Travmania Posté(e) le 14 juillet 2009 Share Posté(e) le 14 juillet 2009 Un colonel de l’ANP répond au général Buchwalter Par : Colonel de l’ANP Je m’insurge contre les allégations de ce François Buchwalter, général français à la retraite, qui tente, par ouï-dire fantaisiste et après 13 années de silence durant lesquelles plusieurs autres versions aussi saugrenues que la sienne ont été avancées par ses pairs pour porter atteinte à nos services de sécurité et à nos forces armées, de semer le doute à nouveau sur ce qui était advenu des moines trappistes du monastère de Tibhirine, dans les maquis de Médéa, un certain mois de mars 1996. Suite: http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=118224&titre=Un%20colonel%20de%20l%E2%80%99ANP%20r%C3%A9pond%20au%20g%C3%A9n%C3%A9ral%20Buchwalter Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Travmania Posté(e) le 14 juillet 2009 Auteur Share Posté(e) le 14 juillet 2009 J'ai beaucoup aimé lire cet article dans le sens ou ce Colonel réponds aux propos de ce Général Français d'une manière TECHNIQUE, ou plutôt stratégie militaire. Mais reste à savoir ou est la vérité. Car dans ce genre d'affaires, on n'entend que le peu du peu (La partie visible de l'Iceberg). Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lemrid Posté(e) le 14 juillet 2009 Share Posté(e) le 14 juillet 2009 J'ai beaucoup aimé lire cet article dans le sens ou ce Colonel réponds aux propos de ce Général Français d'une manière TECHNIQUE, ou plutôt stratégie militaire. Mais reste à savoir ou est la vérité. Car dans ce genre d'affaires, on n'entend que le peu du peu (La partie visible de l'Iceberg). lu, Editorial (Mardi 14 Juillet 2009) À qui profite le crime ? Par :Salim Tamani Lu : (1298 fois) La volonté de certains acteurs politiques, aussi bien en Algérie qu’en France de ressusciter le “Qui-tue-qui ?” est aujourd’hui manifeste. Malgré le recul du chef de l’État français et les précisions de son ambassadeur en Algérie, le mal est malheureusement fait. Après avoir remis au goût du jour un dossier judiciaire pour en faire un outil de règlement de comptes politico-diplomatiques, Paris revient à la raison en écartant l’idée d’une crise entre les deux pays allant même jusqu’à reprocher, en des termes à peine voilés, aux Algériens d’avoir mal interprété les déclarations du président Sarkozy sur l’affaire des moines de Tibhirine qui avait assumé pleinement les propos du général Buchwalter. Pourtant, les choses étaient claires et les prémices d’une véritable tension diplomatique étaient très perceptibles. Lorsqu’on accuse l’Algérie de “mensonge”, même si l’on lui confère la qualité de “grand pays”, un usage connu dans les formulations diplomatiques pour atténuer l’ampleur des accusations, on ne peut quand même pas s’attendre à des fleurs. Les réactions des médias en Algérie ont été à la mesure de la gravité des doutes français sur le terrorisme en Algérie. Mais, officiellement, seul le parti du Premier ministre, le RND, a dénoncé ce qu’il a considéré comme une “nouvelle provocation à l'égard de l'Algérie qui a souffert des affres du terrorisme dans le silence et la complicité des autres”. Le président Sarkozy, qui a ajouté une couche à la complexité des relations algéro-françaises mises à mal depuis la loi du 23 février jusqu’à l’affaire Hasseni, semble toujours prisonnier des nostalgiques de l’Algérie française et on se demande si l’ancien attaché militaire de l’ambassade de France à Alger n’a pas délibérément choisi la date du 5 juillet, anniversaire de l’indépendance, pour lâcher son venin sur une institution qui a payé le prix fort pour la sauvegarde de la République. La volonté de certains acteurs politiques, aussi bien en Algérie qu’en France, de ressusciter le “Qui-tue-qui ?” est aujourd’hui manifeste. Malgré le recul du chef de l’État français et les précisions de son ambassadeur en Algérie, le mal est malheureusement fait. Mais une question demeure posée : à qui profitent les tensions diplomatiques qui sont désormais récurrentes entre les deux pays depuis le “il faut” de François Mitterrand ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Red Posté(e) le 14 juillet 2009 Share Posté(e) le 14 juillet 2009 bien rédigé cet article sinon le truc drole c'est que c'est un colonel en retraite qui répond au général en retraite Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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