gunners

Refroidir sans ventilateur les 3,54 milliards de transistors que compte la GeForce GTX 680 : tel est le pari que s'est lancé le fabricant chinois Colorful, avec une carte baptisée iGame, surmontée d'énormes dissipateurs. S'il est quasiment inconnu dans nos contrées, Colorful a su se forger une certaine réputation en Asie avec des cartes graphiques personnalisées au design ambitieux commercialisée sous la marque iGame. Cette GeForce GTX 680 sera à n'en pas douter du nombre : le chinois se propose en effet ici de refroidir de façon passive le dernier GPU de Nvidia et ses 3,54 milliards de transistors. Découverte par Expreview , la carte adopte un impressionnant dispositif de refroidissement en deux parties. Chacune d'entre elles regroupe sept caloducs, 140 ailettes en aluminum, et recouvre l'intégralité de la carte. Placées de part et d'autre du PCB, elles communiquent par le biais d'un connecteur lui-même composé de six caloducs. Le tout occupera de ce fait au moins quatre emplacements PCI-Express. La configuration exacte de la carte n'est pas précisée, mais Colorful avait déjà prouvé avec sa GTX 680 Kugan sa capacité à associer composants de très haute voltige et PCB développé par ses soins : il est donc probable qu'ici, la disposition des éléments et l'étage d'alimentation aient été revus pour optimiser la dissipation thermique de l'ensemble. Reste qu'à ce stade, le fabricant ne précise pas encore s'il est en mesure de faire fonctionner cette GTX 680 passive à ses fréquences d'origine.

Cooler Master lancera d'ici la fin du mois le Storm Stryker, un boîtier grande tour bien équipé, décliné en noir ou en blanc. Déclinaison haut de gamme du Storm Trooper, le Storm Stryker officialisé mardi par Cooler Master prend la forme d'un boîtier grande tour de grandes dimensions (250 x 605,6 x 578,5 mm pour 13,7 Kg), construit en acier et proposé en deux coloris, noir et blanc, avec une finition brillante. Il réunit la plupart des raffinements appréciés des amateurs de hardware avec, entre autres, poignée de transport, fenêtre en plexiglas, régulation de la ventilation, filtres anti-poussière généralisés et aisément amovibles, station d'accueil pour disque dur (2,5 pouces) et connectique en façade (deux USB 2.0, deux USB 3.0). Susceptible d'accueillir les cartes mères allant jusqu'au format XL-ATX, il dispose de neuf emplacements pour cartes d'extension. L'alimentation prend place en position basse, au sein d'une structure qui dispense bon nombre de range-câbles et autres passe-cloisons pour circuit de refroidissement liquide. Côté stockage, on profite de deux baies amovibles capables d'accueillir jusqu'à 4 disques durs 3,5 pouces et munies de leur propre ventilateur (optionnel). Ces dernières pourront être converties en baies 5,25 pouces, de façon à profiter d'un maximum de 9 emplacements à ce format. En façade, le Storm Stryker embarque deux ventilateurs 120 mm (1200 tours par minute, donnés pour un fonctionnement à 17 dBA), soutenus par un 200 mm en face supérieure et un 140 mm à l'arrière. D'autres emplacements sont également disponibles pour qui souhaiterait étoffer la ventilation de sa configuration. Il sera livré aux revendeurs d'ici la fin du mois de juin, au prix public conseillé de 159,90 euros (soit environ 30 euros de plus que le Storm Trooper).

tu veut dire bouton power + bouton Home ( qui est lui meme le bouton central )

OMG je ne veut pas mourir le 12/12/12 je veut jouer a GTA V !!!! nonnnnnnnnnnnnnnnn

HS " ANDROIDDD POOWWAAAAAAAAAAAAAA " désolé j'ai pas pu résister Fin du HS

up mise a jour des prix

demain vendredi xD peut etre apres salat el joulou3a lool

L'eau est plus efficace quand elle est refroidi par le vent

Ce qui nous donne du water refroidi en air cooling

Sauf que le watercooling utilise .... des ventilos

Akhtik mén l'ma vive el ventilo box

Asus présente au Computex un prototype de carte mère dont l'étage d'alimentation ne comporte pas moins de 40 phases. Plus qu'une recherche absolue de la performance, le taïwanais indique que l'intérêt se situe au niveau de la répartition de la charge et donc de la fiabilité, ainsi que d'un échauffement réduit. Si l'on pense souvent aux composants principaux (CPU, carte graphique, mémoire ou chipset) lorsqu'il s'agit de montées en fréquence, l'alimentation est un point crucial qui ne doit pas être négligé. C'est pour cette raison que l'on voit fleurir chez les spécialistes de l'overclocking des cartes mères aux phases d'alimentation toujours plus nombreuses - 32 par exemple sur la Z77X-UP7 dévoilée cette semaine par Gigabyte . Augmenter le nombre de ces phases (composées d'une bobine, d'un condensateur et d'un mosfet, ou transistor chargé de réguler le courant) revient en effet à garantir la stabilité du courant délivré lorsque l'ampérage augmente, et à minimiser la charge subie individuellement par chacune d'entre elles. Au Computex, Asus a décidé de montrer qu'il était prêt à aller un cran plus loin que ses concurrents, en présentant le prototype d'une carte mère équipée de 40 phases d'alimentation. 20 se situent de part et d'autre du socket, tandis que les 20 autres se trouvent de l'autre côté du PCB de la carte mère. Surnommée Wolverine, celle-ci n'a d'ailleurs aucun intérêt particulier, hormis cett étage d'alimentation surdimensionné. Pourquoi alors monter jusqu'à 40 phases, et augmenter d'autant le coût de revient de la carte ? D'après Asus, l'intérêt résiderait principalement dans le fait de pouvoir ainsi garantir un courant extrêmement stable, même en cas d'overclocking... sans que le fait de pousser la carte dans ses derniers retranchements n'entraîne un dégagement de chaleur trop important au niveau des mosfets. Moins sollicités, ceux-ci verraient également leur durée de vie prolongée. La logique se tient effectivement sans problème, même si l'on peut arguer de bons résultats avec un nombre de phases moins conséquent. Elle se heurte en revanche à des problématiques commerciales : les composants de bonne qualité coûtent cher, et une carte mère à 40 phases n'aurait guère d'intérêt si aucun consommateur n'était prêt à se l'offrir.

Après la Maximus V Gene au format micro ATX - déjà disponible dans le commerce, Asus étoffe ses gammes Republic of Gamer à l'occasion du Computex avec la présentation des Maximus V Formula et Maximus V Extreme, toutes deux en Z77 et donc destinées aux processeurs LGA-1155. La première se destine tout particulièrement aux joueurs, tandis que la seconde est pensée pour l'overclocking. La Maximus V Formula, dévoilée sous forme de prototype au CeBIT, fait ses débuts officiels à l'occasion du Computex. Inscrite dans la gamme Republic of Gamers, elle se veut un modèle sans compromis pour les joueurs, sans pour autant se détourner des amateurs d'overcloking, puisque l'on remarque rapidement la possibilité d'intégrer le refroidissement des mosfets dans un circuit de watercooling. Elle propose par ailleurs quatre emplacements mémoire, un étage d'alimentation à 22 phases, et quatre ports PCI-Express 3.0 (en 2*16 lignes avec deux cartes, ou 8 lignes par carte si elles sont plus nombreuses). La connectique se veut des plus complètes, avec 3 ports SATA3, 2 SATA2, 1 eSATA, 6 USB 3.0 dont 4 directement accessibles par le panneau arrière, 8 USB 2.0 et un connecteur à la fois compatible avec le mSATA ou le mini PCI-Express, ce qui permettra de lui adjoindre au choix un SSD de cache ou, par exemple, une carte WiFi venue de l'univers portable. Du côté des sorties vidéo, Asus fait ici l'impasse sur le VGA, préférant proposer HDMI et Displayport directement sur le panneau arrière. WiFi, Bluetooth et port Ethernet Gigabit associé à une fonction de gestion de la qualité de service (de façon à accorder la priorité au jeu lors des échanges réseau) sont également de la partie. Une édition haut de gamme de la carte, dite ThunderFX, viendra en outre accompagnée d'un boîtier en forme de carte son externe, muni d'un amplificateur (300 ohms) pour casque et offrant un rapport signal bruit estimé à 110 dB. Place maintenant à la Maximus V Extreme, dévoilée cette fois en exclusivité au Computex. Ici, la cible est clairement celle des overclockers, avec une palette de fonctions dédiées au monitoring et au contrôle des différentes tensions qui animent la carte, comme le SubZero Sense (températures inférieures à 0°), le VGA Hotwire (gestion de la carte graphique si compatible) ou l'OC Key (incrustation, à l'écran, des informations qui remontent de la carte) que l'on connaissait déjà sur la Rampage IV. Elle profite en outre d'un étage d'alimentation consolidé, avec douze phases réservées au processeur et deux connecteurs dédiés (8 et 4 pins), l'ensemble étant régulé par un système numérique chargé d'ajuster en temps réel les tensions. Quatre ports PCI-Express 3.0 sont de la partie, avec le soutien d'un switch PLX augmentant le nombre total de lignes disponibles. WiFi, SATA3, USB 3.0, etc. participent enfin à l'ensemble, tout comme pourrait le faire Thunderbolt via l'ajout d'une carte fille, même si ce point semble ne pas avoir encore été parfaitement tranché. Les Maximums V Formula et Maximus V Extreme devraient sortir dans le courant de l'été, à des prix (élevés) qui restent à déterminer.

14 ports sata pour la Extreme 11 !!!!

Entre autres cartes mères, Asrock a dévoilé cette semaine deux modèles haut de gamme avec une Z77 OC Formula pensée pour l'overclocking, doublée d'une imposante X79 Extreme11 destinée aux stations de travail lourdement chargées. Asrock ne perd pas la main en matière de cartes mères, comme en témoigne la présentation au Computex de deux nouvelles références haut de gamme. La Z77 OC Formula, parée de noir et de jaune, fait comme son nom l'indique appel au chipset Z77. Destinée aux processeurs LGA-1155, elle adopte un étage d'alimentation à 12 + 4 phases soutenu par un régulateur numérique. Cet ensemble entièrement caréné est refroidi par un petit ventilateur. Via les quatre emplacements dédiés, la carte accepte jusqu'à 32 Go de mémoire DDR3, avec la promesse d'importantes montées en fréquence de ce côté puisqu'elle serait certifiée jusqu'à 3000 MHz. Trois ports PCI-Express 16x sont proposés, dont deux sont de troisième génération, ainsi qu'un unique port PCI-Express 1x. Livrée avec la solution Lucid Virtu MVP, la carte dispose d'un BIOS UEFI, d'un accès rapide à Internet via un instant OS, ainsi bien sûr que d'une connectique étendue (12 USB 3.0, 10 USB 2.0, 6 SATA3, 4 SATA2), d'une sortie HDMI, d'un contrôleur Ethernet Gigabit signé Broadcom et d'un circuit audio Realtek ALC898 sur huit canaux. X79 Extreme11, SAS et double PLX La X79 Extreme11 se veut quant à elle la carte de tous les superlatifs, avec une configuration qu'on imaginerait difficilement plus complète. On passera rapidement sur le format E-ATX, les huit emplacements mémoire ou les sept ports PCI-Express 16x 3.0 pour en venir aux détails les plus intéressants. Parmi ceux-ci, on note l'intégration de deux switchs PLX PEX 8747 venant ajouter 32 lignes PCI-Express à celles fournies par le X79, de façon à favoriser les assemblages à plusieurs cartes graphiques sans que celles-ci ne risquent d'être bridées à ce niveau (quatre cartes en 16x sont donc envisageables). L'étage d'alimentation à 24+2 phases mérite sans doute d'être souligné, comme le contrôleur LSI SAS2308 qui permet à Asrock de doter sa carte de huit ports SATA3 également compatibles avec le ^^^^^^ Attached SCSI (SAS). Les deux cartes seront livrées avec un panneau avant et une équerre permettant de profiter d'un port USB 3.0 externe.

Ceux qui attendaient une nouvelle évolution du fameux Level 10 de Thermaltake, évoquée dans la communication récente de ce dernier, en seront pour leurs frais. Le fabricant se contente d'exposer au Computex une séduisante édition Silver, présentée comme une série limitée à 300 exemplaires. Depuis sa présentation, [acatu:280342 lors du Computex 2009], le Level 10 de Thermaltake a fait couler beaucoup d'encre, suscité divers tests, dont le nôtre , et donné naissance à toute une série de déclinaisons bien moins ambitieuses, telles que les Level 10 GTS et GT. Cette année, Thermaltake avait promis du neuf pour les trois ans de son boîtier hors norme, et d'aucuns attendaient que le taïwanais présente la seconde génération du Level 10. Las, si nouveauté il y a, celle-ci se révèle décevante, puisque Thermaltake s'est contenté de produire une nouvelle édition de son fameux boîtier - conçu pour mémoire et comme le rappelle régulièrement la communication du fabricant, avec les ingénieurs d'un centre de design BMW... dont la seule nouveauté est la couleur. En l'occurrence, une robe argent, très réussie mais qui ne poussera certainement pas les acheteurs du Level 10 premier du nom à renouveler leur boîtier, d'autant que cette série est annoncée comme limitée à 300 exemplaires. On notera tout de même que la connectique en façade profite désormais de quatre ports USB 3.0... Les amateurs auront éventuellement la possibilité de se rabattre sur les différentes variantes GT et GTS du Level 10, qui conservent un design assez proche, mais où les nombreux compartiments révélés par le modèle original sont factices. A défaut, ils pourront se tourner vers les souris Level 10 M Mouse , qui elles aussi surfent sur le succès du modèle original.

Comme d'autres OEM avant lui, le chinois Wibtek verrait bien sa marque voler de ses propres ailes. Au Computex, il dévoilait cette semaine deux cartes mères en Z77 et adressées au marché des joueurs. En dépit de leur nom suggestif, ces cartes Hacker se révèlent to^^^^ois de facture très classique. A la fois OEM et ODM, le chinois Wibtek a déjà prouvé depuis belle lurette qu'il savait concevoir des cartes mères. Il semble to^^^^ois aspirer à une plus grande reconnaissance, puisqu'il lancera prochainement dans la distribution deux nouvelles références commercialisées sous sa propre marque. Comme bien d'autres, nous avons été attiré par le nom de ces deux cartes : Hacker Z75 et Hacker Z77. Celui-ci laissait augurer des raffinements comme seul un salon de type Computex permet d'en découvrir ! Las, les premières cartes de Wibtek adopte un design des plus courants et un niveau d'équipement qui, s'il est intéressant, ne sort pas vraiment pas du lot des très nombreux produits Z77 (destinés aux processeurs à socket LGA-1155) présentés sur le salon. Pour la Hacker Z77, la promesse est notamment incarnée par un étage d'alimentation à 16 phases, la prise en charge de Lucid Virtu MVP ainsi que du SLI via deux ports PCI-Express 16x (câblés en 8x / 8x si deux cartes sont installées). On dispose par ailleurs d'un bouton censé lancer un overclocking automatique (dont nous n'avons pu nous faire expliquer le fonctionnement), de dix SATA (dont six fonctionnent à 3 Gb/s), de l'USB 3.0 et de la prise en charge d'un maximum de 64 Go de mémoire vive. La Z75 adopte quant à elle un design assez proche, mais avec une configuration plus économique (étage d'alimentation revu à la baisse). Toutes deux pourraient faire leur entrée sur le marché dans les semaines à venir si Wibtek parvient à mettre à profit le Computex pour finaliser les indispensables accords de distribution. Restera ensuite à voir le prix final, qui sera sans doute le principal argument de cette marque totalement inconnue du grand public.

Noctua renouvellera dans le courant de l'année une partie de ses gammes de dissipateurs CPU. Ses futurs produits ont été présentés cette semaine, sous forme de prototypes, à l'occasion du Computex. Un meilleur refroidissement, des facultés d'intégration corrigées ou améliorées : les objectifs qui sous-tendent le développement des futurs produits Noctua n'ont rien de bien surprenant. Au sein de son programme 2012, le fabricant autrichien ouvre les hostilités avec un futur ventirad de type slim, dont l'épaisseur ne dépassera pas 37 mm, ventilateur inclus. Avec une base de 92 x 110 mm dans sa version AMD (95 x 95 chez intel), il aura pour objectif le marché des configurations mini-ITX, où il est parfois compliqué d'installer un dissipateur pleine taille. Du coeur directement intégré au volume formé par les ailettes d'aluminium partent deux caloducs qui traversent la structure et permettraient de dissiper jusqu'à 85 ou 90W. Moins compact, le successeur du NH-L12 conserve son format top flow, et affiche 66 mm de haut avec son ventilateur. Fourni avec un ventilateur 92 mm, celui-ci conserve les caractéristiques de son prédécesseur, mais l'agencement de la structure en L a été revue de façon à résoudre quelques difficultés parfois rencontrées lors de l'installation dans un boitier mini ITX. Le NH-D14 aura lui aussi son successeur, avec ce volumineux double tour capable d'avaler, selon Noctua, jusqu'à 200W. Les fondamentaux ne changent guère, avec toujours 6 caloducs de 7 mm. On remarque to^^^^ois que Noctua a revu l'agencement de ces derniers : les deux qui passent au centre du processeur, et reçoivent donc en théorie la quantité de chaleur la plus importante, sont maintenant redirigés vers le côté des deux tours, où la surface de dissipation est plus importante. Ces différents produits sont supposés arriver sur le marché entre l'été et la fin de l'année. Aucun prix n'est donné pour l'instant, mais les nouveaux venus reprendront sans surprise le positionnement tarifaire des modèles qu'ils remplacent. Rappelons que Noctua présentait également au Computex un ambitieux prototype de ventilateur PC à réduction active du bruit.

Corsair profite de l'arrivée d'Ivy Bridge pour étendre sa gamme de modules de mémoire vive en annonçant les Dominator Platinum. Plusieurs kits dont les fréquences peuvent atteindre 2 800 MHz. Compatibilité Ivy Bridge oblige, les Dominator Platinum se déclinent en kits de deux ou quatre barrettes, avec des capacités totales allant de 8 à 64 Go. Tous sont compatibles avec le profil XMP 1.3 et fonctionnent en CAS 9 pour une tension de fonctionnement de 1,5 V. Seuls les deux kits les plus rapides, cadencés à 2 666 et 2 800 MHz, nécessitent 1,65 V et disposent d'une latence moindre, respectivement CAS 10 et CAS 11. Tous ces kits sont compatibles avec les dernières innovations du constructeur, que ce soit la technologie de refroidissement DHX (pour Dual-Path Heat Exchange), qui optimise la transmission de chaleur des puces vers les dissipateurs en métal, ou le Corsair Link, qui permet une surveillance et un contrôle global des températures de composants présents au sein de votre boîtier et qui sont compatibles avec cette technologie. Comble du raffinement, ces kits possèdent en leurs sommets un tube de lumière blanche que vous pourrez échanger pour y disposer d'autres tubes et donc d'autres couleurs, moyennant finance, cela va de soi. Ces différents kits, d'ores et déjà commercialisés, bénéficient d'une garantie à vie du constructeur.

non dispo pour le moment !!! quand il sera dispo tu le trouvera chez Geek Zone

Coolermaster ajoute un nouveau boîtier à sa gamme Silencio. Le 650 vise plus grand que le 450 et que le 550: plus grand, plus lourd, plus spacieux... le tout pour un prix public annoncé de 129,90€ TTC (et une disponibilité vers fin juin). La façade est en aluminium. Sur la partie supérieure du châssis on trouvera plusieurs connecteurs: USB 3.0, USB 2.0, lecteur de cartes SD, entrées/sorties audio. On y trouvera également un sélecteur permettant de choisir sur quel disque dur on veut booter. Pratique si on veut utiliser deux OS sur deux disques différents, et dans un même châssis. Signe distinctif de la gamme Silencio, l'intérieur du 650 est tapissé de mousse acoustique. L'intérieur du boîtier offre un espace plus conséquent que sur les Silencio 450 et 550. Avec des équerres PCI à dévisser, comme sur le 550, et non pas à arracher comme sur le 450. On y trouvera 3 baies 5,25", 8 baies 3,5" (7 internes + 1 pour le X-Dock), et 3 baies 2,5" (2 internes + 1 pour le X-Dock). On pourra loger dans le volume intérieur des cartes graphiques de 268mm de longueur (si on garde la cage HDD), ou de 434mm (si on enlève la cage HDD). Le ventirad du CPU pourra quant à lui culminer à 168mm de haut. L'alimentation enfin sera positionnée en bas. Les emplacements de ventilation sont répartis sur tout le châssis: deux 120mm en façade (fournis - 1200 tours/mn pour 17 dBA) ou 1x140mm. Sur le dessus on logera un 120mm ou un 140mm (optionnels). A l'arrière un 120mm est livré (même spécificités que les 120mm du dessus). Et en dessous on pourra également fixer un 120mm optionnel. Enfin un emplacement de 120mm est prévu sur la cage HDD. On notera également une partie coulissante sur le dessus du boîtier, permettant de mettre à nu une aération supplémentaire censée encore améliorer l'évacuation de la chaleur. Le Silencio 650 mesure 207 x 479 x 525,6mm et pèse 13 Kg. Sa fiche technique détaillée est disponible chez Coolermaster.

32 phases d'alimentations pour cette carte mère haut de gamme, le processeur Intel Ivy Bridge va souffrir ! A l'occasion du Computex 2012, Gigabyte nous dévoile sa nouvelle carte mère fer-de-lance de la marque avec pas moins de 32 phases d'alimentations pour le CPU. En plus de cette particularité remarquable, Gigabyte introduit ici sa nouvelle série "Ultra Durable 5" qui permet de faire transiter un courant plus fort, jusqu'à 60 Ampères selon le constructeur grâce au choix des composants de qualité premium de la carte mère avec notamment des puces de chez Internation Rectifier, IR3550 PowIRstage. Pour différencier ces cartes mères à destination des overclockers des cartes mères un peu plus classiques, Gigabyte passe la dénomination logique de ces cartes par la lettre "P" au lieu de la lettre "D" initialement. Ainsi, nous avons pour cette grosse carte mère à 32 phases, la dénomination GA-Z77X-UP7, pour un socket LGA 1155 avec le chipset Intel Panther Point Z77 avec deux prises 8-pin pour supporter une telle intensité. Pour le reste des spécifications, la carte propose cinq slots PCI-Express 3.0 x16, un port mSATA pour utiliser la technologie Intel RST, dix ports SATA dont deux en SATA 2, huit ports USB 3.0 dont deux pour le panneau avant sur le boîtier et quatre autres ports USB 2.0 avec les connecteurs sur la carte mère, deux ports Ethernet Gigabit contrôlés par une puce Intel et une puce Atheros, une puce audio Realtek ALC898 pour le son multicanal en 7.1, quatre sorties vidéos dont du DVI, du VGA, de l'HDMI et du DisplayPort, pour terminer sur une carte additionnelle offrant du Bluetooth 4.0 et du WiFi a/b/g et n dual-band. Comme nous avons pu le remarquer depuis hier, cette annonce ne s'accompagne pas du prix ni de la date de mise en vente d'un tel produit haut de gamme. Mais nous pensons que Gigabyte pourrait en demander beaucoup avec une telle fiche technique...

Le constructeur MSI propose une GeForce GTX 670 totalement customisée, overclockée d'usine et équipée de son ventirad maison, le Twin Frozr IV. MSI, après n'avoir proposé qu'un simple clone de la GeForce GTX 670 de référence, va lancer un nouveau modèle totalement customisée, la GTX 670 Power Edition. Overclockée d'usine et équipée du système de refroidissement maison le Twin Frozr IV, la carte en a sous le capot. Les fréquences GPU ont donc été revues à la hausse par MSI et propose désormais du 1019/1079 Mhz en standard et GPU Boost contre respectivement 915/980 Mhz sur la GTX 670 d'origine NVIDIA. Les 2 Go de GDDR5 restent quant à eux cadencés à la fréquence préconisée par la firme au caméléon soit 1502 Mhz, dommage. La carte est donc refroidie par la nouvelle version du ventirad propre à MSI, le Twin Frozr dans sa quatrième mouture. Il se compose d'un large dissipateur à ailettes en aluminium traversé par cinq caloducs en cuivre nickelé, le tout surmonté de deux ventilateurs PWM de 80 mm de diamètre composés chacun de 13 pales. Le constructeur annonce ainsi une augmentation de 20 % du flux d'air afin d'atteindre une réduction de la température de 20° et des nuisances sonores amoindries de 11,7 dB par rapport au système de refroidissement d'origine proposé sur la GTX 670 NVIDIA. Le Dust Removal développé par la marque est également de la partie et permet, lors du démarrage du PC, de faire tourner les ventilateurs à pleine vitesse en sens inverse afin de chasser la poussière qui se serait déposée dessus. La MSI GTX 670 Power Edition utilisant le PCB de la GTX 680, elle mesure 27 cm de long et dispose de quatre sorties vidéo dont deux ports DVI-Dual Link, un port HDMI 1.4a et un Display Port 1.2. La carte sera disponible à la vente à partir de la moitié du mois de juin pour un tarif annoncé de 420€.

Alors que les ultrabooks et autres mobiles s’enchaînent au Computex 2012, survolons le MSI Slider S20. Le principe de l'ordinateur portable dont l'écran coulisse pour obtenir une tablette n'est pas tout récent. Citons le Samsung Sliding PC7 ou le Asus EeePAD Slider ou même la tablette Asus Transformer, à laquelle on peut brancher un clavier. On s'aperçoit que ce n'est pas une exclusivité MSI mais ce type d'ordinateur reste très peu répandu. Bref, c'est au tour de Micro-Star International, avec ce qui n'est encore qu'un concept, d'analyser si son slider à de quoi se frayer une place. Annoncé en 11,6 pouces, équipé d'un processeur Ivy Bridge et de 4Go de RAM, c'est son clavier (ou son écran selon la manière dont on le prend) coulissant qui rend le prototype hybride. Propulsé par Windows 8, l'écran tactile pourrait prendre en charge jusqu'à 10 doigts en même temps. L'appareil pèse 1,3Kg pour une épaisseur de 2cm. Coté connectivité on retrouve de l'HDMI, de l'USB 3.0 et du Bluetooth. Si tout ce passe bien, le MSI Slider devrait arriver sur le vieux continent en septembre au prix de 899€ pour le plus gros modèle. Alors gadget ou produit utile ?

Très porté sur la mythologie dès qu'il s'agit de matériel « extrême », Asus a choisi d'intituler Zeus son dernier concept de carte mère en date. Le principe ? Un chipset X79, deux liens Thunderbolt et.... deux cartes graphiques dédiées, directement soudées sur le PCB. A ce stade, les représentants d'Asus ne prennent pas de risque, et refusent de dire si le concept Zeus sera un jour transposé dans le commerce. En attendant sa très hypothétique venue, on saluera tout de même l'effort : cette carte mère X79, résolument haut de gamme avec ses huit emplacements mémoire ou ses deux ports Thunderbolt, présente en effet l'insigne particularité d'embarquer deux cartes graphiques dédiées, signées AMD. La référence exacte n'est pas communiquée, mais à force de persuasion, il semblerait que l'on parle de deux GPU de classe Radeon HD 7000M, signés AMD. Le panneau arrière se révèle donc bien plus dense que sur une carte mère standard, puisqu'il embarque notamment les sorties vidéo associées à ces deux cartes graphiques, intégrées de façon à fonctionner de concert. Entre autres caractéristiques, on pourra souligner la possibilité d'installer jusqu'à 128 Go de mémoire DDR3, douze ports USB 3.0, dix connecteurs SATA III, un double contrôleur Ethernet Gigabit, ou l'intégration du WiFi, autour d'un design qui reprend les lignes déjà esquissées avec les cartes de la série Saberbooth. Les deux GPU, comme l'étage d'alimentation dédié au CPU, profitent de dissipateurs passifs. Au delà du charme de la nouveauté, reste à voir quel peut être en pratique l'intérêt d'un tel concept, à l'heure où les processeurs embarquent souvent des contrôleurs graphiques intégrés. Si les cartes graphiques dédiées au format PCI-Express se révèlent plus encombrantes qu'un tel dispositif embarqué, elles présentent l'avantage de pouvoir être remplacées indépendamment de la carte mère. On se demande enfin où se situe la limite en matière de refroidissement. Reste une idée séduisante et une réalisation soignée, à défaut d'un réel potentiel commercial.