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(Agence Ecofin) - La 5G continue de s’étendre en Afrique. Selon l’Association mondiale des opérateurs de téléphonie (GSMA), elle devrait représenter 17% des connexions sur le continent à l’horizon 2030. L’Algérie compte se mettre à niveau dès cette année. L’Autorité de régulation de la poste et des communications électroniques (ARPCE) d’Algérie a lancé le jeudi 29 mai un appel d’offres pour attribuer des licences d’exploitation de l’Internet de 5e génération (5G). Selon les termes de son communiqué, trois licences seront accordées aux opérateurs déjà détenteurs d’une autorisation pour les réseaux mobiles, à savoir Mobilis, Djezzy et Ooredoo. L’objectif est d’amorcer le déploiement commercial de la 5G dans le pays tout en garantissant une mise en concurrence équitable entre les acteurs en place. L’ARPCE compte encadrer le lancement de cette technologie pour éviter les déséquilibres de marché, assurer la qualité de service et répondre à la demande croissante en connectivité à haut débit. « Les opérateurs intéressés doivent retirer le dossier d'appel d'offres auprès du siège de l'Autorité de régulation des postes et télécommunications, moyennant le paiement d'un montant de 1 million de dinars algériens [environ 7500 USD, Ndlr], par virement sur le compte de l'Autorité de régulation des postes et des télécommunications » indique le régulateur. Cette annonce fait suite à la déclaration en avril dernier du ministre de la Poste et des Télécommunications, Sid Ali Zerrouki, qui indiquait à la radio que les préparatifs techniques sont en cours pour permettre l’introduction de la 5G au second semestre 2025. Dans la foulée, Mobilis, le leader du marché algérien de la téléphonie mobile avec 43,70% de parts devant Djezzy (30,86%) et Ooredoo (25,44%), a annoncé avoir effectué des tests de la 5G à son siège à Alger. À terme, la 5G devrait permettre l’émergence de nouveaux services dans des secteurs comme la santé, l’industrie, la logistique ou encore l’éducation. Elle est également appelée à jouer un rôle structurant dans la transition numérique de l’économie algérienne. Les résultats du processus sont attendus dans les prochaines semaines. Ils permettront de connaître les conditions d’entrée de cette technologie sur le marché national, ainsi que les engagements des opérateurs en matière de couverture, d’investissements et de qualité de service.
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un agrement et de la paperasse encore et encore....pour passer au numerique...biensur
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Paiement en espèces : la Banque d’Algérie serre encore la vis. https://www.tsa-algerie.com/paiement-en-especes-la-banque-dalgerie-serre-encore-la-vis/ " L’Algérie accélère la mise en œuvre de sa stratégie numérique, visant notamment à réduire l’utilisation des espèces dans les transactions commerciales quotidiennes et à favoriser l’utilisation des modes de paiement électronique. Dans le cadre de la modernisation du système bancaire et financier, les Algériens pourront bientôt recourir facilement aux paiements électroniques dans leurs usages quotidiens. Après la promulgation du règlement fixant les conditions de création et d’agrément des prestataires de services de paiement (PSP), publié au Journal officiel N° 28, la Banque d’Algérie (BA) revient avec une instruction fixant les conditions d’exercice de ces nouveaux acteurs. Les PSP, un moyen efficace pour réduire le cash et favoriser le paiement électronique L’instruction n° 03-25 du 27 mai 2025, publiée par le régulateur, comprend en effet l’ensemble des conditions requises pour exercer l’activité de prestataires de services de paiement, qui vont jouer un rôle stratégique dans l’inclusion financière et la digitalisation des services bancaires. Le document a pour objet « de déterminer les éléments d’informations ainsi que les documents constitutifs du dossier joint à l’appui de la demande d’autorisation de constitution ou d’agrément des prestataires de services de paiement (PSP) », peut-on lire dans l’instruction. Pour obtenir l’agrément, le PSP doit notamment présenter « l’indication des services de paiement envisagés et leur éventuel impact sur la réduction de l’utilisation des espèces et le renforcement de l’inclusion financière ». L’objectif est donc clair. Il intervient dans le cadre de l’ambition de l’Algérie de réduire l’utilisation du cash dans les transactions financières quotidiennes des citoyens et des entreprises et de favoriser le recours aux moyens de paiement électroniques. Pour la concrétisation de cet objectif, les prestataires de services de paiement sont considérés comme un moyen efficace. L’instruction de la Banque d’Algérie est bien plus qu’un simple cadre réglementaire. Il s’agit plutôt d’une initiative majeure visant à encadrer l’activité de ces prestataires, tout en renforçant la sécurité et la transparence des transactions financières. Le règlement encadrant les PSP devra aussi instaurer plus de confiance parmi les utilisateurs des services de paiement électronique. L’Algérie accélère les procédures pour sortir de la liste grise du GAFI À ce propos, selon le document publié par la Banque d’Algérie, les PSP doivent, par exemple, définir leurs obligations « relatives à la prévention et à la lutte contre le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme et le financement de la prolifération des armes de destruction massive ». L’Algérie multiplie ainsi les mesures lui permettant de quitter « la liste grise » du Gafi, dans laquelle elle a été classée en octobre dernier. La création des prestataires de services de paiement est en réalité l’une des multiples mesures annoncées ou mises en œuvre dans le cadre de la lutte contre le blanchiment d’argent et de la dualité de change dans le pays. Les deux premiers secteurs ciblés par l’ensemble de ces mesures sont ceux de l’immobilier et de l’automobile, véritables réceptacles de l’argent issu des activités illégales et informelles. La Loi de finances pour 2025 interdit l’utilisation du paiement en espèces et impose le chèque ou le virement pour quatre types de transactions, dont justement l’immobilier et l’automobile. Le transfert de fonds depuis l’étranger, pour l’acquisition d’un bien immobilier par exemple, doit obligatoirement passer par le circuit bancaire, un autre coup dur pour le marché parallèle de la devise, dont le taux de change élevé est l’une des raisons du classement de l’Algérie dans la liste grise du GAFI."
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salam les amis voila c'est fait !! j'ai réussi à mettre le huawei optixstar en mode répéteur wifi , en gardant le meme ssid wifi et j'ai placé ce répéteur prés de la tv relié avec elle en rj45 , du coup je reçois sur ma tv (test débit de netflix) entre 75-85 Mbs , bien meilleurs que ce que je recevais avant en wifi (18-20 Mbs) j'avais juste une appréhension concernant la licence à vie de mon lecteur iptv smart one , j'avais peur qu'en changeant l'adresse mac (wifi vs filaire) l'appli ne marcherait pas .. bah .. à part le 1er lancement qui a été long , aprés ça marche normalement, et ma licence toujours active ! .. juste une dernière question dans mon modem ont fiberhome , j'ai coché cette option "enable" .. elle était "disable" .. je la laisse tel quel ?
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