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  1. A peine arrivée, l'application Google Duo déjà inaccessible au Maroc L'application de messagerie Google Duo, accessible depuis la mi-août au Maroc, a été finalement bloquée, comme c'est déjà le cas pour d'autres applications du même genre dans le pays, a-t-on constaté. L'application grand public pour smartphones Google duo permet de passer des appels gratuits via internet, avec notamment un mode "incognito" à sécurité renforcée et un mode vidéoconférence. Après presque un mois de libre accès, l'application n'était finalement plus opérationnelle ces derniers jours au Maroc, a révélé mardi le site d'information en ligne TelQuel. Le service de presse de l'Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT, qui réglemente ce secteur au Maroc, et les trois opérateurs mobiles qui y opèrent) n'était pas joignable mercredi pour commenter l'information. Les appels gratuits sur Skype, Facebook et WhatsApp sont interdits depuis janvier au Maroc, avec une grande partie de leurs fonctionnalités limitées. Sur WhatsApp, il est ainsi possible d'envoyer des messages, avec photos et vidéos, mais impossible de se parler. Cette situation est la conséquence d'une décision de l'ANRT en janvier 2016 d'interdire la VoIP, nom du protocole qui permet de transporter la voix sur internet, selon TelQuel. Les internautes marocains doivent donc utiliser un VPN (Réseau privé virtuel) pour contourner ces blocages. Plusieurs d'entre eux protestaient avec véhémence cette semaine sur les réseaux sociaux contre ce nouveau blocage. Source
  2. Wikipédia ferme ses portes en Russie pour dénoncer une loi La version russe de Wikipédia s'invite dans les débats législatifs à la Douma. Pour protester contre une proposition de loi actuellement examinée par les parlementaires, elle a fermé ses portes toute la journée de mardi. Selon les contributeurs de la Wikipédia russophone, le texte risque d'aboutir à une censure extrajudiciaire encore plus prononcée qu'auparavant. L'acte est symbolique et vise surtout à marquer les esprits. Les contributeurs de la version russe de Wikipédia ont décidé ce mardi de fermer temporairement l'accès à l'encyclopédie libre et gratuite afin de dénoncer les effets potentiels d'une proposition de loi actuellement examinée à la Douma, la chambre basse du parlement russe. En lieu et place du site, un logo barré de noir et un court message. "Représentez-vous un monde sans connaissances libres", met en garde le message écrit en cyrillique. Selon les opposants au texte, la proposition de loi et les amendements discutés par les parlementaires pourraient aboutir à une censure extrajudiciaire de l'information sur Internet. Des sites web se retrouveraient dans une liste noire sur laquelle les FAI se baseraient pour filtrer les contenus. Reporters Sans Frontières a d'ailleurs consacré un article à ce texte de loi. "L'Etat tente d’accroître son contrôle du Web sur le plan légal, au nom de la lutte contre l’extrémisme ou la protection des mineurs. Le 7 juin 2012 a été présenté à la commission parlementaire sur la famille, les femmes et les enfants de la Douma, un texte comprenant [...] la création d’un registre unique de domaines et de sites Internet qui contiennent des informations interdites de diffusion en Russie". "Ce registre serait créé et géré par une agence fédérale nommée par le gouvernement. [...] Selon la version actuelle du texte, les contenus interdits considérés comme particulièrement nocifs, notamment pour les enfants, comme la pornographie, la promotion du suicide, d’idées extrémistes ou de l’usage de drogue pourront être mis immédiatement sur liste “noire”. Les autres devront d’abord faire l’objet d’une décision de justice". Or, les détracteurs du texte craignent une dérive de l'autoritaire. La notion "d'idée extrémiste" est floue et, surtout, subjective. Tout est question d'interprétation et il serait relativement aisé d'étendre la liste des contenus interdits à des formes d'expression légitimes, en particulier celles critiquant le pouvoir en place. C'est, en fin de compte, mettre un doigt dans un terrible engrenage juridique. Pour illustrer cette tentation de contrôler ce qui se dit en ligne, RSF cite le cas du site d'information ruelect.com qui a été bloqué en décembre lors des importantes manifestations accusant le pouvoir d'avoir fraudé lors des dernières élections législatives. Si les sites d'information peuvent ainsi être visés, les réseaux sociaux tels Twitter ou Facebook sont également des cibles potentielles. La Russie est l'un des rares pays à faire partie du club très fermé des nations sous surveillance, c'est-à-dire des États dont les récentes évolutions législatives sont considérées comme nuisibles à l'exercice des droits fondamentaux sur les réseaux de télécommunications. D'ordinaire, ce sont des pays totalitaires ou autoritaires qui sont brocardés par RSF. Mais on trouve aussi l'Australie, la Corée du Sud et la France. Ce n'est pas la première fois que Wikipédia se mobilise contre un texte de loi jugé néfaste par ses contributeurs. L'an dernier, un black-out avait été organisé pour la version italienne italienne du site pour protester contre une loi imposant aux sites de publier sous 48 heures une correction de n'importe quel contenu sur demande d'un plaignant.. Plus récemment, la version américaine du site avait fermé ses portes lors des débats sur PIPA et SOPA. La Wikipédia russophone compte plus de 870 000 articles. Elle se trouve en huitième position dans le classement des Wikipédias par nombre d’articles, derrière l'anglais, l'allemand, le français, le néerlandais, l'italien, le polonais et l'espagnol. Source
  3. Le géant de l'Internet, Google, a annoncé, lundi 31 janvier, qu'il a lancé un nouveau service pour permettre aux Egyptiens d'envoyer des messages sur le réseau social Twitter sans avoir à recourir à une connection Internet. "Cela marche déjà et tout le monde peut 'tweeter' en laissant simplement un message téléphonique à l'un des numéros internationaux suivants : +1 650 419 4196 ou +39 06 62 20 72 94 ou + 97 316 199 855. Le service mettra instantanément le message (sur Twitter) en utilisant le mot-clé #egypt", ont annoncé des responsables de Google. "Aucune connexion Internet n'est nécessaire. Les gens peuvent écouter les messages en composant les mêmes numéros de téléphone ou en allant (sur le site Internet) twitter.com/speak2tweet", ont-ils ajouté. "Nous espérons que cela contribuera à aider les gens en Egypte à rester connectés dans cette période très difficile. Nous pensons à tout le monde là-bas", concluent Ujjwal Singh, le co-fondateur de la société SayNow, qui vient de se faire racheter par Google, et AbdelKarim Mardini, directeur produits pour le Moyen-Orient et l'Afrique. Cette annonce de Google intervient alors que selon le site américain Renesys, spécialisé dans la surveillance du Web, le dernier fournisseur d'accès à Internet qui fonctionnait encore en Egypte, celui du groupe Noor, a été bloqué lundi. Google, dont la devise est "ne pas faire le mal", est un défenseur affiché de la défense de la liberté d'Internet. Les autorités égyptiennes ont interrompu une très grande partie des services d'accès à Internet depuis le début des manifestations demandant le départ du président Hosni Moubarak. "Comme beaucoup de gens, nous sommes rivés aux informations en provenance d'Egypte et nous avons réfléchi à ce que nous pourrions faire pour aider les gens sur place", peut-on lire dans une note publiée sur le blog officiel de Google et intitulée "Un peu de travail ce week-end qui va (espérons-le) permettre aux Egyptiens de se faire entendre". Source: Le monde.fr
  4. Le mois dernier, Internet était coupé. De même que de grosses perturbations sur le réseau téléphonique connecté à l’international étaient enregistrées. Officiellement, il s’agissait d’un problème technique, mais en réalité, cette coupure aurait servi, selon nos sources, à l’installation de nouveaux centraux, serveurs, routeurs et systèmes de sniffage de paquets intégrant des recherches par mots-clés, destinés à intercepter les flux de données et écouter la population sur les réseaux internet et de téléphonie. Le 1er juillet de l’année dernière, après un bref débat de deux heures à l’APN, la loi sur la cybercriminalité était votée : « Ce n’est pas un choix pour l’Algérie, mais une obligation », avait alors déclaré le ministre de la Justice, auquel a mollement protesté un député en soulignant « l’inévitable atteinte à la vie privée », la loi n’ayant pas abordé le volet « contrôle et protection » qui puisse garantir aux Algériens une défense contre d’éventuels dépassements ou agissements de ses agents. Officiellement, pour lutter contre la cyberdélinquance et l’activité terroriste, cette loi et ses machines servent déjà de support à un système de contrôle de tout ce qui se passe sur les réseaux internet ou de téléphonie, et les premières victimes ont commencé à tomber : groupes de militants des droits de l’homme, démocrates, syndicalistes ou activistes de l’opposition sont étroitement surveillés et, le cas échéant, désactivés et éjectés des réseaux où ils se retrouvent condamnés à y errer en clandestins. Comme dans la vraie vie. Qui nous surveille ? Depuis le début de l’année, les autorités ne cessent de mener une campagne de communication autour de cette loi auprès d’une opinion publique « indifférente ». Un portail, un pare-feu, un filtre, une banque de données électroniques, des termes qui reviennent souvent, sans que les Algériens ne comprennent vraiment de quoi il s’agit. La Gendarmerie nationale a été la première institution à avoir installé une cellule pour la lutte contre la cybercriminalité. Ses missions étaient alors de surveiller étroitement les cybercafés, « lieux suspects d’où transitent les terroristes », selon un officier de la gendarmerie. Les officiers en charge de cette structure ont été formés pour la plupart aux Etats-unis, dans le cadre de Runitel. Ce système de contrôle et de surveillance américain utilisé aux Etats-Unis, et que seuls les Canadiens possèdent, consiste à couvrir tout le territoire national, y compris la bande frontalière, de caméras de surveillance, de radars et de relais permettant la transmission des données en temps réel aux commandements fixes et mobiles de la gendarmerie. Puis, chaque organe de sécurité ayant son propre système d’écoute, le DRS aurait décidé de monter une structure commune, le Groupement de contrôle des réseaux (GCR), installé à Dély Ibrahim, Alger. Pendant ce temps, un GIX, passerelle unique qui centralise toutes les données Internet qui entrent ou sortent d’Algérie, aurait été installé. « De là, il suffit de mettre un tuyau et de tout récupérer », explique un spécialiste qui, par ailleurs, tient à souligner l’avantage de cette passerelle gérant le trafic de tous les providers et opérateurs téléphoniques. « Par la fibre optique qui nous vient de France, toute communication en interne était obligée de transiter par eux avant de revenir en Algérie, ce qui permettait aux Français d’écouter tout ce qui se passe ici. Avec ce GIX, les données qui circulent en interne feront une boucle locale sans sortir du pays. » Mais les écoutes, de fait, deviennent beaucoup plus faciles. Chevaux de troie Tout est écouté : les e-mails qui, de toute façon, ne sont pas cryptés (sauf dans le cas du ht***), les chats du genre MSN, où les conversations sont cryptées mais décodées grâce un algorithme dont on dit qu’il a été fourni aux Algériens par les Américains et toutes les plateformes sociales, Twitter ou Facebook, ou même la téléphonie par Internet comme Skype. « Aucun système n’est inviolable », expliquent encore les experts en la matière. En dehors des systèmes d’écoute par sniffage de paquets (les données sont interceptées et triées par mot clé, nom de la personne, mot ou phrase particulière ou encore localisation géographique), pour tracer l’IP de départ et d’arrivée, afin de repérer l’ordinateur qui communique, d’autres méthodes existent. Et pour les cas les plus durs, des hackers recrutés pour les besoins font le reste, comme installer des chevaux de Troie ou des spywares dans les machines. « On peut même, à distance, sourit malicieusement un expert, activer le microphone du PC et écouter ce que vous dites chez vous, dans votre salon, ou tout voir, dans le cas où une webcam est présente ». Le top ? Ecouter un téléphone portable éteint, dans lequel on a intégré un logiciel qui active la transmission audio et la retransmet en direct au centre de contrôle. « Si quelqu’un vous offre un portable, vous n’êtes pas obligés d’accepter », poursuit l’expert. L’opération s’est déroulée en toute discrétion. Des entreprises internationales de grande renommée ainsi que plusieurs cabinets de consulting ont contribué à la mise en place de dispositifs de surveillance électronique au profit des services de sécurité. Piratage gouvernemental ? L’équipement installé serait l’un des plus sophistiqués au monde, doté de logiciels qui puissent « *****er » des mots de passe et des codes de protection, masquer l’IP du surveillant, lire les e-mails et écouter des discussions en ligne en temps réel, le tout sans que l’internaute ne le détecte, même s’il est équipé de logiciels ou pare-feux. « A la base même, explique un spécialiste, les modems chinois délivrés par Algérie Télécom comportent des logiciels espions qui permettent de récupérer les données à partir de chez vous, sans même installer des système d’écoute extérieurs. » Bien sûr, avant l’installation de ce nouveau système, on écoutait aussi les téléphones et officiellement, il faut toujours une autorisation du juge pour espionner les gens, par le téléphone ou l’Internet. « On s’en passe généralement, explique un magistrat, car personne n’osera contester les méthodes des services de sécurité. » D’autant que la nouvelle loi – 04-09 d’août 2009 – est claire à ce sujet. Il s’agit dans le chapitre IV de « limiter l’accessibilité aux distributeurs contenant des informations contraires à l’ordre public ou aux bonnes mœurs », deux domaines très subjectifs. L’article 12 de ce chapitre oblige d’ailleurs les fournisseurs d’accès à Internet à « intervenir sans délai, pour retirer les contenus dont ils autorisent l’accès en cas d’infraction aux lois, les stocker ou les rendre inaccessibles dès qu’ils en ont pris connaissance directement ou indirectement ». On aura noté le « sans délai » et le « indirectement ». Mais surtout l’article 5 du chapitre III est le plus explicite : les officiers de police judiciaire peuvent accéder à un système de stockage informatique « aux fins de perquisition, y compris à distance ». A distance. Ce qui n’est plus de l’écoute au sens classique mais une intervention de type *******, c’est-à-dire du piratage légal à distance, où un agent peut entrer dans votre ordinateur de chez lui, pour y voir et y prendre ce qu’il désire. Ne souriez plus, les services de sécurité sont chez vous. Par Chawki Amari, Zouheir Aït Mouhoub Elwatan.com
  5. bonjour !!! j'ai un compte sur HDfrench, depuis ce matin je reçoit le message "403 Accès refusé Vous n'avez pas le droit de venir ici."même avant introduire le user et le mot de passe . si il y'a quelqu'un qui peut faire le test chez lui . pour voir si le problème vient de l'Eepad ou du HDfrench . Merci !!!
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