeaux, vous venez nous faire la leçon sur l'histoire et politique du Moyen-Orient.

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    • @youcef17fr c'est où ? Donc de nouveaux conteneurs arrivent de Chine contenant les équipements fibre optique (PBO , ONT , ...ect) après la crise maritime en mer Rouge.
    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
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