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barakat barakat l'internet rahi coulette barakat barakat l'internet rahi coulette barakat barakat l'internet rahi coulette c le slogan pour une manifestation :-)
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il y'a une grosse différence entre un Héron robust et un Bouquetin intrépide faut choisir entre la sureté et l'aventure personnellement g u beaucoup de problème avec la 8.10 mais sa me pose pas de problème j'aime me casser la tête et aider la communauté en reportant des bug si possible.
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debian Strictly speaking, this is a release candidate for the Debian installer only, but since the release includes a full set of Debian "Lenny" CD and DVD images, it is perfectly suitable for testing the entire distribution. From the announcement: "The Debian Installer team is proud to announce the first release candidate of the installer for Debian GNU/Linux 'Lenny'. Improvements in this release: improved support for live CD installation media; support for some NAS devices based on Marvell's ARM-compatible Orion chip; installer images for Netwinder have been added again; installer images for i386 Xen guests; support for hardware speech synthesis has been added; upgrade of packages early in pkgsel, for example to get available security updates for base system packages; support for loading firmware from (removable) media during the installation...." http://www.debian.org/devel/debian-installer/News/2008/20081112 http://www.debian.org/devel/debian-installer/ http://cdimage.debian.org/cdimage/lenny_di_rc1/i386/iso-cd/debian-testing-i386-netinst.iso http://cdimage.debian.org/cdimage/lenny_di_rc1/amd64/iso-cd/debian-testing-amd64-netinst.iso source : http://distrowatch.com/
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50 ans c optimiste on aura ButterflyOfFire comme president de l'algerie :-)
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I have a dream that i can surf in the net without a problem I have a dream that i can download with 5 Gb/s stream I have a dream that Algeria Become number One in World technologie Team And forumdz the Leader of revolution Number One of the Hackers in the worlds.
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je v vous ecrire tout les deux sur ma death note.vous ne savourai plus votre statut de VIP si tu veux voire le mangas c un scenarion magnifique mais faut suivre : http://www.dailymotion.com/playlist/xp6hr_plati25_death-note/3 http://www.animeka.com/animes/detail/death-note.html
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g régler le problème : g désinstaller le packet perl-Tk de ubuntu g télécharger les sources de perl-Tk g compiler perl-Tk et installer g plus de problème sa doit être un bug dans le packet d'ubuntu
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Linux Ubuntu 8.10 (intrepid) Gnome 2.24.1 (Ubuntu 2008-10-24) Kernel 2.6.27-7-generic (#1 SMP Thu Oct 30 04:18:38 UTC 2008) Gcc 4.3.2 (i486-linux-gnu) Perl Tk-804.028
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je suis d'acord avec toi a part que je suis faineant et partisant du moindre effort :-) sinon parfois on utilse des termes qui on besoin de definition donc je prefere les inserer comme elle sont été définit.
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personnellement g lu tout ton post sur la verité "cherokeemaestro" malgres que c t long g trouver que c t interessent alors pourqoui tu critique qq chose que tu n'applique pas et puis BEN.YAS a citer la source de son article : L'informatique, sciences ou technologie ? par Alain Cardon il na pas dit que c t lui qu'il la ecrit c vrai peut etre qu'on devrai coller des liens sa serai mieux.et puis personne né aubliger de lire si il veut apportet qq chose au debat tant mieu.
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g perdu mon cd de driver pour un cable dku-5 g essayer tout les driver sur internet mais rien PL2303 CP2101 .... reference du cable : DKU-5 KQ-U8A WT048000317 voila ce que me donne lsusb : Bus 001 Device 004: ID 10ac:10c6 Honeywell, Inc. Device Descriptor: bLength 18 bDescriptorType 1 bcdUSB 1.10 bDeviceClass 0 (Defined at Interface level) bDeviceSubClass 0 bDeviceProtocol 0 bMaxPacketSize0 64 idVendor 0x10ac Honeywell, Inc. idProduct 0x10c6 bcdDevice 1.00 iManufacturer 1 iProduct 2 iSerial 3 bNumConfigurations 1
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qqn si connai en perl tk g cette erreur : XS_Tk__Callback_Call error:Failed to AUTOLOAD 'Tk::FBox::_get_select_Path' at /home/abitaf/local/share/maqao/perl/src.pl line 227 Tk::Error: Failed to AUTOLOAD 'Tk::FBox::_get_select_Path' at /home/abitaf/local/share/maqao/perl/src.pl line 227 Carp::croak at /usr/share/perl/5.10/Carp.pm line 44 Tk::Widget::__ANON__ at /usr/lib/perl5/Tk/Widget.pm line 347 Tk::FBox:: Done at /usr/lib/perl5/Tk/FBox.pm line 909 Tk::FBox::VerifyFileName at /usr/lib/perl5/Tk/FBox.pm line 678 Tk::FBox::ActivateEnt at /usr/lib/perl5/Tk/FBox.pm line 647 Tk::FBox::OkCmd at /usr/lib/perl5/Tk/FBox.pm line 815 Tk::Widget::Callback at /usr/lib/perl5/Tk/Widget.pm line 1149 Tk::IconList::Invoke at /usr/lib/perl5/Tk/IconList.pm line 475 Tk::IconList:: Double1 at /usr/lib/perl5/Tk/IconList.pm line 579 (command bound to event)
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en ce qui concerne la vérité c un autre débat qui existe depuis la nuit des temps et il y'a plusieurs écoles moi je suis plutôt pour celle de Karl Popper : Karl Popper Selon un point de vue répandu, les sciences empiriques se caractérisent par le fait qu'elles utilisent ou devraient utiliser des méthodes inductives, partant de singulières pour aboutir à des universelles. Cependant, prise à la lettre, une telle extrapolation induit des risques d'erreur : peu importe le nombre de cygnes blancs que l'on a observés, rien ne pourra nous permettre d'affirmer que tout cygne est nécessairement blanc ; aussi Reichenbach adoucit-il cette prétention en avançant que les énoncés scientifiques ne peuvent atteindre que des degrés continus de probabilité dont les limites supérieure et inférieure, hors d'atteinte, sont la vérité et la fausseté. Karl Popper conteste cette approche. A défaut de pouvoir prouver une théorie, on peut s'attacher à la réfuter. La théorie est corroborée si elle réussit les tests de réfutation.A la « logique inductive » et ses degrés de probabilité, Popper oppose ce qu'il appelle une méthode déductive de contrôle. Icône de détail Articles détaillés : Méthode scientifique et Vérité scientifique. Popper croyait à la vérité absolue, catégorie logique ; il ne croyait pas que notre science puisse l'atteindre, ni qu'elle puisse même accéder à une probabilité du vrai ; en fait il alla jusqu'à douter qu'elle constitue une connaissance : «La science n'est pas un système d'énoncés certains ou bien établis, non plus qu'un système progressant régulièrement vers un état final. Notre science n'est pas une connaissance - épistêmê - : elle ne peut jamais prétendre avoir atteint la vérité ni même l'un de ses substituts, telle la probabilité. » Par là Popper s'oppose directement aux « pragmatistes » qui définissent la vérité scientifique en termes de « succès » d'une théorie. Et cependant il ne doutait pas que cette Vérité existât quelque part. Il s'appuie pour cela sur les travaux de Tarski concernant la validité et les modèles, en particulier le concept de « fonction propositionnelle universellement valide » qui aboutit à l'existence d' énoncés vrais dans tous les mondes possibles. Il en donne une traduction dans le domaine des sciences de la nature : On peut dire qu'un énoncé est naturellement ou physiquement nécessaire si et seulement si on peut le déduire d'une fonction propositionnelle satisfaite dans tous les mondes qui ne diffèrent de notre monde, s'ils en diffèrent, qu'eu égard à des conditions initiales.
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on devrai clarifier les choses car l'informatique est un un terme qui regroupe plusieurs domaine ce qui prête a confusion moi quand je parle d'informatique je parle d'informatique théorique qui sont des maths pure et qui traite surtout sur la calculabilité : La théorie de la calculabilité (appelée aussi parfois théorie de la récursion) est une branche de la logique mathématique et de l'informatique théorique. Alors que la notion intuitive de fonction calculable est aussi vieille que les mathématiques (voir l'article Histoire des mathématiques), la formalisation de ces notions a commencé dans la décennie 1930 afin de répondre à des problèmes fondamentaux de logique mathématique, dont celui énoncé par David Hilbert et appelé Entscheidung Problem ou Problème de la décision. La calculabilité cherche d'une part à identifier la classe des fonctions qui peuvent être calculées à l'aide d'un algorithme et d'autre part à appliquer ces concepts à des questions fondamentales des mathématiques. Une bonne appréhension de ce qui est calculable et de ce qui ne l'est pas permet de voir les limites des problèmes que peuvent résoudre les ordinateurs.
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Sciences exactes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, Rechercher L'expression sciences exactes désigne dans un même ensemble les sciences de la nature (chimie, physique, sciences de la vie...) et les sciences formelles (mathématique, informatique théorique, physique théorique...). Outre cette définition par extension (discutable), on peut donner une définition par compréhension (tout aussi discutable) : l'expression sciences exactes s'applique aux sciences pour lesquelles la notion de vérité, d'exactitude, ne pose pas trop de problèmes, car d'une part les notions de base sont bien définies et universelles (partagées par tous les chercheurs du domaines), et car d'autre part les "énoncés/affirmations/théorèmes/principes" de bases sont aisément vérifiables (via des expériences reproductibles à l'identique, via une preuve mathématique, etc.). Notons que toutes les sciences précitées ont leurs pendants en sciences appliquées et que l'on quitte alors le domaine des sciences exactes. À l'inverse, de nombreuses sciences (sociologie, économie, linguistique, musicologie, ...) comportent des branches qui reposent sur des approches rigoureuses, utilisant éventuellement des méthodes comparables à celles des sciences exactes. Limites de l'expression "sciences exactes" [modifier] L'expression "sciences exactes", comme l'expression "sciences dures", est problématique dans l'opposition implicite et non questionnée qu'elle établit : à quelles sciences devraient-elles s'opposer ? À des sciences "inexactes" ? À des sciences "molles" ? Quelles seraient ces sciences ? Les sciences humaines et sociales ? La notion de "preuve" relevant d'une gageüre en sciences humaines et sociales, on doit donc adapter la notion de "vérité scientifique", "d'exactitude", dans ces domaines, et c'est ce qui explique que l'expression "sciences exactes" peut être employée comme le reflet d'un fait objectif, sans avoir d'aspect dépréciatif. L'aspect implicitement péjoratif que l'on ne peut néanmoins s'empêcher de trouver à cette expression n'a pas empêché son usage extrêmement courant en épistémologie ou en sociologie des sciences, et l'expression est aussi fréquemment employée dans les cadres institutionnels et académiques, par des scientifiques de tous domaines[1]. Les épistémologues français René Thom et Jules Vuillemin analysèrent, d'un point de vue critique, la notion de science exacte qui, d'après eux, s'applique strictement aux mathématiques pures et à la physique théorique. En effet, chacun peut refaire les calculs d'un physicien théoricien et vérifier s'il a fait une erreur ou pas, en revanche, vérifier si le modèle qu'il a utilisé pour décrire l'univers est bien le "bon modèle" (ce qui serait plus du ressort de la physique appliquée) est une chose qui peut s'avérer impossible : soit son modèle n'est pas le bon (ce qui peut être le cas même si ses calculs sont justes!), et on trouvera vraisemblablement un jour une expérience/observation dont le résultat sera incompatible avec son modèle ; soit son modèle est le bon, et on ne trouvera jamais d'incompatibilité entre le monde réel et son modèle. Là où cette alternative a priori évidente devient paradoxale, c'est que, même s'il s'écoule trois siècles sans que personne n'ait rien à redire sur un modèle, on ne pourra jamais être certain que c'est le "bon modèle" : rien ne nous dit qu'un an plus tard, des chercheurs ne vont pas mettre à jour un phénomène incompatible avec ce modèle apprécié de tous pendant 3 siècles ! Un tel bouleversement a d'ailleurs des précédents historiques (théorie de Newton, puis celle d'Einstein, puis celle du modèle standard, puis...). En adéquation avec la vision de ces épistémologues, on ne peut donc pas dire : c'est le "modèle final", mais tout au plus, c'est "le meilleur modèle sur le marché, c'est-à-dire le modèle qui colle le mieux aux expériences". Toutefois, au fil des décennies, les scientifiques développent des connaissances qui leur permettent d'avoir des a priori justifiant leur croyance au fait que tel modèle soit "le bon", le degré de confiance que la communauté mettra en ces croyances autorisera à parler de "sciences exactes" pour des disciplines qui pourraient néanmoins contenir au final des parts d'inexactitude (un exemple historique est la théorie de Fourier de la chaleur). C'est ainsi que les sciences de la nature sont considérées comme exactes. Quant à l'informatique, il s'agit d'un cas un peu à part dans l'histoire des sciences car c'est le seul exemple de science qui, dans sa majeure partie, s'attache à étudier un "monde réel" qui correspond directement au modèle "théorique" : l'ordinateur. L'homme, pour avoir construit l'objet, en connaît donc a priori le fonctionnement et n'a pas ainsi à faire du reverse engineering, en se posant la question typique des autres sciences de la nature : mon modèle est-il le bon ? Cette question a en effet été résolue en informatique par Turing, et il est en général aisé d'amender le modèle théorique de la machine de Turing (qui une capacité de stockage infinie) en un modèle correspondant plus pragmatiquement aux limitations de tel ou tel microprocesseur dans le monde réel. Ce n'est en général que dans l'utilisation de l'informatique pour résoudre des problèmes extérieurs que la question de la modélisation refera surface (par exemple : étude du trafic internet, ou applications à d'autres sciences). Bien évidemment, des comportements complexes pouvant naître à partir de modèles simples, on peut être amené à créer de nouveaux modèles "restreignant le premier", afin de simplifier l'analyse de tel ou tel comportement, et de comparer ces modèles simplifiés entre eux (par exemple pour l'étude des réseaux). Comme il n'y a pas encore de consensus universel sur les domaines que la science informatique englobe ou non (rédaction de logiciels ? électronique ? intelligence artificielle ? interaction homme-machine ? ergonomie ? ), certains pourront alors refuser d'inscrire l'informatique au rang des "sciences exactes", en se contentant d'y mettre "l'informatique théorique"[2].
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La discipline scientifique désignée par le terme informatique fait partie des sciences formelles comme les mathématiques ou la logique. Aujourd'hui, la distinction entre ces trois disciplines est floue, mais l'on peut identifier l'informatique à travers les principales questions abordées : * qu'est-ce que le calcul ? * que peut-on calculer ? * comment calculer efficacement ? * comment décrire un algorithme de calcul ? * comment représenter un certain objet pour pouvoir le traiter?
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Alan Mathison Turing (23 juin 1912 - 7 juin 1954) était un mathématicien britannique auteur de l'article fondateur de la science informatique (en)On Computable Numbers with an Application to the Entscheidungsproblem qui allait donner le coup d'envoi à la création de l'ordinateur programmable. Il y présente sa machine de Turing, le premier calculateur universel programmable, et invente les concepts de programmation et de programme. Il est également à l'origine de la formalisation des concepts d'algorithme et de calculabilité qui ont profondément marqué cette discipline. Son modèle a contribué à établir définitivement la thèse Church-Turing qui donne une définition mathématique au concept intuitif de fonction calculable. Durant la Seconde Guerre mondiale, il a dirigé les recherches sur les codes secrets générés par la machine Enigma utilisée par les nazis. Après la guerre, il a travaillé sur un des tout premiers ordinateurs, puis a contribué de manière provocatrice au débat déjà houleux à cette période sur la capacité des machines à penser en établissant le test de Turing[1]. Vers la fin de sa vie, il s'est intéressé à des modèles de morphogenèse du vivant conduisant à ce que l'on appelle les structures de Turing.
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essay de changer de serveur miroir "moi j'utilise les serveur allemend" et patiente 1peu moi aussi sa mé arrivé
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essay de desactiver le parfeu de la box pour voir ? quand on essay d'acceder avec l'IP public faut etre en dehors du reseaux comment tu fait pour tester ?