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Ce que vous devez réviser pour le Bac 2008


Invité salimdz

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Invité salimdz

le ministre de l’éducation arrête les contenus des programmes de l’examen

Ce que vous devez réviser pour le Bac 2008

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Au moment où les élèves de terminale étaient sortis dans la rue pour demander un allégement des programmes, le ministre de l’Éducation avait pris l’engagement selon lequel les épreuves du baccalauréat porteront sur les matières étudiées pendant l’année scolaire.

 

Les multiples réunions tenues ces derniers temps par le ministre de l’Éducation avec les directeurs de l’éducation et les responsables du secteur ont permis de déterminer avec précision la progression pédagogique, non seulement par établissement, par classe mais aussi par division. “Nous sommes arrivés à une photographie générale de la progression pédagogique à l’échelle nationale, nous a déclaré hier un haut responsable de l’éducation, qui nous a précisé qu’au terme d’une réunion tenue hier, le 15 mai est arrêtée comme date butoir pour l’étude des programmes sur la base desquels seront établies les épreuves du baccalauréat. Cette progression, qui s’arrête donc au 15 mai, représente à l’échelle nationale un pourcentage de 80% en termes de réalisation des programmes. Ce qu’il faut dire, c’est que ce taux ne diffère pas tellement des années précédentes”, nous a encore précisé ce responsable. Pour les filières scientifiques, c'est-à-dire sciences expérimentales, mathématiques, techniques mathématiques et gestion économique, il y a sept matières. D’abord pour la langue arabe, la révision doit s’arrêter à la leçon “Al-Faragh inda Adonis” (Le vide chez Adonis). Pour le français, le seuil c’est “introduire le fantastique dans le monde réel”. Pour l’anglais, c’est “read and consider - reading and writing”. Pour l’histoire, c’est “la question palestinienne et la décolonisation”. Quant à la géographie, c’est “l’espace géographique dans les pays en développement”. Pour la matière philosophie, le seuil doit s’arrêter à “la philosophie des mathématiques”, alors que pour les sciences islamiques, c’est “tahlil khotbate oua houdjatou Al-Wadaâ” (analyse du discours et du pèlerinage d’adieu). Toujours pour les sciences expérimetales, le programme de physique doit s’arrêter “vibration libre de l’ensemble mécanique et électronique”. Pour les mathématiques et techniques mathématiques, la limite c’est le chapitre “ihtizazat kasria” (vibrations courtes). Ces seuils de révision concernent les filières scientifiques seulement, car au moment où nous mettons sous presse, les seuils pour la filière littéraire n’étaient pas encore arrêtés. Ce qu’il faut savoir, c’est que Benbouzid a donné des instructions pour que les élèves de terminale prennent connaissance de ces seuils pour être fixés sur les matières à réviser. Par ailleurs, instruction a été donnée pour interdire la distribution de polycopiés aux élèves pour les leçons qui ne sont pas étudiées en classe. Cette fâcheuse pratique existe chez certains professeurs qui remettent ces polycopiés aux élèves, faute de pouvoir achever le programme à temps. Toutes ces dispositions prises par Benbouzid pour permettre aux candidats au baccalauréat de passer leur examen dans de meilleures conditions se font dans le strict respect de la rigueur pédagogique, nous a encore expliqué le responsable de l’éducation, qui a insisté sur la valeur du baccalauréat algérien “reconnu par l’Unesco”. Autrement dit, il ne s’agira pas d’un bac au rabais. Par ailleurs, au niveau du ministère de l’Éducation, on tient à mettre en relief “les efforts d’accompagnement des élèves” à la veille de l’examen du baccalauréat, notamment par les cours de soutien, qui se poursuivront encore pendant les jours de révision qui restent avant le bac. Un bac, qui se caractérise aussi cette année par l’arrivée de candidats qui ont travaillé sur le nouveau programme de la réforme. Au plan du contenu, ce programme se caractérise aussi par un redéploiement des filières qui sont passées de 16 à 6 filières “pour éviter la spécialisation précoce et mieux préparer les candidats à l’enseignement supérieur”.

 

source : http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=94390&titre=Ce%20que%20vous%20devez%20r%E9viser%20pour%20le%20Bac%202008

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    • Je vais essayer sur mon pc et je te tiens au courant 
    • Merci @wosiris sur smartphone ça fonctionne aussi chez moi mais pas sur pc avec Firefox et Opera
    • Très mauvaise nouvelle les amis… Des chercheurs polonais viennent de péter la sécurité des eSIM et ça fait froid dans le dos puisqu’on parle de 2 milliards de puces compromises qui permettent de cloner votre carte SIM à distance. L’équipe de Security Explorations, un labo de recherche en sécurité basé en Pologne, vient en effet de publier leurs trouvailles et c’est pas joli joli puisqu’ils ont réussi à exploiter une vulnérabilité dans les puces eSIM de Kigen, un des plus gros fournisseurs du marché.   https://korben.info/esim-vulnerabilite-clonage-kigen-security-explorations/demo1.mp4   Ce qu’ils ont réussi à faire c’est à cloner complètement un profil eSIM d’Orange Pologne. Résultat, tous les appels et les SMS arrivaient sur leur téléphone pirate au lieu du téléphone légitime. Imaginez maintenant 2 secondes si ça vous arrive avec votre code de validation bancaire ou votre double authentification… Ce serait la grosse mierda, donc pensez toujours bien à passer par une app de double authentification plutôt qu’un SMS. Mais comment ils ont fait ? Alors accrochez-vous car c’est technique mais je vais essayer de vulgariser au max. Le problème vient d’une “confusion de type” dans l’implémentation Java Card d’Oracle. En gros, la machine virtuelle Java Card ne vérifie pas correctement le bytecode et ça permet d’exécuter du code malveillant. C’est un peu comme si un policier vérifiait juste que vous avez bien le permis, sans regarder si c’est vraiment la vôtre. https://korben.info/esim-vulnerabilite-clonage-kigen-security-explorations/demo2.mp4   D’ailleurs, c’est assez ironique parce qu’Oracle avait déjà été prévenu de ce type de vulnérabilité en 2019. À l’époque, ils avaient répondu que c’était juste des “préoccupations de sécurité” qui n’affectaient pas leur produit en production. Bah visiblement, si. Pour exploiter la faille, il faut d’abord un accès physique temporaire au téléphone cible. L’attaquant extrait alors une clé cryptographique qui lui permet ensuite d’installer une application Java Card malveillante. Et là, c’est open bar : extraction des profils eSIM, des clés d’authentification OPc, du champ AMF… Bref, tout ce qu’il faut pour cloner parfaitement la carte SIM. Mais le pire dans tout ça, c’est qu’une fois cette clé en poche, l’attaquant peut théoriquement faire ses manipulations à distance via le protocole SMS-PP OTA (Over-The-Air). En clair, plus besoin d’avoir le téléphone entre les mains, un simple SMS suffit. Les chercheurs ont même poussé le vice jusqu’à installer des backdoors indétectables sur les puces eSIM. Genre vraiment indétectables, même pour les opérateurs. Et cerise sur le gâteau, ils peuvent aussi “bricker” (rendre inutilisable) l’eSIM à distance si l’envie leur prend. Alors évidemment, Kigen n’est pas resté les bras croisés. Ils ont versé une récompense de 30 000 dollars aux chercheurs (ce qui est plutôt classe) et ont distribué des patches à “des millions” d’eSIM, mais bon, vu qu’on parle de 2 milliards de puces potentiellement affectées, y’a encore du boulot. La GSMA (l’association qui regroupe les opérateurs mobiles) a aussi réagi en mettant à jour les spécifications de sécurité et en fermant tous les profils de test utilisés par les chercheurs pour leurs expériences. Ce qui est vraiment inquiétant, c’est que cette vulnérabilité affecte des puces certifiées EAL4+… Pour ceux qui ne connaissent pas, c’est censé être un niveau de sécurité béton, utilisé pour des trucs critiques, c’est à dire des puces Infineon SLC37 basées sur des processeurs ARM SecurCore SC300 32 bits. Du matos sérieux quoi. Et le pire, c’est que les chercheurs pensent que d’autres fabricants d’eSIM pourraient être vulnérables aux mêmes attaques. Ils se sont concentrés sur Kigen parce qu’il fallait bien commencer quelque part, mais vu que beaucoup utilisent la technologie Java Card d’Oracle… D’ailleurs, petite anecdote marrante (enfin, si on peut dire) : Kigen a évalué la vulnérabilité avec un score CVSS de 6.7 (moyen), alors que les chercheurs estiment qu’elle mérite un 9.1 (critique). C’est un peu comme dire qu’avoir une fuite de gaz dans votre maison, c’est “moyennement dangereux”. Pour les plus techniques d’entre vous, voici ce que les attaquants peuvent récupérer une fois l’eSIM compromise : Les profils eSIM complets de n’importe quel opérateur (AT&T, Vodafone, O2, Orange, China Mobile, T-Mobile…) Les clés secrètes OPc utilisées pour l’authentification réseau Le champ AMF (Authentication Management Field) Les certificats d’identité eUICC Et bien sûr, la possibilité de rediriger tous les appels et SMS Bon, avant que vous ne paniquiez complètement, quelques nuances s’imposent tout de même. D’abord, l’attaque nécessite quand même un accès physique initial au téléphone. C’est pas comme si n’importe qui pouvait cloner votre eSIM depuis son canapé (enfin, pas encore…). Ensuite, Kigen a déjà commencé à distribuer des correctifs donc si votre téléphone fait ses mises à jour régulièrement, vous devriez être protégé (en théorie) et puis normalement,la GSMA a pris des mesures pour éviter que ça se reproduise. Mais quand même, ça fait réfléchir car on nous vend l’eSIM comme LA solution d’avenir, plus sécurisée, plus pratique… et au final, ça se casse comme une vulgaire coquille de noix. D’ailleurs, si vous voulez creuser le sujet, Security Explorations a publié tous les détails techniques sur leur site. Et en attendant, qu’est-ce qu’on peut faire pour se protéger ? Bah pas grand-chose malheureusement. Garder son téléphone à jour, éviter de le prêter à des inconnus (surtout s’ils ont l’air de s’y connaître en Java Card), et croiser les doigts pour que votre opérateur ait appliqué les patches. Ah et petit conseil : si vous utilisez la double authentification par SMS pour des trucs sensibles (banque, crypto, etc.), c’est peut-être le moment de passer à une app d’authentification ou une clé physique. Parce que bon, si quelqu’un peut cloner votre SIM et recevoir vos SMS… Je vous conseille 2FAS comme app. Cette histoire nous rappelle une fois de plus que la sécurité absolue n’existe pas et que même sur les systèmes les plus certifiés, les plus vérifiés, il peut y avoir des failles et que souvent, ces failles viennent de trucs basiques qu’on a oublié de vérifier comme ici, une simple vérification de bytecode qui aurait pu éviter tout ça. En tout cas, chapeau à Security Explorations pour leur boulot c’est impressionnant ! Et n’oubliez pas, comme dit l’adade : “y’a pas de système sécurisé, il n’y a que des systèmes pas encore hackés”.   Source
    • J'essaye de faire des réclamations mais ils ne comprennent pas le problème, kifeh derto mon frr bah ils ont réglés le problème mdr
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