milax Posté(e) le 10 mai 2010 Share Posté(e) le 10 mai 2010 Le gagnant du concours Lépine 2010 c’est Raoul Parienti avec une invention nommée Top-braille. Il s’agit d’un petit appareil de poche qui permet de lire en braille ou en voix n’importe quel texte imprimé ! Pour cela, il doit être déplacé sur une feuille pour en lire le contenu. En reconnaissant les mots, il les convertit ensuite en braille en faisant surgir des picots en relief sur sa surface ou en les lisant via une voix synthétisée. Le Top-braille est encore un peu cher avec ses 1680 euros, on espère qu'une commercialisation à grande échelle le rendra plus accessible. source Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
KingMan Posté(e) le 10 mai 2010 Share Posté(e) le 10 mai 2010 d'apres ce que j'ai compris , c'est un appareille qui lit les textes sur les papier ! a 1680 Euro !!!!!! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
milax Posté(e) le 10 mai 2010 Auteur Share Posté(e) le 10 mai 2010 Les non-voyants, ne peuvent aujourd'hui consulter que des ouvrages prévus pour eux (en braille) et même si il y en a, il n'y en aura jamais autant que les livres, revues ou autre prévus pour les voyants c'est à dire des millions. Voilà la possibilité pour eux de consulter n'importe quel ouvrage, comme le ferai n'importe quelle personne, grâce à cette invention, je pense qu'ils en apprécieront l'utilité, même si je ne peux pas me mettre à leur place. Une invention qui facilite la vie aux handicapés et leur permet d'être moins exclu, je trouve ça bien, et sur ce sujet, permet moi de ne pas aborder la question du prix, ce n'était pas l'objet du post. Merci Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
KingMan Posté(e) le 10 mai 2010 Share Posté(e) le 10 mai 2010 ah ok kho, oui il et très utile pour les aveugles etc ... , seulement c'est le prix qui est un-peu élevé c'est tout Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mumu Posté(e) le 10 mai 2010 Share Posté(e) le 10 mai 2010 http://www.knfbreader.com/ Je savais que ça existai déjà, pour l'audio en tout cas Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
milax Posté(e) le 10 mai 2010 Auteur Share Posté(e) le 10 mai 2010 Il a été primé en 2010 au lépine mais le brevet date de 1996 et le premier prototype de 2005 (quelque temps avant le N82 de Nokia ou des 5Mpixels) Mais c'est bon à savoir. En tout cas c'est bien que le sujet intéresse autant. Raoul Parienti a eu l'idée du Top-Braille dès les années 70. Sa sœur mal-voyante a alors une vingtaine d'années et suit les cours d'une école spécialisée. « Mais elle ne voulait pas apprendre le braille. Elle disait que cela ne servait à rien, que trop peu de textes étaient transcrits », explique-t-il. L'argument est courant : en France, seuls 15% des mal-voyants maîtrisent le braille. Raoul Parienti imagine alors un appareil qui traduirait les textes. Mais il se heurte à une limite technologique. Les puces sont à la fois trop encombrantes et pas assez rapides. Il attendra donc le milieu des années 90 et la sortie des premiers processeurs intégrés à faible consommation. Il dépose un brevet en France en 1996 et réalise une maquette deux ans plus tard. Commence alors la longue et difficile quête de financements. « Un vrai parcours du combattant », soupire-t-il. Malgré plusieurs récompenses, dont une médaille d'or au Salon des inventions de Genève (Suisse) en 2001, il essuie refus sur refus. « 26 au total », précise-t-il. Entre-temps, il a pourtant étoffé son équipe. Marc Lassus, fondateur du fabricant de cartes à puces Gemplus, François Le Guillou, diplômé en gestion de l'université canadienne de Concordia, et Gérard Donadini, un spécialiste du marketing, l'ont rejoint. Leur obstination finit par payer. En 2004, Druon Note, fondateur du laboratoire pharmaceutique Laphale, et la famille Verspieren, co-fondatrice de Legrand, investissent chacun 300 000 euros. L'Anvar octroie un prêt de 230 000 euros. En décembre 2004, la société Vision SAS est enfin créée à Nice. L'équipe commence à développer un prototype. La conception logicielle est sous-traitée à la start-up parisienne Easter Eggs, fondée par le fils de Raoul Parienti. Pour diminuer les coûts, le développement est confié à une société bulgare, Symplica. Une autre jeune entreprise française innovante, Inov'Tronik, est quant à elle chargée de la conception matérielle de Top-Braille. Le premier prototype sort en décembre 2005, dix ans après le dépôt du premier brevet. source Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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