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algérien_dz

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Tout ce qui a été posté par algérien_dz

  1. La fibre optique est sur toutes les lèvres ces derniers temps dans nos contrées, notamment grâce à Free qui prévoit d'offrir une ligne très haut débit à un maximum de clients. Cependant s'il y est un pays en avance sur la fibre optique avec la Corée, c'est bien le Japon. Alors que déjà une poignée de millions de Nippons surfe sur ce type de ligne, le géant NTT, Nippon Telegraph and Telephone, a annoncé la semaine dernière à Cannes avoir atteint la vitesse de 14 Terabits par seconde, ceci sur une distance de 160km. Dépassant l'ancien record de 10,2Tbits/s précédemment établi par Alcatel, il faut réaliser que 14Tbits/s correspondent à une ligne unique (théorique) de 1750Go/s ou bien 140 000 lignes à 100Mb par exemple. Bien entendu, une telle ligne n'est pour le moment pas viable concrètement, du fait des coûts terriblement élevés imposés par une telle ligne, il ne s'agit donc que d'un record expérimental. Mais ce n'est qu'une question de temps. Utilisant des lignes à 1 Tbps via des canaux de 10Gbps pour le moment, NTT a utilisé cette fois 140 canaux de 111Gbps pour atteindre ce record. Et c'est bien dans ces canaux de 111Gbps qu'il faut noter la prouesse et les conséquences dans l'avenir qui peuvent en découler. Même si les 14Tbps ne sont pas encore à l'ordre du jour, NTT avoue avoir finalisé les tests d'une ligne unique de fibre optique à 10Tbps, ce qui reste malgré tout impressionnant, puisque cela revient à une ligne (théorique) de 1250Go/s ou 100 000 lignes à 100Mb/s, et donc un million à 10Mb/s. Nous n'avons pas fini d'entendre parler de la fibre optique.
  2. Contactez la direction générale, ça ne coûte rien et ça fait avancer les choses contact@algerietelecom.dz ALGERIE TELECOM SPA Siège Social : Route Nationale n°5, Cinq Maisons, Mohammadia 16130 Alger Tél: (213) (21) 82.38.38 FAX: (213) (21) 82.38.3 dites-leur qu'on veut une augmentation du débit actuel.
  3. Contactez la direction générale, ça ne coûte rien et ça fait avancer les choses contact@algerietelecom.dz ALGERIE TELECOM SPA Siège Social : Route Nationale n°5, Cinq Maisons, Mohammadia 16130 Alger Tél: (213) (21) 82.38.38 FAX: (213) (21) 82.38.3 dites-leur qu'on veut une augmentation du débit actuel.
  4. Et ben faites la révolution (C'est la seule solution à l'heure actuelle)
  5. et l'engorgement du réseau n'en parlons pas... à cette heure-ci tous les réseaux d'AT souffrent
  6. Fibre optique: STATISTIQUES DU RESEAU NATIONAL EN FIBRE OPTIQUE Les reseaux d'Algerie télécom: LE BACKBONE NATIONAL Backbone Djaweb ALGERIE TELECOM en chiffres: TELEPHONIE Equipements d'abonnés : 5.128.262 Nombre d'abonnés fixe : 2.922.731 Demande en instance : 53471 Densité telephonique globale en Algérie Fixe : 9,13 %. RESEAU COMMERCIAL 166 Agences commerciales des télécommunications (ACTEL). 110 Divisions commerciales . 212.040 lignes Kiosques Multiservices (KMS). 4.425 Taxiphones RESEAU DE TRANSMISSION Réseaux public de transmission de données par paquets X25 (DZPAC) :6.206 acces Backbone national de transmission à 10 GB/s, 2,5 GB/s, et 80 GB/s en cours de réalisation. Réseau radio rural : 103 reseaux integrant plus de 1500 localites 961 communes (APC) rattachées en fibres optiques ALGERIE TELECOM MOBILE (MOBILIS) Plus de 9 millions d'abonnés actifs. ALGERIE TELECOM SATELLITE (ATS) 47 stations terriennes domestiques. 04 stations internationales. 01 station côtière INMARSAT. 02 réseau VSAT. Mobile par satellite (GMPCS) : Provider THURAYA en Algérie avec 1400 abonnés. RESEAU INTERNATIONAL Liaisons sous marine à fibre optique reliant l'Algérie au réseau mondial de télécomunications ALPAL II + SEA ME IV. INTERNET DJAWEB 7.000 Acces RTC. 3.000 Acces liaisons Specialisées. Ce qui permet d'offrir des services à 100.000 clients. 4 046 cybercafés 35 ISP Internet Provider Services 1500 000 Utilisateurs Internet en Algerie EFFECTIF AT Effectifs par categorie socio-professionnelle(En savoir plus) Répartition des Effectifs par ancienneté (En savoir plus) Répartition des Effectifs par tranche d 'age (En savoir plus) AUTRES CHIFFRES Rattachement de 11.148 établissements scolaires au reseau telephonique (internet) sur un total de 21 233 . Informatisation des bureaux de postes : 3023 sur un total de 3282 GESTION TECHNIQUE DU RESEAU : Durée moyenne de raccordement d'abonnés : 45 jours Taux moyen de relevé de dérangement : 0,8 soit l'equivalent de moins d'un dérangement par an.
  7. L‘avis de la HFEA, l’autorité britannique de régulation en matière d’embryologie et de fécondité humaine, était très attendu ce jeudi. Les chercheurs qui veulent utiliser des ovocytes d’origine animale pour créer des embryons à partir d’ADN humain, craignaient un refus. Ils sont en partie soulagés : les experts ne se prononcent pas contre la création de ces embryons hybrides mais souhaitent que la question soit davantage débattue avec les spécialistes et le public avant de la trancher. Deux équipes, l’une du Kings College de Londres, l’autre du NESCI (North East England Stem Cell Institute) de Newcastle, ont demandé l’autorisation de créer des embryons en implantant le noyau d’une cellule humaine dans un ovocyte énucléé de vache ou de lapine. L’objectif est d’obtenir un embryon porteur d’une maladie génétique afin de pouvoir étudier son développement dès le début. Les embryons ainsi créés servent à extraire des lignées de cellules souches et sont détruits au bout de deux semaines de développement. Ce type de recherche est autorisé en Grande-Bretagne à partir d’ovocytes humains. Cependant il est difficile de s’en procurer et les chercheurs ont décidé de contourner l’obstacle en utilisant des ovocytes d’origine animale. L’embryon ainsi obtenu serait à 99% humain et ne conserverait de l’animal que sont ADN mitochondrial (présent dans la cellule et non pas dans le noyau). En décembre, un document publié par le gouvernement britannique préconisait l’interdiction de ce type d’hybridation. Les chercheurs ont expliqué que l’avenir de ce domaine de recherche était compromis. Dans l’avis publié aujourd’hui, la HFEA explique que la loi n’interdit pas ces manipulations. Cependant, étant donné le poids des enjeux scientifiques et éthiques liés à cette question, l’autorité préfère organiser une vaste consultation auprès des experts scientifiques, des groupes d’intérêts et du public avant de donner son avis définitif. La consultation devrait s’achever à l’automne 2007.
  8. Prenez note dans votre agenda, le samedi 3 mai prochain, le Montréalais Denis Bystrov vous invite à éteindre votre ordinateur pour toute la journée. Lancée l'an dernier sous l'appellation Shutdown Day, l'initiative sert à conscientiser la population sur la trop grande importance des produits électroniques dans nos vies. Pensez à l'ordinateur, mais également aux consoles de jeux vidéo ou aux téléphones cellulaires. Selon les organisateurs de la journée, 65 000 personnes ont éteint leurs appareils l'an dernier.
  9. Les cours du baril de pétrole ont légèrement baissé aujourd'hui à New York, sur des prises de bénéfices, après être montés à 115,54 dollars, un nouveau record historique. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en mai a fini à 114,86 dollars, en baisse de 7 cents par rapport à leur clôture mercredi. "Les investisseurs reprennent leur souffle et empochent leurs gains", a expliqué Eric Wittenauer, stratège chez Wachovia Securities. "Mais cette pause n'augure pas d'un mouvement de repli des cours, car les facteurs haussiers demeurent", a toutefois ajouté l'analyste. Source: AFP
  10. Les émeutiers ont ouvert les hostilités par des jets de pierres, puis ont commencé à saccager et à mettre le feu à plusieurs institutions, notamment le tribunal de Gdyel, l’agence CNAS et le bureau d’Algérie Poste. Le siège du tribunal a subi de gros dégâts ainsi que le siège de la CNAS, tous deux incendiés. Quant au bureau de poste, les dégâts y sont encore plus importants, puisque les émeutiers se sont introduits à l’intérieur, ont saccagé les locaux, jeté le matériel à l’extérieur et y ont mis le feu. D’autre part, les manifestants se sont dirigés vers des locaux commerciaux construits dans le cadre des 100 locaux par commune et récemment attribués, qu’ils ont également saccagés. Pour sa part, la prison de Gdyel n’a pas échappé à la colère des émeutiers, qui ont pris pour cible la façade. En outre, un véhicule, une Renault 4, en stationnement devant le portail de la prison, a été incendié par les manifestants. Après plus d’un heure de violence, les brigades anti-émeutes de la police, dépêchées en force sur les lieux, ont réussi à disperser les émeutiers fort nombreux et réduire l’étendue des troubles. Des brigades de la Protection civile ont été également dépêchées sur les lieux. D’ailleurs, ils ont eu à s’occuper de plusieurs blessés chez les policiers et les émeutiers. L’intervention des forces de l’ordre a conduit à l’arrestation de plusieurs émeutiers. On ignore, pour l’instant, le nombre des personnes arrêtées. Le chômage mis en cause Quant aux raisons qui ont été à l’origine de ces émeutes, plusieurs versions sont avancées. Certains émeutiers protestaient contre l’attribution récente de locaux commerciaux. Selon eux, « ces locaux ont été attribués sans équité et sans transparence aucune. Des jeunes se trouvant dans le chômage depuis longtemps, et réunissant tous les critères, n’ont pas bénéficié de ces locaux ». D’autres émeutiers, parlant également de chômage, montrent du doigt une entreprise nationale basée à Gdyel, mais qui ne recruterait pas parmi les habitants de la localité en question. D’autres encore réclament l’installation d’une agence de recrutement dans la ville, une antenne de l’ANEM, à l’instar de la daïra voisine d’Arzew. Vers 20 heures, des renforts ont commencé à affluer vers la ville de Gdyel, cette fois-ci des brigades anti-émeutes de la Gendarmerie nationale, qui se sont déplacés en force sur les lieux des émeutes. En début de soirée, la situation était toujours tendue à Gdyel et les forces de l’ordre sur le qui-vive.
  11. Le chômage est le premier facteur incitatif à l'émigration clandestine, indiquent les résultats préliminaires d'un sondage présenté jeudi à Oran (ouest de l'Algérie) au cours du colloque national consacré à ce phénomène, a rapporté l'agence de presse algérienne APS. Sur 235 jeunes, 312 personnes sondées (dont 53 femmes) dans 26 communes de la wilaya (département) d'Oran estiment que le chômage constitue la principale cause de l'émigration clandestine. En plus du chômage, les proportions les plus larges de l'échantillon questionné dont l'âge varie de 16 à plus de 35 ans, mettent également en cause "la pauvreté, la cherté de la vie, la perte de confiance en l'administration et la recherche d'une vie meilleure", selon des spécialistes. La moitié des sondés ont affirmé être tentés par l'émigration clandestine estimant qu'on n'a aucune solution face aux problèmes susmentionnés, et les jeunes souhaitent surtout l'amélioration en matière d'emploi et de niveau de vie.
  12. La colère monte en Algérie. Selon des informations obtenues par toutsurlalgerie.com auprès de source proche des services de sécurité, le pays enregistre depuis le début de l’année 2008 une moyenne de deux à trois émeutes par jour. Elles vont d’un simple blocage d’une route nationale pendant plusieurs heures à des affrontements violents avec les forces de sécurité qui font parfois de nombreux blessés. Toutes les régions du pays, y compris le sud habituellement calme, sont concernées. «Ces émeutes sont recensées par les services de sécurité, mais souvent elles ne sont pas rendues publiques car elles se déroulent dans des zones éloignées des grandes villes où la presse n’a pas forcément accès. Elles restent circonscrites à de petites zones et ne se propagent pas» comme cela a été le cas en Kabylie en 2001, explique notre source. A chaque fois, les revendications des émeutiers sont presque les mêmes. Les manifestants réclament du travail, une amélioration de leurs conditions de vie, ou dénoncent la corruption des responsables locaux…Plus inquiétant, depuis quelques jours des gestes de désespoir ont fait leur apparition : un jeune qui se coupe le sexe pour protester contre le chômage, un autre qui se mutile le corps pour attirer l’attention sur sa situation désespérée, un troisième qui tente de s’immoler pour les mêmes raisons… Fin mars, le pays a frôlé la catastrophe lorsque des émeutes ont éclaté à Ghardaïa. Une altercation entre deux adolescents s’était en effet transformée en une véritable bataille rangée entre les jeunes de la tribu M’zab et ceux d’El-Arouch arabe, habitant Beryane. « Heureusement que des sages des deux tribus sont intervenus pour calmer les esprits. Si la situation avait dégénéré à Ghardaïa, c’est tout le sud du pays qui se serait embrasé. La situation aurait pu devenir catastrophique», reconnaît une source proche du gouvernement. Dans ce contexte, le risque d’émeutes simultanées qui embraserait l’Algérie existe-t-il ? Pour éviter une telle situation, le pouvoir a opté pour une méthode qui semble donner des résultats encourageants : ne plus réprimer violemment les manifestations. Contrairement aux événements de Kabylie, début 2000, les forces de l’ordre ont été instruites afin d’éviter d’affronter les émeutiers, sauf en cas de nécessité absolue, comme une menace sur des édifices publics. Pour sa part, la justice a été priée de se montrer indulgentes à l’égard des casseurs. Le pouvoir espère ainsi éviter une propagation des émeutes sur des régions entières
  13. C’est la deuxième fois en moins d’un mois qu’en France, la communauté musulmane est visée par des actes racistes. Il y a quelques jours la nécropole militaire d’Albain Saint Nazaire dans le département du Pas de Calais avait été maquillée de peintures et des stèles renversées. Auparavant, c’est un lieu de culte musulman situé dans la ville de Barr dans le Bas Rhin (est de la France) qui a été visée par des inscriptions à caractère raciste sur ces murs. A chaque fois le gouvernement français a exprimé son émotion devant ces actes. Et l’actualité française fournit en écho un autre exemple aussi lamentable d’un racisme qui ne dit pas son nom. Un enfant âgé de 9 ans n’a pas été retenu pour participer à un jeu télévisé en raison…de son prénom. Le petit Islam allait être choisi pour l’émission In Ze Boite diffusée sur la chaîne Gulli (propriété du groupe Lagardère), quand des employés de la société de production ont dit à sa mère qu’il allait devoir changer de prénom « car il représentait une religion qui n’est pas aimée des Français ». Les parents de l’enfant ont annoncé leur intention de porter plainte et la secrétaire d’État à la Ville Fadela Amara a fait part de son écoeurement en déclarant que cette affaire était « dégueulasse ».
  14. Plusieurs associations françaises viennent de lancer une pétition pour la liberté religieuse en Algérie en soutien aux chrétiens de ce pays dont la pratique cultuelle est rendue difficile depuis plusieurs mois, a annoncé dans un communiqué le Comité protestant évangélique pour la dignité humaine (CPDH). Il s'agit notamment, précisent les associations, d'exprimer le soutien des chrétiens français à ceux d'Algérie et d'informer parlementaires et citoyens français sur la question de la liberté religieuse dans ce pays. Elles citent plusieurs cas de fermeture d'églises et de temples, d'accusations de prosélytisme ainsi que l'expulsion récente du pasteur Hugh Johnson, ancien président de l'église protestante d'Algérie, dont le titre de séjour n'a pas été renouvelé alors qu'il a vécu là pendant 45 ans. Les associations rappellent que le christianisme existe en Algérie depuis le Ier siècle après JC. Elles estiment le nombre de chrétiens à 11.500, dont 10.000 protestants et 1.500 catholiques, pour une population totale de 33 millions d'habitants. Le texte de la pétition est accessible sur les sites internet des associations qui en ont pris l'initiative : l'Alliance évangélique française, la Mission portes ouvertes, le Collectif Algérie, l'Association franco-kabyle pour la culture Tafat Umasihi et le Comité protestant évangélique pour la dignité humaine.
  15. que du khorté, peut-être une baisse globale des prix mais si eepad augmente le débit alors AT devrait suivre à mon avis... wait and see
  16. Oui modem Ethernet Ping dans les 52 Ms minimum / des fois La connexion est indisponible le Week end. Prix 3000 DA/mois Plus d'informations: http://www.algerietelecom.dz/?p=tela_plus
  17. Les vols de câbles téléphoniques ont connu une nette recrudescence ces derniers mois. Les services de la Gendarmerie nationale de la wilaya d’Oran ont saisi 30 tonnes de câbles téléphoniques au cours du premier trimestre de l’année en cours. Selon le commandant du groupement de la wilaya d’Oran, Algérie Télécom est en phase de mettre en place un système d’alarme pour protéger ses câbles de cuivre. Le système en question, ajoute-t-on, permettra de localiser les lieux où les câbles ont fait l’objet de coupure avant d’avertir les unités de la gendarmerie pour intervenir. «Elles consistent en l’installation d’un système d’alerte au niveau du réseau qui permettra de déterminer avec exactitude le point du vol et permettre ainsi à nos unités d’intervenir rapidement et efficacement et réduire ce phénomène», précise-t-on Les vols de câbles téléphoniques ont connu une nette recrudescence ces derniers mois, indiquera le même officier. Les gendarmes de la capitale de l’Ouest ont procédé à la saisie de quantités importantes de ces câbles lors de patrouilles ordinaires. Le bilan de la Gendarmerie nationale fait état de quatre affaires de vol de câbles téléphoniques, mettant en cause 11 personnes dont 9 ont été écrouées, depuis le début de l’année en cours. Le même bilan révèle la récupération de 1120 mètres de câbles de téléphone volés et dissimulés dans un entrepôt. Les éléments de ce corps de sécurité ont saisi également 2,52 tonnes à Messerguine et 30 quintaux dans la localité d’El Kerma. Pour faire face à ce phénomène de vol de câbles qui touche, en outre, d’autres entreprises nationales à l’exemple de la Sonelgaz et la Sntf, le commandant du groupement de la gendarmerie de la wilaya d’Oran, fera part de l’intensification des patrouilles au niveau des endroits isolés. Ces derniers constituent les terrains d’action de prédilection des voleurs de cuivre et autres métaux. Lequel officier estimera, par ailleurs, que lesdites entreprises doivent faire plus d’efforts pour protéger leurs installations. Sur un autre registre, le bilan souligne que les opérations de recherche, effectuées ces derniers jours par les unités de la Gendarmerie nationale dans les différentes localités de la wilaya d’Oran, ont procédé à la saisie de huit quintaux de produits de contrebande. Ces produits vont des produits alimentaires aux effets vestimentaires. Ces marchandises ont été confiées aux services des Douanes algériennes.
  18. A Bordj-Bou-Arreridj, un jeune homme de 23 ans a décidé de se mutiler le sexe pour protester contre sa dure condition de chômeur. Un geste « de colère et de désespoir», selon ses proches. Le jeune mutilé appartient à une famille pauvre de huit enfants, dont seul l'aîné n'est pas au chômage. Une famille presque normale en Algérie, où le chômage touche, selon des chiffres officieux, plus d'un tiers de la population en âge de travailler. En Algérie, se couper le sexe à 23 ans, c’est se tuer un peu. Ce geste de grand désespoir, inédit en Algérie, coïncide avec l'annonce par Sonatrach d'un chiffre d'affaires à l'exportation record pour le premier trimestre de l'année 2008, avec des recettes de 19 milliards de dollars. Il coïncide également avec l'inauguration par la société nationale des hydrocarbures d'un nouveau siège flambant neuf dont la construction a coûté plusieurs centaines de millions de dollars – 500 millions, selon nos sources. Enfin, le geste du jeune chômeur intervient quelques jours après l'annonce par la Banque d'Algérie d'un nouveau record de réserves de change, avec plus de 110 milliards de dollars dans les caisses. Il serait trop simple de lier tous ces événements. Mais une chose est sûre : ils se sont produits dans un seul pays, l'Algérie. Dans un pays où des dirigeants coupés des réalités célèbrent de faux succès obtenus grâce à une hausse inespérée des prix du pétrole sur les marchés internationaux. Des dirigeants qui expliquent à leurs interlocuteurs occidentaux qu'ils veulent faire de l'Algérie une puissance régionale, la seule du Maghreb. Mais des dirigeants incapables de proposer des solutions crédibles pour non pas partager ces richesses mais au moins bien les utiliser, pour que les Algériens puissent en profiter. Et, de l'autre, une population livrée à elle-même, désespérée de continuer de vivre pauvre, incapable de trouver un travail dans un pays qui se prétend riche. C'est sans doute ces contradictions qui poussent nos jeunes à commettre des actes de désespoir : affronter les balles des forces de l'ordre pendant les émeutes, tenter de traverser la Méditerranée à bord d'une embarcation de fortune de nuit et en pleine tempête ou se couper le sexe.
  19. Son taux est estimé à 84% L’organisation Business Software Alliance a révélé que le taux de piratage des logiciels en Algérie est estimé à 84%. Cela fait de l’Algérie le premier pays dans le monde arabe à utiliser des logiciels piratés. La Ligue arabe se réunira au mois d’octobre prochain pour étudier ce phénomène. Elle a décidé d’accélérer le rythme de son travail contre ce que ses responsables ont qualifié de fléau du vol de la propriété intellectuelle, le piratage et la contrefaçon, qui coûtent au monde arabe une perte estimée à plus de 50 milliards de dollars par an. La Ligue arabe tiendra du 19 au 21 octobre 2008, le premier forum arabe pour la protection du consommateur et des marques commerciales. Selon les statistiques de la Ligue arabe, l’Algérie occupe la première place dans le monde arabe, pour ce qui est de moyenne de piratage de logiciels, avec un taux de 84%. La Tunisie vient en deuxième position avec 79%, puis le Liban, 73%. Le taux le plus faible de piratage de logiciels a été enregistré aux Emirats arabes unis, avec un taux de 35%. L’Algérie enregistre depuis quelques années une augmentation du nombre de logiciels piratés via Internet. On doit noter que quelques compagnies ont déjà soulevé ce problème et que l’entreprise américaine Microsoft a déposé plainte contre l’utilisation des logiciels de piratage.
  20. Des chercheurs de l'université de l'Illinois ont entrepris de démontrer cette semaine qu'il était possible d'ouvrir une porte dérobée dans un ordinateur en s'attaquant directement à son microprocesseur au moyen d'un composant physique, alors que les tentatives d'intrusion dans un système informatique passent habituellement par l'exploitation ou la création de failles et de portes d'entrée au niveau logiciel. Assisterons nous bientôt à des attaques informatiques dignes des films d'action à grand spectacle, où le simple fait de greffer un petit composant sur une carte mère permet de prendre le contrôle de tout un système d'information ? Samuel King, en charge de ces travaux, et son équipe partent du double constat suivant : primo, les défenses logicielles sont de plus en plus difficiles à franchir, et l'énergie à dépenser pour y parvenir rend l'intrusion nettement moins intéressante. Secundo, les grandes entreprises et administrations, principales cibles d'attaques de hackers, s'équipent de plus en plus fréquemment auprès de grands distributeurs chez qui il est relativement aisé de s'introduire pour modifier une machine en toute discrétion. Dès lors, ils envisagent la mise au point d'une attaque, simple et efficace, basée sur une modification matérielle de la machine cible, et s'attellent à la mise au point d'une puce de test, surnommée Illinois Malicious Processor, capable d'altérer le fonctionnement d'un processeur pour ouvrir une brèche dans un ordinateur. Il a déjà été démontré avec succès qu'on pouvait attaquer un système au niveau matériel, mais les premières tentatives allant dans ce sens n'ont jamais permis de véritable intrusion. Tout au mieux autorisent-elles le vol de clés de chiffrement utilisées dans les protections de type AES, explique King. Pour aller plus loin, l'équipe a donc entrepris de mettre au point un dispositif capable d'accéder à des zones non protégées de la mémoire du système, puis d'y faire exécuter un micrologiciel de leur crû, capable d'influencer l'ordre de marche d'un processeur, sans altérer ni son bon fonctionnement, ni ses performances. Ce pan de code, expliquent-t-elle, est en réalité capable d'altérer certaines des portes logiques (fonctions logiques régissant le traitement des 0 et des 1 qui composent le langage binaire) utilisées par le processeur, ou de lui en adjoindre de nouvelles. A l'occasion d'une conférence en sécurité informatique, la « Usenix Workshop on Large-Scale Exploits and Emergent Threats », King et son équipe ont démontré la viabilité de leur méthode sur un processeur softcore Reste toutefois un obstacle de taille, accéder physiquement à la machine que l'on souhaite pirater. « C'est la porte dérobée parfaite », estime tout de même Samuel King, qui envisage maintenant d'étudier la façon dont ce type d'altération pourrait être détecté, afin de prévenir d'éventuelles attaques, bien réelles cette fois. Rassurons-nous : d'un processeur virtuel aux dernières puces multi-coeurs qui équipent aujourd'hui nos machines, la route est encore longue.
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