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macoooo

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  1. La sounnah du prophète Mohammed est la deuxième source de révélation en islam. Comme le Coran, elle contient des informations à caractère scientifique qui n’étaient pas connues à l’époque. Parmi ces informations miraculeuses, on retrouve les « sept terres » mentionnées par le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui). Hadith 1 Abou Salamah rapporte qu’une dispute éclata entre lui-même et d’autres personnes (au sujet d’un terrain). Lorsqu’il en fit part à ‘Aisha (l’épouse du Prophète), elle lui dit : « Ô Abou Salamah! Ne prends aucune terre injustement, car le Prophète a dit : « Quiconque s’approprie injustement ne serait-ce qu’un empan de terre se le verra suspendu autour du cou, au jour du Jugement, son étendue prise dans les sept terres. » (Sahih al-Boukhari, « le livre de l’oppression ») Hadith 2 Salim a rapporté que, selon son père, le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit : « Quiconque s’approprie injustement une parcelle de terre sera précipité au fond des sept terres au jour de la Résurrection. » (Sahih al-Boukhari, « le livre de l’oppression ») Les hadiths mentionnés ci-dessus interdisent l’oppression en général, et plus particulièrement de s’approprier injustement une parcelle de terre appartenant à autrui. Quelles sont les sept terres auxquelles ils font référence? Des études en géologie ont démontré que la terre est composée de sept couches, identifiées à partir du centre jusqu’à la couche externe comme suit : (1) Noyau interne solide : 17% de la masse terrestre, profondeur de 5,150 à 6,370 kilomètres Le noyau interne est solide et n’est pas attaché au manteau; il est suspendu dans le noyau externe liquide. On croit qu’il s’est solidifié sous l’effet d’extraordinaires pressions, ce qui se produit avec la plupart des liquides soumis à des baisses de température et à des hausses de pression. (2) Noyau externe liquide : 30,8% de la masse terrestre, profondeur de 2,890 à 5,150 kilomètres Le noyau externe est composé d’un liquide brûlant conducteur d’électricité qui transfère l’énergie par convection. Cette couche conductrice s’allie à la rotation de la Terre pour créer un effet dynamo maintenant un système de courants électriques connus sous le nom de champ magnétique de la Terre. Il est également responsable des légères secousses dans la rotation de la Terre. Cette couche n’est pas aussi dense que le serait du pur fer en fusion, ce qui indique la présence d’éléments plus légers. Les scientifiques soupçonnent qu’environ 10% de cette couche est composé de soufre et/ou d’oxygène car ces éléments sont abondants dans le cosmos et se dissolvent facilement dans le fer en fusion. (3) La couche « D » : 3% de la masse terrestre, profondeur de 2,700 à 2,890 kilomètres. Cette couche fait de 200 à 300 kilomètres d’épaisseur et représente environ 4% du manteau. Bien qu’elle soit souvent identifiée comme faisant partie du manteau inférieur, des discontinuités sismiques suggèrent que la couche « D » diffère, chimiquement, du manteau inférieur. Des scientifiques supposent que ce qui la compose s’est soit dissout dans le noyau, ou a réussi à passer au travers du manteau sans atteindre le noyau à cause de sa densité. (4) Manteau inférieur : 49,2% de la masse terrestre, profondeur de 650 à 2,890 kilomètres. Le manteau inférieur forme 72,9% de la masse totale du manteau et est probablement composé essentiellement de silicone, de magnésium et d’oxygène. Il contient aussi probablement du fer, du calcium et de l’aluminium. Les scientifiques font ces déductions en présumant que la Terre contient des proportions d’éléments cosmiques similaires à celles qui se trouvent dans le soleil et dans les météorites primitives. (5) Manteau intermédiaire (région transitoire) : 7,5% de la masse terrestre, profondeur de 400 à 650 kilomètres. La région transitoire, parfois appelée la couche fertile, forme 11,1% de la masse du manteau et constitue la source du magma basaltique. Elle contient aussi du calcium, de l’aluminium et du grenat, qui est un minerai de silicate d’aluminium. À cause du grenat, cette couche devient très dense lorsque refroidie. Elle devient légère lorsque chaude parce que les minerais fondent facilement pour former du basalte, qui peut alors s’élever à travers les couches supérieures du magma. (6) Manteau supérieur : 10,3% de la masse terrestre, profondeur entre 10 et 400 kilomètres. Le manteau supérieur forme 15,3% de la masse totale du manteau. Des fragments ont été extraits près de montagnes érodées et de volcans. L’olivine (Mg, Fe) 2Si04 et le pyroxène (Mg, Fe) Si03 sont les principaux minerais qu’on y a trouvés. Ceux-ci, de même que d’autres minerais, sont réfractaires et cristallins à hautes températures; par conséquent, la plus grande partie s’échappe du magma montant et soit se transforme en de nouveaux éléments, soit ne quitte jamais le manteau. On présume qu’une partie du manteau supérieur appelée l’asthénosphère est partiellement en fusion. (7) Lithosphère : 0,099% de la masse terrestre, profondeur entre 0 et 10 kilomètres. La couche rigide superficielle de la Terre, constituée de la croûte et du manteau supérieur, est appelée lithosphère. La croûte océanique forme 0,147% de la masse du manteau. Pour la plus grande partie, la croûte de la Terre s’est formée à partir d’activités volcaniques. Les dorsales océaniques, un réseau d’activité volcanique que l’on peut suivre sur plus de 60 000 kilomètres génère près de 17 km3 de nouvelle croûte océanique par année, recouvrant le fond sous-marin de basalte. On trouve des coussins de basalte accumulé, entre autres, à Hawaï et en Islande. La croûte continentale forme 0,554% de la masse du manteau. C’est la partie superficielle de la Terre, composée essentiellement de roches cristallines. Ce sont des minéraux légers de faible densité comprenant surtout du quartz (SiO2) et du feldspath (minéral à base de silicate). Les croûtes océanique et continentale forment la surface de la Terre et donc, la partie la plus froide de notre planète. Parce que les roches froides se déforment très lentement, nous appelons cette enveloppe rigide superficielle la lithosphère (couche rocheuse). https://www.youtube.com/watch?v=-1NLSRaq6xE
  2. (10) Le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a prophétisé que, de son vivant, un imposteur prétendant parler au nom de Dieu serait tué par un homme intègre. Al-Aswad al-Ansi, un prophète imposteur du Yémen, Il y a au moins 28 autres prophéties relatives à la fin des temps qui doivent encore se réaliser. Il est indéniable que ces prophéties, toutes bien documentées, sont des preuves claires que Mohammed était un véritable prophète. Il n’aurait pu avoir connaissance de ces événements futurs d’aucune autre façon que par une inspiration provenant de Dieu Lui-même. Ces prophéties ont également servi de preuves contre ceux qui le traitaient d’imposteur, en démontrant clairement qu’il était un véritable prophète envoyé par Dieu pour sauver l’humanité du feu de l’Enfer.
  3. (9) Durant la bataille des confédérés, en 626 DC,[ le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) prédit que Rome, la Perse et le Yémen seraient conquis; il fit cette prédiction alors que le moral des musulmans était au plus bas, tel que décrit par le Coran : « [Rappelez-vous] quand elles sont venues d’en haut et d’en bas, quand votre vue s’est brouillée et que vos cœurs sont remontés dans vos gorges, vous avez eu, alors, de (mauvaises) pensées sur Dieu. Les croyants ont été durement éprouvés, et secoués d’un grand choc. Et [rappelez-vous] quand les hypocrites et ceux qui avaient une maladie au cœur disaient : « Dieu et Son messager ne nous promettent que des illusions. » (Coran 33:10-12)
  4. (7) Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) prédit la confrontation avec les Turcs. Le premier conflit eut lieu durant le califat d‘Omar, en l’an 22 de l’Hégire. (8) Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) prédit la première bataille navale à être entreprise par des musulmans et il prédit qu’Oum Haram y participerait et qu’elle serait la première femme à participer à une expédition navale. Il prédit également le premier assaut sur Constantinople. La première bataille navale de l’histoire musulmane eut lieu en l’an 28 de l’Hégire sous le gouvernement de Mou’awiya. Oum Haram y prit part tel que prédit par le prophète Mohammed, et Yazid ibn Mou’awiya mena la première attaque contre Constantinople en l’an 52 AH
  5. (5) Le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) à prophétisé la conquête de la Perse.[ Elle fut conquise par Sa’ad ibn Abi Waqqas, le commandant de Omar. Dans The Encyclopedia Britannica on peut lire: « … les raids en territoire sassanide furent rapidement repris par les califes (ou successeurs) de Mohammed à Médine – Abou Bakr et Omar ibn al-Khattab… Une victoire arabe à Al-Qadisiyyah en 636/637 fut suivie par la mise à sac de Ctésiphon, la capitale d’hiver des sassanides sur le Tigre. La bataille de Nahavand, en 642, acheva la défaite des sassanides. » (6) Le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a prophétisé la conquête de l’ÉgypteDans The Encyclopedia Britannica on peut lire: « Amr… entrepris l’invasion en 639 avec une petite armée de 4000 hommes (il reçut du renfort par la suite). Les forces byzantines furent mises en déroute avec une rapidité déconcertante et se retirèrent d’Égypte en 642… Plusieurs explications furent mises de l’avant pour expliquer la rapidité de cette conquête. »
  6. (3) Le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a informé sa fille, Fatima, qu’elle serait la première parmi les membres de sa famille à mourir après lui. Ici, il y a deux prophéties en une : Fatima survivrait à son père; Fatima serait la première de sa famille à mourir après lui. Les deux prophéties se sont réalisées. [ (4) Le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) à prophétisé que Jérusalem serait conquise après sa mort.[5] La prophétie s’est réalisée lorsque, selon The Encyclopedia Britannica « En 638, le Calife musulman Omar I conquis Jérusalem. »
  7. Une des caractéristiques démontrant qu’une personne a bel et bien reçu une mission prophétique est son honnêteté de tous les instants, qu’elle soit relative aux événements et aux incidents qui se sont produits dans son passé, à ceux qui se réalisent au présent dans sa vie quotidienne ou à ceux qui ne se sont pas encore réalisés. Outre le Coran, il y a plusieurs déclarations (hadiths) du prophète Mohammed qui renferment des prophéties qu’il a faites relativement à des événements futurs, proches et lointains. Certaines se sont réalisées tandis que d’autres attendent encore de se produire. Houdhayfah, un compagnon du prophète Mohammed, rapporte : « Le Prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a un jour livré un discours, devant nous, où il a mentionné, sans omettre aucun détail, tout ce qui allait arriver jusqu'à l’avènement de l’Heure (du Jugement). Certains d’entre nous s’en rappellent et d’autres ont oublié. Après ce discours, je voyais se produire des événements qu’il avait mentionnés mais que j’avais oubliés avant qu’ils ne se réalisent devant moi. Alors je reconnaissais ces événements comme un homme reconnaît un autre homme qui a été longtemps absent, mais qu’il revoit ensuite et reconnaît immédiatement. » (Sahih al-Boukhari) Il y a au moins 160 prophéties connues et confirmées du prophète Mohammad (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) qui se sont réalisées de son vivant et durant la première génération après lui.[1] Nous en mentionnons ici quelques-unes : (1) Avant la bataille de Badr, la première et la plus décisive des confrontations avec les païens de La Mecque qui eut lieu durant la deuxième année suivant l’émigration à Médine, en 623 DC, le Prophète Mohammad (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) prédit l’endroit exact où tomberait chaque soldat païen mecquois. Ceux qui étaient présents durant cette bataille ont vu la prophétie se réaliser sous leurs propres yeux.[2] (2) Le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) à prophétisé que la bataille des Confédérés (al-Ahzab) serait la dernière tentative d’invasion que la tribu de Qouraysh (les païens de La Mecque) lancerait contre les musulmans. Cette bataille eut lieu au cours de la cinquième année après la migration, en 626 DC, et fut le dernier conflit militaire entre les deux parties. Tous les gens de La Mecque embrassèrent l’islam au cours des années suivantes https://www.youtube.com/watch?v=pQ1nDN0z5lQ
  8. Son comportement avec Umm Khâlid : Ayant reçu sous forme de don un petit habit noir, le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) se demanda : "A qui dois-je le donner ?" Personne ne s'exprima. Le Prophète dit alors : "Faites venir Umm Khâlid". Quelqu'un la porta sur ses épaules et l'amena. Le Prophète prit alors l'habit et en fit vêtir Umm Khâlid en lui disant : "Use-le et Allah t'en donnera un autre". Le vêtement portait des motifs verts ou jaunes, le Prophète lui dit : "Ô Umm Khâlid que c'est senah (joli)" (Boukhari). NDT : Comme la petite Umm Khâlid a vécu avec ses parents en Abyssinie et connaissait bien la langue de ce peuple, le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) a employé, pour lui faire plaisir, le mot senah qui appartient à la langue abyssinienne. Pendant la période de la Djâhiliya, les Arabes espéraient avoir des enfants mâles pour qu'ils soient source de soutien et d'appui pour eux contrairement aux filles qu'ils n'aimaient pas de crainte qu'elles ne soient source de honte pour eux. Cette situation a perduré jusqu'à l'arrivée du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) qui a réhabilité les filles et leur a accordées les droits et les honneurs qui leur sont dus. En outre, il a promis à quiconque prend soin d'elles de recevoir une grande récompense. De plus, il avait fait remarquer que la bonne éducation, les soins et la pension alimentaire qu'on accorde aux filles sont des causes qui conduisent à l'agrément d'Allah et à Son paradis. C'est ainsi qu'il a dit : "Quiconque prend en charge deux filles jusqu'à leur maturité occupera, le Jour de la Résurrection, une position aussi proche de moi que les doigts d'une main sont proches les uns des autres" (Mouslim). Il dit aussi : "Quiconque prend en charge deux ou trois filles, deux ou trois sœurs jusqu'à leur mort ou la sienne occupera, le Jour de la Résurrection, une position aussi proche que celle de l'index par rapport au majeur" (Ahmed). Il ressort de l'examen de la Sîra et des hadiths que le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) a accordé à l'enfant une partie de son temps et beaucoup de son attention. Avec les enfants il était un père aimant, sage et éducateur qui plaisantait et jouait avec eux et leur donnait des conseils tout en les éduquant. La période de l'enfance est la période la plus importante et la plus fertile, l'éducateur doit la mettre à profit pour inculquer à l'enfant les valeurs et principes fondamentaux de l'Islam. Dans la vie du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) il y a de nombreuses positions éducatives et pédagogiques qui doivent être scrupuleusement étudiées par ceux qui s'intéressent à l'éducation et à la réforme, pour en tirer les avantages, cueillir les fruits, les imiter et, à leur lumière, traiter avec les enfants d'aujourd'hui qui sont les hommes de demain.
  9. macoooo

    Hajj et grande fête

    Tout juste après le coucher du soleil, la foule de pèlerins se rend à Mouzdalifah, une plaine sise à mi-chemin entre Arafat et Mina. Là, ils prient et recueillent, au sol, un nombre déterminé de cailloux qu’ils utiliseront les jours suivants. Avant l’aube, au troisième jour, les pèlerins se déplacent de Mouzdalifah jusqu’à Mina. Là, ils lancent, sur des piliers blancs, les cailloux qu’ils ont recueillis la veille, une pratique remontant à l’époque du prophète Abraham (que la paix soit sur lui). Tandis qu’ils lancent sept cailloux sur chacun des piliers, ils se souviennent de la tentative de ^^^^^ de détourner Abraham de l’ordre de Dieu l’enjoignant de sacrifier son fils. Lancer ces cailloux symbolise la volonté de l’homme de repousser le mal et le vice, non pas une seule fois, mais sept – le nombre sept étant le symbole de l’infini. Après le lancer des cailloux, la plupart des pèlerins sacrifient une chèvre, un mouton ou un autre animal. Ils distribuent la viande aux pauvres après, dans certains cas, en avoir gardé une portion pour eux-mêmes. Ce rite est associé à la volonté d’Abraham de sacrifier son fils afin de se soumettre à l’ordre de Dieu. Il symbolise la volonté du musulman de se départir de ce à quoi il tient et rappelle l’esprit de l’islam, dans lequel la soumission à Dieu joue un rôle crucial. Cet acte rappelle également au pèlerin la nécessité de partager ses biens avec ceux qui sont plus pauvres que lui, tout en étant un signe de reconnaissance envers Dieu. Comme les pèlerins, à cette étape, ont terminé la majeure partie de leur Hajj, ils ont maintenant le droit d’enlever leur ihram et de revêtir des vêtements ordinaires. Ce jour-là, les musulmans à travers le monde partagent la joie des pèlerins et se joignent à eux dans le sacrifice des moutons, célébrant ainsi la fête qui est connue sous le nom d’Aïd al-Adha (Aïd du mouton). Les hommes se rasent la tête ou coupent leurs cheveux très courts, tandis que les femmes se coupent une mèche symbolique pour signifier qu’elles sont sorties de leur état de sacralisation. Toutes les prohibitions sont maintenant levées, à l’exception des rapports conjugaux, qui sont toujours interdits. Toujours en séjour à Mina, les pèlerins se rendent ensuite à la Mecque pour accomplir un autre rite essentiel du Hajj : le tawaf, qui consister à faire sept fois le tour de la Ka’bah, en récitant des invocations particulières. Ces tours de la Ka’bah, symboles de l’unité de Dieu, font référence au fait que toutes nos activités, en tant qu’êtres humains, doivent être centrées autour de Dieu. Thomas Abercrombie, un converti à l’islam, écrivain et photographe pour le magazine National Geographic, a accompli le Hajj dans les années 70 et décrit l’unité et l’harmonie que ressentent les pèlerins lorsqu’ils tournent autour de la Ka’bah : « Nous avons tourné sept fois autour de ce lieu de pèlerinage, en répétant nos dévotions en langue arabe : « Ô Seigneur! Je suis venu de loin pour Toi... Accorde-moi le refuge à l’ombre de Ton Trône. » Pris dans ce tourbillon, soulevés par la poésie de toutes ces prières, nous avons tourné autour de la Maison de Dieu comme des atomes, en harmonie avec les astres. » Tout en faisant ce circuit, les pèlerins peuvent, s’ils y arrivent, embrasser ou toucher la Pierre Noire. Cette pierre ovale, d’abord montée sur un support d’argent, au septième siècle, occupe une place spéciale dans le cœur des pèlerins car, selon certains hadiths, elle est l’unique vestige de la structure originale bâtie par Abraham et son fils Ismaël. Mais peut-être la raison la plus importante qui puisse nous pousser à embrasser ou toucher cette pierre est que le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) l’a lui-même fait. Nous ne devons pas accorder à la Pierre Noire plus d’importance qu’elle n’en a en réalité, car elle n’est point, et n’a jamais été, un objet d’adoration. Le deuxième calife, Omar ibn al-Khattab, a fortement insisté sur ce point; en embrassant lui-même la pierre, comme l’avait fait le Prophète, il dit : « Je sais que tu n’es rien d’autre qu’une pierre, et que tu es incapable de faire ni bien ni mal par toi-même. Si je n’avais vu le Messager de Dieu (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) t’embrasser, je ne l’aurais pas fait moi-même. » Après avoir complété le tawaf, les pèlerins prient, de préférence à la Station d’Ibrahim, c’est-à-dire le site même où Ibrahim s’est tenu lorsqu’il a construit la Ka’bah. Puis, ils peuvent boire de l’eau de Zamzam. Un autre rite final est le sa’y, ou « l’épuisement ». Il s’agit de la reconstitution d’un épisode mémorable de la vie de Hagar, qui fut amenée, par son mari Abraham, dans ce que le Coran décrit comme une « vallée incultivable » de la Mecque, avec son fils Ismaël. Le sa’y commémore la quête désespérée de Hagar pour trouver de l’eau, afin d’étancher sa soif et celle de son fils. Elle fit l’aller-retour sept fois, en courant, entre les collines de Safa et de Marwah, jusqu’à ce qu’elle trouve la source d’eau sacrée connue sous le nom de Zamzam. Cette eau, qui jaillit de façon miraculeuse sous les pieds d’Ismaël, est issue de la même source que celle à laquelle s’abreuvent les pèlerins, de nos jours. Une fois tous ces rites accomplis, les pèlerins sont libres et peuvent reprendre leurs activités courantes. Ils retournent à Mina, où ils restent jusqu’aux 12e et 13e jours de Dhoul Hijjah. Là, ils lancent leurs cailloux restants sur chacun des piliers, de la manière pratiquée ou approuvée par le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui). Puis, avant de quitter définitivement la Mecque, ils font un dernier tawaf autour de la Ka’bah afin de faire leurs adieux à la ville sainte. Habituellement, les pèlerins précèdent ou font suivre leur pèlerinage, le Hajj, de la oumrah, ou « petit pèlerinage », que le Prophète a lui-même accompli. La oumrah, contrairement au Hajj, n’a lieu qu’à la Mecque et peut être accomplie à n’importe quel moment de l’année. Le ihram, le talbiyah et les interdictions s’appliquent aussi à la oumrah, qui partage également trois autres rites avec le Hajj : le tawaf, le sa’y et le rasage des cheveux. Avant ou après être allés à la Mecque, les pèlerins profitent de l’occasion pour aller visiter la mosquée du Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) à Médine, la deuxième ville sainte de l’islam. C’est là que repose le Prophète, dans une tombe très simple. La visite à Médine n’est pas obligatoire, car elle ne fait pas partie du Hajj ni de la oumrah, mais la ville – qui accueillit Mohammed lorsqu’il quitta la Mecque – est très riche du point de vue historique et regorge de sites rappelant la vie de Mohammed en tant que prophète et homme d’État. Dans cette ville, chérie des musulmans depuis des siècles, les gens ressentent toujours les effets du passage du Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui). Mohammed Asad, un ^^^^ autrichien converti à l’islam en 1926, a accompli cinq fois le pèlerinage entre 1927 et 1932 et commente ainsi cet aspect de Médine : « Même après treize siècles, la présence spirituelle du Prophète est presque aussi tangible qu’elle était de son vivant. Ce n’est qu’à travers lui que l’ensemble de villages éparpillés qui s’appelait autrefois Yathrib devint une ville chérie des musulmans jusqu’à nos jours, comme nulle ville, en ce monde, n’a jamais été chérie. Elle ne possède même pas un nom qui lui soit propre : depuis plus de treize siècles, les musulmans l’appellent Madinat-an-Nabi, ou « la ville du Prophète ». Depuis plus de treize siècles, tant d’amour a convergé vers ce lieu que toutes les formes et tous les mouvements ont acquis une ressemblance familiale; et toutes les différences extérieures arrivent à se rejoindre pour former une véritable harmonie. » Tandis que les pèlerins de diverses races et nationalités retournent chez eux, ils rapportent avec eux, dans leur cœur, le souvenir d’Abraham, d’Ismaël, de Hagar et de Mohammed. Jamais ils n’oublieront ce rassemblement universel, où des pauvres et des riches, des Noirs et des Blancs, des jeunes et des vieux se sont rencontrés sur un même pied d’égalité. Ils retournent chez eux à la fois impressionnés et sereins. À Arafat, c’est dans un sentiment mêlé de crainte et de respect qu’ils se sont sentis plus proches de Dieu que jamais auparavant, au moment où ils se tenaient sur ce lieu même où le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) prononça son dernier sermon durant ce qui fut son premier et dernier pèlerinage. Et ils ont ressenti une grande sérénité pour s’être repentis de leurs péchés et s’être enfin libérés d’un si lourd fardeau. Ils retournent aussi chez eux avec une meilleure compréhension de la diversité de leurs frères et sœurs en islam. C’est ainsi qu’ils ont pu développer une plus grande compassion envers eux et qu’ils ont compris à quel point leur héritage commun est grandiose. Les pèlerins quittent ce pays emplis de joie et d’espoir, car ils ont répondu à l’appel de Dieu, ils se sont soumis à Son ordre, lancé à tous les musulmans, d’accomplir ce pèlerinage au moins une fois dans leur vie. Mais surtout, ils reviennent avec une prière sur les lèvres : que Dieu accepte leur Hajj et que cette promesse, faite par le Prophète, s’applique à leur Hajj personnel : « Pour un pieux pèlerinage, il n’y a pas d’autre rétribution que le Paradis. » (at-Tirmidhi)
  10. macoooo

    Hajj et grande fête

    Allah a prescrit le pèlerinage une fois dans sa vie pour les musulmans qui en ont les moyens et sont physiquement capables de le faire. Il existe trois types de Hajj: pèlerinage à-Tamattu ', Hajj Al-Hajj et Qiran Alif rad. Dans cet article, nous allons vous expliquer la procédure pour le Hajj Al-Tamatt'u car elle est la plus recommandée. Dans ce type, l'une consiste à effectuer une oumra pendant les mois du Hadj (c.-à Chawwal, Dhul-Qe'dah et les dix premières nuits de Dhul-Hijjah) et d'effectuer le Hajj à la même année avec un sacrifice à Mina abattus sur le jour de l'Aïd AlAdh'ha (Le 10ème jour de Dhul-Hijjah) ou pendant les jours de Tashriq (soit le jour 11, 12 et 13 de Dhul-Hijjah). Le pèlerin peut enlever ses vêtements ihram et reprendre ses activités normales entre la 'Umra et le Hajj. Il est nécessaire de faire le Tawaf et le Sa'i deux fois, la première fois pour la 'Umra et la deuxième fois pour le Hajj. Nous décrivons dans ce qui suit la séquence du voyage du Hajj. Ihram Ihram est l'intention de la personne qui est prête à effectuer tous les rites de la 'Umra, le Hajj ou deux quand il arrive à la Miqat. Chaque direction entrée en Makkah dispose de son propre Miqat. Il est recommandé que celui qui a l'intention d'accomplir le Hajj fait ghusl (une douche avec l'intention de purifier soi-même), les parfums de son corps, mais pas ses vêtements, et met sur un vêtement deux pièces, sans couvre-chef. Les vêtements doivent être en tissu transparent. Une pièce à recouvrir la partie supérieure du corps, et la seconde pour recouvrir la partie inférieure. Pour une femme l'Ihram est le même, sauf qu'elle ne doit pas utiliser de parfums du tout et sa robe doit couvrir tout le corps décemment, laissant les mains et le visage à découvert. Le pèlerin doit dire l'intention en fonction du type du Hadj. Pour le Hajj Al-Tamatt'u on devrait dire: «Labbayka Allahoumma 'Omra" ce qui signifie: «Ô Allah j'ai répondu à votre appel pour effectuer la' Umra". Il est recommandé de répéter l'invocation bien connue du Hadj, appelé Talbeyah, aussi souvent que possible à partir du moment de l'Ihram jusqu'au moment de la lapidation d'abord Jamrat Aqaba à Mina. Les hommes sont invités à prononcer à haute voix le Talbeyah tandis que les femmes sont le dire tranquillement. Cette Talbeyah est de la forme: «Labbayka Allahoumma Labbayk. Labbayka La Shareeka Laka Labbayk. Inna-alhamda Wan-ntimata Laka Walmulk. La Shareek Lak." (Ici, je suis à votre service. Ô mon Seigneur, me voici. Je suis là. Aucun partenaire ne vous avoir. Ici je suis. Vraiment, les éloges et les dispositions sont à vous, et est donc la domination. Aucun partenaire ne vous avoir.) Effectuer la 'Umra Tawaf: Quand un musulman arrive à la Mecque, il doit faire le Tawaf autour de la Kaaba, comme un geste de salutation Al-Haram A1Masjid. Ceci est fait en encerclant les sept Ka'bah fois dans le sens anti-horaire, à partir de la pierre noire avec takbir et se terminant chaque cercle à la pierre noire avec takbir, en gardant la Ka'ba à sa gauche. Ensuite, le pèlerin va à Maqam Ibrahim (Station d'Ibrahim), et effectue deux rak'a derrière lui, près de lui, si possible, mais loin du chemin des gens qui font le Tawaf. Dans tous les cas, on doit faire face à la Kaaba pour prier derrière Maqam Ibrahim. Sa'i: Le rite suivante consiste à faire Sa'i entre Safa et Marwah. Le pèlerin commence Sa'i en remontant le Safa. En faisant face à la Ka'ba, il loue Allah, lève les mains et dit: Allahou akbar "Allah Akbar"-u trois fois, puis fait une supplication à Allah. Ensuite, le pèlerin descend de la Safa et se dirige vers la Marwah. Il faut accélérer le rythme entre les messages clairement identifiés verts, mais doit marcher à un rythme normal avant et après eux. Quand le pèlerin atteint la Marwah, il devrait y monter, louange à Allah et faire ce qu'il a fait à la Safa. Ceci est considéré comme un tour et est donc dans l'autre sens de la Marwah à la Safa. Un total de sept tours sont nécessaires pour effectuer le Sa'i. Après Sa'i, le musulman termine ses «rites Omra en se rasant la tête ou coupe ses cheveux (les femmes devraient réduire la longueur du bout d'un doigt de leurs cheveux). A ce stade, les interdictions relatives à l'état d'Ihram sont levées et que l'on peut reprendre sa vie normale. Il n'existe pas de formules nécessaires ou des supplications pour le Tawaf ou pour Sa'i. Il appartient à l'adorateur à louer Dieu ou à le supplier avec toute supplication acceptable ou de réciter des parties du Coran. Bien qu'il soit recommandé de réciter les invocations que le Prophète, Salla Allah-u alaihe wa salam, l'habitude de dire lors de l'exécution de ces rites. Il faut noter que la 'Umra peut être effectuée par lui-même comme décrit ci-dessus à tout moment de l'année. Sortir à Mina le jour de Tarwiah Un pèlerin doit accomplir le Hajj AlTamatt'u intention Ihram, à partir de l'endroit où il se trouve, sur la 8ème jour de Dhul-Hijjah, qui est le jour de Tarwiah, et de laisser à Mina dans la matinée. En Mina, les pèlerins prient Dhuhr, Asr, Maghrib et Isha du 8e jour de ThulHijjah et Fajr de la 9e journée de ThulHijjah. Dhuhr, Asr et Isha sont chaque raccourci à deux Rak'ah seulement, mais ne sont pas combinés. Le pèlerin reste à Mina jusqu'au lever du soleil le 9e jour de ThulHijjah puis quitte à Arafat. Départ à Arafat Sur le 9e jour de Dhul-Hijjah, le jour d'Arafat, les pèlerins rester dans Arafat jusqu'au coucher du soleil. Les pèlerins prient Dhuhr et 'Asr à Arafat, raccourcie et combinés pen dant le temps de Dhuhr pour sauver le reste de la journée pour glorifier Allah et pour le pardon des supplications demandant. Un pèlerin doit s'assurer qu'il est dans les limites de Arafat, pas nécessairement debout sur la montagne d'Arafat. Le Prophète salla Allah u-alaihe wa salam a dit: "Je suis resté ici, sur cette colline rocheuse et tous Arafat est un lieu permanent» musulman. Il convient de garder en récitant Talbeyah, en glorifiant Allah le plus grand supplication et de répéter. Il est également rapporté que le Prophète, Salla Allah-u alaihe wa salam, disait la supplication suivante: "Il n'ya pas de divinité digne d'adoration sauf Allah, l'Unique sans associé La domination et la louange lui appartiennent et il est. puissant sur toute chose. " Anas Ibn Malik a demandé une fois comment lui et ses amis avaient l'habitude de passer leur temps tout en marchant de Mina à Arafat en compagnie du Prophète, salla Allah u-alaihe wa salam. Anas a dit: «Certains d'entre nous l'habitude de pleurer sur Talbeyah, d'autres utilisés pour glorifier Allah, le plus grand et le reste sert à répéter les prières Chacun de nous est libre d'adorer Allah dans la façon dont il aime sans préjugé ni renonciation à son droit.. " Bukhari. Dans la plaine immense place d'Arafat, les larmes tombent, les péchés sont lavés et les défauts soient réparés pour ceux qui demande à Allah le pardon et offrir un repentir sincère pour leurs mauvaises actions dans le passé. Heureux celui qui reçoit la miséricorde et agrément d'Allah en ce jour particulier. Le départ d'Arafat Peu de temps après le coucher du soleil le jour d'Arafat, les pèlerins partent pour Muzdalifah tranquillement et respectueusement en conformité avec l'avis du Prophète, salla Allah u-alaihe wa salam, qui a dit quand il a remarqué que les gens marchant sans le calme: "Ô gens Be quiet! , se hâtant n'est pas un signe de justice ". Bukhari. Afin de suivre l'exemple du Prophète, salla Allah u-alaihe wa salam, il est préférable de garder la récitation du Talbeyah, en glorifiant Allah le Plus Grand et mentionner le nom d'Allah jusqu'à ce que le moment de la lapidation Jamrat Aqaba (un pilier de pierre à Mina). En Muzdalifah, le pèlerin accomplit la prière de Maghrib et Isha réunies, le raccourcissement de la prière Isha à deux Rak'ah. Pèlerins passer la nuit à Muzdalifah d'accomplir la prière du Fajr et attendez que la luminosité de la matinée est très répandue avant qu'ils ne quittent Mina, au passage à travers la sacré Mash'ar vallée. Femmes et les personnes faibles sont autorisés à procéder à Mina, à tout moment après minuit pour éviter la foule. La lapidation Jamrat Aqaba Quand les pèlerins arrivent à Mina, ils vont à Jamrat Aqaba où ils en pierre avec sept cailloux glorifiant Allah »Allah-u Akbar" à chaque lancer et d'appeler sur lui d'accepter leur Hajj. Le temps de la lapidation Jamrat Aqaba est après le lever du soleil. Le Prophète salla Allah u-alaihe wa salam, a jeté les cailloux en fin de matinée et a permis à des gens faibles pierre après avoir quitté Mouzdalifa après minuit. La taille des cailloux ne doit pas être supérieure à celle d'une fève comme décrit par le Prophète, Salla Allahou wa salam alaihe, qui met en garde contre l'exagération. Les galets peuvent être ramassés soit à Mouzdalifa ou à Mina. Abattage du Sacrifice Après la lapidation Jamrat Aqaba, le pèlerin va à l'abattoir son sacrifice soit personnellement, soit par la nomination de quelqu'un d'autre de le faire en son nom. Un pèlerin devrait abattage, soit un mouton, ou partager une vache ou un chameau avec six autres. Le rasage de la tête ou coupe les poils Le rite final, le dixième jour après avoir offert son sacrifice est de se raser la tête un 's ou de couper une partie des cheveux. Le rasage de la tête est to^^^^ois préférable car il a été rapporté que le Prophète a prié trois fois pour ceux qui se rasent la tête, quand il a dit: ". Miséricorde d'Allah soit sur ceux qui se rasent la tête" Bukhari et Muslim. Pour les femmes, la longueur des cheveux à couper est celle d'un bout de doigt. La lapidation de Jamrat Aqaba et le rasage de la tête ou de coupe de cheveux symbolise la fin de la première phase de l'état d'Ihram et la levée des restrictions à l'exception des rapports sexuels avec son conjoint. Lapidation Jamrat Aqaba, l'abattage et le sacrifice se raser la tête ou couper une partie des cheveux est préférable d'être dans cet ordre, c'est l'ordre que le Prophète, Salla Allah-u alaihe wa salam, l'a fait. To^^^^ois, si elles sont faites dans un autre ordre, il n'y a aucun mal à cela. Tawaf Al-Ifadhah Tawaf Al-Ifadhah est un rite fondamental du Hajj. Le pèlerin fait Tawaf-AIIfadhah en visitant Al-Masjid AlHaraam et encerclant les sept Ka'bah fois et de prier deux Rak'ah derrière Maqam Ibrahim. Ensuite, le pèlerin doit faire Sa'i entre Safa et Marwah l'. Après Tawaf Al-Ifadhah l'état d'Ihram est complètement terminée et toutes les restrictions sont levées, y compris des rapports sexuels avec son conjoint. Tawaf Al-Ifadhah peut être retardée jusqu'à ce que les jours passés à Mina est révolue. Retour à Mina Le pèlerin doit retourner à Mina et y passer les jours de Tashriq (c.-à-ème II, 1 et 1 2ème 3ème jour de Dhul-Hijjah). l Au cours de chaque jour, et après la prière du Dhuhr, | le pèlerin lapide les trois piliers de pierre appelées "Jamarat": La petite, la moyenne et Jamrat Aqaba, en glorifiant Allah »Allah-u Akbar" à chaque coup de sept cailloux dénoyautées au niveau de chaque pilier. Ces cailloux sont ramassés à Mina. A Pilgrim l peut quitter Mina à La Mecque le 13 Dhul-Hijjah, ou le 12, s'il le souhaite, il n'y a pas de blâme sur lui s'il choisit le plus tard, mais il doit partir avant le coucher du soleil. Adieu Tawaf Adieu Tawaf est le dernier rite du Hadj. Il s'agit de faire une autre Tawaf autour de la Kaaba. Ibn Abbas a dit: «Les gens ont reçu l'ordre d'effectuer le Tawaf autour de la Kaaba comme la dernière chose avant de quitter la Mecque, à l'exception des femmes menstruées qui ont été excusés." Bukhari.
  11. Son comportement avec sa petite-fille Umâma bint 'Abû al-‘Âss : A la mort de sa mère Zaynab le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était devenu si tendre et si compatissant à l'égard d'Umâma que parfois il l'amenait avec lui à la mosquée et la portait alors qu'il priait et quand il se prosternait, il la déposait par terre, de même que quand il se relevait, il la mettait sur son épaule. Abû Qatâda al-Ansârî (qu'Allah soit satisfait de lui) rapporte que : "Le Messager d'Allah faisait la prière alors qu'il portait Umâma bint Zaynab sa propre fille. Selon Abû al-‘Âss ibn Rabî'a ibn Abd Chams, le Prophète quand il se prosternait déposait l'enfant et quand il se levait la portait". (Boukhari). http://www.youtube.com/watch?v=BGUu7QgwHik
  12. Son comportement avec un jeune garçon ^^^^ qui le servait : Anas ibn Mâlik (qu'Allah soit satisfait de lui dit) raconte : "Il y avait un garçon ^^^^ qui faisait fonction de serviteur du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam). Lorsque celui-ci tomba malade, le Prophète était venu s'enquérir de ses nouvelles. Il s'assit à son chevet et lui dit : "Embrasse l'Islam". L'enfant regarda son père (comme pour sonder son opinion). Le père lui dit : "Obéis à Abû al-Qâsim". L'enfant se convertit alors à l'Islam. En sortant de chez eux, le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était très heureux et il répétait : "Louange à Allah qui a sauvé ce garçon de l'Enfer". (Boukhari) Cela indique l’intérêt et la compassion que le Prophète portait à l'enfant même s'il était mécréant ainsi que sa grande reconnaissance envers celui qui l’a servi, et ce, même si ce dernier concédait ses services en échange d’une rémunération.
  13. fourwinds (08/09/2014),Khodja (08/09/2014) Merci https://www.youtube.com/watch?v=-1NLSRaq6xE
  14. Khodja Merci Bien que le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) fût très occupé par les questions du djihad, de la prédication et du culte ainsi que par la gestion des affaires courantes, cela ne l'empêchait pas de consacrer du temps à ses propres enfants et à ceux des autres. Ainsi, on pouvait le voir questionner un enfant au sujet de son petit oiseau faisant fi de son haut statut et de ses grandes responsabilités. La priorité accordée par le Prophète à l'enfant qui se trouve à sa droite : D'après Sahl ibn Sa'd (qu'Allah soit satisfait de lui) : "Le Messager d'Allah (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) a amené une boisson dont il but avant de s'apprêter à servir le garçon à sa droite et les vieux qui étaient à sa gauche. Il demanda alors au garçon : "Me permets-tu de les servir les premiers ?". Le garçon lui répondit : "Jamais je ne concéderai à quiconque la part qui, de droit, me revient de toi". Le Messager d'Allah (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) lui remit alors la boisson. (Boukhari). Autant donc d'indications et de preuves de l'intérêt que portait le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) aux enfants et de son souci de leur donner leur dû, de leur faire sentir leur propre valeur, de leur apprendre à être courageux et à exprimer leur opinion ainsi que de leur faire connaître leurs droits pour les revendiquer.
  15. bsmaya (30/08/2014),Khodja (30/08/2014) Merci Avec Abû ‘Umayr : Anas (qu'Allah soit satisfait de lui) raconte : "J'avais un petit frère qui s'appelait Abû ‘Umayr et que le Messager d’Allah (Salla Allahou Alaihi wa Sallam), à chaque fois qu'il venait chez nous, taquinait en lui disant :"Dis-moi Abû 'Umayr ! Qu’a donc fait le nughayr ?". Le nughayr est un petit oiseau qui était nourri et abreuvé par Abû 'Umayr. (Boukhari). Toujours d’après Anas, le Prophète rendait visite aux habitants de Médine, saluait leurs enfants et passait sa main sur leurs têtes par affection. (Rapporté par al-Nisâ`î et authentifié par al-Albânî).
  16. alirobben (26/08/2014),Khodja (26/08/2014) Merci Abû Hurayra (qu'Allah soit satisfait de lui) rapporte que : "al-Aqra' ibn Hâbis a dit au Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) après l'avoir vu embrasser al-Hasan : "J'ai dix enfants et je n'ai jamais embrassé l'un d'eux". Le Messager d'Allah (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) de répondre : "La miséricorde n’est point accordée à celui qui ne fait pas preuve de miséricorde [envers les autres]." (Mouslim). D'après Abû Hurayra (qu'Allah soit satisfait de lui) : "Un jour j'ai accompagné le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) et en cours de route aucun de nous n'a parlé à l'autre jusqu'à ce que nous arrivâmes au marché de Qaynuqa’. Le Prophète s'assit dans la cour de la maison de Fatima et appela deux fois : "Ô al-Hasan ! Ô Hasan !". Pour ma part j'ai cru que Fatima avait retardé al-Hasan et qu'elle était en train de lui mettre ses habits ou de le laver. Pressé, le Prophète entra, mis son bras autour de l'enfant et l'embrassa avant de dire : "Ô Seigneur aime le et aime celui qui l’aime" (Al Bukhari). Ainsi, donc le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) consacrait-il une partie de son temps à son petit-fils, pour se rendre chez lui, prendre de ses nouvelles, l’embrasser, le mettre sur ses genoux et implorer Allah en sa faveur. Son comportement avec le fils d’Abû Mûsâ al-Ach'ârî : Abû Mûsâ (qu'Allah soit satisfait de lui) a dit : "A la naissance de mon fils j'étais venu voir le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) qui lui donna le nom d'Ibrâhîm, lui mit dans la bouche une datte qu’il avait mâchée pour lui et invoqua Allah en sa faveur avant de me le rendre…" (Al Bukhari). Le garçon en question était l'aîné des enfants d'Abû Mûsâ al-Ach'ârî. Il était de l'habitude des Compagnons du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) de lui amener leurs nouveau-nés qu'il prenait, embrassait, étreignait de même qu'il invoquait Allah pour eux. https://www.youtube.com/watch?v=JMaZdbf43O8
  17. 1conito (23/08/2014),Khodja (23/08/2014) Merci Comportement du Prophète vis-à-vis des enfants Dans Son immense sagesse et Sa grâce illimitée, le Tout-Puissant a choisi le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) parmi tout le genre humain, l’a sélectionné et lui a confié des missions qu’Il n’a confiées à personne d'autre pour en faire un modèle pour toute l’humanité comme l’indique le Coran : « En effet, vous avez dans le Messager d'Allah un excellent modèle [à suivre], pour quiconque espère en Allah et au Jour dernier et invoque Allah fréquemment. » (Coran 33/21). Ainsi, si vous comparez le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) aux autres prophètes, vous trouverez que, quoique le dernier envoyé, il est le meilleur, si vous le comparez aux enseignants, vous trouverez qu’il est le plus instruit, le plus éloquent et le meilleur communicateur, si vous le comparez en tant que mari aux autres maris, vous trouverez qu’il est le meilleur en terme de bonne cohabitation et de traitement correct. Si vous le jugez en tant que combattant, vous trouverez qu'il est le plus courageux et le plus audacieux. Si vous le jugez par rapport à son comportement vis-à-vis des enfants, vous trouverez qu'il est le plus compassionné, le plus compatissant et le plus tendre. Voici quelques exemples de son comportement relevés de sa Sîra (biographie) vis-à-vis des enfants : Avec son fils Ibrâhîm : Anas ibn Mâlik (qu'Allah soit satisfait de lui) raconte : "Ibrâhîm, le fils du Prophète, était allaité par l’épouse du forgeron Abû Sayf dont la maison se trouvait sur les hauteurs de Médine ; le Prophète avait l'habitude d'aller le voir en notre compagnie. En entrant dans la maison, il prenait Ibrâhîm puis l’embrassait. Ensuite, il s’en allait. Une fois nous sommes entrés avec lui et nous avions trouvé Ibrâhîm en train de suffoquer, le Prophète le porta, le serra contre sa poitrine et les larmes se mirent à couler de ses yeux. L'ayant remarqué ainsi 'Abd al-Rahmân ibn ‘Awf (qu'Allah soit satisfait de lui) lui dit : "Et toi aussi, ô Messager d'Allah [tu pleures] ?!" "Ô Ibn ‘Awf", répondit le Prophète, "c'est une miséricorde qu'Allah place dans le cœur de ceux qu'Il veut parmi Ses serviteurs". Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) fit suivre ses larmes par d'autres, avant de dire : "Des larmes coulent des yeux et le cœur est rempli de chagrin. Mais nous ne dirons rien qui ne déplaise à notre Seigneur. Ô Ibrâhîm ! En vérité, nous sommes très chagrinés par ton départ !" (Boukhari). Selon la version de Mouslim, Anas a dit : "Je jure par Allah que je n'ai jamais vu quelqu'un plus compatissant avec les membres de sa famille que le Messager d'Allah (Salla Allahou Alaihi wa Sallam)". Avec ses deux petit-fils al-Hasan et al-Husayn : 'Abdallah ibn Chaddâd rapporte que son père a dit : "Une fois le Messager d'Allah (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était venu pour faire la prière de Dhouhr ou de 'Asr alors qu'il portait al-Hasan ou al-Husayn. Il avança et déposa l'enfant puis commença la prière et se prosterna longuement. Le narrateur dit : "Ayant levé la tête, j'ai vu l’enfant sur le dos du Messager d'Allah qui est toujours en état de prosternation, alors j'ai repris ma prosternation. Quand le Messager d'Allah termina sa prière, les fidèles lui dirent : "Ô Messager d'Allah : "Tu as prolongé l’une de tes prosternations au point de laisser croire que quelque chose est arrivé ou que tu es en train de recevoir une révélation". "Rien de tout cela", rétorqua le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam), "mais mon petits-fils était monté sur mon dos et je n'ai pas voulu le déranger tant qu'il ne voulait pas descendre de son propre gré" (Rapporté par Ahmed). Abû Hurayra (qu'Allah soit satisfait de lui) rapporte que : "al-Aqra' ibn Hâbis a dit au Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) après l'avoir vu embrasser al-Hasan : "J'ai dix enfants et je n'ai jamais embrassé l'un d'eux". Le Messager d'Allah (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) de répondre : "La miséricorde n’est point accordée à celui qui ne fait pas preuve de miséricorde [envers les autres]." (Mouslim). https://www.youtube.com/watch?v=sjW6qdRkjyU
  18. la relation parent-enfant. Si les parents agissent conformément à ces directives, ils peuvent faire l'environnement familial plus propice à la paix et de satisfaction pour les parents et la croissance de la personnalité saine pour les enfants. 1. Ne pas abuser des reproches envers les enfants L’abus des reproches envers ses propres enfants est mauvais, par exemple « Pourquoi as-tu fais ça ? » ou « Pourquoi ne l’as-tu pas fait ? ». Le Prophète Muhammad – que le salut et la paix de Dieu soient sur lui – n’abusait pas des reproches avec les petits. 2. Traiter ses enfants de manière équitable Il est déconseillé de traiter ses propres enfants de manière inégale, tant sur le plan matériel que moral. Il ne faut pas manifester de préférence sur un de ses enfants au risque de développer de la jalousie et des disputes entre eux. D’après une histoire d’Anas – qu’Allah l’agrée – un homme avait embrassé son fils qui était venu vers lui, quand sa fillette était arrivée l’homme ne l’a pas embrassée. Le Prophète Muhammad – que le salut et la paix de Dieu soient sur lui – avait vu la scène, il dit à l’homme : « Tu n’as point été équitable entre eux. » 3. Adapter son discours avec ses enfants Le Prophète Muhammad – que le salut et la paix de Dieu soient sur lui – nous enseigne de s’adresser aux enfants dans un discours direct, simple, clair, franc, concis, avec des mots simples pour que sa propre intelligence assimile facilement les idées. Il faut donc éviter le langage biaisé, ambigu, confus, flou. 4. Rendre les enfants joyeux Le Prophète Muhammad – que le salut et la paix de Dieu soient sur lui – mettait toujours de la gaieté dans le cœur des enfants pour leur donner du bonheur. Par exemple, il leur caressait les cheveux, leur donnait des friandises ou des aliments. 5. Récompenser les bonnes actions des enfants Les enfants doivent comprendre que chaque bonne action mérite récompense et que toute infraction mérite punition. Attention to^^^^ois de ne pas être menaçant et d’inspirer l’effroi. 6. La politesse est une obligation chez le musulman L’inculcation de la politesse chez les enfants est une obligation. Il est nécessaire de les y astreindre. La politesse constitue une des facettes les plus importantes de l’éducation morale. Le Prophète – que le salut et la paix de Dieu soient sur lui – a insisté sur l’inculcation de la politesse. At-Tirmidhi cite un hadith rapporté par Sa ‘îd Ibn Al Âs: « Un père ne peut accorder un meilleur don à son enfant qu’une bonne éducation. » 7. Apprendre le salut aux enfants Les parents doivent apprendre le salut à leurs enfants. Le Prophète Muhammad – que le salut et la paix de Dieu soient sur lui – et ses compagnons – qu’Allah les agrée – avaient l’habitude de saluer en premier l’enfant pour l’habituer à faire de même avec les gens. Comme manger, boire et dormir, un père doit inculquer la civilité à ses enfants. 8. Apprendre aux enfants la formule de l’unicité d’Allah Inculquer aux enfants le credo de l’unicité d’Allah dès l’âge où ils commencent à bien articuler : « Il n’y a aucune autre divinité qu’Allah. » Al Hâkim rapporte d’après Ibn ‘Abbas – qu’Allah l’agrée : « Le Prophète – que le salut et la paix de Dieu soient sur lui – a enseigné : « Commencez l’éducation de vos enfants par l’apprentissage de la formule Il n’y a d’autre divinité qu’Allah. ». Et répétez leur cette même formule au moment de leur mort. » 9. Corriger les enfants est une nécessité éducative La correction de l’enfant est une nécessité éducative. Le caractère détestable de l’enfant peut s’expliquer par la négligence dont il a été victime quand il était plus petit. À cet âge il aurait fallu prendre le temps de l’éduquer, mais il a suivi ses mauvais penchants et pris de mauvaises habitudes qui ne provenaient pas forcément de sa véritable nature. 10. Inculquer la propreté et l’hygiène aux enfants Les enfants doivent être propres. L’islam préconise la propreté qui est une des règles fondamentales du musulman. Dès l’âge de 7 ans l’enfant doit d’abord faire ses ablutions avant d’aller prier. Il doit s’assurer que ses vêtements soient purs, il doit choisir un endroit propre pour prier, exempt de toute impureté. Le Prophète Muhammad – que le salut et la paix de Dieu soient sur lui – a dit qu’il existait cinq pratiques relatives à l’hygiène qui doivent être observées par les Croyants, il y a entre autres « la coupe des ongles ». Les saletés qui se glissent sous les ongles peuvent transmettre des maladies aux enfants qui ont tendance à mettre leurs doigts dans la bouche. Suivre cette vidéo étonnante Son traitement avec des enfants
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    qui est cet homme?

    Fils de Dieu, fils de David ou fils de l’Homme? Jésus est appelé « fils de David » quatorze fois dans le Nouveau Testament, entre autres dans Matthieu 1:1. L’évangile selon Luc mentionne 41 générations entre Jésus et David, tandis que Matthieu en mentionne 26. Comme Jésus n’est qu’un lointain descendant, on ne peut donc l’appeler « fils de David » que de façon métaphorique. Mais comment sommes-nous censés comprendre le titre de « fils de Dieu »? Le « trilemme », une approche fréquemment utilisée par les missionnaires chrétiens, propose que « Jésus était soit un lunatique, soit un menteur, ou alors fils de Dieu, comme il l’affirmait ». Pour le bien fondé de l’argument, admettons que Jésus n’était ni un lunatique ni un menteur. Admettons également qu’il était exactement ce qu’il affirmait être. Mais qu’était-ce, au juste? Jésus s’est lui-même appelé « fils de l’Homme » de façon régulière, en insistant parfois sur ce terme; mais où s’est-il attribué le nom de « fils de Dieu »? Faisons marche arrière une minute. Quel sens doit-on donner, tout d’abord, à l’expression « fils de Dieu »? Aucune secte chrétienne ne serait prête à affirmer que Dieu a pris épouse et qu’Il a eu un enfant. De plus, laisser sous-entendre que Dieu se serait accouplé avec un des éléments de Sa création dépasse tellement les limites de la tolérance religieuse que cela équivaut à dégringoler la pente escarpée du blasphème. Les principes de la doctrine chrétienne ne nous offrent aucune explication acceptable à ce sujet et la seule façon qu’ils aient trouvée de clore le débat est en faisant allusion, une fois de plus, au grand mystère de la foi. Mais les musulmans leur rappellent alors la question posée par Dieu Lui-même, dans le Coran : « … comment aurait-Il un enfant alors qu’Il n’a pas de compagne ? » (Coran 6:101) … et certains leur répondent : « Mais Dieu est capable de tout! ». La position islamique, cependant, est que Dieu ne fait rien que l’on pourrait juger inconvenable et qu’Il ne fait que des choses qui siéent à Sa majesté. Du point de vue islamique, le caractère de Dieu fait partie de la totalité de Son Être et il est en harmonie avec Sa majesté. Alors encore une fois, quel sens doit-on donner à l’expression « fils de Dieu »? Et d’abord, si Jésus avait un droit exclusif au titre, pourquoi trouve-t-on dans la Bible des versets tels que : « Car Je suis un père pour Israël, et Éphraïm est Mon premier-né. » (Jérémie 31:9) et « Ainsi parle l'Éternel : « Israël est Mon fils, Mon premier-né. » (Exode 4:22) Dans le contexte de Romains 8:14, qui dit : «… car tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu sont fils de Dieu », plusieurs érudits concluent que « fils de Dieu » est une expression métaphorique et que, comme christos, elle ne sous-entend pas une exclusivité. Après tout, le Oxford Dictionary of the Jewish Religion confirme qu’en langue juive, l’expression « fils de Dieu » est clairement utilisée de façon métaphorique. Quant à lui, le Hasting’s Bible Dictionary, au sujet de la citation suivante : « L’expression « fils de Dieu », que l’on retrouve de façon occasionnelle dans la littérature juive, biblique et post-biblique, ne signifie en aucun cas la descente physique, [sur terre], de Dieu Lui-même » commente comme suit : En langue sémitique, « fils de Dieu » est utilisé au sens large pour indiquer une relation morale plutôt que physique ou métaphysique. Ainsi, les « fils de Bélial » (Juges 19:22, etc) sont des hommes mauvais et non pas des descendants de Bélial. Alors un « fils de Dieu » est un homme, ou même un peuple, qui reflète le caractère de Dieu. Il n’existe pratiquement aucune preuve voulant que l’expression ait été utilisée dans les cercles ^^^^s du Messie, et son utilisation dans un sens allant au-delà de la relation morale aurait été contraire au monothéisme ^^^^.[1] Quoi qu’il en soit, la liste des candidats au titre de « fils de Dieu » commence avec Adam, si l’on se fie à Luc 3:38 : « …Adam, qui était lui-même fils de Dieu… » Ceux qui réfutent cela en citant Matthieu 3:17 (« En même temps, une voix venant du ciel fit entendre ces paroles: « Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, celui qui fait toute Ma joie. ») oublient que la Bible accorde à plusieurs personnes le titre de « fils de Dieu », dont Israël et Adam. II Samuel 7:13-14 et I Chroniques 22:10 vont tous deux comme suit : « C'est lui qui construira un temple en Mon honneur et Je maintiendrai à toujours son trône royal. Je serai pour lui un père, et il sera pour Moi un fils. » Des nations entières sont appelées « fils » ou « enfants » de Dieu. Par exemple : Genèse 6:2 – « les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles… » Genèse 6:4 – « À cette époque-là, il y avait des géants sur la terre, et aussi après que les fils de Dieu se furent unis aux filles des hommes… » Deutéronome 14:1 – « Vous êtes les enfants de l'Eternel votre Dieu. » Job 1:6 – « Or, un jour, les fils de Dieu se rendirent au conseil de l'Éternel… » Job 2:1 – « Un autre jour, où les fils de Dieu se rendirent au conseil de l'Éternel… » Job 38:7 – « … quand les étoiles du matin éclataient, unanimes, dans des chants d'allégresse, et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie? » Philippiens 2:15 – « …pour être irréprochables et purs, des enfants de Dieu sans tache au sein d'une humanité corrompue et perverse. » 1 Jean 3:1-2 – « Voyez combien le Père nous a aimés pour que nous puissions être appelés enfants de Dieu! (…) Mes chers amis, dès à présent nous sommes enfants de Dieu. » Dans Matthieu 5:9, Jésus dit : « Heureux ceux qui répandent autour d'eux la paix, car Dieu les reconnaîtra pour ses fils. » Plus loin, dans Matthieu 5:45, Jésus explique à ses disciples la façon d’acquérir de nobles qualités et ajoute : « Ainsi vous vous comporterez vraiment comme des enfants de votre Père céleste. » Notez qu’il ne dit pas mon Père (de façon exclusive), mais votre Père… https://www.youtube.com/watch?v=8vmrCX4ucNc
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    qui est cet homme?

    1. La Bible affirme que Dieu n’est pas un homme La Bible dit : Nombres 23:19 « Dieu n’est pas homme… » Osée 11:9 « ...Moi, je suis Dieu, je ne suis pas un homme... » À plusieurs reprises, dans la Bible, on parle de Jésus en tant qu’homme : Jean 8:40 « …vous cherchez à me faire mourir, moi, un homme qui vous ai dit la vérité… » Actes 2:22 « Vous le savez tous: Jésus de Nazareth, cet homme dont Dieu vous a montré qu’il l’approuvait en accomplissant, par son moyen, au milieu de vous des miracles, des signes et des actes extraordinaires… » Actes 17:31 « Il jugera le monde entier en toute justice, par un homme qu’il a désigné pour cela. » 1. Timothée 2:5 « …un homme: Jésus-Christ. » Dieu n’est pas un homme, mais Jésus (que la paix soit sur lui) était un homme. Par conséquent, Jésus n’était pas Dieu. 2. La Bible affirme que Dieu n’est pas le fils de l’homme Nombres 23:19 « Dieu n’est point homme pour mentir, ni fils d’homme pour se repentir. » La Bible fait souvent référence à Jésus en tant que « fils de l’homme » : Matthieu 12:40 « …ainsi le Fils de l’homme… » Matthieu 16:27 « Le Fils de l’homme viendra dans la gloire … » Matthieu 16:28 « …avant d’avoir vu le Fils de l’homme venir en son règne. » Marc 2:10 « …afin que vous sachiez que le Fils de l’homme a… » Jean 5:27 « Et parce qu’il est le *Fils de l’homme… » Dans les Écritures hébraïques, l’expression « fils de l’homme » est aussi utilisée à plusieurs reprises en référence à différentes personnes (Job 25:6; Psaumes 80:17; 144:3; Ézékiel 2:1; 2:3; 2:6; 2:8; 3:1; 3:3; 3:4; 3:10; 3:17; 3:25). Évidemment, Dieu ne se serait pas contredit en affirmant, d’un côté, qu’Il n’est pas le fils d’un homme et, d’un autre côté, qu’Il est le « fils de l’homme ». Dieu n’est jamais l’auteur de contradictions. Il faut donc comprendre que des personnes, incluant Jésus, sont appelées « fils de l’homme » justement pour les distinguer de Dieu, qui n’est pas le fils d’un homme (selon ce qu’affirme la Bible elle-même). 3. La Bible affirme que Jésus a nié être Dieu Luc 18:19 « Alors un notable lui demanda: « Bon Maître, que dois-je faire pour obtenir la vie éternelle? » « Pourquoi m’appelles-tu bon? lui répondit Jésus. Personne n’est bon, sinon Dieu seul. » Matthieu 19:17 Et il ajouta : « Pourquoi m’interroges-tu sur ce qui est bon? Personne n’est bon, sauf Dieu seul. Que si tu veux entrer dans la vie, garde les commandements. » Jésus n’a jamais enseigné aux gens qu’il était Dieu. S’il avait dit cela, il aurait alors loué l’homme qui l’interrogeait. Mais il lui a plutôt reproché les termes qu’il avait utilisé, niant être bon et, ce faisant – et dans le contexte – niant être Dieu. 4. La Bible affirme que Dieu est plus grand que Jésus Jean 14:28 « …mon Père est plus grand que moi. » Jean 10:29 « Mon Père (…) est plus grand que tous. » Jésus ne peut être Dieu si Dieu est plus grand que lui. La croyance chrétienne selon laquelle le Père et le Fils seraient sur un même pied d’égalité est clairement contredite par les paroles mêmes de Jésus. 5. Jésus n’a jamais demandé à ses disciples de l’adorer ou d’adorer le Saint-Esprit; il ne leur a demandé que d’adorer Dieu, et Dieu seul Luc 11:2 « Quand vous priez, dites: Notre Père.... » Jean 16:23 « …vous ne me poserez plus aucune question. Oui, vraiment, je vous l’assure: tout ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous l’accordera. » Jean 4:23 « Mais l’heure vient, et elle est déjà venue, que les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité, car le Père demande de tels adorateurs. » Si Jésus était Dieu, il aurait demandé à être lui-même adoré. Mais il ne l’a pas fait, et il a demandé aux gens d’adorer Dieu. Par conséquent, Jésus n’était pas Dieu. 6. La Bible affirme que Jésus reconnaissait, priait et adorait le seul véritable Dieu Jésus priait Dieu en utilisant les paroles suivantes : Jean 17:3 « Or, la vie éternelle consiste à te connaître, toi le Dieu unique et véritable, et celui que tu as envoyé: Jésus-Christ. » Jésus priait Dieu toute la nuit : Luc 6:12 « …il passa toute la nuit à prier Dieu. » …parce que : Matthieu 20 « Le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir… » Comment Jésus priait-il? Matthieu 26:39 « …il se jeta le visage contre terre, priant et disant: Mon Père… » Même Paul a dit : Hébreux 5:7 « Ainsi, au cours de sa vie sur terre, Jésus, avec de grands cris et des larmes, a présenté des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort, et il a été exaucé, à cause de sa soumission à Dieu. » Qui Jésus priait-il donc lorsqu’il tombait prosterné et poussait de grands cris, le visage en larmes? Se priait-il lui-même? Se suppliait-il lui-même de se sauver de la mort? Aucune personne, saine d’esprit ou même dérangée, n’adresse ses prières à elle-même! Jésus ne pouvait donc adresser ses prières qu’au seul véritable Dieu, à Celui qui l’avait envoyé et dont il était le serviteur. Peut-il y avoir une preuve plus claire que Jésus n’était pas Dieu? Le Coran confirme que Jésus appelait les gens à n’adorer que Dieu exclusivement : « Certes, Dieu est mon Seigneur et votre Seigneur; alors adorez-Le. Voilà le droit chemin. » (Coran 3:51) https://www.youtube.com/watch?v=ASMcayBTXZk
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    qui est cet homme?

    Khodja (02/08/2014),mahboul thank you En regardant en arrière, ce qui me semble étrange aujourd’hui, ce n’est pas tant que des gens aient souhaité représenter les valeurs de Jésus, mais que d’autres personnes les aient critiqués pour cela. Ce qui paraît encore plus étrange, c’est que peu de chrétiens, de nos jours, correspondent à ce profil. c’est que les musulmans paraissent mieux représenter les valeurs de Jésus que les chrétiens eux-mêmes. Regardons ensemble ces quelques exemples : L’apparence extérieure 1. Jésus portait la barbe, comme la plupart des musulmans la portent aujourd’hui, mais elle est rarement de mise chez les chrétiens. 2. Jésus s’habillait de façon modeste. Si nous fermons les yeux et tentons de nous en faire une image mentale, nous imaginons des vêtements flottants allant des poignets aux chevilles – ressemblant beaucoup aux thobes d’Arabie ou aux shalwar kamis indo-pakistanais typiques des musulmans de ces régions. Nous n’imaginons pas des vêtements très révélateurs et conçus pour la séduction qui sont si omniprésents dans les cultures chrétiennes. 3. La mère de Jésus se couvrait les cheveux, et cette pratique a été suivie par les femmes chrétiennes vivant en Terre Sainte jusqu’au milieu du vingtième siècle. Cette pratique est encore respectée de nos jours chez les musulmans et les ^^^^s orthodoxes (dont Jésus était issu), mais a totalement disparu chez les chrétiens d’aujourd’hui. Les bonnes manières 1. Jésus se concentrait sur le salut et évitait les parures. Combien de chrétiens « vertueux » se conforment à son profil qui nous dit « ce n’est pas juste les dimanches »? Maintenant, combien de musulmans qui « prient cinq fois par jour tous les jours de l’année » s’y conforment? 2. Jésus parlait avec humilité et bonté. Il n’en rajoutait pas. Lorsqu’on pense à ses sermons, on n’imagine pas des performances théâtrales. C’était un homme simple connu pour ses belles qualités et pour toujours dire la vérité. Combien de prêcheurs et d’évangélistes suivent son exemple? 3. Jésus enseignait à ses disciples à offrir les salutations de « paix » (Luc 10:5), et donnait lui-même l’exemple : «Que la Paix soit avec vous » (Luc 24:36, Jean 20:19, Jean 20:21, Jean 20:26). Qui perpétue cette pratique de nos jours? Les chrétiens ou les musulmans? « Que la paix soit avec vous » est la traduction exacte de la salutation islamique « Assalam Alaikom ». Il est intéressant de noter que l’on retrouve cette salutation dans le judaïsme également (Genèse 4:23, Nombres 6:26, Samuel I 1:17 et Samuel I 25:6). Les pratiques religieuses 1. Jésus était circoncis (Luc, 2:21). Mais Paul a enseigné que ce rituel n’était pas nécessaire (Romains 4:11, Galates 5:2), tandis que les musulmans croient qu’il l’est. 2. Jésus ne mangeait pas de porc, respectant en cela la loi de l’Ancien Testament (Lévitique 11:7 et Deutéronome 14:8). Les musulmans croient eux aussi que le porc est interdit. Les chrétiens, quant à eux… et bien… vous voyez ce que je veux dire. 3. Jésus ne payait ni ne recevait d’intérêts usuraires, en conformité avec l’interdiction de l’Ancien Testament à ce sujet (Exode 22:25). L’intérêt usuraire est interdit dans l’Ancien Testament et dans le Coran, comme il était interdit dans la religion de Jésus. Le système économique de la majorité des pays chrétiens actuels, to^^^^ois, est fondé sur l’intérêt usuraire. 4. Jésus n’était pas un fornicateur et s’abstenait de relations illicites avec les femmes. Cela comprenait tout contact physique, aussi minime fut-il, avec le sexe opposé. Sauf à l’occasion de rituels religieux et aux moments où il apportait de l’aide aux nécessiteux, Jésus n’a jamais ne serait-ce que touché une autre femme à part sa mère. Les ^^^^s orthodoxes pratiquants ont préservé cette pratique jusqu’à nos jours, se conformant ainsi à la loi de l’Ancien Testament. De la même façon, les musulmans pratiquants ne serrent pas la main du sexe opposé. Est-ce que les chrétiens de la trempe de « serrez votre voisin/voisine contre votre cœur » et « embrassez la mariée » peuvent prétendre faire de même? Les pratiques d’adoration et de culte 1. Jésus se purifiait en se lavant avant chaque prière, perpétuant en cela la pratique des prophètes pieux l’ayant précédé (voir Exode 40:30-32 en référence à Moïse et Aaron). Et telle est, de nos jours encore, la pratique rituelle des musulmans. 2. Jésus priait en se prosternant face contre terre (Matthieu 26:39) tout comme le faisaient les autres prophètes (voir Néhémie 8:6 en référence à Esdras et au peuple, Josué 5:14 en référence à Josué, Genèse 17:3 et 25:52 en référence à Abraham, Exode 34:8 et Nombres 20:6 en référence à Moïse et Aaron). Qui prie de cette manière, de nos jours? Les chrétiens ou les musulmans? 3. Jésus jeûnait durant plus d’un mois à la fois (Matthieu 4:2 et Luc 4:2), comme le faisaient les pieux avant lui. (Exode 34:28, Rois I 19:8), et comme le font les musulmans lors du jeûne annuel du mois de Ramadan. 4. Jésus accomplissait un pèlerinage rituel, comme tous les ^^^^s orthodoxes aspirent à le faire. Le pèlerinage des musulmans à La Mecque est bien connu et il y est fait allusion dans la bible. (Voir mon article intitulé Le premier et le dernier commandement). Le credo et la foi 1. Jésus enseignait l’unicité de Dieu (Marc 12:29-30, Matthieu 22:37 et Luc 10:27), tel que rapporté dans le premier commandement (Exode 20:3). Il n’a jamais fait une quelconque mention de la trinité. 2. Jésus s’est lui-même présenté comme un homme et un prophète de Dieu (voir plus haut), et n’a jamais prétendu être une divinité ou le fils d’une divinité. Quelle est la foi qui se rapproche le plus des deux points précédents? La formule trinitaire ou le monothéisme absolu de l’islam? En résumé, les musulmans semblent être les « fous de Jésus » des temps modernes, si par cette expression on fait allusion à ceux qui vivent selon la loi de Dieu et suivent l’exemple de Jésus. Carmichael note : « Pendant toute la génération qui a suivi la mort de Jésus, ses disciples furent des ^^^^s pieux et fiers de l’être, qui ont attiré vers eux des membres de la classe religieuse professionnelle et qui n’ont pas dévié de l’application des lois, même des plus cérémoniales et des plus exigeantes d’entre elles. »[2] On se demande ce qui s’est passé entre les pratiques de la première génération des disciples de Jésus et les chrétiens des temps modernes. On doit aussi respecter le fait que les musulmans sont de meilleurs exemples des enseignements de Jésus que les chrétiens. De plus, on doit se rappeler que l’Ancien Testament a prédit l’avènement de trois prophètes. Jean Le Baptiste et Jésus ont été les numéros un et deux, et Jésus lui-même a prédit la venue du troisième et dernier. Ainsi l’Ancien Testament et le Nouveau Testament parlent tous deux d’un dernier prophète et nous serions vraiment dans l’erreur si nous ne considérions pas que Mohammed a été ce dernier prophète et que la dernière révélation a été celle de l’islam. https://www.youtube.com/watch?v=cMasCX6ds4k
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    qui est cet homme?

    En relatant l’histoire de Jésus, le Coran décrit la façon dont Marie, sa mère, fut approchée par un ange envoyé de Dieu, qui lui apportait une nouvelle à laquelle elle ne se serait jamais attendue : elle allait donner naissance à un fils, un messie, qui ferait partie des vertueux et des prophètes de Dieu et qui inviterait les Enfants d’Israël à suivre la voie de Dieu. « Et quand les anges dirent : « Ô Marie! Dieu t’annonce la bonne nouvelle d’une Parole de Sa part. Son nom sera le Messie, Jésus, fils de Marie, illustre en ce monde comme dans l’au-delà et l’un des rapprochés (de Dieu). Il parlera aux gens dès le berceau. Et en son âge mûr, il sera du nombre des vertueux. » (Coran 3:45-46) Évidemment, pour Marie, cette nouvelle était à la fois étrange et quasi impossible. Elle dit : « Seigneur! Comment pourrais-je avoir un enfant alors qu’aucun homme ne m’a touchée? » Il dit: « Ce sera ainsi. Dieu crée ce qu’Il veut. Quand Il décrète une chose, Il dit seulement « Sois! » et elle est aussitôt. Dieu lui enseignera les Écritures et la sagesse, ainsi que la Torah et l’Évangile. » (Coran 3:47-48) La nature de Jésus est si particulière que Dieu compare le caractère unique de Sa création à celle du premier homme et premier prophète, Adam. « Certes, pour Dieu, Jésus est comme Adam, qu’Il créa de poussière (de la terre), puis lui dit : « Sois! » et il fut. » (Coran 3:59) Jésus et ses miracles Jésus devint l’un des plus grands prophètes de Dieu et fut envoyé aux Enfants d’Israël afin de confirmer les enseignements de son prédécesseur, le prophète Moïse. Sa naissance fut un miracle et, comme tous les prophètes de Dieu, il accomplit plusieurs miracles. Il aborda son peuple en lui disant : « En vérité, je viens à vous avec un signe de la part de votre Seigneur. Pour vous, je façonne la glaise et lui fais prendre la forme d’un oiseau; puis, je souffle dedans et, par la permission de Dieu, cela devient un véritable oiseau. Je guéris l’aveugle-né et le lépreux, et je ressuscite les morts par la permission de Dieu. Et je suis à même de vous dire ce que vous venez de manger tout comme ce que vous gardez en réserve dans vos maisons. Dans tout cela, il y a certes un signe, pour vous, si vous êtes croyants. Et (je viens) vous confirmer ce qu’il y avait avant moi, dans la Torah, et je vous rends licite une partie de ce qui vous était interdit. Je viens à vous avec un signe de la part de votre Seigneur; alors craignez Dieu et obéissez-moi. Certes, Dieu est mon Seigneur et votre Seigneur; alors adorez-Le. Voilà le droit chemin. » (Coran 3:49-51) Les disciples de Jésus Le Coran poursuit l’histoire de Jésus en relatant divers incidents de sa vie et en parlant de ses disciples : « Mais quand Jésus ressentit de l’incrédulité de leur part, il leur dit : « Qui seront mes alliés dans la voie de Dieu? » Les disciples dirent : « Nous serons les alliés de Dieu. Nous croyons en Dieu, et sois témoin que nous Lui sommes soumis. Seigneur! Nous croyons en ce que Tu as révélé et nous suivons celui que Tu nous as envoyé; inscris-nous donc parmi ceux qui témoignent (de la vérité). » (Coran 3:52-53) Les disciples de Jésus lui demandèrent d’accomplir un autre miracle; une sourate du Coran porte d’ailleurs le nom de ce miracle : « Lorsque les disciples dirent: « Ô Jésus, fils de Marie! Ton Seigneur peut-il nous faire descendre du ciel une table servie? » Il leur dit : « Craignez Dieu, si vous êtes vraiment croyants. » (Ils répondirent) : « Nous voulons en manger afin de rassurer nos cœurs, savoir que tu nous as réellement dit la vérité et en témoigner par la suite. » Jésus, fils de Marie, dit : « Ô Dieu, notre Seigneur! Fais-nous descendre, du ciel, une table servie qui soit une célébration pour le premier d’entre nous comme pour le dernier, ainsi qu’un signe de Ta part. Donne-nous notre subsistance, car Tu es le meilleur des nourriciers. » (Coran 5:112-114) Dieu leur envoya la table servie qu’ils avaient demandée, mais non sans leur servir un avertissement : « Je la ferai descendre pour vous. Et quiconque d’entre vous refuse de croire après cela, Je lui ferai sûrement subir un châtiment tel que nulle autre de (Mes) créatures n’en connaîtra de pareil! » (Coran 5:115) La fin de l’histoire L’histoire de Jésus ne se termine pas vraiment, car le Coran nous apprend que Jésus n’a jamais été tué, mais que Dieu l’a élevé vers Lui : « Et quand Dieu dit: « Ô Jésus! Certes, Je vais mettre fin à ta vie terrestre; Je vais t’élever vers Moi et te débarrasser de ceux qui ne croient pas. Et, jusqu’au Jour de la Résurrection, Je rendrai ceux qui te suivent supérieurs à ceux qui ne croient pas. Puis, vous reviendrez (tous) vers Moi et Je jugerai vos différends. Quant à ceux qui ne croient pas, Je les châtierai d’un terrible châtiment, en ce monde comme dans l’au-delà; et ils ne seront point secourus. Et quant à ceux qui croient et accomplissent de bonnes œuvres, Il leur paiera leur pleine rétribution. Dieu n’aime point les transgresseurs. » (Coran 3:55-57) Le Coran souligne également que Jésus ne fut ni tué ni crucifié. Parlant des Enfants d’Israël, Dieu réfute leurs accusations contre Marie, de même que leurs affirmations selon lesquelles ils auraient tué Jésus : « Et (Nous les avons également maudits) à cause de leur incroyance et de l’énorme calomnie qu’ils ont proférée à l’encontre de Marie, et parce qu’ils ont dit: « Nous avons vraiment tué le Messie, Jésus fils de Marie, le messager de Dieu. » Or, ils ne l’ont ni tué ni crucifié, mais cela leur est apparu ainsi. Et certes, ceux qui sont en désaccord à ce sujet sont remplis d’incertitude ; ils n’en ont aucune connaissance (certaine) et ne font que suivre des conjectures. Ils ne l’ont certainement pas tué ; mais Dieu l’a élevé vers Lui. Et Dieu est Puissant et Sage. » (Coran 4:156-158) Le Coran confirme que Jésus fut élevé vers Dieu et le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) nous a assuré que Jésus serait de nouveau envoyé sur terre avant le Jour du Jugement. Dans un hadith rapporté par Abou Hourayrah, le Prophète dit : « Par Celui qui tient mon âme dans Sa main, le fils de Marie descendra bientôt parmi vous en tant que juge intègre. Il brisera toutes les croix qu’il trouvera sur son chemin, tuera les porcs et abolira la jizyah (taxe), car les richesses deviendront si abondantes que personnes n’en aura plus besoin, jusqu’à ce qu’une seule prosternation soit meilleure que le monde et tout ce qu’il contient. » (sahih al-Boukhari)
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    Aid el Fitr

    Merci allah accorde la victoire à tous les musulmans dans toutes les parties de la terre La charité, en islam, est non seulement recommandée, mais obligatoire pour tout musulman qui est stable financièrement. Donner la charité à ceux qui sont dans le besoin fait partie de la nature du musulman et constitue un des cinq piliers de l’islam. La zakat est une « charité obligatoire »; en effet, il est obligatoire, pour ceux que Dieu a comblés de richesses, de venir en aide aux membres de la communauté musulmane qui sont dans le besoin. Certaines personnes, dépourvues de tout sentiment d’amour et de compassion envers autrui, ne savent qu’amasser les richesses et les faire fructifier encore en les prêtant à intérêts. Les enseignements de l’islam sont aux antipodes de ce genre d’attitude. L’islam encourage le partage des richesses et fait en sorte que les gens arrivent à se débrouiller et à devenir des membres productifs de la société. En arabe, cette charité obligatoire est connue sous le nom de zakat, qui signifie littéralement « purification », car elle purifie le cœur d’une personne de toute avarice. L’amour des richesses est une chose naturelle et pour qu’une personne consente à se départir d’une partie de ses biens, sa foi en Dieu doit être très ferme. La zakat doit être calculée selon la valeur de différentes catégories de biens – or, argent, liquidités, bétail, produits de l’agriculture et marchandises commerciales – et doit être acquittée une fois l’an, au moment où les biens d’une personne ont été en sa possession durant une année complète. Elle équivaut à 2,5% de la totalité des biens d’une personne. Comme la prière, qui est une obligation à la fois individuelle et communautaire, la zakat est l’expression de l’adoration et de la gratitude du musulman envers Dieu, qu’il manifeste en aidant ceux qui sont dans le besoin. En islam, c’est à Dieu qu’appartient toute chose et non à l’homme. L’acquisition des biens pour le simple plaisir de les posséder ou dans le but de se sentir important et supérieur est une chose blâmable. L’acquisition des biens n’a aucune valeur aux yeux de Dieu; l’homme n’en tire aucun mérite, ni dans sa vie terrestre ni dans l’au-delà. L’islam enseigne que les gens doivent acquérir des biens dans l’intention de les dépenser pour leurs propres besoins et ceux des autres. Le Prophète a dit : « «Le fils d'Adam dit: «Mes biens! Mes biens!» Or qu'as-tu d'autre, ô fils d'Adam, de tes biens si ce n'est ce que tu as mangé et que tu as ainsi épuisé; ou ce que tu as porté comme vêtements que tu as ainsi usés; ou ce dont tu as fait aumône et que tu as fait parvenir à ses ayants-droit». (Rapporté par Mouslim) En islam, les richesses sont considérées comme un cadeau de Dieu. Et de ce cadeau, Dieu a réservé une partie pour le pauvre, de sorte qu’à ce dernier revient un droit sur les richesses des plus fortunés. La zakat rappelle donc aux musulmans que tous les biens qu’ils possèdent appartiennent en réalité à Dieu. Les biens que Dieu donne à l’homme sont une responsabilité que ce dernier doit savoir gérer, et un des objectifs de la zakat est de libérer les musulmans de leur amour de l’argent. Dieu n’a guère besoin du montant payé en zakat, et ce n’est pas Lui qui le reçoit. Il se situe bien au-delà de ce genre de dépendance. Mais, dans Son immense miséricorde, Dieu promet une généreuse récompense à ceux qui aident les gens dans le besoin à la condition que la zakat soit payée avec la pure intention de chercher Sa satisfaction. En d’autres termes, la personne qui donne ne doit pas, en retour, exiger ou attendre des faveurs de la part des bénéficiaires de son don, ni chercher à passer pour une philanthrope. Jamais celui qui donne ne doit offenser un bénéficiaire en le faisant sentir inférieur ou en lui rappelant qu’il l’a aidé. La zakat ne doit être donnée qu’à certaines catégories de personnes. La loi islamique stipule que les principaux bénéficiaires de la zakat sont les pauvres, les orphelins, les veuves, ceux qui sont endettés; elle stipule également qu’elle peut servir à libérer des esclaves ou à aider des gens faisant partie d’autres catégories, telles que mentionnées dans le Coran (9:60). La zakat, qui a été établie il y a quatorze siècles, est une forme de sécurité sociale dans les sociétés musulmanes. À l’époque des califats, la collecte et la distribution de la zakat relevait de l’État. Dans le monde musulman contemporain, la zakat a été laissée à la discrétion de chaque individu, sauf dans quelques pays où l’État remplit ce rôle jusqu’à un certain degré. La plupart des musulmans, en Occident, acquittent leur zakat par l’intermédiaire d’organismes de charité islamiques ou de mosquées, ou alors simplement en donnant eux-mêmes leur don à une personne dans le besoin. L’argent n’est pas recueilli lors de services religieux ou dans des paniers de dons, mais dans certaines mosquées on retrouve, près de l’entrée, une boîte dans laquelle ceux qui souhaitent acquitter leur zakat par l’intermédiaire de la mosquée peuvent glisser leur don en argent. Contrairement à la zakat, il est préférable de donner les autres formes de charité volontaires en privé, ou même secrètement, afin de préserver la pureté de son intention envers Dieu. En plus de la zakat, le Coran et la sounnah (paroles et actions du prophète Mohammed, que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) encouragent fortement la sadaqah, qui est une charité volontaire envers les pauvres. Le Coran encourage les croyants à nourrir le pauvre, à procurer des vêtements à ceux qui en ont besoin, à aider ceux qui sont dans le besoin, et plus une personne aide les autres, plus Dieu aide cette personne; et plus une personne donne en charité, plus Dieu comble cette personne de bienfaits. Lorsqu’une personne prend soin des autres, Dieu prend soin d’elle.
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