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Tout ce qui a été posté par waldostar
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Bravo l'Algérie maintenant tu censures Facebook comme le font les chinois et les iraniens
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Je me suis connecter difficilement a fb Espérons qu'ils ne sont pas de mettre leur truc de control de traffic des données sortantes et entrantes
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Allah yrahmou!
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T'a raison et le peuple dans tous ça ils sera utiliser comme des pions
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Maintenant ils veulent une révolution en Algérie mais contre quel clan?
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Le président Tunisien, Zine El Abidine Benali a fini par partir et fuir le pays à bord de l'avion présidentiel. Des sources gouvernementales ont annoncé à l'AFP que Ben Ali a quitté la Tunisie, après plusieurs jours de révolte populaire. Le Premier ministre tunisien Mohammed Ghannouchi a annoncé vendredi soir à la télévision qu'il assurait l'intérim de la présidence en remplacement de Zine El Abidine Ben Ali, qui a quitté le pays après 23 ans de pouvoir. El Watan avec AFP
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On peut savoir pourquoi nos messages ont été supprimé?
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Ils ont raison il faut continuer le combat démocratique jusqu'au bout et éliminer ou mettre à l'écart tous les résidus du régime Ben Ali
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Espérons que le nouveau président tunisien ne sera pas la poupé de des généraux tunisiens et vive la démocratie dans le maghreb
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Il faut que les tunisiens maintenant organisent une éléction présidentielle libre et démocratique
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18h10 - Tunisie La télévision publique indique qu'une "annonce très importante pour le peuple tunisien sera faite sous peu".
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Ta source SVP
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L'article d'elwatan accuse la mafia de l'import-export et il a démasqué l'institution qui s'occupe de ce traffic Mais est ce que l'article de elwatan est lui aussi crédible? Qui finance elwatan? et qui est derrière elwatan?
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Après les émeutes Barons de l'informel : 1 société civile : 0 Après les émeutes et les «solutions» du gouvernement, qui sort gagnant de ce bras de fer ? L'informel, selon plusieurs experts qui pointent la puissance de ses réseaux. «El Hadj», 56 ans, l'un des plus grands barons de l'informel algérien, se dévoile et met à nu un gigantesque engrenage mafieux. El Watan Week-end l'a rencontré. Il nous livre en brut ses explosives confessions. Mon âge, peu importe, je le compte en jours, non pas en années, car les jours pour moi ont une signification importante. A chaque jour son virage et pour d’autres, leurs tourments. Mon enfance ne m’évoque pas de souvenirs, à part celui de mon village. Je suis natif de Ferdjioua. Ma jeunesse, en revanche, est pleine d’aventures. A chaque jour, une rencontre. Et à chaque rencontre, une péripétie nouvelle. Peu avant les événements d’Octobre 88, je marchandais, rue de Chartres à la Basse-Casbah. Comme chaque matin, j’étalais ma marchandise, je saluais mes voisins et je hélais les clients : «Six serviettes à 1 DA !» Ce n’était pas chose facile, affronter ces regards, ces dames distinguées et ces vieux délicats. En 1989, j’ai été contacté par un officier de la Sécurité militaire qui se présenta alors comme émigré. Il me proposa une nouvelle activité, le change de devises, et de laisser tomber mon étal à la Basse-Casbah. Un business juteux puisque cela me permettait de gagner 1000 DA par jour. Une fortune inespérée pour moi qui gagnais à peine 200 DA la journée, somme insuffisante pour subvenir aux besoins de ma petite famille. La place de l’Opéra (square Port Saïd) devint mon nouveau territoire, la place financière la plus forte de toute l’Algérie, juste à côté du Palais de justice d’Alger. Le choix de la place n’était pas fortuit : c’est le carrefour entre la sortie de la gare routière, la gare des taxis et, le plus important, la sortie du quai des voyageurs du port d’Alger. 2 millions en urgence Je me suis installé au café mitoyen de l’hôtel Terminus, pas loin de la rue de la Liberté. Drôle ! Ou étrange. Une symbolique qui fera de cette place le signe du commerce informel où tout s’échange, se négocie, où tous les coups bas sont permis aussi. L’affaire devint florissante. Mon carnet d’adresses était rempli de clients potentiels, avec qui les rencontres étaient programmées à l’avance. Mon parrain venait en fin de semaine récupérer ses dividendes. Avant de disparaître. Un ami m’a alors prévenu : «Fais attention, c’est un agent !» Je décida de reprendre seul l’affaire, en recrutant autour de moi. J’ai rendu visite à mes anciens amis du marché de la rue de Chartres et je leur ai proposé l’affaire. Un soir maussade, mon parrain refit surface et me déclara : «Il faut arrêter de vendre les devises !» Sans la moindre explication. «Mon supérieur a besoin de deux millions de francs en urgence», m’a-t-il ensuite ordonné. Je me suis tout de suite exécuté. Une semaine après, j’ai remis le sac des «Pascals» à l’agent qui me proposa de partir à Marseille dans la semaine. Visa en poche, j’embarquai sur un vol Alger-Marseille d’Air France. A mon arrivée, une personne m’approcha et me demanda de le suivre. Il m’expliqua que je devais prendre attache avec des grossistes et envoyer la marchandise en Algérie. Il prit le soin de m’indiquer la liste et les adresses de commerçants. Un terrain en cadeau J’ai pris la commande, quarante conteneurs de café. Mon contact me ramena un sac d’argent : «Tu payes avec ça, le compte est bon.» A mon retour à Alger, j’ai rendu visite à mes employés au square Port-Saïd et j’ai fait les calculs de mon business. La récolte était bonne : dix millions de francs français. Je n’ai plus revu mon premier contact. Un autre a pris le relais, Daoud. J’ai appris plus tard que Daoud était commandant dans l’armée. Je recevais les ordres et j’appliquais à la lettre ses instructions. En guise de remerciement, un lot de terrain à Kouba m’a été offert. Malgré tout, je n’étais pas tranquille. Mais je devais continuer, je ne pouvais plus faire marche arrière. J’ai multiplié les déplacements à Marseille, d’autres agents prenaient attache avec moi. Ce n’était en vérité que des intermédiaires de généraux que j’allais rencontrer plus tard. J’importais mes premiers conteneurs de café et de légumes secs sans déranger le business des généraux. Eux, à coup de milliards, déversaient des tonnes de sucre, de blé, de bois au port d’Alger. Je me suis aperçu qu’à Marseille je n’étais pas le seul à faire ce «travail» pour le compte des hauts gradés. Je voulais voler de mes propres ailes. Alors avec des associés, nous avons recruté des proches et nous les avons placés à des postes sensibles, dans la justice, la police, les douanes, les ministères et au sein même de l’armée. Les généraux pour lesquels nous sous-traitions n’ont affiché aucun refus et se sont mis à les installer dans leur nouveau poste. Impossible de reculer Ils étaient trop occupés pour se rendre compte de ce que nous complotions. Les opérations d’importation continuaient et nous nous occupions de l’écoulement des marchandises dans le marché. Pour cela, on avait mis en place un vrai circuit de distribution. Les marchés de Tadjenent, El Eulma, El Hamiz, Barika et Semar recevaient des marchandises importées du monde entier. Nous les gérions par la manière forte et personne ne pouvait nous concurrencer. Nous bénéficions des largesses du pouvoir et nous, nous nous servions comme nous voulions en lots de terrain et en appartements. Et pour couronner le tout, des permis de port d’arme nous ont été délivrés par la police, terrorisme oblige, mais aussi pour les affaires. Au square Port Saïd, nous recrutions des jeunes de nos patelins. Nous montions en grade et nos noms étaient sur toutes les lèvres. Des hommes politiques de toutes les obédiences et même des hauts responsables de l’Etat s’ajoutaient à notre cercle de connaissances. Nous déléguions leurs transactions à des personnes tiers. Pour protéger nos clients et garantir leur anonymat, nous avons établi des registres de commerce sous de faux noms, de fausses adresses, au nom de personnes décédées ou qui souffrent de troubles mentaux ! Je sais, je sais, nous avons trahi le peuple. Mais nous ne pouvions pas reculer, le coup est parti. Un jour, je rendis visite à un général qui n’est plus de ce monde aujourd’hui. Ce jour de brume, il me parla politique, d’un général pour lequel les affaires semblaient ne plus marcher, d’une bourde qu’il aurait commise, d’un président mou et gênant. Des intrigues, encore des intrigues. Je ne comprenais pas son discours, ni ses confessions ni d’ailleurs la raison qui l’a poussé à me parler de cela. J’appris plus tard, en Suisse, que Liamine Zeroual avait démissionné. Un agent de l’ambassade est venu me voir et me demanda de procéder comme prévu au versement. Une berline grise fut mise à ma disposition. J’ai été hébergé chez un ami importateur qui venait d’acquérir un hôtel à Genève. Je suis resté quatre mois dans sa maison, où confort et luxe s’entremêlaient. Cevital et Khalifa J’ai eu droit à un massage thaïlandais, des sensations auxquelles mon corps et mon esprit n’avaient jamais goûté. Maintien ou limogeage du président, cela ne m’évoquait plus rien. Mais devant l’insistance de mon ami, je compris l’enjeu, moi qui n’étais pas politisé. «As-tu entendu parler de Bo^^^^^ika ?» me demande le haut gradé. «Non», ai-je répondu tout de suite. «Si le vent le ramène par là, je te le présenterai», me dit-il. Cela ne s’est jamais passé. De retour à Alger, j’ai rendu visite à ma mère, très malade. Grâce à mes connaissances, elle a été hospitalisée à l’hôpital militaire de Aïn Naâdja. Mes enfants avaient grandi, ils avaient quitté l’école et je leur ai confié la gestion des stocks et la vente directe aux grossistes. Ils ont pris la température et ont compris que leur père n’était qu’un grand baron du change de devises et de l’importation. De quoi leur donner fierté et orgueil. Mais au fond, j’étais toujours morose. J’ai accompli le hadj avec un général de l’armée. Depuis, je m’appelle «El Hadj». C’était à l’époque la mode, tout le monde avait pour nom «El Hadj». Se faire appeler ainsi était devenu une protection et assure l’anonymat. Dans les salons, on ne parlait que de Bo^^^^^ika, futur président. Il nous a été présenté comme le messie. «Ne craignez rien, vos affaires sont à l’abri», nous rassurait-on. Justement, on parlait beaucoup de business en haut lieu. Des groupes industriels et financiers émergeaient et prenaient de l’ampleur : Blanky, Cevital et Khalifa étaient considérés pour nous comme une menace. Ce qui s’est confirmé par la suite. «amis» protecteurs Certains ont commencé à parler investissement et cela nous a beaucoup dérangés ! Nous avons décidé alors d’agir et de surveiller toutes les transactions aux ports et d’identifier leurs fournisseurs à l’étranger. Entre-temps, nous avons inondé le marché de marchandises à bas prix. Pas de place pour les intrus. Nous avons fait de Dubaï notre nouvel Eldorado. En France, le jeu était devenu trop dangereux et de nouveaux acteurs arrivèrent. On parlait de gros investissements français en Algérie et nos «amis» généraux se tournaient leurs pourvoyeurs. Khalifa est ensuite devenu le copain des hauts responsables de l’Etat. Quelque chose se tramait alors que nos contacts commençaient à nous lâcher. Nous l’avons vécu comme une trahison, un drame. L’entourage du président avait fermé le jeu. Mais nous avons vite réagi. Une crise alimentaire se profilait alors à l’horizon, l’arrêt de l’importation en masse des produits de première nécessité allait provoquer une crise, surtout à la veille du Ramadhan. Nous avons relancé nos circuits et l’équation du jeu du pouvoir ne pouvait plus se faire sans notre consentement. Khalifa a été notre premier objectif. Grâce à nos contacts, nous avons réussi à prendre attache avec l’entourage du président et ses conseillers les plus proches. Khalifa, suite au lobbying d’un conseiller à la Présidence ainsi que d’un haut responsable militaire, ouvrit la ligne Alger-Dubaï. Dubaï business Une nouvelle aubaine, le transfert d’argent vers l’étranger allait enfin reprendre, les milliards que nous avions engrangés pouvaient enfin circuler ailleurs. Le vol inaugural avait connu un engouement particulier. Sur la liste des voyageurs, il y avait des noms, bien connus, qui sont devenus nos amis. Les réseaux ainsi tissés, le business reprenait de plus belle. Nous avons alors effectué des placements dans des banques et avons procédé à l’achat de biens immobiliers. Nous avions tous des téléphones cellulaires ATM. Nous avons consolidé les marchés sous notre houlette. L’Algérie ne manquait de rien. Nos informateurs, placés un peu partout dans l’administration, nous ont appris que de nouvelles têtes émergeaient dans le business. Il ne s’agissait en fait que des conseillers du président, des chefs et des décideurs politiques. L’essence de leur politique : «L’argent est le pouvoir». Nous avons alors participé à leur financement, le RND, le FLN et le MSP. Ces derniers étaient les plus loyaux, leur business passait par nous. Les politiques étaient là pour nous défendre. Et même si le gouvernement tentait de promulguer des lois à l’encontre de nos intérêts, ça bloquait, grâce à nos amis, qui étaient en contrepartie généreusement remerciés. «Un sale jeu» Mais l’entourage du Président, ambigu et barricadé, était difficile d’accès. Heureusement que nos amis militaires étaient là pour nous aider. Entre-temps, Abdelmoumen Khalifa prenait de l’ampleur et dérangeait : on le vit à la télévision en compagnie du Président. Du jamais vu ! Pendant ce temps, la Kabylie était en feu (événements de 2001), nos amis militaires étaient préoccupés par la situation et ne donnaient aucun signe. Après la Kabylie, il «fallait en finir avec la bête». L’affaire Khalifa a alors éclaté. Nous avons appris que Khalifa s’était trop éloigné des deux clans au pouvoir et avait échappé à leur contrôle. Il fallait des boucs émissaires et la justice s’en est occupée. C’était le début de la guerre des clans. Mais pour nous, les affaires reprenaient dans l’ombre. Nous tenions toujours debout, car, au pouvoir, ils ont tous compris que sans nos services le trafic et les affaires n’auraient pas lieu. Au square Port-Saïd, des nouveaux clients apparaissaient, des investisseurs étrangers pour la plupart (tunisiens, syriens, égyptiens, libanais...), tous liés à Djezzy, pour acheter des euros. De très hauts cadres de l’Etat continuaient à nous solliciter pour le transfert d’importantes sommes d’argent… Mais le jeu est devenu de plus en plus sale. Dangereux. J’ai alors décidé de me montrer plus discret et j’ai accompli un autre hadj. Je voulais être loin. Maintenant, la location de mes biens immobiliers me suffit. Mes enfants ont pris le relais, mais ils ont été rattrapés par d’autres gens, beaucoup plus féroces. Ils font à leur tour ce que leur père n’aurait jamais dû faire : le business de l’argent sale ! Le jour où vous ne verrez plus de «cambistes» au square Port-Saïd, on pourra alors dire que l’Algérie a changé ! Elwatan
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Ils sont peu nombreux! Espérons que la tempête ne va pas revenir on a assez des scènes de pillages
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Diegol fait seulement circuler des rumeurs vous croyez que Ben Ali va céder le pouvoir aussi facilement sans effusion du sang? Pour nous! c'est une autre histoire que les tunisiens
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Mystérieux coups de feu lors d’un meeting des archs Pour dissuader des groupes de jeunes qui voulaient empêcher la tenue d’un meeting initié mercredi 12 janvier à 15 h à la maison de la culture de Tizi Ouzou par d’anciens animateurs des archs, un des organisateurs a tiré deux coups de feu en l’air, a confié à TSA un témoin oculaire. Selon notre source, les deux mystérieux coups de feu ont été tirés par un des organisateurs du meeting, un individu très connu à Tizi Ouzou. Il a tiré au moment où les services de l’ordre intervenaient pour dissuader un groupe de jeunes venus du quartier « les Kadi » pour empêcher la tenue du meeting qui visait à exhorter les jeunes de la ville à ne plus s’impliquer dans les émeutes, et particulièrement dans les opérations de saccage et de pillage comme cela a été le cas durant le week-end dernier. C’est au moment où la maison de la culture Mouloud Mammeri a été prise d’assaut par les émeutiers qui voulaient à tout prix empêcher ce meeting qualifié de « manipulation de Said Bo^^^^^ika via ses relais locaux » que l’individu en question, bien connu des services de sécurité et de la population locale depuis les événements de Kabylie 2001-2003, a exhibé une arme de poing avant de tirer les deux coups de feu en l’air. Renseignement pris, les services de sécurité, d’ailleurs étonnés, ignoraient complètement que l’individu en question était armé. Les services de l’ordre dépêchés sur les lieux pour éviter un affrontement entre les deux parties avaient préféré se lancer dans une opération chasse à l’homme contre ceux qui voulaient empêcher le meeting protégeant ainsi celui qui a usé illégalement d’une arme à feu.
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Utilisez un vpn comme relakks et tout rentrera dans l'ordre
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Ils ne savent pas que des proxy existent pour contourner la censure
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Le calme est revenu en Algérie et particulièrement en Kabylie Les casseurs ont cassé le mouvement et l'ont détourné vers un autre débat
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C'est des policiers en civile qui se fondent parmi les émeutiers ils ont déja par le passé utilisé cette méthode
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Et a Tizi Ouzou est ce que les émeutes continuent toujours (ce soir)?
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Alger a commencé les émeutes et les autres sont entrain de continuer...... Apparemment dans l'algérois aujourd'hui c'est le calme total
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Où et quand a Tizi par exemple c'est seulement des partis de Tennis entre les émeutiers et la CNS (qui laissent faire)
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Aujourd'hui c'est le drapeau vert (calme) a Alger .......... Espérons que avec la rentrée des lycéen et étudiant ça restera calme aussi sous peine de voir l'armée entrer dans l'arène
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- algérie
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