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[Révision de La Constitution] Les Confidences de Djamel Ould Abbes !


Hicham

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Révision de la Constitution, intentions de Bo^^^^^ika

 

Les confidences de Djamel Ould Abbes

 

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Djamel Ould Abbes, ancien ministre de la Santé et actuellement sénateur du Tiers présidentiel, s’est livré, ce lundi 30 septembre, à quelques confidences devant quelques-uns de ses proches.

 

Selon lui, la révision de la Constitution interviendra en octobre prochain. A en croire M. Ould Abbes, réputé proche du président de la République, le projet ne sera pas soumis à un référendum. La Constitution sera amendée à travers un vote des deux chambres du Parlement, l’APN et le Conseil de la nation, qui seront réunis au Palais des Nations au Club des Pins, a-t-il affirmé, sans préciser d’où il tenait ses informations.

 

Selon Djamel Ould Abbes, la nouvelle Constitution introduira le septennat, avec une limitation du nombre de mandats présidentiels à deux. Mais l’ancien ministre de la santé a été formel : le président Bo^^^^^ika ne va pas prolonger son mandat actuel de deux ans. Il n’a to^^^^ois pas précisé si le chef de l’État allait briguer ou pas un quatrième mandat en 2014.

 

Djamel Ould Abbes a qualifié d’évènement « important » la tenue hier dimanche du Conseil des ministres. Selon lui, cette réunion est venue démentir toutes les rumeurs concernant la capacité du chef de l’État à diriger le pays.

 

« En tant que médecin, je suis personnellement les informations sur la santé du Président. J’ai également adressé des correspondances à des instances médicales étrangères qui suivent le dossier sanitaire du Président. Son retour à l’activité est une chose très positive pour l’Algérie. C’était prévisible », a-t-il encore dit.


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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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