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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 14/01/2011 dans Messages
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pas ici en tout cas, pas bientôt certainement ! le niveau culturel tunisien est bien plus élevé que le notre et surtout pas concentré dans quelques têtes et est plus générale nhar ywellou 3andna ness fahim de fahmin ( machi berk 9aryin), yefahmouna ennas et on pourra accomplir de grandes choses, kima pour éviter quelque commentaire a venir, je ne m'exclue pas du peuple et je tombe pas dans le piège du " ana khir menhoum ga3, alajalhoum on avance pas" on a tous nous qualités et nos défauts PS: dans le bus un homme m'a dit " el hamdoulleh ana jamais 9rit, yakhi etudiants habbeltouna ga3 ohhh"7 points
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Après les émeutes Barons de l'informel : 1 société civile : 0 Après les émeutes et les «solutions» du gouvernement, qui sort gagnant de ce bras de fer ? L'informel, selon plusieurs experts qui pointent la puissance de ses réseaux. «El Hadj», 56 ans, l'un des plus grands barons de l'informel algérien, se dévoile et met à nu un gigantesque engrenage mafieux. El Watan Week-end l'a rencontré. Il nous livre en brut ses explosives confessions. Mon âge, peu importe, je le compte en jours, non pas en années, car les jours pour moi ont une signification importante. A chaque jour son virage et pour d’autres, leurs tourments. Mon enfance ne m’évoque pas de souvenirs, à part celui de mon village. Je suis natif de Ferdjioua. Ma jeunesse, en revanche, est pleine d’aventures. A chaque jour, une rencontre. Et à chaque rencontre, une péripétie nouvelle. Peu avant les événements d’Octobre 88, je marchandais, rue de Chartres à la Basse-Casbah. Comme chaque matin, j’étalais ma marchandise, je saluais mes voisins et je hélais les clients : «Six serviettes à 1 DA !» Ce n’était pas chose facile, affronter ces regards, ces dames distinguées et ces vieux délicats. En 1989, j’ai été contacté par un officier de la Sécurité militaire qui se présenta alors comme émigré. Il me proposa une nouvelle activité, le change de devises, et de laisser tomber mon étal à la Basse-Casbah. Un business juteux puisque cela me permettait de gagner 1000 DA par jour. Une fortune inespérée pour moi qui gagnais à peine 200 DA la journée, somme insuffisante pour subvenir aux besoins de ma petite famille. La place de l’Opéra (square Port Saïd) devint mon nouveau territoire, la place financière la plus forte de toute l’Algérie, juste à côté du Palais de justice d’Alger. Le choix de la place n’était pas fortuit : c’est le carrefour entre la sortie de la gare routière, la gare des taxis et, le plus important, la sortie du quai des voyageurs du port d’Alger. 2 millions en urgence Je me suis installé au café mitoyen de l’hôtel Terminus, pas loin de la rue de la Liberté. Drôle ! Ou étrange. Une symbolique qui fera de cette place le signe du commerce informel où tout s’échange, se négocie, où tous les coups bas sont permis aussi. L’affaire devint florissante. Mon carnet d’adresses était rempli de clients potentiels, avec qui les rencontres étaient programmées à l’avance. Mon parrain venait en fin de semaine récupérer ses dividendes. Avant de disparaître. Un ami m’a alors prévenu : «Fais attention, c’est un agent !» Je décida de reprendre seul l’affaire, en recrutant autour de moi. J’ai rendu visite à mes anciens amis du marché de la rue de Chartres et je leur ai proposé l’affaire. Un soir maussade, mon parrain refit surface et me déclara : «Il faut arrêter de vendre les devises !» Sans la moindre explication. «Mon supérieur a besoin de deux millions de francs en urgence», m’a-t-il ensuite ordonné. Je me suis tout de suite exécuté. Une semaine après, j’ai remis le sac des «Pascals» à l’agent qui me proposa de partir à Marseille dans la semaine. Visa en poche, j’embarquai sur un vol Alger-Marseille d’Air France. A mon arrivée, une personne m’approcha et me demanda de le suivre. Il m’expliqua que je devais prendre attache avec des grossistes et envoyer la marchandise en Algérie. Il prit le soin de m’indiquer la liste et les adresses de commerçants. Un terrain en cadeau J’ai pris la commande, quarante conteneurs de café. Mon contact me ramena un sac d’argent : «Tu payes avec ça, le compte est bon.» A mon retour à Alger, j’ai rendu visite à mes employés au square Port-Saïd et j’ai fait les calculs de mon business. La récolte était bonne : dix millions de francs français. Je n’ai plus revu mon premier contact. Un autre a pris le relais, Daoud. J’ai appris plus tard que Daoud était commandant dans l’armée. Je recevais les ordres et j’appliquais à la lettre ses instructions. En guise de remerciement, un lot de terrain à Kouba m’a été offert. Malgré tout, je n’étais pas tranquille. Mais je devais continuer, je ne pouvais plus faire marche arrière. J’ai multiplié les déplacements à Marseille, d’autres agents prenaient attache avec moi. Ce n’était en vérité que des intermédiaires de généraux que j’allais rencontrer plus tard. J’importais mes premiers conteneurs de café et de légumes secs sans déranger le business des généraux. Eux, à coup de milliards, déversaient des tonnes de sucre, de blé, de bois au port d’Alger. Je me suis aperçu qu’à Marseille je n’étais pas le seul à faire ce «travail» pour le compte des hauts gradés. Je voulais voler de mes propres ailes. Alors avec des associés, nous avons recruté des proches et nous les avons placés à des postes sensibles, dans la justice, la police, les douanes, les ministères et au sein même de l’armée. Les généraux pour lesquels nous sous-traitions n’ont affiché aucun refus et se sont mis à les installer dans leur nouveau poste. Impossible de reculer Ils étaient trop occupés pour se rendre compte de ce que nous complotions. Les opérations d’importation continuaient et nous nous occupions de l’écoulement des marchandises dans le marché. Pour cela, on avait mis en place un vrai circuit de distribution. Les marchés de Tadjenent, El Eulma, El Hamiz, Barika et Semar recevaient des marchandises importées du monde entier. Nous les gérions par la manière forte et personne ne pouvait nous concurrencer. Nous bénéficions des largesses du pouvoir et nous, nous nous servions comme nous voulions en lots de terrain et en appartements. Et pour couronner le tout, des permis de port d’arme nous ont été délivrés par la police, terrorisme oblige, mais aussi pour les affaires. Au square Port Saïd, nous recrutions des jeunes de nos patelins. Nous montions en grade et nos noms étaient sur toutes les lèvres. Des hommes politiques de toutes les obédiences et même des hauts responsables de l’Etat s’ajoutaient à notre cercle de connaissances. Nous déléguions leurs transactions à des personnes tiers. Pour protéger nos clients et garantir leur anonymat, nous avons établi des registres de commerce sous de faux noms, de fausses adresses, au nom de personnes décédées ou qui souffrent de troubles mentaux ! Je sais, je sais, nous avons trahi le peuple. Mais nous ne pouvions pas reculer, le coup est parti. Un jour, je rendis visite à un général qui n’est plus de ce monde aujourd’hui. Ce jour de brume, il me parla politique, d’un général pour lequel les affaires semblaient ne plus marcher, d’une bourde qu’il aurait commise, d’un président mou et gênant. Des intrigues, encore des intrigues. Je ne comprenais pas son discours, ni ses confessions ni d’ailleurs la raison qui l’a poussé à me parler de cela. J’appris plus tard, en Suisse, que Liamine Zeroual avait démissionné. Un agent de l’ambassade est venu me voir et me demanda de procéder comme prévu au versement. Une berline grise fut mise à ma disposition. J’ai été hébergé chez un ami importateur qui venait d’acquérir un hôtel à Genève. Je suis resté quatre mois dans sa maison, où confort et luxe s’entremêlaient. Cevital et Khalifa J’ai eu droit à un massage thaïlandais, des sensations auxquelles mon corps et mon esprit n’avaient jamais goûté. Maintien ou limogeage du président, cela ne m’évoquait plus rien. Mais devant l’insistance de mon ami, je compris l’enjeu, moi qui n’étais pas politisé. «As-tu entendu parler de Bo^^^^^ika ?» me demande le haut gradé. «Non», ai-je répondu tout de suite. «Si le vent le ramène par là, je te le présenterai», me dit-il. Cela ne s’est jamais passé. De retour à Alger, j’ai rendu visite à ma mère, très malade. Grâce à mes connaissances, elle a été hospitalisée à l’hôpital militaire de Aïn Naâdja. Mes enfants avaient grandi, ils avaient quitté l’école et je leur ai confié la gestion des stocks et la vente directe aux grossistes. Ils ont pris la température et ont compris que leur père n’était qu’un grand baron du change de devises et de l’importation. De quoi leur donner fierté et orgueil. Mais au fond, j’étais toujours morose. J’ai accompli le hadj avec un général de l’armée. Depuis, je m’appelle «El Hadj». C’était à l’époque la mode, tout le monde avait pour nom «El Hadj». Se faire appeler ainsi était devenu une protection et assure l’anonymat. Dans les salons, on ne parlait que de Bo^^^^^ika, futur président. Il nous a été présenté comme le messie. «Ne craignez rien, vos affaires sont à l’abri», nous rassurait-on. Justement, on parlait beaucoup de business en haut lieu. Des groupes industriels et financiers émergeaient et prenaient de l’ampleur : Blanky, Cevital et Khalifa étaient considérés pour nous comme une menace. Ce qui s’est confirmé par la suite. «amis» protecteurs Certains ont commencé à parler investissement et cela nous a beaucoup dérangés ! Nous avons décidé alors d’agir et de surveiller toutes les transactions aux ports et d’identifier leurs fournisseurs à l’étranger. Entre-temps, nous avons inondé le marché de marchandises à bas prix. Pas de place pour les intrus. Nous avons fait de Dubaï notre nouvel Eldorado. En France, le jeu était devenu trop dangereux et de nouveaux acteurs arrivèrent. On parlait de gros investissements français en Algérie et nos «amis» généraux se tournaient leurs pourvoyeurs. Khalifa est ensuite devenu le copain des hauts responsables de l’Etat. Quelque chose se tramait alors que nos contacts commençaient à nous lâcher. Nous l’avons vécu comme une trahison, un drame. L’entourage du président avait fermé le jeu. Mais nous avons vite réagi. Une crise alimentaire se profilait alors à l’horizon, l’arrêt de l’importation en masse des produits de première nécessité allait provoquer une crise, surtout à la veille du Ramadhan. Nous avons relancé nos circuits et l’équation du jeu du pouvoir ne pouvait plus se faire sans notre consentement. Khalifa a été notre premier objectif. Grâce à nos contacts, nous avons réussi à prendre attache avec l’entourage du président et ses conseillers les plus proches. Khalifa, suite au lobbying d’un conseiller à la Présidence ainsi que d’un haut responsable militaire, ouvrit la ligne Alger-Dubaï. Dubaï business Une nouvelle aubaine, le transfert d’argent vers l’étranger allait enfin reprendre, les milliards que nous avions engrangés pouvaient enfin circuler ailleurs. Le vol inaugural avait connu un engouement particulier. Sur la liste des voyageurs, il y avait des noms, bien connus, qui sont devenus nos amis. Les réseaux ainsi tissés, le business reprenait de plus belle. Nous avons alors effectué des placements dans des banques et avons procédé à l’achat de biens immobiliers. Nous avions tous des téléphones cellulaires ATM. Nous avons consolidé les marchés sous notre houlette. L’Algérie ne manquait de rien. Nos informateurs, placés un peu partout dans l’administration, nous ont appris que de nouvelles têtes émergeaient dans le business. Il ne s’agissait en fait que des conseillers du président, des chefs et des décideurs politiques. L’essence de leur politique : «L’argent est le pouvoir». Nous avons alors participé à leur financement, le RND, le FLN et le MSP. Ces derniers étaient les plus loyaux, leur business passait par nous. Les politiques étaient là pour nous défendre. Et même si le gouvernement tentait de promulguer des lois à l’encontre de nos intérêts, ça bloquait, grâce à nos amis, qui étaient en contrepartie généreusement remerciés. «Un sale jeu» Mais l’entourage du Président, ambigu et barricadé, était difficile d’accès. Heureusement que nos amis militaires étaient là pour nous aider. Entre-temps, Abdelmoumen Khalifa prenait de l’ampleur et dérangeait : on le vit à la télévision en compagnie du Président. Du jamais vu ! Pendant ce temps, la Kabylie était en feu (événements de 2001), nos amis militaires étaient préoccupés par la situation et ne donnaient aucun signe. Après la Kabylie, il «fallait en finir avec la bête». L’affaire Khalifa a alors éclaté. Nous avons appris que Khalifa s’était trop éloigné des deux clans au pouvoir et avait échappé à leur contrôle. Il fallait des boucs émissaires et la justice s’en est occupée. C’était le début de la guerre des clans. Mais pour nous, les affaires reprenaient dans l’ombre. Nous tenions toujours debout, car, au pouvoir, ils ont tous compris que sans nos services le trafic et les affaires n’auraient pas lieu. Au square Port-Saïd, des nouveaux clients apparaissaient, des investisseurs étrangers pour la plupart (tunisiens, syriens, égyptiens, libanais...), tous liés à Djezzy, pour acheter des euros. De très hauts cadres de l’Etat continuaient à nous solliciter pour le transfert d’importantes sommes d’argent… Mais le jeu est devenu de plus en plus sale. Dangereux. J’ai alors décidé de me montrer plus discret et j’ai accompli un autre hadj. Je voulais être loin. Maintenant, la location de mes biens immobiliers me suffit. Mes enfants ont pris le relais, mais ils ont été rattrapés par d’autres gens, beaucoup plus féroces. Ils font à leur tour ce que leur père n’aurait jamais dû faire : le business de l’argent sale ! Le jour où vous ne verrez plus de «cambistes» au square Port-Saïd, on pourra alors dire que l’Algérie a changé ! Elwatan6 points
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Respectez un peu nos efforts ! copier ou déplacer au moins les postes ne supprimez pas comme ça on est pas des merdes! Merci !5 points
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pas besoin de le savoir, il est préférable de se tourner vers la presse citoyenne et alternative ( blogs, facebook, ... ) pour s'informer et suivre les événements. c'est d'ailleurs ce qui se passe partout ailleurs ( tunisie, france, ... )3 points
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Aya l'équipe calmez vous khellouna men les disputes, lisez plutot ça3 points
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d'accord avec toi AZstyle, mais bon d'un autre coté quand on sait que durant tout le cursus scolaire les études se font en arabe, et qu'une fois la personne se retrouve dans un institut (étatique), à la fac ou dans le monde du travail et que tout devient en français, ou que l'on voit le niveau scolaire en Algérie qui est en baisse de 35% et que pour faire face à ça la seule initiative trouvée par le gouvernement est d'imposé la blouse bleue aux garçons et rose aux filles ... (no comment)2 points
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il n'y pas 36 choix. alors faites attention aux diversions et autres manipulations. mettez vous dans la tête que le monde se divise en deux catégories : ceux qui soutiennent le régime de la médiocrité et en profitent largement, et ceux qui sont contre le régime et qui sont honnête, intègres et valeureux (qu'ils soient des politiciens, des policiers, des soldats, des fonctionnaires ... ) la révolte doit être de ces derniers contre les premiers that's all.2 points
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j'ai lu l'article d'El Hadj 56 ans, et les révélation sur Khalifa ... etc comme tu peux le constater j'ai cliqué sur le bouton des remerciements tout comme je participe au débat constructif avec arthur d'ailleurs pour en revenir à cet article je trouve que cet homme dit tout simplement tout haut ce que nous autres pensions, mais sans que nous ayons de preuves concrètes Edit : j'aimerai ajouter un truc, l'affaire des prix Cevital, c'est quand même étrange, il y a eu des émeutes à cause des prix, on supprime 21 ou 22% de taxes, le prix dégringole (toujours à profit pour le fabricant) et on le pointe du doigt pour rehausser les prix car ça n'arrange pas les importateurs (cités dans l'article du Hadj d'ailleurs)2 points
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au lieu de manifester pour la démocratie, la liberté....tout ça, pleins de choses et qui sont difficile a atteindre pourquoi ne pas ce criée contre des choses gênantes pour certains, comme le service national obligatoire pleins de jeunes algérien soufrent de cette obligation qui les dérangent les préoccupent et gâchent 18 mois de leurs vies, d'autres pays l'ont abolie2 points
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l'autre leçon à retenir munissez vous d'APN et dénoncez tout abus preuves à la main1 point
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salam félicitations à nos freres tunisiens , leurs morts ne l'ont pas été en vain à qui le tour maintenant ? quel dictateur tombera quand je penses que nos jeunes ont cassé , pillé violenté et vandalisé seulement pour du sucre et de l'huile !! .. nos freres tunisiens se sont véritablement soulevé pour des principes et des valeurs qu'ils ont défendu jusqu'à obtenir gain de cause , bravo1 point
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Tu viens de donner la confirmation que tu m'accuse a tort, je trouver chelou que les admin ou modo n'intervenais pas pour nous règler le problème, ni plus ni moins c'est le djob des modo non, ce qui est logique selon moi, et non nous donné l'adresse de je ne sais qui et nous demandé de le contacter c'est pas notre boulot a nous mais plutôt le votre en est d'accord normalement sur sa, tu tes fait des idée fondé sur des fait préjugé. Ps : si vous trouvez que le topic dérape, na pas sa place ici, non conforme a la charte, fallait juste le locker ou bien le supprimer carrément.1 point
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بن علي حاصل في السماء Refoulé par la France, Direction vers Golf Puis "out of kérosène" et hop ! Retour à la Tunisie ! Hahaha !1 point
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Salut, Bravo a eux, je crois vraiment pas mes yeux la tyrannie de plusieurs années a finalement pris fin en quelque semaines. Vous avais remarquer la même chose que moi ou non, contrairement a nous il non rien cassé, rien plier, ils étaient super bien organiser, et savais quoi revendiquer tous le contraire que nous.1 point
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lol tu as demandé des avis c'est pas impossible, je dirais plutôt ça n'a aucun intérêt et ça comporte plusieurs risques avec une connexion de 2,6MO/S, pourquoi ne pas télécharger le DVD tranquillement, et le graver en toute sécurité1 point
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Si vous me permettez : شعبنا شعب الكوارثِ .... ما كفى من عيشها ما كفى نادى توقف للأسى ................... فرُدَّ عليه بالعصى تونس ضحت بكلّ ما لها ........... فنالت اسقلالاً مباركاَ فإذا عزمنا كما عزم أجدادنا ........ فلن يوقفنا عندئذٍ بوتفليقةً ولا أويحيى هلمّ يا شعب الرجال هلمّ ....... أترضى بشعب الزيت لقباَ مليون و نصف مليون روحاً ضحتْ ...... ألِجزائرِ اليوم ضحتْ فيا حسرتاَ قلوبنا تضخ ضخّا ..................... ليس لدمٍّ بل لبركانا سئمنا من بطالة و من معيشة ........ لا شيئ فيها إلا حرمانا فهلمّ يا شعب هلمّ ....... لا تخف من حكومة أفرادها سُرّاقاَ1 point
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bon, il y'a un nouveau sujet a propos de la tunisie, arretez vos HS maintenant j'ai deplacé les sujets relatifs a la tunisie vers ce nouveau sujets1 point
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les tunisiens ont eu "gain de cause", et Ben Ali a deserté son bled ............ yaaaa dra ce que l'avenir leur reserve pendant ce temps en Algerie "once upon a time in Algeria, a story about suger and oil" sauf que dans l'histoire de l'algerie, on saura jamais qui sont les reels commanditaires et meneurs, n'oublions pas les interets etrangers dans tt le bled, on parle de drs, de generaux, mais ...............1 point
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Bravo les tunisiens les hommes ! Quand à nous "شعب الزيت السانغو", on se limite à "الحمد لله الأحوال عادت كيما هي".1 point
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chapeau à eux, j'éspère vraiment qu'ils auront un president qui fasse les meilleurs choix pour son peuple. incroyable leur tyran vient de quitter le pays1 point
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Là, je peut dire les tunisiens ont pris leur avenir en main, et qu'ils ont montré qu'ils sont des hommes. Maintenant, il faut voir comment que sa va être au futur, si les choses vont aller mieux (ce que j'espère) ou pire.1 point
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tu as raison de te poser une question, mais il faut dire aussi, que cet article ne mentionne aucun nom sur telle ou telle action (à part celui de Khalifa) et c'est tout à fait de ton droit l'ami, tu as vu le genre de commentaire qu'il débite donc te casse pas trop la tête je me suis fait exactement la même réflexion, mais comme tu le sais, ils préférèrent savoir leur peuple avec un tas de problèmes alternatifs afin de ne pas pensé aux problèmes du genre corruption, détournement d'argent ... etc sinon dis moi pourquoi en 2011 des quartiers assez importants, et de la capitale (ce n'est quand même pas rien) n'ont toujours pas d'éclairage public, de goudron, d'électricité digne de ce nom (du 160v au lieu du 220v réglementaire) qui n'ont pas de gaz ... etc Edit : comme avait dit un mec "leblad ghniya ou cha3b 3ayech fel miziriya" (le pays est riche alors que le peuple vit dans la misère)1 point
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Arrêtez de vous disputer bon sang, lisez plutôt cet article c'est effarant toutes ces révélations et vous, vous vous en foutez ?, vous continuez encore à vous désunir et vous battre, soyez plus sage les amis SVP1 point
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Salut, Cet Chelou Tout Sa yAW,Normalement Cet Les Modo Qui Doivent Contacter Le Mec Et Non Pas les Membres A+1 point
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Salem, voici un ui pack pour vos projets (web ou autres interface) entièrement personnalisable et gratuit. j'avait l'intention de poster le tutorial sur mon blog, mais bon pas encore le temps de le finir. avenir inchallah le tuto + convertion xhtml. Telechargement Freebie 2 Exclusive HD streaming interface Telechargement Enjoy free!1 point
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1-liez le Routeur au PC via le réseau lan ou réseau WIFI 2-téléchargez Angry Ip Scanner 3-lancez ce soft 4-mettre "IP RANGE" et choisir le domaine du scan entre 192.168.0.0 >> 192.168.1.254 5-lancer le Scan 6-Repérer les ip en bleu, l'un c'est votre routeur et l'autre c'est votre pc 7-essayez d'accéder sur la barre d'adresse a l'un de ces deux ip a votre routeur a l'aide de l'identifient et mot de passe que je vous ai déjà donné. 8-Bonne chance1 point