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algérien_dz

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Tout ce qui a été posté par algérien_dz

  1. tu as déjà essayé cette configuration ? -console -game cstrike +maxplayers 5 +map de_dust2 +port 27016 il est visible chez moi : image reste a savoir si il est visible sur la liste faudra attendre les nouveaux arrivants
  2. désactive ton anti virus, firewall, ouvre les ports en TCP et UDP 27016 vers ton l'ip local si tu as un routeur. hostname "nom du serveur" dans la console noir de hlds.exe choisis un nom ex: "[DZ] Bejaia low ping" ...
  3. essaie de télécharger le patch cs16patch_full_v25.rar question: mais les autres peuvent y accéder ?
  4. la config suivante à placée dans le raccourci du serveur derrière hlds.exe exemple: c:\.....\valve\hlds.exe" -console -game cstrike +maxplayers 5 +map de_dust2 +port 27016 si tu as la commande -nomaster enlève la et assure toi que tu es en sv_lan "0" au lieu de 1 (server.cfg)
  5. tu peux héberger jusqu'à 4 joueurs avec 128Kbps/s à ne pas confondre SRCDS=> serveur source et HLDS => serveur pour les jeux classiques Hl 1,Dod,TFC,HL1 deathmatch,cs1.6 ... pour ce qui est du lag vas sur le gestionnaire des tâches hlds.exe click droit définir la priorité temps réel ou haute comme ça tu pourras jouer confortablement ainsi que les autres joueurs.
  6. réponse donnée par Valve HL1 (HLDS) and Source (SRCDS) (CS:S and HL2DM) 128K uplink = 4 players (2 players for srcds) 256k uplink = 7 players (4 players for srcds) 320k uplink = 9 players (6 players for srcds) 512k uplink = 14 players (9 players for srcds) 768k uplink = 21 players (14 players for srcds) 1024k uplink = 28 player (19 players for srcds - note 16 players is max for HL2DM) 1140k uplink = 32 players (max for HLDS) (21 players for CS:S) 1708k uplink = 32 players for CS:S (max) A good rule of thumb for HLDS is 35.6Kbits per player. A good rule of thumb for SRCDS (CS:S and HL2DM) is 53.4 kbits per player (about 1.5x more than HLDM). Certain maps and MODs may take more uplink bandwidth too.
  7. je pense que tu peux en fabriquer une comme pour le WIFI
  8. ou mieux encore "les aisselles de bob" offre 100Mégéàlaseconde!/s
  9. algérien_dz

    Votre nom en web 2.0

    on me signale dans l'oreillette que je viens de briser le rythme ==>[_]
  10. et le jeu Online ? ça lag ou c acceptable ? 300 ms n'empêche pas de jouer
  11. j'ai déjà tout lu mais je reste frusté les explications sont un peu floues ...
  12. je voudrais me renseigner sur Athir est ce que ça roule bien niveau Téléchargement Ping jeux surf youtube dailymotion Torrent eMule ? merci de me répondre ++
  13. [HS] j'aimerai juste savoir si l'upload chez fawri est normal (640KBits pour 1MBits) ou ils l'ont brider ? [/HS]
  14. pas la peine de faire la pub pour qu'ils accèdent ils sont déjà parmis les plus regardés en algérie classers en 34ème 36ème et 39ème position !!
  15. on voit bien qu'ils optent pour la qualité
  16. comme vous voyez ci-dessous j'ai Orange Box et le pack HL
  17. Depuis l'échec de la prise de pouvoir par le FIS (Front islamique du salut), "le paysage politique est totalement verrouillé", explique Florence Beaugé, l'envoyée spéciale du Monde en Algérie, où le président sortant Abdelaziz Bouteflika a été réélu pour un troisième mandat. Conséquence : "Les Algériens ne croient plus à ce qu'ils considèrent être un simulacre de vie démocratique." Virginie : N'est-il pas étonnant que le taux de participation soit si élevé compte tenu des nombreux appels au boycott ? Florence Beaugé : Il s'agit du taux de participation officiel. Je pense en effet que les Algériens n'ont pas voté aussi massivement que ce que les autorités algériennes aimeraient laisser croire. Je suppose qu'en effet les appels au boycott ont joué dans le sens de la non-participation, mais c'est beaucoup plus encore le désintérêt pour la politique qui a conduit les électeurs à ne pas se rendre aux urnes. Même s'il n'y avait pas eu d'appel au boycott, je pense que le taux de participation réel aurait été faible. Les Algériens ne croient plus à ce qu'ils considèrent être un simulacre de vie démocratique. Virginie : Quelle devrait être la réaction des partis d'opposition ? L'opposition réelle, essentiellement le FFS (le Front des forces socialistes) et le RCD (le Rassemblement pour la culture et la démocratie), a déjà réagi violemment, hier soir et ce matin, en dénonçant le taux de participation exagérément gonflé, en parlant d'industrie de la fraude. L'autre opposition, les partis qui ont accepté de jouer le jeu tant bien que mal et de concourir à cette élection présidentielle, émet aussi des critiques depuis ce matin, mais sur un ton un peu plus mesuré. Elle dit qu'il y a eu des abus, des dépassements perpétrés avec l'aide de l'administration un peu partout dans le pays. De toute façon, la voix de l'opposition est assez peu audible en Algérie, puisque les médias "lourds", la radio et la télévision nationales, ne leur ouvrent pas leur antenne. Il n'y a que la presse écrite privée qui se fait vraiment le relais de leurs critiques. C'est un peu comme en Tunisie, ce sont des critiques qui finalement ne sont entendues que par une élite, pour l'essentiel. Quoiqu'il y ait des chaînes de télévision comme Al-Jazira qui lui ouvrent leur antenne et contribuent un peu à faire entendre ses protestations dans le monde arabe et dans son propre pays. cabilia : L'Etat algérien avait invité les observateurs étrangers pour ce scrutin. On nous a parlé de la Ligue arabe, de l'Union africaine… Mais qu'en est-il des observateurs des Nations unies, de l'UE ? Ont-ils été présents sur le terrain ? Quelles sont leur conclusions sur ce scrutin ? A ma connaissance, les observateurs européens n'avaient pas été invités à venir. Et, de toutes façons, ceux qui avaient été invités, comme la Ligue arabe et l'Union africaine, avaient je crois un pur rôle d'observateurs, et pas du tout de contrôleurs des opérations. Donc il me semble que c'était plutôt une présence symbolique. jazzari : Quelles sont les intentions de l'Etat français, qui n'a pas attendu la confirmation des résultats par le Conseil constitutionnel pour féliciter par deux fois (ministère des affaires étrangères et Nicolas Sarkozy) le "nouveau" président algérien ? Je ne suis pas représentante du gouvernement français, et de plus, je suis en Algérie. Mais il me semble que, de toute façon, cela fait partie des usages protocolaires que de féliciter un nouveau président, et à partir du moment où on ne fait pas de commentaires dithyrambiques sur la façon dont se sont déroulées ces élections, un pays étranger peut difficilement faire autre chose. Ce qui me choque, c'est quand on en rajoute. Par exemple quand le président Sarkozy, et avant lui Jacques Chirac, décerne des brevets de bonne conduite en matière de démocratie au président tunisien Ben Ali. Là, cela dépasse à mon avis les usages protocolaires. RACHID : Comment expliquez-vous cette cohabitation paradoxale entre une liberté de la presse certaine et un verrouillage du pouvoir politique ? C'est vrai que c'est un des paradoxes les plus étonnants de l'Algérie. Mais la presse algérienne voit sa marge de liberté se rétrécir depuis cinq ans. Et cette marge va encore se rétrécir dans les années qui viennent, pendant le troisième mandat, me semble-t-il. Je crains aussi que si on lui laisse cette marge de manœuvre, c'est parce qu'on pense qu'elle a une influence limitée et qu'elle n'atteint pas toutes les couches de la population algérienne, notamment dans les coins les plus reculés. Car les médias publics, radios et télévisions, eux, sont sacrément bridés et contrôlés, et il n'est toujours pas question de donner l'autorisation d'ouverture de télévisions privées. L'audiovisuel reste public et étroitement contrôlé par le pouvoir. Donc le paradoxe, en fin de compte, est plutôt apparent que réel. Mehdi_l_etudiant : Est-ce qu'on vous a laissé travailler en toute liberté en tant qu'envoyée spéciale du Monde depuis que vous êtes en Algérie ? Cela fait neuf ans que je viens régulièrement en Algérie. Et je trouve que dans l'ensemble, oui, on me laisse vraiment travailler. Beaucoup plus, par exemple, que dans un pays comme la Tunisie. Ce que je déplore en Algérie, c'est qu'il y a deux moyens de limiter, d'une certaine façon, le travail des journalistes étrangers. D'une part, la délivrance des visas au compte-gouttes. Là, par exemple, j'ai attendu plus de six mois pour obtenir un visa. D'autre part, quand on est enfin sur place, on rencontre un formalisme bureaucratique qui empêche d'avoir accès facilement à l'information ou aux responsables du pouvoir. Donc on se retrouve finalement souvent, quand on est sur le terrain, face à un mur de silence, et c'est ça qui me gêne le plus en Algérie. L'opposition parle facilement, on y a accès sans problème, mais le pouvoir, lui, reste toujours dans l'ombre. Et en ça, le travail d'un journaliste, algérien ou étranger, est difficile. Mais je n'ai jamais souffert en Algérie d'intimidations ou de menaces, comme j'y ai eu droit dans d'autre pays. 1 | 2 | 3 suivant Source
  18. Bouteflika va donc être "réélu" aujourd'hui. Une seule question se pose: "avec quel taux?", comme le demande ce matin le Une d'"El Watan" - quel taux de participation, bien sûr. Mais il y a d'autres chiffres révélateurs dans ce scrutin joué d'avance, des chiffres qui accablent le "candidat" sortant, en place depuis dix ans. Les voici. -L'Algérie détient 150 milliards de dollars de réserves, parmi les plus importantes au monde. - Elle a accumulé 180 tonnes d'or soit la 20ème réserve de la planète. - L'an dernier, elle a exporté pour 76 milliards de dollars d'hydrocarbures contre 57 l'année d'avant - et 10 milliard en 1999, quand Bouteflika a entamé son premier mandat. Comment a été utilisée cette manne? Certes, Bouteflika a remboursé la dette extérieure algérienne. Mais: - L'Algérie est 100 ème (sur 179) dans classement de l'ONU du développement humain (éducation, santé, niveau de vie...). - 92ème sur 180 au classement de la corruption établi par Transparency International. - En septembre 2008, Bouteflika a décidé de tripler le budget de l'armée en 2009. Celui va passer de 2,5 milliards de dollars à 6,25. En un an. - Une bourse d'étudiant s'élève à 21 euros par... trimestre, selon l'excellent journaliste d'El Watan, Adlene Meddi, interrogé ce matin sur France Inter.
  19. Quatre candidats à la présidentielle algérienne ont fait état de «cas de fraude» au cours du scrutin qui s'est déroulé jeudi, ont-ils annoncé à l'AFP. L'islamiste modéré, Mohamed Saïd a «regretté» les irrégularités constatées par ses observateurs dans certains bureaux de vote à travers la pays. «Les bulletins de vote n'étaient pas homogènes. Les observateurs et les gens n'ont pas été autorisés à assister au dépouillement des bulletins dans beaucoup de bureaux. Nous avons relevé des cas de fraude», a affirmé à l'AFP, son directeur de campagne, Djamel Benziadi. Taux de participation «exagéré» Moussa Touati, candidat du Front national algérien (FNA, nationaliste) a dénoncé un taux de participation «exagéré» et fait état également fraudes dans le déroulement du scrutin. «Le taux de participation officiel est exagéré. Nos informations indiquent une participation de 40%. Nos observateurs ont été empêchés d'assister au vote dans certains bureaux et certaines urnes n'étaient pas vides au démarrage de l'élection», a déclaré son directeur de campagne Mohamed Tin. Pour le parti islamique El Islah (Réforme) du candidat Mohamed Djahid Younsi, «le taux de participation est gonflé. Des représentants et des contrôleurs de partis ont été chassés des bureaux de vote dans plusieurs wilayate (départements)», a affirme son directeur de campagne, Djamel Benabdeslam. Le parti Ahd 54 (serment) du candidat Ali Fawzi Rebaïne, a également déploré des irrégularités et des «intimidations» dans quatre wilayate dont Blida, Bouira et Aïn Defla. Les bureaux de vote ont fermé à 20 heures et le taux de participation était de 74,11% en fin de soirée, selon le ministre de l'Intérieur Yazid Zerhouni.
  20. Le vieil homme et les cinq lièvres : ce pourrait être le titre de la triste fable que les Algériens sont appelés, aujourd'hui, à réciter à l'occasion d'une élection présidentielle dont le résultat semble largement acquis d'avance. Le vieil homme, c'est le Président algérien sortant. Ancienne figure de l'indépendance, Abdelaziz Bouteflika gouverne et contrôle son pays depuis 1999, lorsqu'il arriva au sommet de l'État, porté par les militaires. À 72 ans, il brigue un troisième mandat et n'a pas hésité, pour cela, il y a quelques mois, à réformer au forceps la Constitution qui le lui interdisait. Les cinq lièvres, ainsi que la presse algérienne les a surnommés, ce sont les autres candidats. Une femme et quatre hommes. Ils n'ont aucune chance d'inquiéter le Président. Le plus représentatif n'avait obtenu qu'à peine 1 % des suffrages lors de la précédente élection, en 2004. Les autres principaux courants de l'opposition, des socialistes aux islamistes, ont, quant à eux, décidé de boycotter ce qu'ils appellent un simulacre d'élection. Il y a vingt ans, en cette année chargée d'espoirs que fut 1989, l'Algérie s'était dotée d'une nouvelle Constitution, libérant le pays du régime du parti unique et ouvrant la voie à un débat démocratique. Le débat tourna court. À la fin de 1991, le succès des islamistes aux législatives amena le régime à suspendre le processus électoral. Commença alors une longue saison de violences inouïes, tant de la part des groupes islamistes que de pans entiers de l'appareil de sécurité. Les spécialistes avancent le chiffre de 150 000 victimes, comme bilan de cette page noire de l'histoire algérienne. Un tiers de la population a moins de 15 ans et n'a pas connu directement ces années. L'état d'urgence, en revanche, les jeunes Algériens le connaissent bien puisqu'il n'a jamais été levé depuis 1992. Au nom de la sécurité, le champ démocratique s'est réduit peu à peu. L'opposition n'a pas accès à la seule chaîne de télévision publique. À quelques jours du scrutin, trois hebdomadaires français viennent d'être saisis et interdits. Abdelaziz Bouteflika défend toutefois son bilan. Dominé par les violences, à son arrivée au pouvoir, en 1999, le quotidien des Algériens a effectivement gagné en sécurité, même si la menace de l'islamisme radical demeure. Grâce à une loi sur la « Concorde civile », non sans frais pour les mémoires blessées, Bouteflika a obtenu la reddition de milliers d'islamistes et il n'exclut pas une nouvelle amnistie pour poursuivre sa politique de réconciliation. Sur le plan financier, les comptes publics ont profité des ventes d'hydrocarbures et de grands chantiers ont été lancés. Mais ce qui inquiète les Algériens, c'est l'économie réelle et les effets d'une profonde crise sociale, caractérisée par un chômage endémique, des prix qui grimpent et des salaires très modestes. L'ordre apparent cache, en outre, les pires ennemis de tout processus démocratique : la corruption et le clientélisme. La seule inconnue de ce scrutin présidentiel algérien, c'est donc la participation. Seuls 58,1 % des inscrits avaient voté en 2004. Or, il y a deux ans, les élections législatives n'avaient attiré que 35 % des électeurs. Le vieil homme va, sans nul doute, semer les lièvres mis en scène pour son nouveau sacre. Mais, si l'abstention dépasse 50 %, Bouteflika sera fragilisé, face à un malaise social grandissant et à une contestation rampante qui ne demande, comme en 1989, qu'à s'exprimer. Source
  21. algérien_dz

    les bons cote de l'algerie

    et sans oublié le nombre d'illettrés qui rodent dehors en passant leur temps à boire du café presse et sucer des cigarettes toute la journée en calant les murs.
  22. Bande remontante = 512kbps/s pas 100% mais 80% (ça reste du débit ATM) 512/10 = 51,2 x 8 = 409,6Kbps/s
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