Aller au contenu
Règlement du forum ×
IPTV et arnaques ×

[Burkina Faso - Algérie | Le Retour] Le Burkina Faso jouera sans Supporters à Blida !


Hicham

Messages recommandés

Le Burkina Faso sans supporters à Blida

shsm.jpg

Par mesure de sécurité, la fédération de football du Burkina Faso préfère ne pas envoyer de supporters en Algérie.

Ils devaient être près de 1.500. Finalement, aucun fan de l’équipe nationale de football du Burkina Faso ne fera le déplacement en Algérie pour supporter les Étalons, qui affronteront les Fennecs le 19 novembre prochain sur la pelouse du stade de Blida lors du match retour comptant pour la qualification au Mondial 2014 au Brésil. Les hommes de Paul Put seront donc seuls pour arracher leur première qualification en phase finale de la Coupe du monde.

 

“C’est après mûre réflexion avec le ministre des Sports et des Loisirs que la décision a été prise. Nous avons joué dans les mêmes conditions à la Pointe Noire et nous avons gagné. Nous sommes convaincus de ramener la qualification, donc nous ne voulons pas exposer les supporters”, a expliqué le président de la fédération burkinabé, Sita Sangaré, lors d’un point presse vendredi 25 octobre.

 

La Fédération du Burkina Faso veut éviter à leurs supporters de vivre un scénario identique au match barrage opposant l’Algérie à l’Egypte, pour la qualification au Mondial 2010. Durant la rencontre et surtout après le match, les supporters des deux équipes s’étaient violemment affrontés.

 

De leur côté, les Algériens se préparent avec impatience pour l’évènement footballistique le plus important de l’année à leurs yeux. On sait déjà que les aficionados algériens vont se déplacer en masse à Blida pour encourager les Verts.

 

La décision de la Fédération du Burkina Faso aura-t-elle un impact sur le moral de ses joueurs ? Le onze burkinabé sera-t-il déstabilisé ? Verdict le 19 novembre prochain.


Source

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

  • Messages

    • Djezzy franchit une nouvelle étape dans sa transformation digitale en annonçant le lancement officiel de son service DJEZZY Cloud.   Djezzy a lancé sa solution Cloud, ici   Djezzy Cloud  une infrastructure sécurisée, performante et évolutive, conçue pour répondre aux besoins des entreprises algériennes en matière de digitalisation. Offrant des ressources informatiques flexibles et adaptées, ce service ambitionne de renforcer la compétitivité des entreprises en leur garantissant une connectivité fiable et une gestion optimisée de leurs données.   Les produits de djezzy cloud integrent le Service de Compute élastique , Adresses IP élastiques , Service de stockage d’objets, Service de détection des menaces et la Cloud Surveillance .     Dans le cadre de sa stratégie numérique, Djezzy a également aménagé un espace technologique dédié à l’innovation et à la collaboration dans son nouveau bâtiment à Dar El Beida. Cet espace permet aux entreprises et partenaires de découvrir les dernières avancées en matière de digitalisation et de connectivité, développées par les équipes techniques de l’opérateur.   D'appres nos sources, le cloud de djezzy est basé sur le plateforme du geant chinois iSOFTSTONE qu on peut voire en test ici   DJEZZY CLOUD .  🙂      wasssalam      
    • les stokage se fera toutalemet dans le cloud local de l operateur lui meme   par exemple pour DJEZZY :        la :  Djezzy Cloud            
    • (Agence Ecofin) - La 5G continue de s’étendre en Afrique. Selon l’Association mondiale des opérateurs de téléphonie (GSMA), elle devrait représenter 17% des connexions sur le continent à l’horizon 2030. L’Algérie compte se mettre à niveau dès cette année. L’Autorité de régulation de la poste et des communications électroniques (ARPCE) d’Algérie a lancé le jeudi 29 mai un appel d’offres pour attribuer des licences d’exploitation de l’Internet de 5e génération (5G). Selon les termes de son communiqué, trois licences seront accordées aux opérateurs déjà détenteurs d’une autorisation pour les réseaux mobiles, à savoir Mobilis, Djezzy et Ooredoo. L’objectif est d’amorcer le déploiement commercial de la 5G dans le pays tout en garantissant une mise en concurrence équitable entre les acteurs en place. L’ARPCE compte encadrer le lancement de cette technologie pour éviter les déséquilibres de marché, assurer la qualité de service et répondre à la demande croissante en connectivité à haut débit. « Les opérateurs intéressés doivent retirer le dossier d'appel d'offres auprès du siège de l'Autorité de régulation des postes et télécommunications, moyennant le paiement d'un montant de 1 million de dinars algériens [environ 7500 USD, Ndlr], par virement sur le compte de l'Autorité de régulation des postes et des télécommunications » indique le régulateur. Cette annonce fait suite à la déclaration en avril dernier du ministre de la Poste et des Télécommunications, Sid Ali Zerrouki, qui indiquait à la radio que les préparatifs techniques sont en cours pour permettre l’introduction de la 5G au second semestre 2025. Dans la foulée, Mobilis, le leader du marché algérien de la téléphonie mobile avec 43,70% de parts devant Djezzy (30,86%) et Ooredoo (25,44%), a annoncé avoir effectué des tests de la 5G à son siège à Alger. À terme, la 5G devrait permettre l’émergence de nouveaux services dans des secteurs comme la santé, l’industrie, la logistique ou encore l’éducation. Elle est également appelée à jouer un rôle structurant dans la transition numérique de l’économie algérienne. Les résultats du processus sont attendus dans les prochaines semaines. Ils permettront de connaître les conditions d’entrée de cette technologie sur le marché national, ainsi que les engagements des opérateurs en matière de couverture, d’investissements et de qualité de service.
    • un agrement et de la paperasse encore et encore....pour passer au numerique...biensur
    • Paiement en espèces : la Banque d’Algérie serre encore la vis. https://www.tsa-algerie.com/paiement-en-especes-la-banque-dalgerie-serre-encore-la-vis/ " L’Algérie accélère la mise en œuvre de sa stratégie numérique, visant notamment à réduire l’utilisation des espèces dans les transactions commerciales quotidiennes et à favoriser l’utilisation des modes de paiement électronique.   Dans le cadre de la modernisation du système bancaire et financier, les Algériens pourront bientôt recourir facilement aux paiements électroniques dans leurs usages quotidiens.     Après la promulgation du règlement fixant les conditions de création et d’agrément des prestataires de services de paiement (PSP), publié au Journal officiel N° 28, la Banque d’Algérie (BA) revient avec une instruction fixant les conditions d’exercice de ces nouveaux acteurs. Les PSP, un moyen efficace pour réduire le cash et favoriser le paiement électronique L’instruction n° 03-25 du 27 mai 2025, publiée par le régulateur, comprend en effet l’ensemble des conditions requises pour exercer l’activité de prestataires de services de paiement, qui vont jouer un rôle stratégique dans l’inclusion financière et la digitalisation des services bancaires. Le document a pour objet « de déterminer les éléments d’informations ainsi que les documents constitutifs du dossier joint à l’appui de la demande d’autorisation de constitution ou d’agrément des prestataires de services de paiement (PSP) », peut-on lire dans l’instruction. Pour obtenir l’agrément, le PSP doit notamment présenter « l’indication des services de paiement envisagés et leur éventuel impact sur la réduction de l’utilisation des espèces et le renforcement de l’inclusion financière ». L’objectif est donc clair. Il intervient dans le cadre de l’ambition de l’Algérie de réduire l’utilisation du cash dans les transactions financières quotidiennes des citoyens et des entreprises et de favoriser le recours aux moyens de paiement électroniques. Pour la concrétisation de cet objectif, les prestataires de services de paiement sont considérés comme un moyen efficace. L’instruction de la Banque d’Algérie est bien plus qu’un simple cadre réglementaire.   Il s’agit plutôt d’une initiative majeure visant à encadrer l’activité de ces prestataires, tout en renforçant la sécurité et la transparence des transactions financières. Le règlement encadrant les PSP devra aussi instaurer plus de confiance parmi les utilisateurs des services de paiement électronique. L’Algérie accélère les procédures pour sortir de la liste grise du GAFI À ce propos, selon le document publié par la Banque d’Algérie, les PSP doivent, par exemple, définir leurs obligations « relatives à la prévention et à la lutte contre le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme et le financement de la prolifération des armes de destruction massive ». L’Algérie multiplie ainsi les mesures lui permettant de quitter « la liste grise » du Gafi, dans laquelle elle a été classée en octobre dernier. La création des prestataires de services de paiement est en réalité l’une des multiples mesures annoncées ou mises en œuvre dans le cadre de la lutte contre le blanchiment d’argent et de la dualité de change dans le pays. Les deux premiers secteurs ciblés par l’ensemble de ces mesures sont ceux de l’immobilier et de l’automobile, véritables réceptacles de l’argent issu des activités illégales et informelles. La Loi de finances pour 2025 interdit l’utilisation du paiement en espèces et impose le chèque ou le virement pour quatre types de transactions, dont justement l’immobilier et l’automobile. Le transfert de fonds depuis l’étranger, pour l’acquisition d’un bien immobilier par exemple, doit obligatoirement passer par le circuit bancaire, un autre coup dur pour le marché parallèle de la devise, dont le taux de change élevé est l’une des raisons du classement de l’Algérie dans la liste grise du GAFI."    
×
×
  • Créer...