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Ping - Fawri -


arkhoide

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Salut.

Jusqu'à aujourd'hui, le fait que je télécharge ou non n'avait aucune incidence sur le ping. Je pouvais ainsi télécharger à une vitesse de 130 tout en gardant le ping usuel de 70 mais j'ai remarquer cette nuit (et remarquer n'est qu'un doux euphémisme) que ce n'est plus possible !

J'ai aussi remarqué que ma synchronisation a changé...là ou j'avais 5 méga, j'obtiens maintenant une synchro de façon variable, qui va de 400kps à 2000kps...

Voilà, je voulais savoir si cela venait d'un changement opéré par AT, ou bien suis-je qu'un cas isolé ?!

 

PS : Le bridage de Fawri commence à partir en vrille...je télécharge à 190K !?

Modifié par arkhoide
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Normalement, le fait de télécharger influe sur le ping...disons que quand une bande passante est utilisé presque totalement par un téléchargement...il en reste pas beaucoup pour faire d'autres requête, d'où l'augmentation du ping.

Chez Eepad par exemple, il suffisait que j'ouvre une seule page web pour qu'un lag monstrueux fasse apparition fi les jeux en ligne. Ou bien comme l'utilisation de Utorrent qui elle pompe toute votre bande passante, (up et down) qui peut presque paralysé toute votre connexion.

C'est juste que ma nouvelle connexion Fawri, c'est autre chose !

 

Ps : J'une 1 Mega personnelle.

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A 1 Mo tu ne peux pas atteindre 190ko, le mieux que tu puisses atteindre c'est 128ko, sauf si le réseau de AT déconne.

 

Pour ce qui est du ping, c'est un paquet de quelques octets (64 sous linux et 42 sous windows) seulement qui n'utilise même pas le protocole TCP (lourd) mais le protocole ICMP beaucoup plus léger. Donc l'influence du téléchargement est pour moi nulle.

Modifié par ychaouche
typo : déconnent -> déconne
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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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