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Ministère des Transports : Le Permis à Points en Vigueur à Partir de Février 2013 !!


Hicham

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IL SERA LANCÉ EN FÉVRIER

 

Tout ce que vous devez savoir sur le permis à points

 

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Le permis à points rentrera en vigueur à compter de février prochain, a-t-on annoncé, hier au ministère des Transports, à l’occasion de la présentation des dispositifs relatifs, aux nouveaux documents de conduite des véhicules. La présentation a eu lieu en présence de toutes les parties concernées, dont le premier responsable du département des Transports, Amar Tou.

 

Abder Bettache - Alger (Le Soir) - Selon des documents remis à la presse, le permis à points est défini comme un «outil modulaire et pédagogique visant à responsabiliser les conducteurs et à renforcer la lutte contre l’insécurité routière». Selon les mêmes documents, le permis à point est affecté d’un capital total de 24 points et «le suivi des infractions et du solde du capital de points de chaque détenteur du permis à points est assuré par les commissions de suspension des permis de conduire territorialement compétentes ». Lors de cette rencontre, il a été expliqué les modalités de délivrance du permis à points et autres procédures de retrait des points. Ainsi, dans le premier cas, il est indiqué que «le permis à points délivré par les différents services chargés de la réglementation » est délivré «systématiquement » lors «de la délivrance du permis de conduire probatoire, de la délivrance du permis de conduire (nouveau spécimen) au terme de la période de validité du permis probatoire, du renouvellement du permis de conduire (ancien spécimen) au terme de sa durée de validité, de la délivrance d’un duplicata de permis de conduire et de la conversion d’un brevet militaire de conduite et /ou d’un permis étranger de plus de deux ans».

Les retraits de points sont cumulés

Dans le second cas, soit les procédures de retrait des points, les rédacteurs de ce projet indiquent que «le retrait de points constitue une mesure administrative automatique et cumulative qui intervient en complément à l’amende forfaitaire ou à la suspension du permis de conduire». Mieux encore, il est prévu qu’«en cas de constatation par les agents habilités des infractions, donnant lieu à la suspension du permis de conduire, le permis à points est également retiré et transmis aux commissions et juridictions compétentes». «Lorsque les commissions de suspension des permis de conduire et les juridictions compétentes prononcent la suspension ou le retrait du permis de conduire pour les contraventions et les délits prévus par la loi 01- 14 du 19 août 2001, modifiée et complétée susvisée, il est procédé en conséquence par les commissions concernées dès réception selon le cas des procès-verbaux de contraventions ou des décisions de justice, au retrait des points correspondants, conformément aux dispositions du décret exécutif n°046-381 du 28 novembre 2004, modifié et complété, fixant les règles de la circulation routière», lit-on dans lesdits documents. «Le retrait du nombre de points affecte le permis de conduire dans son ensemble, et ce, quel que soit le véhicule utilisé au moment où le conducteur commet l’infraction. Dans le cas où plusieurs infractions sont commises simultanément et constatées qu’il s’agisse de contraventions ou de délits, les retraits de points sont cumulés.»

Deux formations pour récupérer la moitié des points

Les dispositions régissant la gestion du permis à points évoque dans le quatrième chapitre, les modalités portant reconstitution du nombre de points. En d’autres termes, il est indiqué que le «détenteur du permis à points peut obtenir la reconstitution de la moitié de son capital points, s’il se soumet à ses frais à une formation spécifique devant comprendre obligatoirement un programme de sensibilisation aux causes et aux conséquences des accidents de la route, au terme de laquelle, il lui est délivré une attestation de formation». «Le détenteur du permis à points a droit à deux formations par an, lui permettant de récupérer la moitié de son capital points. Cette formation est dispensée par les centres de formation professionnelle habilités par le ministère des Transports. Les commissions de suspension des permis de conduire, compétentes, en charge du suivi du capital points procèdent à la reconstitution du nombre de points dès remise par le titulaire de l’attestation de formation susvisée et transmettent le nouveau solde au fichier des infractions de la wilaya, au fichier des infractions de la circonscription administrative ou de la daïra et au fichier national des infractions aux règles de la circulation routière », ajoute-t-on. Lors de cette même rencontre, les responsables du ministère des Transports ont porté à l’assistance les caractéristiques du document à permis à points. Ce dernier composé de vingt-quatre feuilles en deux volets et de couleur verte. En guise d’avertissement, il est porté sur la première page que le «permis à points est un outil modulaire et pédagogique visant à responsabiliser les conducteurs et à renforcer la lutte contre l’insécurité routière».


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    • Deja en 2005 ! il y a VINGT ANS   le décret exécutif 05-442 du 14 novembre 2005 (JO n° 75 du 20 novembre 2005) pris en application de l'article 6 de la « grande » loi 05-01 du 6 février 2005 (JO n° 11 du 9 février 2005) relative à la « prévention et à la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme ».exige que tout paiement d'une dépense quelconque, dont le montant excédera cinquante mille dinars algériens (50 000 DA) ne pourra plus s'effectuer en espèces. Et dès lors que ce seuil sera atteint, le règlement devra impérativement intervenir par chèque, virement, carte de paiement, prélèvement, lettre de change, billet à ordre ou tout autre mode de paiement scriptural.  
    • Djezzy franchit une nouvelle étape dans sa transformation digitale en annonçant le lancement officiel de son service DJEZZY Cloud.   Djezzy a lancé sa solution Cloud, ici   Djezzy Cloud  une infrastructure sécurisée, performante et évolutive, conçue pour répondre aux besoins des entreprises algériennes en matière de digitalisation. Offrant des ressources informatiques flexibles et adaptées, ce service ambitionne de renforcer la compétitivité des entreprises en leur garantissant une connectivité fiable et une gestion optimisée de leurs données.   Les produits de djezzy cloud integrent le Service de Compute élastique , Adresses IP élastiques , Service de stockage d’objets, Service de détection des menaces et la Cloud Surveillance .     Dans le cadre de sa stratégie numérique, Djezzy a également aménagé un espace technologique dédié à l’innovation et à la collaboration dans son nouveau bâtiment à Dar El Beida. Cet espace permet aux entreprises et partenaires de découvrir les dernières avancées en matière de digitalisation et de connectivité, développées par les équipes techniques de l’opérateur.   D'appres nos sources, le cloud de djezzy est basé sur le plateforme du geant chinois iSOFTSTONE qu on peut voire en test ici   DJEZZY CLOUD .  🙂      wasssalam      
    • les stokage se fera toutalemet dans le cloud local de l operateur lui meme   par exemple pour DJEZZY :        la :  Djezzy Cloud            
    • (Agence Ecofin) - La 5G continue de s’étendre en Afrique. Selon l’Association mondiale des opérateurs de téléphonie (GSMA), elle devrait représenter 17% des connexions sur le continent à l’horizon 2030. L’Algérie compte se mettre à niveau dès cette année. L’Autorité de régulation de la poste et des communications électroniques (ARPCE) d’Algérie a lancé le jeudi 29 mai un appel d’offres pour attribuer des licences d’exploitation de l’Internet de 5e génération (5G). Selon les termes de son communiqué, trois licences seront accordées aux opérateurs déjà détenteurs d’une autorisation pour les réseaux mobiles, à savoir Mobilis, Djezzy et Ooredoo. L’objectif est d’amorcer le déploiement commercial de la 5G dans le pays tout en garantissant une mise en concurrence équitable entre les acteurs en place. L’ARPCE compte encadrer le lancement de cette technologie pour éviter les déséquilibres de marché, assurer la qualité de service et répondre à la demande croissante en connectivité à haut débit. « Les opérateurs intéressés doivent retirer le dossier d'appel d'offres auprès du siège de l'Autorité de régulation des postes et télécommunications, moyennant le paiement d'un montant de 1 million de dinars algériens [environ 7500 USD, Ndlr], par virement sur le compte de l'Autorité de régulation des postes et des télécommunications » indique le régulateur. Cette annonce fait suite à la déclaration en avril dernier du ministre de la Poste et des Télécommunications, Sid Ali Zerrouki, qui indiquait à la radio que les préparatifs techniques sont en cours pour permettre l’introduction de la 5G au second semestre 2025. Dans la foulée, Mobilis, le leader du marché algérien de la téléphonie mobile avec 43,70% de parts devant Djezzy (30,86%) et Ooredoo (25,44%), a annoncé avoir effectué des tests de la 5G à son siège à Alger. À terme, la 5G devrait permettre l’émergence de nouveaux services dans des secteurs comme la santé, l’industrie, la logistique ou encore l’éducation. Elle est également appelée à jouer un rôle structurant dans la transition numérique de l’économie algérienne. Les résultats du processus sont attendus dans les prochaines semaines. Ils permettront de connaître les conditions d’entrée de cette technologie sur le marché national, ainsi que les engagements des opérateurs en matière de couverture, d’investissements et de qualité de service.
    • un agrement et de la paperasse encore et encore....pour passer au numerique...biensur
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