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Hicham

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Tout ce qui a été posté par Hicham

  1. pourquoi internet c'est un Marché très fructifiant , regarde les dernières stats d'algérie télécom tu verras !
  2. Hicham

    La Vengeance des Zombies J*ifs

    wlah comment tu fais pour regarder autant de vidéos avec une connexion d'escargot ?? sérieux , moi c'est un miracle si j'arrive à visionner une vidéo sans péter un câble.
  3. si en 2015 j'ai 2 Mbps stable toute la journée , je ferais une Wa3da !
  4. Antivirus : avast! 8.0 disponible AVAST Software propose la version finale de l'antivirus gratuit avast! 8.0 avec des améliorations, une interface à la Windows 8 et deux nouveautés. Les produits de sécurité avast! sont disponibles dans une mouture 8.0 dont la version gratuite de l'antivirus qui est très populaire auprès des utilisateurs de Windows. L'éditeur tchèque revendique une communauté de 177 millions d'utilisateurs. Avast! 8.0 bénéficie d'une nouvelle interface avec un accueil qui rappelle sous certains aspects l'environnement Modern UI du système d'exploitation Windows 8. De grosses vignettes pour le tactile. Pour autant, c'est une application qui tourne sur le bureau. Par rapport à la mouture précédente, celle-ci est annoncée avec des améliorations des performances du moteur antivirus et de stabilité. Notamment, la technologie proactive de recherche des malwares par similarité. Des améliorations également pour la technologie Autosandbox et Sandbox pour permettre une analyse des fichiers suspects dans un environnement isolé du système avant d'autoriser une exécution. Deux nouveautés sont présentes. Software Updater avertit l'utilisateur si des applications installées sont obsolètes - et donc potentiellement vulnérables - et fournit le cas échéant des liens pour une mise à jour. Il peut notamment s'agir de Flash, Java. Nettoyage du Navigateur se retrouve dans les outils de sécurité. Pour Internet Explorer, Google Chrome et Firefox, cette fonctionnalité permet d'aider à la suppression de modules complémentaires et barres d'outils. Des indésirables qualifiés en tant que tels sur la base d'une évaluation des utilisateurs. Lors du processus d'installation, cela n'empêche to^^^^ois pas avast! de proposer par défaut la barre d'outils Google pour Internet Explorer... Avast! 8.0 peut être téléchargé via le site de l'éditeur où l'on trouvera également un tableau comparatif avec les versions payantes qui ajoutent de nombreuses fonctionnalités. Source
  5. Benoît XVI n'est plus pape, il est redevenu "un simple pèlerin" Après huit ans de pontificat, Benoît XVI a cessé d'être pape, jeudi 28 février, à 20 heures, quand a pris effet sa démission, la première d'un chef de l'Eglise catholique depuis sept cents ans. Le pape avait annoncé le 11 février qu'il renoncerait à sa charge, sans cérémonie particulière, le 28 février. Seuls signes visibles de la fin du pontificat, des gardes suisses ont rangé leurs hallebardes puis fermé la grande porte de la résidence papale de Castel Gandolfo, tandis que le drapeau du Vatican flottant au-dessus de la villa était abaissé. Derrière un mur de caméras et d'appareils photo, de nombreux curieux et fidèles qui assistaient à ce moment historique, ont longuement applaudi le pontife aux cris de "Viva il papa". Benoît XVI avait quitté le Vatican vers 17 heures pour gagner en hélicoptère la résidence estivale des papes, à Castel Gandolfo, où il séjournera deux mois, le temps que soit rénové un monastère situé dans l'enceinte du Vatican, et où il se retirera ensuite dans une vie "de prière et réflexion". Il s'éloignera ainsi du brouhaha médiatique lié à l'élection de son successeur par un conclave qui devrait avoir lieu autour du 10 mars. Dans son dernier salut en tant que pape adressé à plusieurs milliers de fidèles catholiques et habitants de ce joli petit village des collines au sud de Rome, le pape a dit qu'il ne serait désormais qu'un "simple pèlerin". Comme prévu, son compte Twitter a été fermé, mais son dernier tweet est encore visible sur la version française : Benoît XVI, âgé de 85 ans, avait stupéfié la planète en annonçant, il y a un peu plus de deux semaines, sa démission, la première depuis le moine ermite Célestin V, qui avait renoncé à sa charge au bout de cinq mois, épuisé physiquement et psychologiquement par les intrigues à Rome. Joseph Ratzinger a expliqué son geste spectaculaire par l'affaiblissement de ses forces et son "âge avancé", le rendant incapable de répondre aux défis d'un monde en rapide changement, alors que l'Eglise catholique est confrontée à diverses crises. Source
  6. La Nano-technologie est le pire ennemie du Business , vous imaginez généraliser cette technologie dans plusieurs domaines , ça va créer le chômage dans le monde , parce qu'une voiture qui ne se salit pas n'est qu'une fine démonstration de l'ampleur de cette technologie !
  7. Réseau sans fil : le 10 Gb/s à l'étude Certes, le record du réseau sans-fil le plus rapide demeure la propriété de la Nasa, avec un débit de 2,5 térabit/s. Mais cette expérience s'est déroulée en laboratoire, et sur une distance de un mètre seulement. Ce qu'ont réalisé l'opérateur japonais NTT DOCOMO, en partenariat avec le Tokyo Institute of Technology a une tout autre valeur pour l'industrie de la téléphonie mobile. Comme nous l'apprend le site phys.org, relayé par generation-nt, NTT DoCoMo est parvenu à transmettre des données à un débit proche des 10 Gb/s, soit 100 fois plus rapidement que sur un LTE actuel. L'expérience s'est déroulée à l'extérieur, entre un véhicule roulant à 9 Km/h et une station fixe. Pour ce test, réalisé en décembre dernier, la bande de fréquence utilisée se situe autour des 11 GHz. Une très haute fréquence qui, par essence, limite sa portée. Pour attendre ces débits impressionnants, NTT DoCoMo a fait appel à la technologie MIMO (Multiple Input Multiple Output) et utilisé 8 antennes en émission et 16 antennes en réception. Si de tels débits seront inaccessibles pour de longues années encore pour le grand public, la promesse est évidemment de taille pour succéder aux réseaux 4G/LTE actuels. Source
  8. moi je veux bien faire une petite balade les filles
  9. MWC 2013 : Orange misera sur les smartphones Tizen de Samsung L'opérateur ajoutera à son catalogue, mi-2013, les smartphones à système d'exploitation Tizen, en cours de développement par Samsung. Orange s'appuiera sur Samsung pour proposer une autre génération de smartphones, face au duopole de fait formé d'Android et d'iOS d'Apple. Son choix s'est porté sur Tizen, système d'exploitation soutenu par Intel, en plus du géant coréen. La nouvelle mouture du système d'exploitation open source, Tizen (édition 2.0) est disponible depuis peu sous forme de code source et de kit de développement. Selon Samsung, qui présentait lors du salon Mobile World Congress, un prototype de smartphone sous Tizen destiné au développeurs, les smartphones dotés de ce système d'exploitation seront commercialisés en Europe en milieu d'année par Orange. Hors de l'Europe, l'opérateur japonais NTT DoCoMo prévoit aussi de mettre des smartphones Tizen à son catalogue, également dans le courant de 2013. En plus des modèles Samsung, Orange étudierait la possibilité de proposer des smartphones fonctionnant sous Tizen, conçus par le constructeur chinois Huawei. Fort du soutien de ses prestigieux parrains, Tizen devra to^^^^ois prouver qu'il apporte une véritable nouvelle expérience à l'utilisateur, l'enjeu du développement rapide d'un catalogue applicatif ad hox n'étant pas le moindre. Source
  10. si tu vois dans les jours à venir la Page "Spotted : des pigeons chez Nedjma !!" alors ça vient de moi
  11. Cette semaine sur le web algérien Cette semaine a vu les Algériens s’enthousiasmer, créer ou encore se fédérer autour de phénomènes ou d’initiatives sur les réseaux sociaux et le web en général. Petit aperçu de ce qui a fait la une ces 7 derniers jours. L’on commence ce récapitulatif par le buzz de la semaine, avec le phénomène du dernier mois, qui aura su supplanter Gangnam Style dans nos cœurs, à savoir le très étrange Harlem Shake. Les premiers à se lancer ici et à y avoir un écho ont été les employés de l’Ambassade des USA à Alger, vidéo qui aura reçu depuis sa mise en ligne le 21 février plus de 47 000 vues sur Youtube, en plus d’être partagée nombre de fois sur Facebook et Twitter. D’autres vidéos de Harlem Shake faites par des Algériens ont suivi et continuent de voir le jour, comme une promesse d’exaspération à venir suite à ce nouveau phénomène. L’initiative de la semaine : Le monde a célébré il y a quelques jours le Open Data day, occasion pour les webmasters et actifs du web algérien de se réunir afin de créer Open Data DZ, un site qui devra recenser l’actualité de l’open data dans le pays, encourager les institutions à mettre leurs données à la portée de tous sans oublier de vulgariser l’initiative en collaborant entre autres avec les pays voisins, comme cela a été le cas il y a quelques semaines en Tunisie où nos représentants ont été les jurys d’une compétition autour de l’open data. En attendant le lancement du site, voici l’identité choisie pour ce dernier : Les nouvelles présences sociales : Le Salon de l’auto est sur Facebook : Le salon de l’auto prévu du 19 au 29 mars prochain et qui attire un grand nombre de visiteurs est désormais présent sur Facebook via une page dédiée. Mise en ligne hier, la page compte pour l’instant 75 fans et liste les nouveautés automobiles qui seront dévoilées à l’occasion de la 16e édition du salon. Amateurs d’automobile, à vos « j’aime » ! …L’ANPT aussi : Lancée le 15 février suite au relooking du site, la page de l’Agence Nationale de gestion des Parcs Technologiques (ANPT) offre une présence sociale à l’établissement, bien qu’aucune publication n’est à constater pour l’instant. L’anniversaire de la semaine : C’est avec 8 bougies d »allumage que le site autoalgérie a souffle les siennes. Spécialisé dans l’actualité automobile, le site a bouclé ses 8 ans d’existence il y a quelques jours. La confirmation de la semaine : Le phénomène des pages Spotted que nous avons évoqué continue de prendre de l’ampleur avec l’apparition de dizaines de nouvelles pages, de villes en quartiers en passant même par l’autoroute. La page Spotted : USTHB, pour ne citer qu’elle, compte aujourd’hui plus de 10 000 fans. Source
  12. la dernière fois que j'ai vu ça c'était dans la série Knight Rider 2008.
  13. et ce jour là il va bien sentir le courant qu'il ne pourra pas dire que c'est finalement un problème de gouttes d'eau !
  14. L'Icann activera les prochains suffixes en juin 2013 De passage à Paris, le président de l'Icann a indiqué que les prochaines extensions des noms de domaine seront lancées approximativement en juin prochain. Il a par ailleurs annoncé sa volonté de rendre l'organisme de régulation moins américain en ouvrant des hubs en Asie et en Europe. La question des prochaines extensions de noms de domaine commence à voir le bout du tunnel. Le président de l'Icann, Fadi Chehade, a indiqué lors de son passage à Paris, que les premières extensions gTLD seraient lancées au mois de juin 2013. Au total plus de 1900 candidatures ont été déposées pour obtenir des .book, .blog, etc. Après avoir repensé le processus d'ordre de passage, l'Icann explique que les premiers servis seront les chinois. En effet la première extension attribuée sera le .catholique en chinois. Pour les français, Mathieu Weill directeur général de l'AFNIC explique que le .paris et le .bzh (breton) sont placés aux alentours de la 200èmeplace. En raison d'une vingtaine de dossiers par semaine, l'AFNIC estime que ces extensions devraient voir le jour avant la fin de l'année 2013. Il restera à gérer les cas conflictuels comme .beauty ou .wine qui sont revendiqués par plusieurs entreprises. Le régulateur essaiera dans un premier temps de trouver une médiation pour trouver un accord entre les sociétés. En cas d'échec, l'extension sera mise aux enchères. La question de l'appropriation de termes génériques comme .blog ou .music par des grands acteurs comme Google et Yahoo et leur contrôle dessus a été posée. Pour Fadi Chehade, « c'est une question ouverte, nous avons soumis le problème à la communauté et nous attendons le retour ». Une Icann plus mondiale Dans son intervention le président de l'Icann est revenu sur une critique souvent faite à l'encontre du régulateur de l'Internet, « vous êtes trop américains ». Il a salué les efforts des Etats-Unis à installer une méthode de travail efficace, mais il est conscient que l'organisme doit s'ouvrir et devenir mondial. Lors d'une réunion en début de semaine en Asie, Fadi Chehade a proposé un changement profond avec une division des fonctions de l'organisation en 3 hubs. Le premier reste basé aux Etats-Unis, le second à Singapour pour couvrir la région Asie-Pacifique et le dernier à Istanbul pour la plaque européenne. Si ce changement n'est pas effectué, Fadi Chehade avertit sur les risques d'un Internet divisé, avec un Internet Chinois, Russe, etc. Source
  15. waouh trop cool la nano-technologie , on sent vraiment que ça bosse de l'autre coté de la méditerranée !
  16. waqila toi tu comptes aller en camps de vacance
  17. MWC: " Nedjma figure parmi les filiales les plus rentables du groupe Ooredoo " C'est lors d'un point presse que le Dr Nasser Marafih, Président Directeur Général du groupe Ooredoo, a déclaré à nticweb.com que Nedjma figurait parmi les filiales les plus rentables de son groupe. Ce dernier se dit très satisfait des résultats des trois dernières années de Nedjma, qui deviendra, rappelons-le, au cours de l'année Ooredoo Algérie... Joseph Ged, Directeur Général de Ooreddo Algérie, nous confiait, lors de l'annonce de l’unification de l’ensemble des filiales du groupe Qatari sous la bannière d’une seule marque Ooredoo, " qu'à partir des prochains mois, Nedjma deviendra Ooridoo Algérie. Il s’agit d’un changement dans la continuité et dans la tradition des valeurs et de l’historique de Nedjma, il n’y a donc que le nom qui va changer ». Joseph Ged nous a par ailleurs confié que les nouveaux résultats de son groupe devraient être dévoilés le 03 mars prochain. Dr Marafih évoque une entité " qui affiche année après année une forte croissance et une forte position avec des résultats positifs ". Les derniers chiffres rendus publics concernant le troisième trimestre 2012 sont venus prouver que l'opérateur se porte très bien. Son chiffre d'affaires était estimé à 700.5 millions de dollars depuis le début de l'année 2012, soit une belle progression de 18% comparé à l'année 2011. Le nombre d'abonnés avait aussi suivi puisque Nedjma comptabilisait en octobre 2012 près de 8.86 millions de clients contre 8.55 millions au 2ème trimestre 2012. Soit plus 310 000 nouveaux abonnés en l'espace de trois mois ! Que des progressions qui font que Nedjma détenait à cette période en Algérie des parts de marché estimées à 30%. Source
  18. Les Pigeons ne savent pas lire yaw , alors pourquoi vous vous cassez la tête si c'est un bon nom ou pas
  19. internet explorer est lent pour les algériens parce qu'il prend son temps à afficher les pages et avec notre connexion de crocodile ça s'éternise, mais faut pas oublier, nass dans le monde rahi be 100 Mbps et la plupart des utilisateurs IE sont basés en Chine et en chine ça parle que de Gbps et donc la lenteur ça n'existe pas !!
  20. Internet Explorer 10 s’invite sur Windows 7 Internet Explorer 10 est disponible sur Windows 8 depuis la sortie de l’OS. Le navigateur est optimisé pour le tactile dans sa version Metro, mais il se décline également sur une version desktop plus classique. Et c’est cette version qui est aujourd’hui déclinée sur Windows 7. Internet Explorer 10 est en effet passé en version finale pour les utilisateurs étant encore sous Windows 7. Disponible en 32 ou 64 bits, il apporte les mêmes améliorations que son homologue desktop sous Windows 8, c’est-à-dire une interface plus claire et, entre autres, le Do Not Track activé par défaut. Internet Explorer 10 est téléchargeable à cette adresse, mais Microsoft indique le promouvoir grâce à son outil Windows Update. Le navigateur version 10 disposera également d’un module de mise à jour automatique comme ses concurrents. Source
  21. pourquoi vous prenez les choses comme sa ?? tonton moussa veut juste vous rassurer et vous dire "Tenez Bon !"
  22. Qu’attend-on pour changer le pays ? Il n’existe rien de constant si ce n’est le changement ». Confucius, philosophe chinois (551- 497 A.V J.C) Que sait-on de la santé du président ou de la rédaction de la prochaine Constition ? Bricolages et rafistolages au sommet politique, survie au jour le jour sans horizons élargis ni trajectoire précise à la base sociale. Entre-temps, un fait inexplicable en surgit : « ceux d’en haut et ceux d’en bas » pour reprendre le terme de l’écrivain mexicain Mariano Azuela (1873-1952) dont les imaginaires se frottent, s’arrangent comme par enchantement et décident d’un commun accord sans se consulter entre eux de bannir le mot « changement » du dictionnaire lexicographique algérien. En voici-là, très triste, le décor de l’Algérie de 2013 ! La majorité de mes compatriotes dont je partage en certains points l’avis ne comprennent pas pourquoi ce capharnaüm qui fait que le pays reste encore coincé dans son sous-développement, persiste. Alors que les autres contrées, proches ou lointaines, essaient au moins d’avancer, nous ici, on se serre les coudes pour retenir nos pas et il semble que dans « cette tendance maladive à la régression » chacun y a trouvé son compte, du simple élève d’une école primaire au premier magistrat du pays ! A regarder de plus près, l’Algérie est un pays qui s’est fourvoyé dans un labyrinthe inextricable et échappé plus d’une fois au destin de puissance tant politique, diplomatique qu’économique qu’implique sa situation géographique, ses richesses souterraines et son histoire plus que millénaire. Certes, la sous-exploitation de son potentiel culturel, économique, humain et juvénile la met à la traîne mais n’en reste pas moins un facteur capital par rapport au problème de la «gestion». Le monde de l’après 11 septembre 2001 nécessite des compétences managériales avérées, des gestionnaires qualifiés, un arsenal judiciaire fort et «un État de droit» en mesure de sauvegarder la souveraineté du pays des foyers de tensions régionaux et de la menace terroriste partout présente. Il y a, pourrait-on y ajouter aussi, comme une attitude d’attentisme, de mollesse, d’inertie, de léthargie et surtout de défaillance permanents dans les deux blocs séparés (État-Pouvoir et Peuple-Société). De manière on ne peut plus naturelle, nos élites, du reste mal-inspirées, continuent de s’aliéner en s’engouffrant davantage dans le rituel du déni. En conséquence, force nous est de constater qu’aucune approche originelle ni originale des réalités locales sous le prisme des politiques nationales ou continentales (africaine) n’ait été entreprise depuis l’indépendance (l’arabisation forcée de l’école, la révolution agraire, la politique agricole des plans, la fameuse «industrie industrialisante», la politique d’anti-pénurie «P.A.P», les chimères d’Al-infitah, le réajustement structurel et enfin l’économie du marché..etc). Tout s’est fait et continue encore de se faire au grand dam de «la plèbe» sur la base d’une saugrenue comparaison soit à l’Orient ou à l’Occident. Hélas, l’Algérie est encore dépourvue de modèle propre de représentation identitaire, sociale ou économique à l’aube du XXI siècle. Ce qui est à même d’ériger à court terme et peut-être pour longtemps en dogmes inaliénables les phénomènes d’acculturation et d’aliénation parmi nos élites. Or il est incontestablement admis que l’authenticité des choix fondamentaux d’un pays est une condition sine qua non pour que celui-ci enfourche rapidement le cheval de l’évolution. En revanche, il est plus que désolant de constater qu’en Algérie l’idée du changement est tristement sacrifiée sur l’autel de fixations idéologiques et de vieux replis régionalistes ou tribalistes. En plus, l’absence d’une couche moyenne, régulatrice de l’ordre social ajoute au «maelström algérien» un soupçon de tragi-comédie dans la mesure où le retour du refoulé sectaire, corporatiste ou népotiste dans les secteurs névralgiques tels que l’éducation, la culture ou même dans des services étatiques à l’image des mairies, daïras, consulats ou ambassades, marche concomitamment avec l’effritement graduel de la notion de citoyenneté et l’inexorable montée du réseau informel ou de ce qu’on appelle communément «mâarifa» ou «tchipa» dans les rouages administratifs. La citoyenneté, encore faudrait-il le rappeler en ce papier, est une construction permanente du savoir-vivre politico-social en rapport direct avec la modernité dans toutes ses dimensions : morale, intellectuelle, philosophique et civilisationnelle. A titre d’exemple, la grève lancée dernièrement par le personnel du ministère des affaires étrangères illustre d’une part, la dégradation de façon globale du cadre social du fonctionnaire algérien. D’autre part, elle met en évidence le fait que ces dernières années le manque flagrant de crédibilité de certaines institutions a mis le doute dans le cœur de tous les citoyens. Ces institutions-clés qui, il faut bien le préciser, sont pourtant censées être, sous d’autres cieux, la façade représentative de la politique des pays, perdent tout leur symbole en Algérie. Il va de soi qu’une classe moyenne performante, cultivée et engagée, l’équivalent de «la petite-bourgeoisie» ancienne, est un anti-dépresseur social par excellence. Or, en Algérie, la dévalorisation du statut d’enseignant, d’avocat, de médecin et de presque toutes les professions libérales jumelée au problème du renouvellement générationnel qui se fait au compte-goutte, aurait injecté on ne peut plus une overdose de puissance au traditionalisme et à l’archaïsme, déjà combien préexistants et prédominants, dans les mentalités. C’est vraiment triste, l’algérien d’aujourd’hui est, à de rares exceptions près, un condensé de conservatisme, d’orgueil et d’obstination mêlé à une certaine «peur incomprise» de l’aventure collective. Pour s’en convaincre, il ne suffit que de faire une rapide tournée dans les rues des grandes ville (Alger-Oran-Constantine) pour voir le degré de la sous-évolution des comportements, le manque d’hygiène publique, le non-respect des normes d’urbanisme, des espaces verts, du code de la route, l’anarchie des marchés sous l’œil complaisant des forces de l’ordre, etc. En un mot, l’Algérie est un pays malade de ses maladies. Par ailleurs, il est un fait incontestable, quand une nation manque de paradigme consensuel de cohabitation (un pacte national de confiance) accepté de plein gré par l’ensemble de ses forces vives, les liens individuels l’emportent largement sur le sens de la communauté au sens classique du terme et de la collectivité au sens moderne. Ainsi la société se gère-t-elle selon le principe qu’un ami à moi m’aurait un jour expliqué «il n’y a pas de destin collectif mais simplement des solutions individuelles». Autrement dit, la mentalité de «hena khaoua» (nous sommes tous des frères) se laisse par automatisme dominer par le stéréotype «selk rassek» (sauve ta peau). C’est peut-être dans cette logique que les jeunes des banlieues algéroises ont troqué le vocable de «kho» (frère) contre celui de «chriki» (associé, partenaire). L’Algérie qui aurait survécu à la parenthèse sanglante de la terreur des années 90 grâce à la solidarité de ses enfants, aurait payé un lourd tribut de sang et de larmes à une fausse fraternité forgée autour d’un dogmatisme et d’une idéologisation/instrumentalisation religieuse accélérée, laquelle est en net déphasage avec les préceptes du rite malékite tolérant dont nos ancêtres furent adeptes des siècles durant. Il est vrai que ces transformations sociologiques qui ont commencé par une fraternité des armes (la guerre de libération 1954-1962) en passant par une fraternité du sang (l’islamisme politique), ont culminé au final en «une fraternité-partenariat» sur fond de l’ère économique Al-Infitah post-Octobre 1988. Du coup, les transformations ayant sillonné le processus d’édification étatique ont coïncidé avec le trop-plein d’État répressif et la disparition de l’État-providence, «protecteur du minimum vital/physiologique» comme dirait le Dr R.Tlemçani. En termes plus simples, «l’État-nounou» qui gère la politique du bâton et de la carotte au gré des humeurs du chef dans les années 70 et 80 s’est transformé en un État-léviathan du «tout-sécuritaire» sous l’état de siège dans les années 1990 puis actuellement en «État-toutou» dont l’informel, l’officieux et les coulisses tiennent le gouvernail. Ces mutations sauvages de la société algérienne, boostées d’en haut et acceptés d’en-bas, sont résumées par le sociologue Lahouari Addi dans cette formule lapidaire mais fort pertinente «le régime algérien aime le peuple et déteste la société». Cela, il est vrai, se constate au quotidien dans la vertigineuse ascension du défaitisme social qu’accompagne une sclérose politique d’un pays où un conseil de ministres ne se tient qu’au bout de trois mois si ce n’est pas plus. Plus grave encore, on ne sait rien du tout sur l’état de santé du président de la république, des rumeurs sur une probable révision de la constitution et même sur un quatrième mandat qui font leur cours parmi la classe politique dont certains leaders, pourtant jeunes, le réclament à cor et à cri (Amara Benyounès (MPA), Amar Ghoul (TAJ)) alors que la société civile est presque dans «un coma clinique». Chose étonnante dans la mesure où, en toile de fond, l’édifice idéologique du régime se ramène invariablement à trois constantes aussi fondamentales qu’irréfutables : le culte du mystère, la culture du complot et le prurit tribalo-régionaliste avec des relents d’affairisme politique teinté d’un discours national aussi populiste que démagogique. Les crises à répétition dont furent le théâtre les kasemates du FLN depuis au moins 1996, date du premier coup de force scientifique contre le secrétaire général de l’époque feu Abdelhamid Mehri révèle non seulement l’incohérence des idéaux du plus vieux parti algérien, façade du régime politique actuel quand il s’agit de trouver une alternative ou une autre vision des problèmes du pays mais aussi la corruptibilité manifeste et l’absence d’horizons prometteurs d’avenir dans cette formation politique. Il est pour le moins certain que Mehri et après lui Benhamouda, Benflis et Belkhadem sont tous mis à la porte suite à des motions issues du congrès du parti ou à des votes de confiance par ses cadres militants mais il n’en demeure pas moins qu’il y ait souvent derrière des connivences malsaines, des tractations et des jeux de pouvoir qui n’honorent en aucun cas la démocratie. Le FLN est, sans conteste, l’image de profil de tous les partis algériens où le mystère et les coups de force priment sur le débat contradictoire et la liberté d’expression. C’est dramatique, en Algérie, un coup d’État n’est jamais qualifié de son nom mais est souvent assimilé à un redressement. D’entrée de jeu, la stratégie de la falsification du discours et le mensonge institutionnalisé distillés sous forme d’euphémisme prennent la relève des luttes claniques pour le pouvoir. Fait incompréhensible, au cours de ces dernières décennies est apparu un nouveau problème, dangereus celui-là : l’absence de statistiques officielles ou leur fausseté si elles en existent : ni le C.N.E.S (conseil national économique et social) ni le forum des chefs d’entreprises (F.C.E) ni moins encore le syndicat officiel (UGTA) ne peuvent aujourd’hui préciser le nombre exact de chômeurs en Algérie ! La baraque algérienne est, semble-t-il, en déclinaison et le peuple est mis hors circuit d’information. Il y a même certains algériens qui doutent du nombre réel d’habitants que les autorités déclarent (35 millions). Dans cet ordre d’idées, l’absence de synergie d’efforts et surtout de transparence dans la gestion des dossiers sensibles du pays (l’Empire décadent de Khalifa, le scandale de Sonatrach et la dernière affaire de In amenas) a donné une nouvelle forme à la méfiance citoyenne vis-à-vis des institutions d’État. L’ancienne génération accrochée au poncif éculé de la sacro-sainte «famille révolutionnaire» est plongée dans une véritable «crise de valeurs», cherchant au milieu de résidus lyriques d’un nationalisme en agonie une raison pour la perpétuation du système. Tout au plus, le chimérique révolutionnaire est utilisé comme une parade infaillible à toute velléité du changement. Du coup, on se rend bien à l’évidence que la génération de «tab djenanou» croit plus au mérite du fusil qu’au clavier de l’ordinateur qui aurait pu détrôner en quelques jours le pharaon d’Égypte de son règne, cela se voit dans nos universités qui manquent d’internet et dans ces fameux cybercafés que l’on transforme en pizzerias. Sans doute, l’argent facile est le nouveau crédo d’une jeunesse perdue. Mais «quelle est cette société qui n’offre qu’une alternative : subir ou s’évader, au sens propre l’exil, au sens figuré, internet, alcool, drogue» s’est interrogé Marwane Ben Yahmed (1), ma réponse à l’éditorialiste de Jeune Afrique est vite trouvée: l’Algérie ! Mais à quoi bon ce malaise est-il dû? Les algériens sont-ils moins friands du changement que leurs voisins? Ont-ils été atteints de la maladie du statu-quo ou ont-ils peur de toute vision prospective de leur avenir? Il semble bien évident à priori que ces jeunes rongés par l’angoisse protéiforme et pris en tenailles entre d’amères réalités (chômage-harragas) ne comprennent pas du tout leur itinéraire, marqué à jamais par cette culture de reniement, du dénigrement et de la hogra tous azimuts. Mais qu’y-a-t-il de mal pour nos responsables à oser faire la rupture avec les discours lénifiants sur les glorioles d’une certaine histoire en voie de péremption et à affronter sérieusement l’amertume du présent? L’Algérie ferait mieux de s’en tenir aux principes de la citoyenneté et aux idéaux de la démocratie. Un défi titanesque à même, si tant est qu’il soit de bonne foi, de donner un coup d’éclat et tout particulièrement une crédibilité à des institutions étatiques sérieusement gangrenées par la corruption. Ce fléau endémique dont se servent les adeptes de «Hizb Chekara» comme tremplin pour remplir leurs poches et mépriser davantage ce «ghachi», à leurs yeux, inculte et sans civilité. En vérité, les frustrations individuelles ne pourraient que générer des colères collectives. Du coup, l’émeute qui est devenue le langage primordial du citoyen algérien depuis des lustres ne saurait être décryptée qu’à la lumière de ce ras-le-bol général, de cette fatigue du peuple de subir davantage le fardeau de promesses non tenues et, hélas, de son incapacité à formuler en termes clairs ses intimes volontés. C’est triste de le dire mais c’est bien de cela qu’il s’agissait « aujourd’hui qu’elle a pansé ses blessures sans avoir totalement fait son deuil d’une tragédie qui avait failli l’emporter et dont elle observe avec circonspection la reproduction dans un certain nombre de pays voisins, a-t-elle réellement en main les moyens de se dépasser et de réussir à construire la république sociale et démocratique sans avoir à compter indéfiniment sur l’homme providentiel ? ». C’est ainsi que Badreddine Mili conclut son article en parlant de l’Algérie (2). A l’évidence, il en faut beaucoup à l’Algérie pour qu’elle se mette en selle car à force de s’engager dans des mutations non réfléchies, voire sauvages, elle risque de se déboussoler si ce n’est déjà pas le cas présentement. Ce qui laisse la voie libre à des spéculations à tout-va. Il est tout à fait clair que le syndrome de l’inflation ayant conduit ces derniers jours à la cherté de la vie et la dévalorisation inquiétante du pouvoir d’achat en est un cas d’espèce. On dirait que l’inconstance des prix des produits alimentaires est le fait d’un simple jeu d’enfants. C’est évident, faute d’une production nationale pérenne et régulière, le pays va crouler sous les coups «des politiques monopolistiques» des barons de l’import-import qui profitent de la rente des hydrocarbures et de l’économie de la rente pour saboter l’investissement national et étranger, le tourisme et l’industrie nationale (réfléchissons un peu à cette disparition du lait, matière alimentaire de base, des étals). Mais, à défaut de programme économique solide, pourquoi ne reviendrait-on pas au principe des cultures vivrières? Forme certes primitive de gestion agricole mais fort salvatrice au moment actuel en Algérie. Pour le surplus, la dépendance de l’Algérie des filières de l’agro-alimentaire occidentales en général et hexagonales en particulier est un grave handicap qui la rend moins souveraine en matière économique. Et qui dit économie dit sans doute politique. Il est certain que le désintérêt grandissant porté au potentiel agro-pastoral des wilayas de l’intérieur ( Sétif, Djelfa, M’sila, Saida…etc) est une pièce à décharge contre cette politique d’abandon dont souffre tout le pays, « L’Algérie est un pays agricole, elle ne peut continuer à servir de réceptacle aux containers au détriment de la production. Il faut renverser la situation de pays consommateur à celui de pays exportateur. » (3). Dans cette perspective, force est de constater que le plan quinquennal d’investissement (2010-2014), plus de 212 milliards d’euros, inscrit dans le cadre du projet de la relance économique enclenché par tranches par le président Bo^^^^^ika depuis les années 2000 n’était même pas de nature à nettoyer le pays, comment saurait-on croire alors qu’il va générer de l’emploi et secouer le cocotier de la bureaucratie, cette arme fatale du « terrorisme administratif » ! Aussi, l’installation des bureaux de main-d’œuvre et la mise en place de stratégies nationales d’absorption du chômage et de soutien de jeunes via l’A.N.S.E.J se sont avérés peu performants. De même voit-on avec amertume cette contradiction flagrante qui fait que d’un côté, on se plaint du manque de productivité agricole et d’un autre côté, on éponge les dettes d’agriculteurs au gré du populisme des mandats présidentiels alors que même le matériel nécessaire pour travailler la terre fait cruellement défaut. Les masses s’étranglent d’indignation de ces politiques incohérentes et sans suite d’autant plus qu’il est vite apparu illusoire de parler de changement politique et institutionnel sans une vraie évolution dans le régime de vie du pays, du reste au stade stationnaire (revalorisation de l’éthique et de la morale de gouvernance). Désormais, la déshérence culturelle, scientifique, économique et politique du pays est chose évidente. Ainsi, la quasi-tutelle souvent imposée, parfois consentie du référentiel «el baylek» sur les cerveaux des masses et les retombées de cette «mentalité Taïwan» qui détruit tout sur son passage ne font qu’empirer la situation du pays. A quand donc le changement espéré messieurs les responsables ? Source
  23. En direct du MWC’13 : la 5G en invitée surprise A huit heure trente tapante, Hans Vestberg, CEO d’Ericsson, commence son speech par un « tout ce qui est connectable est connecté ». Le patron d’Ericsson vient d’introduire la 5G même si en Algérie, nous ne sommes pas encore à la 3G. Il souligne que « le changement a opéré » et l’ensemble des démos que nous avons pu voir sur le MWC de 2013 ont presque toutes trait au M2M (Machine-to-Machine) et cela dans presque tous les domaines de la vie courante. Il faut tout de même se rappeler que le même CEO avait prédit l’année dernière qu’en 2020, il y aura plus de 50 milliards d’objets qui seront connectés. Le patron de l’entreprise publique Ericsson parlera du stress que peut vivre le réseau et son évolution avance. C’est là qu’entrent en scène de petites antennes (small-cells) pour un réseau large et une meilleure utilisation des fréquences. « En 2018, il y aura dans le monde plus de 9,8 milliards de pocesseurs de terminaux mobiles dans le monde », ajoute encore Hans Vestberg et de poursuivre : « 50% auront un smartphone. » L’expérience client sera alors au summum. Continuant sur sa lancée, il parlera d’événements, comme une coupe du monde ou un match de football, qui, s’il n’est pas bien régulé, peut stresser fortement le réseau. Pour lui, « 90% de la data sera de la vidéo » et « il est clairement établi que la vidéo est la demande ». Et pour cela, le format Mpeg est intégré à la LTE. L’autre élément que le CEO d’Ericsson aborde est le Cloud et l’évolution du réseau, des éléments non seulement importants mais critiques. Et nous sommes en pleine révolution. La mobilité a pris le dessus sans oublier l’intelligence. Les Anglophones parlent de « smart ». « Pour ce qui est de 2013, le smart sera partout », conclut Hans Vestberg qui nous aura fait rêver tout au long de la demi-heure de sa « keynote ». Source
  24. Windows Blue : le nouveau système de Microsoft disponible dès cet été ? Le site chinois « Win8China.com » affirme qu’une mise à jour majeure de Windows 8, dévoilée sous le nom de code Windows Blue, sera disponible au mois d’août. L’arrivée de Windows Blue se confirme. Pas officiellement, mais pas un site chinois spécialisé sur les indiscrétions des informations liées à Microsoft. Selon Win8China, cette mise à jour majeure de Windows 8 sera disponible dès cet été, soit un an après le lancement des RTM de Windows 8. Apparemment bien informé, le site affirme que la compagnie de Redmond a franchi la moitié du chemin en atteignant le premier Milestone. Le second Milestone signifiera que la version bêta est terminée. Cette étape pourrait avoir lieu le 7 juin prochain, comme le prévoyaient certains analystes. Cette « preview » sera ouverte aux développeurs, mais aussi, selon Win8China, « aux early adopters qui voudraient être les premiers à tester » cette nouvelle version de Windows 8. Avec cette mise à jour, Microsoft pourrait aussi en profiter pour présenter également la version 11 d’Internet Explorer. Sur ce sujet, le site n’a pas plus d’information, mais estime qu’il sera l’un des éléments clés de Windows Blue, tout comme Bing, le moteur de recherche de la firme de Redmond. Source
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