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[Astuce] ping sous GNU/Linux


ButterflyOfFire

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Généralement, lorsque l'on ping une destination, un nom de domaine ou une adresse IP et afin d'arrêter le ping, nous faisons CTRL+C.

 

Comme sur cette image :

 

3444390440_af52298d1f.jpg

Et maintenant, imaginons que nous voulons laisser le ping continuer et en même temps faire autre chose avec le même terminal ?

 

Lançons un ping puis au lieu d'appuyer sur CTRL+C, appuyons plutot sur CTRL+Z :

 

ça nous donnera ceci :

3443574009_82f42c0d56_o.png

Vous voyez bien la mention [1]+ Stopped qui ne veut pas dire que le processus est stoppé mais au fait le ping continue en tâche de fond.

 

Vous pouvez lancer comme ça une série de ping et les laisser tourner en tache de fond et à chaque fois vous quitter avec CTRL+Z et non pas tuer le processus avec CTRL+C.

 

Comment arrêter alors ces requetes de ping ?

 

Tapez la commande fg

Ainsi vous retrouverez toutes les requêtes de ping lancées auparavant et là, un simple CTRL+C pour arrêter les ping un par un :)

 

Un peu comme dans cette illustration :

3444390632_fb5630221a_o.png

Jusqu'à ce que vous voyez le message :

bash: fg: current : tâche inexistante

 

Merci de m'avoir lu

Salutations amicales

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salam

 

une simple précision:

le ctrl-z veut bien dire envoyer un signal SIGTSTP (signal interactive pour suspendre le processus) le programme cible sera bien stoppé, d'ailleur la commande "$ ps s" le champ (STAT == T) stopped

 

 

alors on va progiter pour continuer un peut :)

pour pouvoir utiliser c'est caractères il faut que le shell supporte le job control (ex: bash)

JOB CONTROL == controler l'état des processus

 

 

pour avoir la liste des caractères et signaux de votre terminal:

 

$ stty -a

speed 38400 baud; rows 25; columns 86; line = 0;

intr = ^C; quit = ^\; erase = ^?; kill = ^U; eof = ^D; eol = ; eol2 = ;

swtch = ; start = ^Q; stop = ^S; susp = ^Z; rprnt = ^R; werase = ^W; lnext = ^V;

flush = ^O; min = 1; time = 0;

 

resultas:

interuption == ctrl-c, stop == ctrl-s, start == ctrl-q,

suspend == ctrl-z, end of file == ctrl-d

 

 

simple addition sur les signaux:

sachant que stop SIGSTOP est envoyé par "ctrl-s" ou "$ kill -s 19 PID" et ne peut etre bloqué par le processus target ansi que le signal SIGKILL: (tuer) "$ kill -s 9 PID"

par contre le SIGTSTP "ctrl-z" ou "$ kill -s 20 PID" peut etre bloqué par un gestionnaire installé par le programme target (qui a le pid == PID), mais dans le cas contraire il va etre suspendu est le shell sera retourné.

il y a aussi le "ctrl-y" qui va suspendre le processus lorsque ce dernier va lire depuis l'entrée du terminal et nous renvoyer le shell.

une liste des signaux est disponible avec la commande "$ kill -l" (not all of them are standard)

 

 

JOBS CONTROL:

pour démmarer le programme en arrière plan "$ command &", il va continuer son éxécution biensure.

 

maintenant revenons a notre cas ctrl-z (processus suspendu), pour RELANCER le processus:

  • en arrière plan:
    "$ bg" ou "$ bg %1" etc
     
  • en avant plan (plus de shell):
    "$ fg" ou "* fg %1" etc

 

Notes:

  • a tout moment on peut faire "$ jobs" pour avoir la liste des jobs
  • % fait référence sur le job courant
  • %n fait référence sur le job numéroté n (voir la commande jobs), ... etc
  • il y a aussi la commande "$ trap cmd signals" qui va essyer d'éxécuter la cmd lorsque le shell reçoi les signaux signals
  • ces signaux sont envoyés au group (group de processus en forground, background, ... j'arrete :) )
  • pour envoyer un signal a un processus il faut bien avoir les privilèges pour le faire (user id, real id ...)
  • le nouveau processus (fork) va hériter des STDIN: lecture, STDOUT: écriture, STDERR: écriture d'erreur, de son père (bash), ainsi que d'autres propriétés (mask de signaux, mode de création de fichier umask, etc )

 

inchallah avec du TRAVAIL:

$ echo "ALGERIANS NINJAS"{" shells"," programming"," networking"," ..."}" -"

 

 

PS: si j'ai fait une faute slvpl veulliez me corriger

PS: bien sure j'éspère qu'il y aura un autre membre qui va encore expliquer mieu que moi

$ whoami

/dev/null :p

 

bon courage, salam.

Modifié par tixxDZ
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Non, je dirais plutôt qu'il joue avec son dédier en SSH ;)

 

12ms, c'est mieux que mon Ethernet local :D

 

En tout cas Merci pour l'astuce :)

 

Salut Mouradski_21 :)

J'ai pingé à partir de ma Freebox :) Il s'agit bien de ma ligne téléphonique et non pas de mon serveur dédié.

 

Voici une autre capture d'écran (clique dessus pour l'agrandir) :

3447245072_96af1bea34_m.jpg

 

Quant à l'explication de TixxDZ, je n'ai rien à rajouter :) J'en ai même appris des choses :)

 

Excellent TixxDZ merci kho :)

Salutations amicales

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@amarsoft

allah iberk fik khoya, mais c'est encore insuffisant (en doit concurrencer les meilleurs) et inchallah :)

 

une simple astuce: lire et relire les man (page man) de chaque programme, commande, function et on finira biensure par assimiler quelque chose.

 

salam

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  • 11 months later...
y'a un truc ..quand je clique sur CTRL+Z ...le ping s'arrête chez moi ! y'a stopped !!

 

C'est logique.

 

 

# ping google.fr

* ^Z (CTRL-Z) : le ping est suspendu (stoppé) avec [Ctrl]-[Z]*

 

 

# bg : mettre en arrière plan et continue de fonctionner

 

 

# jobs -l : Liste des processus en background

 

[1] - 30000 Running ping google.fr

[2] + 30001 Suspended (tty output) top

 

 

# fg %1 : nous ramenons au premier plan le processus de numéro de job 1 par la commande fg %1

 

 

http://i43.tinypic.com/rw5umw.png

Modifié par Chevrosky
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    • merci cest sympa , suis la pour ca pas que pour vendre , c est ça le sav , on lâche pas temps que ça ne fonctionne pas , et si au final l'offre prise ne correspond pas j en ai bq d autre à proposer .. y en a pour tout les goûts toutes les bourses   
    • Bon voilà, ça fonctionne Un grand merci à MichelDZ, le pauvre, 2h hier à essayer de faire fonctionner ca sur mon pc. Aller savoir pourquoi, mais rien ne fonctionnait, pas moyen de faire une machine virtuelle, et les logiciels habituels ne voulait rien afficher, allez comprendre pourquoi, des fois il ne faut pas grand-chose pour que ca parte en cacahouète.  Il n'a pas lâché l'affaire, j'avais abandonné avant lui ^^ mais il a réussi à me le faire fonctionner.  Il m’a même relancé ce matin, savoir si ca allait toujours bien.  👍 Étant ma 1er iptv, je manque de point de comparaison, pour ce qui est du bouquet, je ne pourrais pas dire si c'est mieux ou moins bien que d'autres, mais je suis ravi, ceux qui se plaignent sont difficiles, à ce prix, c'est fou toutes ces chaines, et cette collection de films et séries. Mais pourquoi je ne suis pas venu avant, au lieu de me faire ch** avec le streaming. Enfin voilà, SAV au top, et offre complète, un vendeur que je recommande et garde précieusement dans mes contacts. 🥰
    • Alors que nous peinons à déployer du 100 % fibre optique et à sortir du débit de base  mesquin de 10Mbps, ailleurs le monde scientifique travaille déjà depuis plusieurs années au réseau Internet de demain. Vous avez sûrement au moins entendu parler de la théorie physique sur laquelle il se base : la mécanique quantique. Pour résumer, il s'agit de l'étude des comportements des particules à l'échelle des atomes et plus petit. Pour la première fois, des chercheurs ont créé un système qui relie ces deux composants clés et utilise des fibres optiques classiques pour transmettre les données quantiques. L'exploit a été réalisé par des chercheurs de l'Imperial College de Londres, de l'Université de Southampton et des universités de Stuttgart et de Wurzburg en Allemagne, et les résultats ont été publiés dans Science Advances . Le co-premier auteur , le Dr Sarah Thomas , du Département de physique de l'Imperial College de Londres, a déclaré : « L'interfaçage de deux appareils clés ensemble est une étape cruciale dans la mise en réseau quantique, et nous sommes vraiment ravis d'être la première équipe à avoir pu pour le démontrer. » Le co-premier auteur Lukas Wagner, de l’Université de Stuttgart, a ajouté : « Permettre aux emplacements longue distance, et même aux ordinateurs quantiques, de se connecter est une tâche essentielle pour les futurs réseaux quantiques. » Communication longue distance Dans les télécommunications classiques – comme Internet ou les lignes téléphoniques – les informations peuvent être perdues sur de grandes distances. Pour lutter contre cela, ces systèmes utilisent des « répéteurs » à des points réguliers, qui lisent et réamplifient le signal, garantissant ainsi qu'il arrive intact à sa destination. Toutefois, les répéteurs classiques ne peuvent pas être utilisés avec des informations quantiques, car toute tentative de lecture et de copie de ces informations les détruirait. Il s'agit d'un avantage dans un sens, dans la mesure où les connexions quantiques ne peuvent être « exploitées » sans détruire les informations et alerter les utilisateurs. Mais c’est un défi à relever pour les réseaux quantiques longue distance. Mais des chercheurs ont trouvé la solution. Une façon de surmonter ce problème consiste à partager des informations quantiques sous la forme de particules de lumière intriquées, ou photons. Les photons intriqués partagent des propriétés de telle manière que vous ne pouvez pas comprendre les unes sans les autres. Pour partager l'intrication sur de longues distances à travers un réseau quantique, vous avez besoin de deux appareils : un pour créer les photons intriqués et un pour les stocker et permettre leur récupération ultérieure. Il existe plusieurs dispositifs utilisés pour créer des informations quantiques sous forme de photons intriqués et pour les stocker, mais la génération de ces photons à la demande et la disponibilité d'une mémoire quantique compatible dans laquelle les stocker ont longtemps échappé aux chercheurs. Les photons ont certaines longueurs d'onde (qui, dans la lumière visible, créent des couleurs différentes), mais les dispositifs permettant de les créer et de les stocker sont souvent réglés pour fonctionner avec des longueurs d'onde différentes, ce qui les empêche de s'interfacer. Pour créer une interface entre les appareils, l’équipe a créé un système dans lequel les deux appareils utilisaient la même longueur d’onde. Un « point quantique » produisait des photons (non intriqués), qui étaient ensuite transmis à un système de mémoire quantique qui stockait les photons dans un nuage d'atomes de rubidium. Un laser a activé et désactivé la mémoire, permettant aux photons d'être stockés et libérés à la demande. Non seulement la longueur d'onde de ces deux appareils correspondait, mais elle était également à la même longueur d'onde que celle des réseaux de télécommunications utilisés aujourd'hui, ce qui permettait de la transmettre avec des câbles à fibre optique classiques, familiers aux connexions Internet quotidiennes. L’équipe va maintenant chercher à améliorer le système, notamment en s’assurant que tous les photons sont produits à la même longueur d’onde, en améliorant la durée de stockage des photons et en réduisant la taille de l’ensemble du système. Cependant, en tant que preuve de concept, il s'agit d'un pas en avant important, déclare le co-auteur Dr Patrick Ledingham de l'Université de Southampton : « Les membres de la communauté quantique tentent activement d'établir ce lien depuis un certain temps. Cela inclut nous, qui avons déjà tenté cette expérience à deux reprises avec différents dispositifs de mémoire et de points quantiques, remontant à plus de cinq ans, ce qui montre à quel point c'est difficile à réaliser. "Cette fois, la percée a été de réunir des experts pour développer et exécuter chaque partie de l'expérience avec un équipement spécialisé et de travailler ensemble pour synchroniser les appareils."  
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