Invité salimdz Posté(e) le 3 octobre 2008 Share Posté(e) le 3 octobre 2008 Elkhabar 05 Octobre 1988…Souvenirs, souvenirs ! Revenons au début du mois d’Octobre dix neuf cent quatre vingt huit, rappelons nous de ce qui s’est passé et remettons les choses dans leur contexte réel, local et international ! L’explosion en Algérie s’inscrit dans une logique de changements universels ayant touché les régimes socialistes incapables jusque là de se renouveler à l’instar de ce qui s’est passé en Chine ou au Vietnam…le résultat est que nous traînons jusqu’à ce jour les séquelles de l’échec de cette politique. Aujourd’hui tous les responsables déclarent qu’ils n’agissent que sur instructions du Président de la République cela signifie donc que si le Président n’avait pas ordonné à son ministre de l’Intérieur de se déplacer à Ghardaïa ce dernier ne l’aurait certainement pas fait, pareil pour le couffin de M. Djamel Ould Abbès…le comportement de nos ministres relève plus de celui de secrétaires généraux…cela nous amène à un constat édifiant l’Algérie n’a pas besoin de ministres ! En dépit de la qualification officielle des évènements du 5 octobre dix neuf cent quatre vingt huit de « gamineries », ils ont permis d’éloigner deux figures emblématiques du Pouvoir, en l’occurrence Mohamed Cherif Messaadia et Larbi Belkheir, qui sont revenus avec le Président Bouteflika à la fin des années 1999, cela signifie donc que le Pouvoir ne peut pas et ne veut pas penser au changement…donc évènements ou pas 20 ans après le 05 octobre 1988 rien n’a changé. Nous sommes toujours dans le flou total ! source : http://www.elkhabar.com/quotidienFrEn/?ida=125601&idc=144 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
chahbandar Posté(e) le 4 octobre 2008 Share Posté(e) le 4 octobre 2008 Tout à fait d'accord, le changement ne vient pas du jour au lendemain et ici on a u le droit à un changement brusque et canalisé pour aboutir à un désastre, pour finalement avoir peur de tout changement (c'est connu comme technique au tiers monde pour tuer son peuple). Mais si on veux, on peux. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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