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Attaque terroriste de In Amenas : 41 étrangers pris en otage dans la base-vie de Sona


rapture

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Maintenant réfléchissons et analysant la situation pour essayer de comprendre le pourquoi des choses,

 

Des terroriste qui s'infiltre dans un site gazier qui constitue presque 20% des exportations de l’Algérie,

sachant d'avance que la politique algérienne est contre toutes négociations avec les terroristes (y a qu'a voir le cas des algériens pris en somalie)

donc ces terro. savaient qu'ils n'avaient aucune chance de s'en sortir, j'en déduit par là qu'ils étaient venu non pas pour prendre et vendre des otages étrangers, mais faire sauter toute l'installation. (heureusement cette dernière a été directement dépressurisé au départ), mon dire est confirmé par un témoignage d'un travailleur qui a parlé sur la chaine ennahar et a révélé que les terro. cherché un ingénieur, lui même a révélé qu'ils voulaient relancé la production).

 

La grande question réside, qui va profité de l'explosion d'un site gazier, ça ne peut être qu'un concurrent directe de l’Algérie dans le marché européen.

Personnellement ça me fait penser à un pays qui commence par un Q. l'avenir nous le dira.

 

Autre chose, les militaires l'ont bien compris c'est pour ça ils ont bombardé les terro., c’était une course contre la montre.

Modifié par maamar.oran
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Maintenant réfléchissons et analysant la situation pour essayer de comprendre le pourquoi des choses,

 

Des terroriste qui s'infiltre dans un site gazier qui constitue presque 20% des exportations de l’Algérie,

sachant d'avance que la politique algérienne est contre toutes négociations avec les terroristes (y a qu'a voir le cas des algériens pris en somalie)

donc ces terro. savaient qu'ils n'avaient aucune chance de s'en sortir, j'en déduit par là qu'ils étaient venu non pas pour prendre et vendre des otages étrangers, mais faire sauter toute l'installation. (heureusement cette dernière a été directement dépressurisé au départ), mon dire est confirmé par un témoignage d'un travailleur qui a parlé sur la chaine ennahar et a révélé que les terro. cherché un ingénieur, lui même a révélé qu'ils voulaient relancé la production).

 

La grande question réside, qui va profité de l'explosion d'un site gazier, ça ne peut être qu'un concurrent directe de l’Algérie dans le marché européen.

Personnellement ça me fait penser à un pays qui commence par un Q. l'avenir nous le dira.

 

Autre chose, les militaires l'ont bien compris c'est pour ça ils ont bombardé les terro., c’était une course contre la montre.

 

les terros réclament l'arret des opérations francaises au mali et que l'algerie ne participe pas a la guerre voila le pourquoi, faut qu'on cesse de faire les détectives qui ont tout compris...

chaque fois qu'il y'a quelque chose, on soupçonne d'avance les usa et l'europe...

en ce qui concerne l’opération on parle déjà de succès alors qu'il y'a 15 morts parmi les otages et les terro sont encore a l’intérieur avec d'autres otages...succé ou fail quand tout sera fini

pas avant...

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les terros réclament l'arret des opérations francaises au mali et que l'algerie ne participe pas a la guerre voila le pourquoi, faut qu'on cesse de faire les détectives qui ont tout compris...

chaque fois qu'il y'a quelque chose, on soupçonne d'avance les usa et l'europe...

en ce qui concerne l’opération on parle déjà de succès alors qu'il y'a 15 morts parmi les otages et les terro sont encore a l’intérieur avec d'autres otages...succé ou fail quand tout sera fini

pas avant...

Vous dite qu'il y a 15 mort parmis les otages alors que vous oublier de dire qu'il ya eu plus de 600 otages liberer ... moi je pense que il y'aurait beaucoup plus de morts sans l'intervention de l'armée ..

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vendredi 18 janvier 2013

Les détails sur l'assaut sur le complexe de Tiguentourine

Mercredi 16 janvier, un groupe d'une trentaine de terroristes, provenant de Libye, s'attaque à un bus transportant des expatriés de divers nationalités appartenant tant aux entreprises Statoil que BP et JGC. L'attaque fait un mort parmi les forces de sécurité, deux expatriés sont mortellement blessés, mais la riposte énergique des gendarmes de l'escorte, vite rejoints par leurs collègues de la base, fait battre en retraite les terroristes.

Saisissant l'occasion de la sortie en catastrophe des renforts de la base ils foncent vers les portes du complexe qui comporte plusieurs bases de vie et le centre de pompage et de traitement du Gaz.

Arrivés au portes ils menacent le garde pour qu'il leur permette l'accès. Le jeune Amine Lahmar refuse catégoriquement et parviens même à donner l'alerte avant d'être exécuté par les terroristes d'une balle dans la tête. Porte fermés, le groupe criminel utilise un de véhicules comme voiture bélier, la barrière finit par céder, les terroristes se scindent en deux groupes, l'un se dirige vers la salle de supervision du site, l'autre vise en priorité le camps de base des japonais de JGC, ils seront les premiers à êtres sortis. S'en suivra une visite systématiques des chalets et autres cabines sahariennes se trouvant dans la zone résidentielle.

 

Prenant conscience de l'ampleur de l'attaque les opérateurs de la salle de contrôle décident de couper la pression et mettre à l'abri les installations et éviter les explosions, au moins un Américain est dans la salle, il sera tout de suite capturé par les terroristes. Ils donnent l'ordre de remettre en marche les installation, les employés Algériens font face et disent non!

Dehors la base est vite encerclée par les éléments de la Gendarmerie, le plan des assaillant qui voulaient pour une partie fuir avec des otages tombe à l'eau, ils se replient une seconde fois sur la zone résidentielle et se réorganisent. Commencent à trier les otages par nationalité, les nords américains, les français et les britanniques sont les plus recherchés, les philippins et les thailandais, nombreux sur le site sont enfermés dans leurs baraquements, les otages Algériens sont eux aussi enfermés. A Tiguentourine, il y a 650 travailleurs dont 132 étrangers.

Très tôt un état-major de crise est installé à Alger, comprenant des envoyés des différents corps de sécurité et de renseignement ils comprennent rapidement qu'il faut agir, une consigne préliminaire est donnée pour empêcher la fuite des terroristes, la destruction des installation et la récupération de tous les otages. Il est décidé d'envoyer le groupe d'assaut du GIS Alger, ils seront rejoint par le groupe d'assaut du GIS Tamanrasset. Deux Hercules c130 et deux Casa décollent vers 11h de l'aéroport militaire de Boufarik, direction In Amenas.

Tassili Airlines assure l'évacuation du personnel qui n'était pas sur le site ou qui a pu s'échapper, des avions sont dépêchés sur place et très vite l'Aéroport d'In Amenas est fermé pour saturation du parking. De Biskra deux Mi24 Superhind décollent pour In Amenas, des hélicoptères de transport ramènent dans leurs soutes des paras de Biskra et du matériel.

Arrivés sur place, les hommes du GIS sont étonnés de trouver un détachement du DSI au complet en pleine préparation. Des ordres auraient été donnés par la haute hiérarchie de la gendarmerie pour faire participer le groupe d'assaut des "verts", un groupe très bien entraîné mais à qui manquait l'épreuve du feu.

Les gendarmes se sentant coupables de défaillance promettent de régler l'affaire pour se rattraper.

Ce qui aurait pu tourner à la guerre des services a été un grand moment de solidarité inter-armes. L'idée d'un assaut combiné GIS-DSI-Paras émerge à la nuit tombée.

Une nuit de préparation et d'étude des cartes du site, qui est scruté et filmé depuis le ciel par des drones Algériens et des hélicoptères, n'a pas permis d'évaluer avec précision la puissance de feu des terroristes et leurs points de renfort.

Des éclaireurs du GIS s'infiltrent à l'intérieur du site, ils doivent se faire voir et attirer le feu de l'ennemi pour pouvoir l'évaluer. Mission accomplie sans problèmes, mieux cette action a permis de reprendre le poste de police à l'entrée du site et libérer quelques otages dont des étrangers.

A quelques dizaines de kilomètres des lieux, l'ANP se déploie en force, un bataillon de T90, venant probablement de Batna est déployé entre le site et la frontière libyenne, l'espace aérien est clos au dessus de la région et l'aviation est en alerte. l'on craint un coup tordu venant de Libye.

La nuit permet au terroristes de se préparer, une stratégie se dessine dans leurs rang, revenir au plan initial, fuir avec les otages les plus "précieux" vers la Libye en jouant à fond la carte médiatique. Des otages Européens sont sommés d'appeler leurs proches, voir des médias de leurs pays pour transmettre un message d'apaisement et insister sur la nécessité de négocier. La pression internationale comme carburant. Les terroristes quant à eux contactent des médias "amis" comme Al Jazeera ou les agences Sahara Média ou ANI qui sont devenus les portes paroles de l'AQMI et du MUJAO. La deuxième partie du plan est de poursuivre avec un second groupe d'otages l'abcès de fixation à l'intérieur du complexe gazier avec une destruction du site à la clé.

La nuit passe sans que les forces spéciales ne donnent l'assaut. Pas d'ordres d'en haut ou pas d'occasion franche, nul ne peux le dire pour le moment.

En milieu de matinée, plusieurs groupes d'otages parviennent à s'enfuir, les terroristes sont tétanisés et ne quittent pas leurs positions, face à eux des tireurs d'élite tirent sans volonté de toucher pour marquer leur présence invisible et limiter les mouvements des "tangos". Des étrangers font partie des otages évadés.

En milieu de journée, les terroristes préparent cinq Toyota Station, entassent des vivres et des munitions, ils placent dedans un nombre d'otages, tous portent une ceinture d'explosifs.

Peu après 13h les véhicules qui ont démarrés en convoi espacé foncent en trombe vers la sortie du site et se retrouvent très vite dans le no man's land séparant la zone résidentielle du complexe gazier. A plusieurs centaines de mètres d'eux, presque invisible, un Mi 24 surveille la manœuvre grâce à ses puissantes caméras, l'officier d'armement reçoit l'ordre de détruire le convois, le terrain s'y prête il n'y a aucune installation sensible à proximité ni de regroupement de civils. Le Superhind tire deux, puis trois missiles à guidage laser Ingwee sur les trois véhicules de queue qui explosent sur le champs, pris de panique, ne voyant pas la provenance des tirs, les terroristes de tête se font exploser.

 

 

L'ordre d'assaut est donné, pas le choix, l'hélicoptère opère un tir de saturation vers la zone résidentielle, il ne vise rien ni personne mais crée un mur de feu. Simultanément des snipers du GIS et du DSI lachent une salve de balles précisent et tuent sur le champs une partie du commando, des paras avancent en tirant eux aussi, les opérateurs du GIS profitent de cette diversion pour prendre à revers le reste du commando se trouvant dans la zone résidentielle. Les 11 terroristes présents sont abattus, le camps de base est totalement sous contrôle. 600 otages sont libérés suite à ce premier assaut, parmi lesquels une centaine d'étrangers, une trentaine d'otages sont perdus.

Aucune blessé n'est à déplorer du coté des forces spéciales. Le DSI s'offre son baptême du feu aux cotés de certains opérateurs du GIS qui avaient traqué dix ans auparavant les preneurs d'otages des touristes suisses et allemands aux confins du Sahara.

A l'heure où ces lignes sont écrites, le second groupe terroriste retranché dans les installations gazières est encerclé par les forces spéciales, qui cette fois privilégient la négociation vu la configuration du terrain. Une douzaine de terroristes retiennent toujours vingtaine d'otages.

D'autres informations vous seront transmises lors du règlement de cette crise.

Publié par secret-difa3 à 15:23

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vendredi 18 janvier 2013

Les détails sur l'assaut sur le complexe de Tiguentourine

Mercredi 16 janvier, un groupe d'une trentaine de terroristes, provenant de Libye, s'attaque à un bus transportant des expatriés de divers nationalités appartenant tant aux entreprises Statoil que BP et JGC. L'attaque fait un mort parmi les forces de sécurité, deux expatriés sont mortellement blessés, mais la riposte énergique des gendarmes de l'escorte, vite rejoints par leurs collègues de la base, fait battre en retraite les terroristes.

Saisissant l'occasion de la sortie en catastrophe des renforts de la base ils foncent vers les portes du complexe qui comporte plusieurs bases de vie et le centre de pompage et de traitement du Gaz.

Arrivés au portes ils menacent le garde pour qu'il leur permette l'accès. Le jeune Amine Lahmar refuse catégoriquement et parviens même à donner l'alerte avant d'être exécuté par les terroristes d'une balle dans la tête. Porte fermés, le groupe criminel utilise un de véhicules comme voiture bélier, la barrière finit par céder, les terroristes se scindent en deux groupes, l'un se dirige vers la salle de supervision du site, l'autre vise en priorité le camps de base des japonais de JGC, ils seront les premiers à êtres sortis. S'en suivra une visite systématiques des chalets et autres cabines sahariennes se trouvant dans la zone résidentielle.

 

Prenant conscience de l'ampleur de l'attaque les opérateurs de la salle de contrôle décident de couper la pression et mettre à l'abri les installations et éviter les explosions, au moins un Américain est dans la salle, il sera tout de suite capturé par les terroristes. Ils donnent l'ordre de remettre en marche les installation, les employés Algériens font face et disent non!

Dehors la base est vite encerclée par les éléments de la Gendarmerie, le plan des assaillant qui voulaient pour une partie fuir avec des otages tombe à l'eau, ils se replient une seconde fois sur la zone résidentielle et se réorganisent. Commencent à trier les otages par nationalité, les nords américains, les français et les britanniques sont les plus recherchés, les philippins et les thailandais, nombreux sur le site sont enfermés dans leurs baraquements, les otages Algériens sont eux aussi enfermés. A Tiguentourine, il y a 650 travailleurs dont 132 étrangers.

Très tôt un état-major de crise est installé à Alger, comprenant des envoyés des différents corps de sécurité et de renseignement ils comprennent rapidement qu'il faut agir, une consigne préliminaire est donnée pour empêcher la fuite des terroristes, la destruction des installation et la récupération de tous les otages. Il est décidé d'envoyer le groupe d'assaut du GIS Alger, ils seront rejoint par le groupe d'assaut du GIS Tamanrasset. Deux Hercules c130 et deux Casa décollent vers 11h de l'aéroport militaire de Boufarik, direction In Amenas.

Tassili Airlines assure l'évacuation du personnel qui n'était pas sur le site ou qui a pu s'échapper, des avions sont dépêchés sur place et très vite l'Aéroport d'In Amenas est fermé pour saturation du parking. De Biskra deux Mi24 Superhind décollent pour In Amenas, des hélicoptères de transport ramènent dans leurs soutes des paras de Biskra et du matériel.

Arrivés sur place, les hommes du GIS sont étonnés de trouver un détachement du DSI au complet en pleine préparation. Des ordres auraient été donnés par la haute hiérarchie de la gendarmerie pour faire participer le groupe d'assaut des "verts", un groupe très bien entraîné mais à qui manquait l'épreuve du feu.

Les gendarmes se sentant coupables de défaillance promettent de régler l'affaire pour se rattraper.

Ce qui aurait pu tourner à la guerre des services a été un grand moment de solidarité inter-armes. L'idée d'un assaut combiné GIS-DSI-Paras émerge à la nuit tombée.

Une nuit de préparation et d'étude des cartes du site, qui est scruté et filmé depuis le ciel par des drones Algériens et des hélicoptères, n'a pas permis d'évaluer avec précision la puissance de feu des terroristes et leurs points de renfort.

Des éclaireurs du GIS s'infiltrent à l'intérieur du site, ils doivent se faire voir et attirer le feu de l'ennemi pour pouvoir l'évaluer. Mission accomplie sans problèmes, mieux cette action a permis de reprendre le poste de police à l'entrée du site et libérer quelques otages dont des étrangers.

A quelques dizaines de kilomètres des lieux, l'ANP se déploie en force, un bataillon de T90, venant probablement de Batna est déployé entre le site et la frontière libyenne, l'espace aérien est clos au dessus de la région et l'aviation est en alerte. l'on craint un coup tordu venant de Libye.

La nuit permet au terroristes de se préparer, une stratégie se dessine dans leurs rang, revenir au plan initial, fuir avec les otages les plus "précieux" vers la Libye en jouant à fond la carte médiatique. Des otages Européens sont sommés d'appeler leurs proches, voir des médias de leurs pays pour transmettre un message d'apaisement et insister sur la nécessité de négocier. La pression internationale comme carburant. Les terroristes quant à eux contactent des médias "amis" comme Al Jazeera ou les agences Sahara Média ou ANI qui sont devenus les portes paroles de l'AQMI et du MUJAO. La deuxième partie du plan est de poursuivre avec un second groupe d'otages l'abcès de fixation à l'intérieur du complexe gazier avec une destruction du site à la clé.

La nuit passe sans que les forces spéciales ne donnent l'assaut. Pas d'ordres d'en haut ou pas d'occasion franche, nul ne peux le dire pour le moment.

En milieu de matinée, plusieurs groupes d'otages parviennent à s'enfuir, les terroristes sont tétanisés et ne quittent pas leurs positions, face à eux des tireurs d'élite tirent sans volonté de toucher pour marquer leur présence invisible et limiter les mouvements des "tangos". Des étrangers font partie des otages évadés.

En milieu de journée, les terroristes préparent cinq Toyota Station, entassent des vivres et des munitions, ils placent dedans un nombre d'otages, tous portent une ceinture d'explosifs.

Peu après 13h les véhicules qui ont démarrés en convoi espacé foncent en trombe vers la sortie du site et se retrouvent très vite dans le no man's land séparant la zone résidentielle du complexe gazier. A plusieurs centaines de mètres d'eux, presque invisible, un Mi 24 surveille la manœuvre grâce à ses puissantes caméras, l'officier d'armement reçoit l'ordre de détruire le convois, le terrain s'y prête il n'y a aucune installation sensible à proximité ni de regroupement de civils. Le Superhind tire deux, puis trois missiles à guidage laser Ingwee sur les trois véhicules de queue qui explosent sur le champs, pris de panique, ne voyant pas la provenance des tirs, les terroristes de tête se font exploser.

 

 

L'ordre d'assaut est donné, pas le choix, l'hélicoptère opère un tir de saturation vers la zone résidentielle, il ne vise rien ni personne mais crée un mur de feu. Simultanément des snipers du GIS et du DSI lachent une salve de balles précisent et tuent sur le champs une partie du commando, des paras avancent en tirant eux aussi, les opérateurs du GIS profitent de cette diversion pour prendre à revers le reste du commando se trouvant dans la zone résidentielle. Les 11 terroristes présents sont abattus, le camps de base est totalement sous contrôle. 600 otages sont libérés suite à ce premier assaut, parmi lesquels une centaine d'étrangers, une trentaine d'otages sont perdus.

Aucune blessé n'est à déplorer du coté des forces spéciales. Le DSI s'offre son baptême du feu aux cotés de certains opérateurs du GIS qui avaient traqué dix ans auparavant les preneurs d'otages des touristes suisses et allemands aux confins du Sahara.

A l'heure où ces lignes sont écrites, le second groupe terroriste retranché dans les installations gazières est encerclé par les forces spéciales, qui cette fois privilégient la négociation vu la configuration du terrain. Une douzaine de terroristes retiennent toujours vingtaine d'otages.

D'autres informations vous seront transmises lors du règlement de cette crise.

Publié par secret-difa3 à 15:23

 

Alors là je ne sais pas d’où ce "secret-difa3" ramène ces informations ultra-détaillés, soit c'est un militaire qui fait parti de l'opérartion et qui tiens à jour son blog (http://secret-difa3.blogspot.com/)

soit c'est un bon écrivain de film d'action.

 

Mais vraiment c'est impressionnant ce qui s'est passé.

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Remarquez bien sur les chaines Françaises, ils ne disent plus "terroristes" mais "djihadistes/activistes" !! que cache encore cette nouvelle sémantique ?

 

http://www.nessnews.com/nesspolitique/les-terroristes-sont-des-rebelles-ou-des-activistes-pour-certains-medias-francais-3976

 

même choses sur euronews (militants) et i-télé , terroristes seulement quand ça se passe sur leurs sol.

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Bilan officiel provisoire du ministère de l’Intérieur : 23 otages morts, 32 terroristes abattus

 

19h50. Source officielle : le groupe terroriste, auteur de la prise d’otages, était constitué de 32 éléments, dont trois Algériens avec des spécialistes en explosifs, indique samedi le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales dans un communiqué cité par l’APS. "Le groupe terroriste, qui a accédé au territoire national à partir de pays limitrophes, à bord de plusieurs véhicules tout terrain, était constitué de 32 criminels, dont 3 Algériens, avec des spécialistes en explosifs", précise la même source, ajoutant que "les autres criminels sont de différentes nationalités".

 

19 h 40 – Bilan officiel provisoire du ministère de l’Intérieur : 23 otages morts, 32 terroristes abattus. L'assaut donné jeudi par les forces spéciales de l’armée s'est soldé par l'élimination de 32 terroristes et le décès de 23 victimes, selon un bilan provisoire établi samedi par le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales cité par l’agence APS.

 

« Cette intervention s'est soldée par la libération de 685 travailleurs algériens et 107 étrangers, 32 terroristes éliminés et le décès de 23 victimes », a précisé un communiqué du ministère de l'Intérieur.

 

L'armement récupéré est composé de « 6 fusils-mitrailleurs (FMPK),21 fusils PMAK, deux fusils à lunettes, 2 mortiers 60mm avec roquettes, 6 missiles de type C5 60 mm avec rampes de lancement, 2 RPG7 avec 8 roquettes, 10 grenades disposées en ceintures explosives », a indiqué la même source, ajoutant que l'opération a permis la récupération de « tenues militaires étrangères et d'un stock de munitions et d'explosifs », ajoute l’APS.

 

source: http://www.tsa-algerie.com/divers/prise-d-otages-d-in-amenas-fin-de-l-operation-de-l-armee-direct_23473.html

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Il faut se rendre à l'évidence, l'armé algérienne a fait un excellent boulot, les médias étrangers n'arrivent pas à avaler la pilule, ils s'attendaient qu'on pleurniche et demandons de l'aide à l’équipe "Expandable US" (voir film).

 

Mais notre armée a montré au monde entier qu'elle est très professionnelle en terme de terrorisme, c'est même la référence dans ce domaine (témoignage de hilary clinton).

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L'intervention de l'armée algérienne est un succès total : aucun otage détenu n'a été libéré, tous ont été éliminés.

 

On est tellement habitué à la médiocrité et l'incompétence, qu'on arrive même à applaudir à un échec aussi retentissant. Une armée qui engloutit des milliards de dollars en matériel depuis des décennies, n'arrive même pas à libérer des otages sains et saufs.

 

Dans un Etat digne de ce nom, il y'aurait une commission d'enquête pour désigner les responsables de cet échec, afin de les mettre à la porte.

 

Mais ne rêvons pas ! On est en Algérie, le paradis des incompétents et des médiocres.

Modifié par gssara13
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L'intervention de l'armée algérienne est un succès total : aucun otage détenu n'a été libéré, tous ont été éliminés.

 

On est tellement habitué à la médiocrité et l'incompétence, qu'on arrive même à applaudir à un échec aussi retentissant. Une armée qui engloutit des milliards de dollars en matériel depuis des décennies, n'arrive même pas à libérer des otages sains et saufs.

 

Dans un Etat digne de ce nom, il y' aurait eu une commission d'enquête pour désigner les responsables de cet échec, afin de les mettre à la porte.

 

Mais ne rêvons pas ! On est en Algérie, le paradis des incompétents et des médiocres.

 

on a pas dû entendre et lire les mêmes choses, on parle de 23 morts (allah yerhamhoum) sur plus de 700 otages, en ce n'était pas évident à faire,

les français avec tout leur "savoir faire", leur technologie ... etc un seul Mohamed Merah, ils "n'ont pas pu" le sortir vivant !!

 

critiquer gratuitement, c'est franchement facile !! une prise d'otage ça n'a rien de facile, ce n'est pas une partie de counter strike :)

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L'intervention de l'armée algérienne est un succès total : aucun otage détenu n'a été libéré, tous ont été éliminés.

 

On est tellement habitué à la médiocrité et l'incompétence, qu'on arrive même à applaudir à un échec aussi retentissant. Une armée qui engloutit des milliards de dollars en matériel depuis des décennies, n'arrive même pas à libérer des otages sains et saufs.

 

Dans un Etat digne de ce nom, il y' aurait eu une commission d'enquête pour désigner les responsables de cet échec, afin de les mettre à la porte.

 

Mais ne rêvons pas ! On est en Algérie, le paradis des incompétents et des médiocres.

 

c'est tellement facile de critiquer derriere un ecran, les plus grands analystes de ce monde ont reconnu que l'armée algerienne ne pouvait pas agir autrement, la mort des otages, c'est les terroristes qui y sont responsables, aucune puissance etrangere n'aurait fait mieux

un adolescent armé et sans otages a mobilisé les troupes du GIGN pendant presque 48h et a fini par etre abattu faute de pouvoir le maitriser , et tu demande a l'ANP de faire un exploit avec 30 terroristes bien armés, entrainés , prets a mourir avec une quarantaine d'otages

desolé kho ça c'est uniquement dans les films de bruce willis

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L'intervention de l'armée algérienne est un succès total : aucun otage détenu n'a été libéré, tous ont été éliminés.

 

On est tellement habitué à la médiocrité et l'incompétence, qu'on arrive même à applaudir à un échec aussi retentissant. Une armée qui engloutit des milliards de dollars en matériel depuis des décennies, n'arrive même pas à libérer des otages sains et saufs.

 

Dans un Etat digne de ce nom, il y' aurait eu une commission d'enquête pour désigner les responsables de cet échec, afin de les mettre à la porte.

 

Mais ne rêvons pas ! On est en Algérie, le paradis des incompétents et des médiocres.

 

ô être de lumière infaillible , guide nous vers la lumière !

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c'est tellement facile de critiquer derriere un ecran, les plus grands analystes de ce monde ont reconnu que l'armée algerienne ne pouvait pas agir autrement, la mort des otages, c'est les terroristes qui y sont responsables, aucune puissance etrangere n'aurait fait mieux

un adolescent armé et sans otages a mobilisé les troupes du GIGN pendant presque 48h et a fini par etre abattu faute de pouvoir le maitriser , et tu demande a l'ANP de faire un exploit avec 30 terroristes bien armés, entrainés , prets a mourir avec une quarantaine d'otages

desolé kho ça c'est uniquement dans les films de bruce willis

 

Pour info, ce n'etait pas l'ANP qui intervenait. mais bel et bien le fameux DRS + groupe special de la gendarmerie!!

 

Une bonne partie de l'armee est folle de rage parce que des avions francaises controlent le ciel algerien SANS CONDITIONS!!

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L’armement récupéré est composé 6 fusils mitrailleurs (FMPK), 21 Fusils PMAK, deux fusils à lunettes, 2 mortiers 60mm avec roquettes, 6 missiles de type C5 60mm avec rampes de lancement, 2 RPG7 avec 8 roquettes, 10 grenades disposées en ceintures explosives,

 

- La récupération de tenues militaires étrangères,

 

- La récupération d’un stock de munitions et d’explosifs.

 

Au faite; ou sont passé les 10000 missiles SA-7 ?????

 

pour rappel :

 

Alain Juppé avait en effet été entendu à cette date par la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale. Répondant à un élu évoquant la présence de 10 000 missiles sol-air aux mains d’al-Qaïda au Maghreb islamique, le ministre avait alors confirmé l’inquiétude que suscitait la fuite vers le Sahel d’armes en provenance de la Libye.

 

La presse algérienne via « Le Courrier d’Algérie » se voulait quant à elle encore plus directe, affirmant qu’Aqmi était désormais « plus forte maintenant qu’avant le début de la sédition», ajoutant que « la France et les rebelles de Benghazi en sont responsables dans une très large mesure ».

 

De ce fait, poursuivait le journal, « les premières cibles concernées par les missiles SA-7 d’Aqmi sont justement les avions civiles français et occidental », avant d’asséner le coup final : « en deux mots directs, la France est dans la ligne de mire du terrorisme dans toute la vaste bande saharo-sahélienne. »

 

En réaction, Nicolas Sarkozy avait envoyé des messages aux pays du Sahel, ciblant tout particulièrement l’Algérie, « locomotive des pays maghrébo- sahéliens dans la lutte contre Aqmi ».

 

Toujours selon « Le Courrier d’Algérie », l’amiral Giampaolo Di Paola, président du Comité militaire qui regroupe les chefs d’état major des pays de l’Otan, aurait tenu une réunion secrète avec les députés allemands le 26 septembre 2011 devant lesquels il a exprimé les inquiétudes de l’Otan, faisant état de l’existence de « plus de 10.000 missiles sol-air qui représentent une sérieuse menace pour l’aviation civile et pourraient sortir de Libye pour se retrouver dans de mauvaises mains ».

 

– Près de 5 000 missiles sol-air SAM-7 perdus « dans la nature » … selon le CNT

 

Le général Mohamed Adia, chargé de l’armement au sein du ministère de la Défense du Conseil national de transition (CNT), estimait alors quant à lui à « environ 5 000 » le nombre de missiles sol-air SAM-7 « toujours manquants et dans la nature » , craignant lui aussi que ces armements ne tombent entre de « mauvaises mains. »

 

Rappelant par ailleurs que la Libye de Kadhafi a acheté environ 20.000 missiles sol-air SAM-7, de fabrication soviétique ou bulgare. Certes plus de 14.000 de ces missiles ont été soit utilisés, soit détruits, ou sont aujourd’hui hors d’usage. La plupart étaient stockés dans la ville de Zenten (sud-ouest de Tripoli), mais beaucoup manquaient à l’appel en octobre 2011 …

 

Or, soulignait alors le général, « ces missiles sont légers, de petite taille, faciles à manier et pourraient être utilisés pour détruire un avion civil ».

 

Rappelons enfin que de nombreux stocks d’armes et de munitions de l’armée du colonel Kadhafi ont fait l’objet de pillage dans le pays depuis février 2011, date du début de la révolution libyenne, l’ancien Guide ayant également distribué une partie de ses armements à ses partisans en fuite.

 

http://www.algerie1.com/flash-dactu/in-amenas-communique-du-ministere-de-linterieur/

 

http://www.fr.alakhbar.info/279-0-Aqmi-sexerce-au-maniement-des-missiles-sol-air.html

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