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Linux léger?


chahbandar

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slm,

 

je cherche à installer une version légère de linux sur un P3, que me conseillez vous?

C'est pour apprendre la manipulation de base de linux. je le veux léger et extensible, c'est à dire que je peux ajouter facilement les packages qui m'intéressent.

 

Merci :)

Modifié par chahbandar
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xubuntu_Logo.png

Si tu veux une distribution à base de Debian et bien je te conseille de prendre une Xubuntu.

 

Pourquoi une Xubuntu et non pas une Kubuntu ou Ubuntu tout simplement ?

Pour une raison simple Xubuntu a une interface légère appellée XFCE d'où Xubuntu :)

 

ça devrait fonctionner sans aucun soucis.

Quand au Bootloader, je prèfere Grub au lieu de Lilo (Grub est inclus dans Xubuntu)

 

Xubuntu.org

 

Miroir Free.fr pour télécharger Xubuntu

Plus d'infos ici aussi

 

Quant à la documentation c'est presque la même que sur http://www.ubuntu-fr.org

 

Enjoy :)

Modifié par ButterflyOfFire
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il y'a une version que peu de gens connaissent! cherche sur le net:

Damn small linux (environ 50Mo)

 

merci pour l'information

 

Damn Small Linux, couramment abrégé sous le sigle DSL, est une distribution GNU/Linux basée sur la Knoppix, elle-même basée sur le système de paquets du système Debian GNU/Linux. Elle fonctionne en autonome depuis un live CD, est installable sur disque dur, ou peut fonctionner sous un système Windows comme sous VMware. DSL est considérée comme un miniLinux et peut être installée sur des machines très anciennes, comme des 486 (un syslinux est même fourni pour les machines trop ancienne pour isolinux).

 

Sa différence fondamentale avec la Knoppix est sa taille : alors que la Knoppix prend l'intégralité d'un CD-ROM (700 Mo), Damn Small Linux fait moins de 50 Mo, et peut donc tenir sur un CD format « carte de crédit », ou une clé USB. Cette taille réduite va de pair avec l'emploi de logiciels peu gourmands en taille et en puissance de calcul.

Aussi, Damn Small Linux est adaptée à des PC anciens (Pentium 1 ou 486). La configuration minimale recommandée consiste en un PC 486 avec 16 Mo de RAM.

source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Damn_Small_Linux1

 

Damn Small Linux, Download the ISO (http://damnsmalllinux.org/download.html)

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Merci pour ces infos. J'ai aussi rencontré ToutouLinux très léger et je l'ai utilisé sous windows via le programme QPU710.exe (emulateur).

 

J'ai quelques questions à poser et des mots clès suffiront:

 

1-Linux fonctionne au système de package au lieu des exécutables (windows)?

2-Quelles difficultés peut rencontrer un utilisateur windows converti à Linux?

3-L'utilisation de Linux sans l'installer ne risque pas de limiter les fonctions?

 

Merci encore

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Salam,

L'avantage avec linux par rapport à Windows est le fait de ne pas être limité qu'à un simple exécutable, en plus sous Windows, pour installer un logiciel, il faut le chercher sur le net , le télécharger et l'installer ensuite il y a sa mise à jour qu' il faut veiller à l'installer, chose qu'est complètement différente de Linux, où il y a une sorte de dépôt où l'on peut récupérer la liste de la majorité des logiciels disponibles,ainsi que leur Mise à jour , perso j'utilise la debian avec son système de gestion de package qu'est vraiment impeccable .Quant aux difficultés rencontrées lors de la conversion Windows linux c'est surtout le fait de s'adapter avec tous ses nouveaux concepts, avec le nouveaux système de fichier, où il n'y a qu'une seule racine et plusieurs dossiers et sous dossiers, et aussi l'installation de quelques périphériques.

Pour ta troisième question, j'ai essayé ubuntu avec le Live CD , franchement je crois que tout y est sauf qu'une petite lenteur au niveau de sa manipulation et ceci est du au fait de l'exécuter directement à partir d'un cd, en tant qu’application sur le Windows . bon courage.

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    • Je vais essayer sur mon pc et je te tiens au courant 
    • Merci @wosiris sur smartphone ça fonctionne aussi chez moi mais pas sur pc avec Firefox et Opera
    • Très mauvaise nouvelle les amis… Des chercheurs polonais viennent de péter la sécurité des eSIM et ça fait froid dans le dos puisqu’on parle de 2 milliards de puces compromises qui permettent de cloner votre carte SIM à distance. L’équipe de Security Explorations, un labo de recherche en sécurité basé en Pologne, vient en effet de publier leurs trouvailles et c’est pas joli joli puisqu’ils ont réussi à exploiter une vulnérabilité dans les puces eSIM de Kigen, un des plus gros fournisseurs du marché.   https://korben.info/esim-vulnerabilite-clonage-kigen-security-explorations/demo1.mp4   Ce qu’ils ont réussi à faire c’est à cloner complètement un profil eSIM d’Orange Pologne. Résultat, tous les appels et les SMS arrivaient sur leur téléphone pirate au lieu du téléphone légitime. Imaginez maintenant 2 secondes si ça vous arrive avec votre code de validation bancaire ou votre double authentification… Ce serait la grosse mierda, donc pensez toujours bien à passer par une app de double authentification plutôt qu’un SMS. Mais comment ils ont fait ? Alors accrochez-vous car c’est technique mais je vais essayer de vulgariser au max. Le problème vient d’une “confusion de type” dans l’implémentation Java Card d’Oracle. En gros, la machine virtuelle Java Card ne vérifie pas correctement le bytecode et ça permet d’exécuter du code malveillant. C’est un peu comme si un policier vérifiait juste que vous avez bien le permis, sans regarder si c’est vraiment la vôtre. https://korben.info/esim-vulnerabilite-clonage-kigen-security-explorations/demo2.mp4   D’ailleurs, c’est assez ironique parce qu’Oracle avait déjà été prévenu de ce type de vulnérabilité en 2019. À l’époque, ils avaient répondu que c’était juste des “préoccupations de sécurité” qui n’affectaient pas leur produit en production. Bah visiblement, si. Pour exploiter la faille, il faut d’abord un accès physique temporaire au téléphone cible. L’attaquant extrait alors une clé cryptographique qui lui permet ensuite d’installer une application Java Card malveillante. Et là, c’est open bar : extraction des profils eSIM, des clés d’authentification OPc, du champ AMF… Bref, tout ce qu’il faut pour cloner parfaitement la carte SIM. Mais le pire dans tout ça, c’est qu’une fois cette clé en poche, l’attaquant peut théoriquement faire ses manipulations à distance via le protocole SMS-PP OTA (Over-The-Air). En clair, plus besoin d’avoir le téléphone entre les mains, un simple SMS suffit. Les chercheurs ont même poussé le vice jusqu’à installer des backdoors indétectables sur les puces eSIM. Genre vraiment indétectables, même pour les opérateurs. Et cerise sur le gâteau, ils peuvent aussi “bricker” (rendre inutilisable) l’eSIM à distance si l’envie leur prend. Alors évidemment, Kigen n’est pas resté les bras croisés. Ils ont versé une récompense de 30 000 dollars aux chercheurs (ce qui est plutôt classe) et ont distribué des patches à “des millions” d’eSIM, mais bon, vu qu’on parle de 2 milliards de puces potentiellement affectées, y’a encore du boulot. La GSMA (l’association qui regroupe les opérateurs mobiles) a aussi réagi en mettant à jour les spécifications de sécurité et en fermant tous les profils de test utilisés par les chercheurs pour leurs expériences. Ce qui est vraiment inquiétant, c’est que cette vulnérabilité affecte des puces certifiées EAL4+… Pour ceux qui ne connaissent pas, c’est censé être un niveau de sécurité béton, utilisé pour des trucs critiques, c’est à dire des puces Infineon SLC37 basées sur des processeurs ARM SecurCore SC300 32 bits. Du matos sérieux quoi. Et le pire, c’est que les chercheurs pensent que d’autres fabricants d’eSIM pourraient être vulnérables aux mêmes attaques. Ils se sont concentrés sur Kigen parce qu’il fallait bien commencer quelque part, mais vu que beaucoup utilisent la technologie Java Card d’Oracle… D’ailleurs, petite anecdote marrante (enfin, si on peut dire) : Kigen a évalué la vulnérabilité avec un score CVSS de 6.7 (moyen), alors que les chercheurs estiment qu’elle mérite un 9.1 (critique). C’est un peu comme dire qu’avoir une fuite de gaz dans votre maison, c’est “moyennement dangereux”. Pour les plus techniques d’entre vous, voici ce que les attaquants peuvent récupérer une fois l’eSIM compromise : Les profils eSIM complets de n’importe quel opérateur (AT&T, Vodafone, O2, Orange, China Mobile, T-Mobile…) Les clés secrètes OPc utilisées pour l’authentification réseau Le champ AMF (Authentication Management Field) Les certificats d’identité eUICC Et bien sûr, la possibilité de rediriger tous les appels et SMS Bon, avant que vous ne paniquiez complètement, quelques nuances s’imposent tout de même. D’abord, l’attaque nécessite quand même un accès physique initial au téléphone. C’est pas comme si n’importe qui pouvait cloner votre eSIM depuis son canapé (enfin, pas encore…). Ensuite, Kigen a déjà commencé à distribuer des correctifs donc si votre téléphone fait ses mises à jour régulièrement, vous devriez être protégé (en théorie) et puis normalement,la GSMA a pris des mesures pour éviter que ça se reproduise. Mais quand même, ça fait réfléchir car on nous vend l’eSIM comme LA solution d’avenir, plus sécurisée, plus pratique… et au final, ça se casse comme une vulgaire coquille de noix. D’ailleurs, si vous voulez creuser le sujet, Security Explorations a publié tous les détails techniques sur leur site. Et en attendant, qu’est-ce qu’on peut faire pour se protéger ? Bah pas grand-chose malheureusement. Garder son téléphone à jour, éviter de le prêter à des inconnus (surtout s’ils ont l’air de s’y connaître en Java Card), et croiser les doigts pour que votre opérateur ait appliqué les patches. Ah et petit conseil : si vous utilisez la double authentification par SMS pour des trucs sensibles (banque, crypto, etc.), c’est peut-être le moment de passer à une app d’authentification ou une clé physique. Parce que bon, si quelqu’un peut cloner votre SIM et recevoir vos SMS… Je vous conseille 2FAS comme app. Cette histoire nous rappelle une fois de plus que la sécurité absolue n’existe pas et que même sur les systèmes les plus certifiés, les plus vérifiés, il peut y avoir des failles et que souvent, ces failles viennent de trucs basiques qu’on a oublié de vérifier comme ici, une simple vérification de bytecode qui aurait pu éviter tout ça. En tout cas, chapeau à Security Explorations pour leur boulot c’est impressionnant ! Et n’oubliez pas, comme dit l’adade : “y’a pas de système sécurisé, il n’y a que des systèmes pas encore hackés”.   Source
    • J'essaye de faire des réclamations mais ils ne comprennent pas le problème, kifeh derto mon frr bah ils ont réglés le problème mdr
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