
shincus
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Tout ce qui a été posté par shincus
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FASAT Bel les coup de pieds , Mal , trés mal
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serveur cracké command & conquer 3
shincus a répondu à un(e) sujet de sidelpiero dans Jeux en Réseau / LAN Arena
installe hamachi et ajoute des salon , sinon crées en toi meme , tu pourra jourer en multijoueurs en lan -
Dites les Gars , Est ce que tout le monde à sa 5024/512 ?!
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Le viaduc de Bouira, un point d’attraction pour les usagers et les touristes
shincus a répondu à un sujet dans Actu - News High-Tech
Merci mouad ,c super ton post -
Conseil Grid race driver
shincus a répondu à un(e) sujet de Big Black dans Jeux en Réseau / LAN Arena
Moi j'ai téléchargé , essayé le jeu , franchement ilm'a pas plu du tout ..j'ai donc supprimé tout -
Faites nous un récapitulatif de l'offre avec des images d'appui Merci
- 583 réponses
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A votre avis les gars , si quelqu'un se vois payer 20000 da mensuel à partir de mnt ..quand pourra t il prétendre au mariage ?!
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Le viaduc de Bouira, un point d’attraction pour les usagers et les touristes
shincus a répondu à un sujet dans Actu - News High-Tech
On Attend ton post Mourad -
lol ...mais comme l'a dit 1conito , dis ça à tes hormones et tu verras lol:D
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Merci Venom , il se trouve que dans mon cas je téléchargais à 800 ko/s et ça grimpé jusqu'à 1.2 mo/s , j'avais jusqu'à toute à l'heure une synchro de 5560/1024 ...mais brusquement ça vient de rechuter à 1024/512 !!! et ça a affecté le téléchargement qui ne dépasse plus les 100 à 120 ko/s !!!
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En fait dites les gars quand vous dites que vous avez perdu vos 5 mb ..ne me dites que votr synchro redevient 1024/512 ?!!
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En fait je viens de l'avoir hier mes 5 mo ...
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eh bien khalef delà , fo laisser la place aux autres lol:D
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Absolument d'accord avec toi
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trés drole lol
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Si si , je pense qu'il éduque , tu deviens responsable , surtout si ta femme est une vraie femme bien éduquée elle même.. Y a des cas de quelques uns qui était hors routes , mais aprés le mariage sont devenus corrects.==> le mariage laisse à réfléchir...à bien réfléchir même et voir différemment..
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C'est haram , oui c vrai t'as raison , mais pas plus grave que l'homicide d'un musulman, car là je t'arrête lol ..Sinon si l'usure est pa sl'égale y a l'altérnative ...à vous les génies lol ==> un don ou un pret sans interet octroyé par l'Etat par exemple serait bien. Y a aussi le truc des mariage collectif qui n'est pas mal du tout à mon avis , etle complexe social qu'il y a en ce moment de ce type de mariuiage est du à l'exception de l'evenement , c à dire si on le généralise ...etc ça devient une choz normal , donc économie des dépenses , ambiance cool..et c dans la convivialité ..
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==> Pourquoi pas une caisse de mariage qui octroi des aides aux plus démunis & des emprunts (sans interets) pour les + modestes ?! ==> Pourquoi les banques ne participent pas à l'opération : des crédits de mariage avec 2% max com taux d'interet ?
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C une trés bonne moyenne dans ce k
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Je croyais que c t 30/40 ans pour les hommes et 26/32 pour les femmes !! sauf exceptions bien sur
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La moyenne d'age pour mariage pour les hommes et les femmes est de combien de nos jours ?!
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Meriem ==> t'as bien raison , seulement c pas toutes les filles qui ont conscience du problème, et pour les parents leur expliqué que "Normalement" ou bien "C'est entre couple" ...com si je n'existais pas , elle est passée a coté de moi , aicha aicha écoutes toi et pense à moi, pour qu'on puisse vivre ensemble , dans la lumière non dans l'ombre Ben.Yas==> t sur que cet ami c pas toi ?!! lol AmarSoft ==> wellah c que je nous souhaite à tous les célibataires , car rester célibataire c la causes des fléaux , des viols, des kidnapping que connait a société .le gouvernement doit y penser sérieusement. Angie ==> com tu dis , faut que les parents comprennent : "Vivre et laisser vivre"
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==> Un ami à moi m'a raconter que son frère qui s'est marier y a un an , a demandé la main d'une fille unique pour ses parent .. ces derniers ne lui ont rien exigé , sauf 1000 da , le gar leur a donné 2000 da ..et c tout rien de plus..ils se sont marié si vous voulez on va dire 100.000 da de dépense globales , et c tout..ils vivent heureux et trés à l'aise. ==> récemment je suis allé à une région de chlef pour assisté au mariage d'un ami, j'étais stupéfait de la simplicité de l'événement et en + cela ne changeait rien dans l'ambiance de la fete; ils ont servit le dinner à 17h, on est assis sur des tapis en plastique à 4 par table, le repas se constituait d'une assiete de frites au centre y a avait un morceau de viande , une assiette tajin zitoune , un peu de salade, et une assiette de hrira , une bouteille de jus local .. La nuit c'était la fête et le thé pour les invité, c tout et ça s'est passé génial.. ==> A annaba un ami m'a racconté qu'à la fin du dinner , y a avait un gar qui tenait un truc genre une caisse , il marque tous ceux qui donnent de l'argent avec leur nom et la somme versé !!!! A vos commentaires
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=> les conséquence de la barrière financière : le sur-endettement de l'époux meskine , qui fera la misère du couple. => le parabole qui a changé radicalement la mentalité des filles qui veulent vivre com ce " Mouhaned et Nour" et croient qu'elles sont là pour que les hommes les satisfaisais ; des choz qui ont conduit a ce qu'elles restent célibataires ou que leur liaison fini en divorce ! (vous pouvez consulter les chiffre de divorces dans notre société) => Pourquoi on ne trouve pas une étude sociale du phénomène du mariage?!
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Voilà ce que j'ai trouvé sur un blog , c une fille de annaba qui racconte , elle habite à marseille et vient de se marier en Algérie (Elle ne voit que le bon coté des choses, kifmeh chtih , wel gato , wel les voitures !!! wel'amour ..la facture c pas leur problèmes apparement ) Je vous laisse admirer : LEMARIAGE ALGERIEN. Tous sons dehors, les voitures klaxonnent à tue tête, rythmant la musique de la veille. En file indienne, les feux de détresse du convoi clignotent, et parcourent la route en vue d'un espace, généralement très fréquenté par les mariés pour immortaliser le moment. À cet endroit la terre rouge fera office de décor, plus loin dans un virage, la mer et le ciel offriront leur immensité aux nouveaux époux, et le photographe de la fête immortalisera l'événement. Tous les étés les mariages se succèdent, il semble qu'aucune famille n'y échappe.« Ils s'épousent l'été pour divorcer l'hiver »... « Feçif el gatto ou fechta bougatou »! (L'été, c'est les gâteaux, l'hiver, l'avocat : divorce). Ils s'épousent l'été avant le commencement des cultures et jusqu'à la fin de la saison des figues. La période des labours, « iwejjiben », ou « porte de l'année », transmise par les ancêtres qui pensaient que la majeure partie de l'année devait être consacrée à la terre et à sa fécondation. Tous les villages, toutes les villes, dansent aux rythmes des musiques. Les rites changent, les milieux aussi, mais le bal est permanent. Les consentements diffèrent, les batailles sont parfois rudes, mais la société change petit à petit de visage et les mariages d'amour se profilent. Le bal des mariages a commencé dès le mois de juin. « Allez ! danse ! on se défoule ! » toute en blanc les cheveux exceptionnellement courts, elle revient. Rouge à lèvre brillant, le teint sec, l'invitée porte une nouvelle robe. Elle tire la main de son amie assise en tailleur les yeux dans le vague. « Il faut se défouler ! » « Viens ! » Elles rient, dansent, et s'enivrent de parfums sucrés. Elles sont belles. Toutes. Peu importe leurs talents, leurs âges, des larmes de sueurs perlent sur leur peau. Elles changent de robes parfois jusqu'à dix fois, c'est leur rang social qui décide. Certaines d'entre elles ont amené une valise « cabine » contenant leurs effets. Elles aiment les bijoux, et chacune d'entre elles, parée de bracelets et de sautoirs, font tourner leurs ventres ceinturé d'or avec délectation. Leurs gestes accompagnent les plis des robes lourdes et trop chaudes, mais là, elles sont presque libres. Souriantes et parfumées, elles accompagnent leurs épaules vibrantes de leurs regards tendres et brillants jusqu'à épuisement. La mariée, très digne, est assise entourée de deux de ses amies intimes toutes aussi sérieuses. Si elle se lève parfois c'est pour se changer. Elle danse rarement, et regarde devant elle comme hypnotisée. Ses invitées l'enveloppent de bonne humeur, de discussions enfiévrées, elle garde son silence et disparaît exclusivement pour changer de robe. Chaque fois, elle revient, plus rigide et plus richement décorée. Enfin elle se résout à terminer cette danse. C'est la consécration. Nouvellement vêtue de blanc, elle esquisse un sourire aux photographes, et ouvre devant elle une marée humaine. Sur une table basse, posée devant elle trône un grand carton de henné qui attire les regards. Toutes s'empressent autour du porte-bonheur. Deux femmes plus âgées entonnent des poèmes anciens, quand une troisième lui applique le « charme » sur la paume de ses mains. Tout est symbole. Des roses blanches en tissu chacune liées aux paumes de la mariée, aux dragées versées sur son admirable chignon, l'enchantement s'opère. L'intimité du silence suspendu, les invités s'écartent et laisse à nouveau la place au disc jockey. Les gâteaux sucrés se succèdent et sur le balcon, les danseuses offrent à nouveau aux regards de quelques hommes parvenus jusqu'à l'entrée, la vibration de leurs déhanchements. Des rencontres peuvent se faire. L'un d'entre eux envoie sa « cousine » faire les présentations. Car ce monde est fait par les hommes pour les hommes, mais chacun veut vivre, et les regards se manquent. Séparés dans le mariage, séparés dans la vie. Sous-entendant leurs manigances, il disait ironique, « vous toutes les femmes ensemble ! »., Soupirs. Synonymes de clairvoyance. «Toutes, ensembles». Dans les rues, les terrasses, les cantines, les couloirs : des hommes. Les hommes sont partout. Ils occupent les lieux. Découverts, torse nus parfois, ils fument et parlent fort. Elles, isolées, inconnues, identiques, cachées, en lunettes noires et robes longues, se gavent de sodas, gâteaux, glaces et sucreries. Les pâtisseries font recette. Depuis deux ans, quelques salles familiales, sont apparues et les hommes sont priés de respecter la quiétude des « familles » composées parfois seulement de femmes qui ont envie de se détendre assises sur les terrasses de cafés. Ici, elles peuvent exister. Certaines d'entre elles, les plus jeunes, se font facilement aux jean tee-shirt. Et ici, il semble qu'on oublie la peur des dix années noires, encore présentes dans les regards, les gestes, et la méfiance. Car tout est gardé en Algérie. Des routes aux châteaux d'eau. « Comme ça, ils peuvent pas les empoisonner ». La peur, persiste, rien n'est fini. Elle se transmet avec justesse, dans un flottement permanent et des contradictions répétées. « A toutes les filles que j'ai aimé avant !... « L'Amour c'est toute une vie à deux.... « En se temps j'avais vingt ans ! J'avais vingt ans depuis longtemps « C'est un beau roman, c'est une belle histoire, c'est une romance d'aujourd'hui.... « On ira ou tu voudras quand tu voudras... Leïla, la radio algérienne diffuse les chansons d'amour... « Aime moi..... Drague sous-jacente ? Rencontre latente ? Aventure potentielle ? Envie d'amour ? Cet amour là diffusé sur cassette renvoie étrangement aux années noires passées. Aux « événements ». La guerre d'Algérie, suivie de la « guerre invisible», une terreur qui a duré dix ans, qui se calme sans certitude et très progressivement. Les journaux font encore état d'actions terroristes. L'amour, la paix. Pouvoir de promener, se perdre sans danger dans les montagnes, s'arrêter, goûter au silence des arbres et marcher doucement, sans la peur de l'Autre... L'amour, la paix. Des femmes et des hommes qui malgré l'interdit se rencontrent dans les lieux publics. L'amour. Des hommes et des femmes qui se donnent rendez-vous, cachés, dans une salle de cinéma, un jardin, un étage de restaurant ; pas question d'aller à l'hôtel pour ces amoureux là. Ils ne pourraient pas entrer sans présenter leur livret de famille « légal » pour partager une chambre. Se cacher. Encore trop. Car les mariages d'amour sont rares, et les rendez-vous encore secrets. Les parents dictent. Les enfants obéissent. Sous l'autorité, les obligations sont diverses. L'âge, la région, la situation sociale et la couleur de la peau sont déterminants. Le mariage des deux époux implique également celui des familles respectives, et dans ce cas, les parents se trouvent étroitement liés aux choix des époux. Et dans la désobéissance, il faudrait enlever l'être adoré, ce qui entraîne parfois le reniement total de la famille. Cette astreinte, n'est malheureusement pas la seule à diminuer le nombre des mariages. La crise du logement et le chômage sont les premières barrières au mariage. Diplômé ingénieur ou dentiste, il fait des sandwichs, sert les boissons, bricole, devient maçon, et se retrouve à nouveau sans travail. Comment trouver le logement qui accueillera les jeunes mariés ? Il était traditionnellement normal que trois générations au partagent la même maison, mais dans les villes les espaces sont parfois trop étroits pour accueillir les jeunes mariés. L'étroitesse des logements, ne peut pas accueillir en plus de la famille composée d'un minimum de six personnes, un couple qui lui-même aura des enfants sans tarder. La cérémonie est aussi très coûteuse et freine les velléités. Car tous les mariages sont chers. Qu'ils se passent dans les maisons ou dans les salles. De plus en plus prisées, ces salles permettent moins de préparatifs, et plus d'espace à certaines familles. Mais dans tous les cas, qu'il s'agisse du disc jockey ou de l'orchestre, de la diversité des plats servis (chorba - ch'titha, m'tewem, l'ham lehlou enrichis de couscous) qui gave les invités, et du défilé de mode permanent , tous ces rituels endettent les familles. Si bien que pour aider les jeunes couples, certaines associations caritatives musulmanes organisent des mariages collectifs. Les célibataires sont légion. Sur 2,8 millions d'habitants 800 000 milles célibataires vivent à Alger, et Sétif et Oran abritent un million d'âme seules. Car, si les Algériens se marient en moyenne à 33 ans, les femmes elles, convolent vers l'âge de 30 ans. Ce recul de l'âge au mariage des femmes s'explique par des études supérieures qui leur permettent de décider de leur vie. L'indépendance fait partie d'un choix de modernité des jeunes Algériennes aujourd'hui. Elles ne souhaitent plus que les enfants, le ménage et la télévision, les immobilisent. Assujetties au Code de la famille, elles n'ont aucun droit et aujourd'hui elles veulent travailler et décider de leur vie quotidienne. « On va y arriver ». « Doucement, mais on peut faire confiance aux femmes ». Sourires. Elles se prennent par la main, se soulèvent éreintées, et virevoltent à nouveau, La fête peut durer jusqu'à sept jours. « Besm'Allah”». Dieu prend soin.