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PREMIÈRE MONDIALE CHEZ VOLKSWAGEN - 7 vitesses, performance et économie


Invité salimdz

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Le Soir Auto : PREMIÈRE MONDIALE CHEZ VOLKSWAGEN

7 vitesses, performance et économie

 

Rien ne semble désormais arrêter le développement technologique. Les constructeurs automobiles consacrent de plus en plus des budgets colossaux pour la recherche et le développement de techniques nouvelles qui leur permettent de distancer la concurrence et s’assurer ainsi une meilleure audience auprès de la clientèle.

 

C’est le cas notamment de la marque allemande, Volkswagen, qui vient de mettre au point une nouvelle boîte de vitesses qui offre pas moins de sept rapports appelée la DSG 7 et qui a été présentée à la presse internationale au cours de la deuxième quinzaine du mois de janvier écoulé. Une première mondiale qui surprend certains constructeurs qui planchaient depuis quelque temps sur des projets du même type. Cette innovation proposée pour son lancement sur un modèle mythique de la firme, en l’occurrence Golf, s’inscrit dans la continuité de la technique initiée par la DSG 6 vitesses mise au point il y a cinq ans et généralisée à un grand nombre de modèles de la gamme Volkswagen. Un système fonctionnant à travers un double embrayage se répartissant la prise en charge des rapports, les vitesses impaires pour l’embrayage 1 et les vitesses paires pour l’embrayage 2. Et contrairement à l’ancien système, la nouvelle technologie DSG 7 vitesses se distingue par des embrayages ne trempant pas dans un bain d’huile. Ils permettent ainsi, selon les concepteurs de cette technique, d’améliorer les rendements et d’augmenter l’économie de carburant pour la première fois sur des moteurs volumétriques faibles, un maximum de 250 Nm de couple alors que la précédente boîte à 6 rapports est plutôt destinée à des moteurs plus puissants. Les responsables de Volkswagen insistent pour affirmer que «cette innovation va permettre de démocratiser la DSG 7 vitesses en la généralisant à des modèles de large audience comme la Polo».

UNE SENSIBLE ÉVOLUTION

Cette boîte inédite, disponible uniquement en version automatique, peut être montée aussi bien sur des moteurs diesel TDI, le 105 ch, et essence TSI le 122 ch. Cela se traduira par une probable augmentation des ventes dès lors que, précédemment, les modèles équipés d’une DSG 6 vitesses, Golf, Passat et Jetta ont connu une sensible évolution de leur clientèle charmée par les performances de cette technologie réservée toutefois à un nombre réduit de modèles et situés surtout à des niveaux de prix peu accessibles aux revenus moyens. D’où l’intérêt de cette initiative qui vient précisément à un moment où la course aux réductions de consommation et d’émission de gaz polluants bat son plein appuyée, il est vrai, par des politiques nationales de plus en plus sévères avec les carburants conventionnels clairement mis en cause dans le dérèglement climatique qui menace l’équilibre vital de notre planète. En effet, la DSG 7 vitesses atteint des moyennes de consommation tant en diesel qu’en essence jamais égalées auparavant, soit 5,2 l aux 100 km pour le moteur TDI et 5,9 l pour le TSI de 122 ch de puissance. De même que les émissions de CO2 passent de 149 g/km sur les anciens systèmes à 139 g/km.

 

Une prouesse technologique

En fait, la nouvelle boîte automatique DSG consomme jusqu’à 20 % de moins de carburant qu’une boîte automatique conventionnelle. Une prouesse que la firme de Wolfsburg entend capitaliser et relever encore davantage son image. Côté technique, cette boîte révolutionnaire fonctionne donc avec un double embrayage dont la pression est régulée par hydraulique. La puissance du moteur est transmise au double embrayage par le biais d’un vilebrequin et d’un volant moteur à deux masses. Une intelligente gestion électro-hydraulique de la boîte permet au rapport immédiatement supérieur d’être en permanence en position d’attente d’être activé. Autrement dit, dès que le point de changement est atteint, l’embrayage concerné se déclenche et engage le rapport donné avant de se fermer et activer le deuxième embrayage pour «préparer» le rapport suivant. Cette boîte, qui mesure 369 mm de longueur pour un poids ne dépassant pas les 70 kg alors que la DGS 6 vitesses en avait 93 kg, a été soumise à des bancs d’essais durant près de 60 000 heures de fonctionnement permanent ainsi que des essais à bord de Golf et autres modèles sur des pistes du monde entier tout au long de deux millions de kilomètres. Conviés à tester cette nouveauté sur une Golf TSI et TDI à Barcelone en Espagne, nous avons, pour notre part, au cours d’un circuit varié — route, autoroutes embouteillées et dégagées routes escarpées en montagne ainsi que pistes en lacets du circuit du Prado — pu apprécier son confort et surtout un dynamisme qui surprend pour une boîte automatique, notamment sur les voies rapides où les reprises s’effectuent de manière très rassurante sans pour autant affecter la consistance du couple. Différents modèles GTi, TDi, TSi et l’insoumise R 32 ont été mis à la disposition des journalistes pour une séance d’essai et une grande charge d’émotion. Il est vrai, cependant, que cette boîte de 7 vitesses n’a nullement la prétention de s’adapter à une conduite sportive et pour des performances de haute voltige. Son étalement a été augmenté pour réduire précisément les régimes et la consommation de carburant. C’est à l’antipode de la boîte 6 vitesses qui était recommandée pour les moteurs de grosses cylindrées. Signalons surtout l’autre intérêt de cette innovation de Volkswagen, à savoir la conception courte du premier rapport, ce qui améliore ainsi le dynamisme en phase de démarrage. Alors que la septième vitesse à longue démultiplication procure, outre une meilleure économie de carburant, un confort acoustique rarement égalé. Rappelons enfin que les besoins en huile de la DSG 7 vitesses passent de 6,5 l pour l’ancienne version à 1,7 l, juste de quoi lubrifier et refroidir les engrenages et les paliers.

B. Bellil

 

FICHE TECHNIQUE DE LA DSG 7 VITESSES :

Poids : 70 kg

Volume d’huile : 1,7 l

Economie de carburant : 0,4 l

Puissance du plus petit moteur : 105 ch

Puissance du plus grand couple : 250 Nm

 

source : http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2008/02/06/article.php?sid=64175&cid=13

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    • Les gars, est-ce qu'il y a moyen d'accéder à l'interface du modem V-sol lorsqu'il est en mode bridge? 
    • Le wifi 7, de son petit nom 802.11be, a été présenté en 2018 et sa standardisation est lancée en  mai 2024. Toutefois, les contours de cette norme et les technologies associées sont tous connus depuis le premier brouillon. La principale évolution avec le Wifi 7 concerne le débit maximal théorique que la norme peut désormais gérer : 46 Gb/s, une valeur importante qui est multipliée par 4,8 par rapport au wifi 6 et 6E . Pour atteindre un tel débit, le wifi 7 joue sur la largeur des bandes de fréquences, la modulation du signal et le nombre de flux gérés. Actuellement, le wifi 6 peut gérer huit flux de données, ce qui correspond au nombre d’antennes dont sont dotés les routeurs les plus performants. Le wifi 7 voit le nombre de flux doubler pour atteindre 16 flux. Si nous devions faire une analogie, cette quantité de flux s’apparente à celle d’autoroutes disponibles pour les camions de déménagement. Ils peuvent donc déménager plus de domiciles vers plus de destinations. À l’augmentation du nombre de flux gérés s’ajoute le passage d’une modulation de fréquence en quadrature (QAM) de 1024 (10 bits de données possibles) à une modulation de 4096 (12 bits). En découle une performance de débit brute de 20 %. Reprenons notre déménagement et imaginez que l’intérieur de vos cartons est mieux rangé et peut donc contenir plus d'objets. C’est ainsi que le débit brut du wifi est multiplié par 2 x 1,2 x 2, soit x4,8. Le wifi 6 ayant un débit maximal théorique de 9,6 Gb/s, les évolutions de la norme permettent à la version 7 de passer à 46 Gb/s. Pour nos PC portables et smartphones, le débit maximal actuel en wifi 6 est de 2,4 Gb/s. La transition au wifi 7 ne portera celui-ci qu’à 5,8 Gb/s puisque les terminaux ne sont équipés “que” de deux flux. Il ne profite donc que du passage à 320 MHz (x2) et de la modulation de fréquence de 4096-QAM (x1,2), le nombre de flux étant inchangé. D'après des tests en réalité les débits maximaux atteints sont de l’ordre de 1,7 Gb/s réel en wifi 6 avec un PC portable, soit des transferts tournant autour de 210 Mo/s. On peut donc supposer que le wifi 7 sur PC portable permettra d’atteindre 4 Gb/s réels, soit un débit de 500 Mo/s. Autre grosse nouveauté du wifi 7 : le MLO (Multi-Link Operations). Il s’agit de l’agrégation de bandes de fréquences. Actuellement, quand un smartphone est connecté sur une bande de fréquences, il peut éventuellement changer de bande si la connexion (débit, latence, etc.) est mauvaise. Avec le MLO introduit par le wifi 7, au lieu de changer de bande, l’appareil pourra se connecter à plusieurs bandes simultanément (agrégation) pour contourner une éventuelle saturation. L'ensemble des nouveautés du wifi 7 est applicable aux bandes de fréquences de 2,4 GHz, 5 GHz et la toute récente bande de 6 GHz introduite par le wifi 6E. Évidemment, comme toutes les normes wifi précédentes, le wifi 7 est rétrocompatible. Un smartphone doté du wifi 7 pourra se connecter à une borne wifi équipée d'une norme inférieure et inversement, sans toutefois profiter des avancées du wifi 7. Source: lesnumeriques.com
    • Ils utilisent des répéteurs Wifi comme ça ce fait déjà  dans les cités universitaires . La différence par rapport au Wifi 6,5 et 4 réside dans le débit maximal atteignable. Sur  un canal Wifi 7 (46 Gbit/s) la latence est nulle ou presque et le débit qui peut atteindre de 5 fois plus .Le Wifi  6 et 6E permet 9,6Gbit/s en théorie. En Algérie le débit max est 3,8 fois moins que ce qu' offre le Wifi 7  d'où l'inutilité de ce dernier pour le moment .
    • Ils ne sont même pas fichus d'ajouter un bouton pour l'inscription.
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