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Hicham

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Tout ce qui a été posté par Hicham

  1. Restauration de la Basilique Saint-Augustin Algérie Télécom finance les travaux Le groupe Algérie Télécom apporte sa pleine contribution à la restauration de la basilique Saint-Augustin d’Hippone, un site historique et architectural d’une qualité exceptionnelle. Un pan important de la mémoire collective nationale porté par un style éclectique qu’inspirent merveilleusement bien des références arabo-byzantines. Algérie Télécom entend ainsi, en sa qualité d’entreprise citoyenne, apporter sa pierre à l’édifice et participer pleinement à l’exaltante opération de restauration de ce patrimoine faisant partie de l’identité nationale. Source
  2. Microsoft lance Xbox Music Microsoft vient officiellement de lancer son service Xbox Music, un concurrent à Spotify et remplaçant de Zune ! Il s’agit donc d’un service musique en Streaming avec un abonnement à 9,99 euros (30 millions de titres), couplé à une boutique d’achat Xbox Music Store (achat au format MP3 256 kb/s sans DRM). Xbox Music vous permettra d’écouter de la musique sur de nombreux appareils sous Windows 8, Windows RT, Windows Phone 8, et bien entendu la Xbox 360, avec une synchronisation sur le Cloud. Enfin, notez que Xbox Music proposa également un service de streaming gratuit (avec publicité) pour les utilisateurs de Windows 8 et Windows RT avec la possibilité de créer un nombre illimité de Playlists ainsi que la fonctionnalité Smart DJ (présente aussi sur les autres plateformes). Xbox Music sera lancé au même moment que Windows 8, le 26 octobre prochain dans 22 pays, mais accessible dés demain le 16 octobre sur Xbox 360 ! [video=youtube;07wM1-lIsrM] Source
  3. stp arrête de faire de la pub partout sur le forum , ta posté au moins 10 fois le lien sur des topics !!!!!!!
  4. tout le monde à des défauts mais quand il y a une épidémie ou virus mortelle qui peut détruire toute vie humaine c'est sur ces gens là qu'on compte pas sur les musulmans. et puis j'ai dis ça juste comme sa sans arrière pensée alors inutile de se lancer dans un débat , aller bonne journée !
  5. tant que la bande passante n'a pas augmenté , ils peuvent lancé ce qu'ils veulent comme technologie , ça sert à rien , un bus quand il est plein il peut plus accueillir de nouveaux passagers , ça sert à rien de changer de place il faut acheter un autre bus plus grand c'est tout !!!!
  6. M. Azouaou Mehmel, PDG d’Algérie Télécom : “La mue de l’entreprise est engagée” «Dans le cas d’AT, c’est une entreprise assez importante mais c’est le poids du passif qui fait qu’il y a ce sentiment d’inertie. Le plus gros du travail, c’est comment changer les mentalités, comment recycler cette ressource humaine». A la tête d’Algérie Télécom depuis avril dernier, M. Azouaou Mehmel est tout à fait conscient de l’état de l’entreprise. Mais loin de se décourager, il pense que l’opérateur historique pourra redorer son blason, pour peu qu’il se donne la volonté, le temps et les moyens nécessaires pour cela, d’autant que cet enfant du secteur sait comment remédier au constat de défaillance dressé. Dans cet entretien il déroule son plan d’action. Vous êtes à la tête d’Algérie Télécom depuis le mois d’avril. Dans quel état avez-vous trouvé l’entreprise d’autant plus qu’AT n’est pas réputée pour être une entreprise très stable. Si on voit l’instabilité sous le prisme du changement de responsables, effectivement elle n’est pas très stable. Mais il est vrai qu’Algérie Télécom (AT) a un passif qui est là. Il est la conséquence d’un certain nombre de faits. D’abord, son histoire. Vous savez qu’AT est l’opérateur historique issu de la restructuration du secteur à la faveur de la loi 2000-03. Cette restructuration s’est faite de mon point de vue sur le tard, parce que si on voit tout l’environnement dans lequel évoluent de par le monde les opérateurs historiques, ils sont tous aujourd’hui performants. Même chez nos voisins les opérateurs historiques ont pu sortir à l’international alors qu’AT qui a plus de potentiel et de possibilités n’arrive pas à satisfaire sa clientèle nationale. Ceci est dû au fait que toutes les restructurations sont intervenues durant la décennie 90. Cette décennie a vu l’arrivée de la téléphonie mobile, d’Internet. Il y avait déjà des tournants technologiques qui ont fait apparaître de nouveaux marchés, de nouveaux besoins, de nouveaux usages. L’ouverture économique de ces marchés à la concurrence a fait que la plupart des pays ont préparé d’abord leurs opérateurs historiques en leur donnant une période de grâce pour s’adapter et s’emparer de ces réflexes commerciaux d’entreprise par une mue vers une entreprise commerciale et délaisser les réflexes hérités de l’administration pour leur permettre de faire face à la concurrence des opérateurs entrants. On a vu cela chez les opérateurs européens, chez nos voisins. Malheureusement, chez nous, cela ne s’est pas passé ainsi. Durant la décennie 90, et vu la situation qui prévalait à l’époque, c’est clair qu’il y avait d’autres priorités que de restructurer le secteur des télécommunications qui est toujours considéré comme un secteur stratégique. Mais vers la fin des années 1990, il y a eu le choix de l’ouverture du fait de la volonté de notre pays d’adhérer à l’OMC. Mais l’ouverture s’est faite un peu trop vite. On n’a pas donné à AT le temps de s’adapter à cette nouvelle réalité, le temps de s’approprier les réflexes d’une entreprise commerciale. C’est ce qui a causé ce semblant d’immobilisme. A AT il y a la valse des responsables, mais sur le plan de l’évolution en termes de services, d’innovation, on est à la traîne Cette instabilité impacte la réalisation des différents programmes d’investissement qui par la suite ont eu des conséquences sur l’entreprise et sur la société, sachant que maintenant on est encore beaucoup plus sous les feux de la rampe avec l’engouement que suscitent aujourd’hui les TIC pour les clients. Maintenant, le constat que je fais, c’est qu’il y a un très grand retard à rattraper. Par rapport à nos investissements et par rapport à nos réalisations sur le plan des infrastructures parce qu’il n’y a pas eu d’investissements pendant une longue période. Il y a aussi un autre chantier. C’est vis-à-vis de notre clientèle. Là encore il y a un très grand retard à rattraper. Il y a une grande fracture qui s’est creusée entre l’entreprise et ses clients. C’est le grand chantier auquel on est en train de s’atteler. C’est votre feuille de route que vous déclinez ? C’est le constat que je fais aujourd’hui. Bien sûr, il y a aussi un déficit en communication, que cela soit en interne ou en externe vers nos clients. Mais pour moi les trois actions prioritaires sont : rattraper le déficit en investissement, aller à la reconquête des clients et aussi œuvrer au changement de culture des employés. Vos investissements sont-ils importants ? Oui. Annuellement nous arrêtons des programmes d’investissement de 18 à 20 milliards de dinars. Les investissements, c’est sur fonds propres ? Oui. Nous avons aussi la possibilité de se faire accompagner par les banques si cela est nécessaire. Mais en fait, ce n’est pas un problème de financement. Nous sommes confrontés à un problème qui est l’aspect réglementaire qui entrave la con- crétisation des investissements dans les délais. Il bride un peu les gestionnaires. Ainsi nous arrivons difficilement à concrétiser le montant arrêté pour nos investissements parce que les procédures sont lourdes. C’est un excès de prudence qui se transforme parfois en autocensure. Avec ce qui s’est passé à AT, les gens font dans le prudentiel dans la prise de risque dans l’investissement, la concrétisation des projets. Cela impacte la réalisation des objectifs Cela vous gêne-t-il en tant que gestionnaire ? C’est sûr ! Tant que l’acte de gestion n’est pas dépénalisé, le gestionnaire dans une entreprise aura du mal à réaliser ses objectifs. Un gestionnaire non performant risque au maximum de se faire congédier mais s’il réalise quelque chose pour l’entreprise et qu’il a fallu pour cela qu’il fasse une légère entorse à la réglementation, il risque beaucoup plus. Alors, il préfère ne pas le faire. C’est le climat qui règne dans toutes les entreprises publiques. Avez-vous un contrat de performance ? Non, pas vraiment. Aujourd’hui on est en train de mettre en place un système d’évaluation individuel par rapport aux objectifs. L’aspect performance, l’aspect efficacité n’est pas toujours mis en avant. Vous connaissiez le passif de l’entreprise ? Je le connaissais en effet, et je connais aussi les enjeux. AT n’est pas n’importe quelle entreprise. En quoi est-elle différente ? Déjà, de par son domaine d’activité. C’est une entreprise assez sensible. C’est l’opérateur public histo- rique, mais d’autre part, au regard du poids et de l’importance des TIC dans le quotidien des citoyens, elle a un rôle à jouer. C’est d’une mission - plus qu’un rôle - dont elle est investie. AT est-elle une entreprise plus difficile à gérer que d’autres ? Cela dépend. Vous pouvez gérer une petite entreprise mais qui est dans un environnement concurrentiel. Si vous n’avez pas la flexibilité de vos concurrents, cela sera difficile. Dans le cas d’AT, c’est une entreprise assez importante mais c’est le poids du passif qui fait qu’il y a ce sentiment d’inertie. Le plus gros du travail, c’est comment changer les mentalités, comment recycler cette ressource humaine. Combien de travailleurs emploie-telle ? Il y a plus de 21 000 personnes sur le territoire national. Le fait que vous soyez en situation de monopole est une bonne chose pour vous ? C’est bien et ce n’est pas bien à la fois. C’est toujours bien d’être seul sur un marché si on est intelligent et si on sait profiter de cette situation de monopole. Mais ce qui arrive, c’est qu’on tombe facilement dans l’assurance excessive et après dans la paresse. Pour l’instant, c’est bien et cela donnera à AT la possibilité de se mettre à niveau. Peut-être que le répit que nous n’avons pas eu lors de l’ouverture du secteur, avec le recul et ce qu’on a vu que la concurrence a donné dans le mobile, cela va nous permettre de prendre conscience car cela ne peut plus durer. Le risque est que si demain il y a un concurrent, un opérateur qui offre les mêmes services, nos clients peuvent nous quitter. Donc il nous appartient de mettre à profit ce petit répit qui ne saurait durer car les enjeux sont énormes sur la société, sur l’économie. Aujourd’hui les TIC sont présents. On ne peut pas imaginer une entreprise qui n’ait pas besoin de connexion, qui fonctionne sans intranet, et qui ne soit pas connectée sur le monde extérieur à travers lnternet. Aujourd’hui le haut débit a été classé comme besoin vital par les Nations unies. On peut imaginer les retombées sur l’éducation, sur les autres secteurs d’activité. Le rôle d’AT est de mettre à disposition cet outil-là. Combien avez-vous d’abonnés ? Pour la téléphonie, nous en avons 3,5 millions, 1 500 000 pour l’ADSL. Je considère que c’est peu. Normalement chaque abonné téléphonique devrait être connecté. En termes de foyers, si on prend la population qui est de 36 millions, on peut estimer que 6 à 7 millions de foyers. C’est le résidentiel, les particuliers. Il y a aussi les besoins professionnels et des entreprises. Maintenant, avec l’ADSL, les gens reprennent leur ligne téléphonique mais sur le plan de l’infrastructure, on n’a pas pu suivre cette demande qui est croissante. Vous vous accordez combien de temps pour la mise à niveau d’AT ? Difficile à dire. Pour le moment il y a ces trois chantiers que nous sommes en train d’ouvrir. D’abord l’infrastructure. C’est là où on rencontre le plus de problèmes. Tous les dérangements que nous avons, c’est parce que, à un certain moment, AT n’a pas investi dans la boucle locale. C’est un réseau qui date de 5 à 6 ans, sans entretien, qui arrive aujourd’hui à obsolescence. Il y a aussi le phénomène des agressions extérieures. Il y a des coupures accidentelles avec les chantiers, le vol de câbles. C’est un phénomène qui prend de l’ampleur au point où c’est devenu un véritable fléau. Tout cela impacte la qualité de service. Notre chantier est de mettre à niveau cette boucle locale soit par la réfection des supports des câbles, soit par l’introduction de nouvelles technologies d’accès. Avez-vous d’autres projets en cours ? Il y a aussi des projets d’investissements qui sont prévus. Ils sont en préparation. Il y a des cahiers des charges qui sont établis. Les appels d’offres vont être lancés. Sur l’aspect commercial aussi, il y a toute la notion de relation clientèle qu’il faut développer. Nous n’avons pas un usager, mais un client qui achète un service et qui a droit à une qualité de service par rapport à ce qu’il a payé. Il a droit à un accueil, à un respect en tant que client. C’est toute cette culture qu’il faudrait qu’on inculque, ce sont des réflexes qu’il faudrait s’approprier. Il y aussi l’amélioration de tout ce qui est portefeuille de services. Avez-vous envisagé d’élargir votre gamme de produits ? Bien sûr ! Vous savez, je répète souvent que l’on ne va pas réinventer la roue. Heureusement que nous ne sommes pas le premier opérateur au monde. Il suffit de voir ce qui se fait ailleurs. Et de toute façon, avec les interconnexions de réseau aujourd’hui, nos clients sont devenus exigeants parce qu’ils voient ce à quoi un client à droit ailleurs. Ils voient les niveaux de qualité de service auxquels ont droit les clients et ce que la technologie leur permet. On est donc obligés de s’aligner. Nous sommes un opérateur de télécommunication. Il serait inconcevable de fonctionner autrement que comme le font les autres opérateurs de classe nationale, sans parler du fait que l’Algérie est très en retard non seulement sur son développement national mais aussi à l’échelle internationale. La fracture numérique ? La fracture numérique, ce sont les écarts qui existent entre les différentes couches de la société par rapport à l’accès à tout ce qui est TIC. Il faut réduire cette fracture pour permettre à tout le monde d’accéder aux technologies. Nous avons une autre difficulté aussi, c’est l’étendue de notre territoire. On fait de très grands efforts, mais déployer des réseaux sur un territoire comme l’Algérie, c’est pas comme dans d’autres pays voisins. Avez-vous songé à un déploiement vers l’international ? Je dis que comparativement aux opérateurs voisins qui eux ont réussi à investir dans les pays voisins, AT de par sa position, ses moyens et ses possibilités peut se déployer. Vous pensez au continent africain ou au Maghreb ? Les opérateurs commencent en général par l’environnement immédiat. Nous disposons d’une très grande infrastructure sur le territoire national qui nous permettrait d’avoir une sortie à l’international vers l’Europe via les pays africains et vers l’Afrique via les pays européens. On pourrait aussi faire comme nos pays voisins : pourquoi ne pas acquérir des licences d’opérateurs? Ce n’est pas tant une question de moyens financiers pour les investissements que d’expertise. Il faut développer l’expertise, il faut développer la ressource humaine. Ce qui a été le parent pauvre de toutes nos actions. Les plans de développement ont toujours négligé la ressource humaine. Nous n’avons pas essayé d’accompagner le développement de nos infrastructures par la formation, pour s’approprier cette technologie et ces usages et ces reflexes d’entreprise commerciale. C’est bien de songer à l’international mais il faut aussi être compétitif chez soi. Parce que nos concurrents pensent ces modes de gestion et ont ces réflexes. Au regard de ce passif, les reproches faits à AT sont-ils infondés ? Les reproches sont fondés. Je dis souvent à mes collègues et collaborateurs qu’effectivement nous travaillons tous et que nous faisons des efforts considérables, mais tant que le client est insatisfait, c’est comme si nous n’avions rien fait. Parce que si on regarde du côté du client, il y a toujours des insuffisances. Il y a une grande part de vérité dans les reproches faits. Maintenant moi je dis, il y a des problèmes d’infrastructures, il faut investir dans cette infrastructures pour la mettre à niveau, pour avoir une qualité de service d’abord, et pour avoir une disponibilité. Nous avons un pays qui se développe vite. Il y a des projets de construction assez ambitieux. Il faut accompagner cette demande et la satisfaire en qualité de service. En parallèle il faut qu’on ait la ressource humaine adaptée pour avoir ces reflexes de commerçants. Le gros du travail est dans la ressource humaine. Qu’en est-il du programme de déploiement du nœud d’accès multiservices (SMAN) lancé en 2010 ? Pour le MSAN, je pense que c’est une erreur de notre part de trop en parler. En fait, le client ce qu’il recherche, c’est un service. Avant, AT offrait le téléphone comme service. Maintenant, elle offre la connexion Internet. Le client veut une connexion qui a un débit donné, qui permet des fonctionnalités données. C’est tout ce qui l’intéresse. Que ces services soient fournis directement à travers tel ou tel équipement - car il y a plusieurs technologies -, cela importe peu. On a pris l’habitude de dire aux clients : «On va installer le MSAN, et ça va régler tous les problèmes». Mais si on ne change pas de culture et de mentalité quelle que soit la technologie qu’on va installer, ça ne marchera pas. L’introduction de cette nouvelle technologie, c’est le premier pas dans la mise à niveau. L’opérateur de télécommunication doit être dans un processus d’investissement permanent. Le remplacement des réseaux, est-ce une lourde opération ? Elle est lourde si on prend du retard à la faire. On est resté figés sur les réseaux téléphoniques. On n’a pas évolué correctement quand il le fallait. Il y avait des tournants technologiques que nous n’avons pas pris. AT est restée opérateur téléphonique, alors qu’aujourd’hui, c’est la prédominance du haut débit. Ce sontt d’autres architectures de réseaux, ce sont d’autres concepts de réseaux qu’il faudrait adopter. Si on l’avait fait à temps… Qu’entendez-vous par à temps ? Au moment où cela se faisait ailleurs ? Oui. Au moment où on voyait le haut débit prendre de l’ampleur. Pour de nombreux opérateurs historiques, c’est le haut débit et l’ADSL qui leur a permis de rester performants. A quelle période exactement fallait-il basculer ? Vers 2002-2004. Nous on a pris un peu de retard. On a déployé l’ADSL en 2005, mais sans investir dans l’infrastructure. Le réseau d’accès, c’est celui de la téléphonie. Ce qui explique la mauvaise qualité de service que nous avons aujourd’hui. Pour un opérateur de téléphonie, la technologie évolue tellement vite qu’il doit rester de façon permanente dans un processus d’investissement. Nous avons des Smartphones qui sont plus puissants en capacité que des PC. Cela induit un débit plus important en capacité. Les réseaux doivent être aussi en mesure d’y répondre. Un opérateur doit être capable d’anticiper. N’avez-vous pas de structure de recherche et de prospective ? Malheureusement on est plus dans la réactivité que dans la prospective. Aujourd’hui la demande dépasse de très loin l’offre. C’est pour cela que nous avons cette pression par rapport à la satisfaction de la demande. La vétusté des infrastructures contribue à la mauvaise qualité. Ce retard est-il difficile à combler ? Difficile à combler ? Non. Ce qu’il faut, c’est mettre à niveau les infrastructures d’accès. Puisque nous sommes un opérateur fixe, nous allons investir dans le réseau filaire. Il est clair que le haut débit et le très haut débit sera toujours filaire. Nous avons la maîtrise technique pure. Ce que nous n’avons pas, ce sont les réflexes commerciaux, les réflexes de réactivité qui permettent d’anticiper les besoins. Il faut voir ce qui se passe ailleurs et adopter les mêmes schémas. Nous utilisons des technologies qui existent ailleurs. Pour cette mise à niveau il faudrait combien de temps ? Le souci que nous avons est que nous avons une infrastructure physique, à la différence d’un opérateur mobile où la connexion entre l’abonné et le réseau est immatérielle. La difficulté pour nous, c’est de déployer cette infrastructure capillaire. Chaque abonné est relié à un point d’accès soit par une paire de cuivre soit par une paire de fibre optique ou une fibre optique. Mais il faut une connexion physique. La seconde difficulté est de maintenir cette infrastructure en état de fonctionnement. On a aussi un réseau qui est perpétuellement agressé car on n’a pas de règle de gestion de la voirie. Sans parler des actes de malveillance ou de sabotage. On fait face à tout cela. C’est notre réalité à laquelle on essaie de trouver des solutions. Maintenant qu’il y a ce réseau capillaire, il y a des infrastructures qu’on va mettre derrière en place et qui vont offrir d’abord la connectivité avec des débits différents. Il faudra aussi plus tard qu’AT ne soit pas uniquement un opérateur de connexion, d’accès, mais qu’il puisse se transformer en opérateur de services. Quels services ? Des services que tout opérateur peut offrir : du contenu thématique, segmenter nos offres... A quel stade est cette réflexion ? Ce n’est pas mûri. Notre priorité, c’est l’infrastructure. Sans elle on n’offrira rien. Si on n’a pas un bon réseau, le meilleur des commerciaux ne pourra rien faire. En parallèle nous travaillons à l’amélioration de la relation client. Comment ? Il y a des chantiers que nous allons lancer pour éviter cette affluence au niveau de nos espaces. Les clients y viennent pour la plupart soit pour des réclamations soit pour payer des factures. Ces chantiers vont permettre de prendre en charge toutes les réclamations et doléances. On va changer aussi cette cacophonie entre le 100 (pour Internet) et le 12 ( pour les dérangements) et le 107. Le client appellera dorénavant le centre d’appel d’Algérie Telecom. Cela sera un seul numéro et on l’orientera en fonction du besoin. Sur la plage de réception des appels, on a aussi élargi puisque avant, c’était les horaires de bureaux. Maintenant le 12, c’est 7/7 et jusqu’à minuit. Il y aussi tout ce qui est paiements. On doit permettre a nos clients d’effectuer tous leurs paiements de facture téléphonique ou d’ADSL dans une première phase dans tous les bureaux de poste. On a commencé une opération pilote au niveau de 5 bureaux de poste à Alger. Cette opération devrait être lancée cette semaine. Il va y avoir l’interconnexion des réseaux. Le traitement et l’enregistrement du paiement de la facture se feront en temps réel. Et vous avez aussi la possibilité de recharger votre compte ADSL au niveau de la poste. Cela va permettre de réduire cette affluence et tous les désagréments occasionnés au client. Nous pensons aussi déployer un service qui existe entre la poste et notre filiale Mobilis qui permettrait aux clients d’effectuer le paiement directement de chez eux via le compte CCP. Ce sont des actions que l’on peut déployer d’ici à la fin de l’année. En plus de ces chantiers en cours, nous comptons procéder à l’amélioration de l’accès ADSL. On prévoit de mette en place des solutions qui permettent de segmenter la clientèle. Car nous constatons qu’il y a des usages différenciés; certains profitent plus que d’autres. On va mettre en place des offres tarifaires adaptées pour ne pas mettre tout le monde sur un pied d’égalité. C’est ce que font d’autres opérateurs. Sinon on ne pourra pas suivre. Les clients d’Internet sont gourmands et cela va engendre des pressions. En Europe il y a tout un débat sur le vocable illimité qui est remis en cause. On l’a vu chez les opérateurs voisins qui ont de très grands problèmes maintenant sur des offres illimitées. L’impact sur les investissements est énorme. Justement, les investissements sont-ils rentabilisés ? Sûrement. Si l’opérateur investit, c’est qu’ils sont rentables. On l’a vue dans la téléphonie mobile, la rentabilité du marché algérien. Les cas de faillite d’opérateurs sont rares. Et vu le potentiel que nous avons ici, l’étendue du territoire fait que pour AT, c’est un lourd investissement, et nous sommes l’opérateur le plus sollicité. L’opérateur historique déploie l’infrastructure et la met à la disposition des autres opérateurs Que diriez-vous à vos clients aujourd’hui ? Je leur fais mes excuses pour tous les désagréments, et ce, même si cette situation est la conjonction de beaucoup de facteurs. Mais que nous faisons tout pour remédier à cette situation. Il ne faut pas hésiter à signaler les cas de défaillance de réseaux ou de personnes, et les cas signalés, s’ils sont avérés, seront sanctionnés. Pour le reste, quand cela n’est pas possible, je leur demanderai d’être patient le temps qu’on puisse prendre en charge leurs doléances. Fixez-vous une échéance à vos objectifs ? Actuellement nous sommes en train de faire le point sur tout ce qui a été engagé, et arrêter un prébilan. L’évolution de la réglementation ne facilite pas vraiment les choses pour arrêter une échéance. Le cadre réglementaire nous retarde sur beaucoup d’actions. Il serait donc difficile de s’avancer sur une échéance. Mais les actions sont fixées. Un dernier mot pour votre clientèle? Le message que je voudrais lui faire parvenir, c’est que nous som-mes conscients de notre mauvaise qualité de service. Et que ce ne sont pas tous les travailleurs qui sont défaillants. On peut changer. Source
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  8. Algérie Telecom se rapproche de ses clients Un espace client prochainement sur algerietelecom.dz Algérie Telecom lancera très prochainement un nouveau service accessible sur le site web de l’entreprise, « un espace client » qui sera exclusivement dédié aux demandes et aux réclamations des clients. Algérie Telecom semble vouloir se rapprocher encore plus de ses abonnés et de ses futurs clients à travers un nouveau service qui sera lancé très prochainement accessible sur www.algerietelecom.dz Selon les premières indications récoltées auprès du PDG d’Algérie Telecom, Mr Azouaou Mehmel, le nouveau service permettra d’être à l’écoute des abonnés, ce dernier aura à sa disposition un espace client visible sur www.algerietelecom.dz à travers duquel l’utilisateur exprimera ses demandes, doléances ou réclamations qui seront traités systématiquement par des équipes dédiées. Dans le détail, l’interface en question permettra aux clients par exemple d’accéder à sa facture à J-1 avec un œil sur l’historique, voir le montant de sa consommation, poster une demande d’octroi d’une ligne téléphonique ou ADSL…En outre, il sera question notamment d’une partie réclamations ou le client postera la nature de son problème et une réponse lui sera communiquée avec un suivi de l’état d’avancements du dossier. Source enfin un Espace où on peut se défouler tranquillement, merci algérie téléconne
  9. les extra terrestres c'est pas un mythe ils ont toujours existé , c'est les Américains , maintenant ils cherchent à habiter sur Mars pour se différencier de la race humaine normale , et franchement ils ont raisons quand on compare ces gars là à nous on se dit ? mais ..... on fait quoi sur la même planète , des milliers de kilomètres d'eaux nous sépare sur le sol mais faut aussi se séparer dans les Airs (verticalement). moi j'ai du mal à croire que ces gens là ne vont pas aller au Paradis (selon le coran) mais purée ils y sont déjà !!!!!!!!
  10. au delà de 800 mètres le MSAN ne sert à rien c'est loin du FTTH où on te ramène la fibre jusqu'à chez toi (jusqu'au modem), ici jusqu'à la boite MSAN c'est de la fibre mais de la boite MSAN jusqu'à chez toi (1 km) c'est du simple cuivre.
  11. ils ont tout montré , c'est pas avec 1 Mbps que tu va tout voir quand même
  12. avec Algérie Télécom on va activer la 3D machi kan HD , même à 240p déjà ça met du temps à se lancer , le temps que ça charge il aura déjà atterrit
  13. Tébessa – 35 000 lignes passent en MSAN Plus de 35.000 lignes téléphoniques de l’ancien réseau de la wilaya de Tébessa seront prochainement transférées au système MSAN (Multi-service Access Node), a-t-on indiqué dimanche à la Direction de la Poste et des technologies de l’information et de la communication. Le transfert de lignes téléphoniques interviendra aussitôt après la réception par les centres MSAN réalisés dans les grandes agglomérations de la wilaya des équipements de haute technologie nécessaires, a-t-on fait savoir de même source. Le système MSAN démarrera dans la ville de Tébessa, avant de se propager dans 10 autres villes devant être dotées en fibre optique, avant de se déployer progressivement dans 17 autres localités –du moins, c’est ce qu’on espère - Au total, ce sont quelques 15.235 abonnés répartis, dans une première étape, sur 11 localités qui auront la chance d’être les premiers à bénéficier des avantages offerts par ce système, qui permet un accès rapide à Internet et à la TNT (Télévision Numérique Terrestre). La 12e Wilaya d’Algérie dispose, pour l’heure –et mon petit doigt me dit que cela le restera encore pour longtemps-, d’un réseau de fibre optique de 429,1 km dont la pose avait été entamée en 2000 sur un linéaire de 30,8 km, a-t-on également indiqué, soulignant que ce réseau couvre environ 40 % des besoins de télécommunications dans la wilaya de Tébessa –ce qui reste malgré tout peu- La densité téléphonique moyenne y est de 5,6 lignes de téléphone pour 100 habitants. Source
  14. 70 milliards de dinars pour refaire une beauté au tourisme algérien Le tourisme algérien serait l’un des secteurs les plus rentables en Algérie selon le ministre du Tourisme et de l’Artisanat qui a décidé d’investir 70 milliards de dinars pour rénover les hôtels algériens. 75 000 lits supplémentaires sont prévus pour les hôtels algériens / DR L’Algérie devrait augmenter son offre hôtelière de 75 000 lits supplémentaires, afin d’obtenir une capacité d’accueil de 120 000 lits à l’horizon 2020 selon le quotidien L’Expression qui cite Mohamed Benmeradi, le ministre du tourisme et de l’artisanat. Si le secteur touristique est si rentable on ne peut pas dire que l’Algérie l’exploite au maximum de ses capacités. Au-delà de prestation moyenne, l’offre hôtelière en Algérie reste restreinte, trop peu de lits sont proposés, ce qui n’incite pas les touristes à se rendre en Algérie, lorsque ses voisins maghrébins offrent de plus nombreux services et à des prix plus raisonnables. Même les Algériens préfèrent le tourisme à l’étranger que dans leur propre pays, par exemple ils étaient 700 000 à se rendre en Tunisie en 2012. Investissement en masse sur le secteur hôtelier Pour le moment l’état algérien mise tout sur le secteur hôtelier qu’il considère comme « stratégie (qui) a pour objectif de booster le tourisme qui est compté parmi les secteurs les plus rentables du pays avec une croissance estimée à 9% soit 4,2% sur 5% que représente le PIB hors-hydrocarbures», a précisé le ministre du tourisme, à la même source. Par ailleurs les chaînes hôtelières privées sont également de plus en plus attirées par l’Algérie. Le groupe Accor a annoncé vouloir développer 30 nouveaux hôtels en Afrique d’ici à à 2016, notamment en Algérie, ou il en a déjà ouvert un à Constantine. Source
  15. Les tarifs de Windows 8 Disponible le 26 octobre prochain, Windows 8 dévoile enfin ses tarifs suite au pré-commande lancées par quelques sites français comme rueducommerce ou materiel.net ! Si on connaissait le prix de la mise à jour du nouvel OS de Microsoft, 29,99 euros pour passer de Windows XP, Windows Vista ou Windows 7 vers Windows 8 Pro (dématérialisé), ou encore celui de de la mise à niveau pour les ordinateurs achetés récemment, 14,99 euros; nous ne connaissions pas encore le prix réel de l’OS en version boite. Sachez donc que si vous disposez d’une licence authentique de Windows 7, Vista ou Windows XP, et vous souhaitez passer à Windows 8 Professionnel, il vous en coûtera 59.99€ au lieu de 279.99€ ! Alors que si vous disposez d’un ordinateur équipé d’une licence Windows 8, et vous souhaitez passer à Windows 8 Professionnel, il vous en coûtera aussi 59.99€ au lieu de 159.99€ ! Ces offres promotionnelles seront valables jusqu’31 janvier 2013. Enfin, pour les fameuses licences OEM, Windows 8 sera proposé à 109.90 euros en version 64 bits, alors que pour la version Windows 8 Pro (32 et 64 bits) ce sera 159.89 euros. Source faut tout de même compter 0 euros sur le Algerian Store
  16. non mais faut comprendre que les algériens sont des purs consommateurs , beaucoup de sociétés étrangères l'ont déjà remarqué , tu leur ramène du n'importe quoi il l'achète , lah ghaleb . un Algérien achète un iPhone 5 pour avoir un iPhone 5 pas pour l'utiliser , Rare à une minorité qui utilisent vraiment les smartphones pour le Travail !!! l'iPhone 5 est sorti y a quelques semaines de ça et déjà on parle de lui en algérie , quand un Processeur ou une carte graphique haut de gamme sort , quand est ce qu'on commence à parler d'elle , après 1 an minimum (à part chez certains fournisseurs spécialisés dans ça qu'on compte au bout des doigts ) on trouvera nul part ! les laptops à base de sandy bridge c'est jusqu'à 2012 qui ont commencé à apparaître chez les vendeurs , le ivy bridge balak 2013 ou 2014 ..... pourquoi ce délaissement , et pourtant le pc c'est de la pur High Tech plus que les smartphones , ........ bein c'est simple , les algériens n'ont rien à cirer des PC's , ils veulent quelque chose qui se fait remarqué à l'extérieur et voilà et les vendeurs l'ont très bien compris !!!!! pourquoi mettre du poulet dans la Chawarma alors qu'on peut mettre les déchets de viande et vendre au même prix ?!
  17. on a pas signé non plus un contrat à 128 kbps la journée
  18. les USA aussi c'est pas une référence , le Japon , la chine , la Corée ça c'est une référence mais faut pas comparé n'importe quoi non plus , la ville de Hong Kong à elle seul possède toute la bande passante de l'Afrique et un abonné en chine est équivalent à 1000 abonnés chez nous (sans exagération) .
  19. Samsung officialise son Galaxy S III mini Samsung a officialisé la version 4 pouces de son Galaxy S III, qualifiée comme prévu de « mini ». au programme, rien que l'on ne connaissait pas déjà grâce aux multiples fuites de ces derniers jours. Le Galaxy S III mini est doté d'un écran AMOLED de 4 pouces et affiche une définition de 800 x 400 pixels. Il intègre un processeur double coeur cadencé à 1 Ghz, deux capteurs photo/vidéo de 5 mégapixels à l'arrière et VGA à l'avant, un flash LED, 8 ou 16 Go d'espace de stockage, des connectiques Bluetooth 4.0 et WiFi a/b/g/n, des puces GPS et NFC et un port microSD. Enfin, il dispose d'une batterie de 1 500 mAh et mesure 121,55 x 63 x 9,85 mm pour un poids de 111,5 grammes. Côté logiciel, on trouve Android 4.1 Jelly Bean accompagné de la traditionnelle surcouche logicielle TouchWiz de Samsung. Cette version 4 pouces du S3 n'est pas seulement plus petite, elle est également moins performante que le modèle de 4,8 pouces d'origine, testée dans nos colonnes en juin dernier. En conséquence, elle sera proposée à un prix moins élevé que celui du Galaxy S III de base, à savoir 429 euros pour la version 8 Go. Source
  20. Microsoft Office 2013 passe en version RTM L'équipe de Microsoft Office annonce que la prochaine version de la suite bureautique est désormais passée en RTM. Au mois de juillet Microsoft levait le voile sur les fonctionnalités qui ont été implémentées au sein de la nouvelle version d'Office et proposait une édition Consumer Preview au téléchargement. Sur le blog officiel de l'équipe de développement, Kirk Koenigsbauer, vice-président du département Office chez Microsoft, explique que la suite a été finalisée et vient de passer en version RTM (Release to manufaturing). Cela signifie que les logiciels seront déployés auprès des distributeurs OEM afin de les pré-installer au sein de Windows. Pour rappel, les applications reçoivent une nouvelle interface utilisateur en adoptant Modern UI. Microsoft promet une meilleure prise en charge des interfaces tactiles ainsi qu'une intégration plus poussée des services web. En effet, l'utilisateur sera en mesure d'y rattacher son compte Microsoft afin d'effectuer des sauvegardes en ligne et retrouvera des fonctionnalités de collaboration. Le nouvel Office intègre par ailleurs un kiosque d'applications codées en HTML, CSS et JavaScript, lesquelles permettront d'enrichir chacun des logiciels. Le nouvel Office sera commercialisé dans le courant du premier trimestre 2013. Microsoft ajoute qu'à partir du 10 octobre, les consommateurs achetant Office 2010 pourront migrer gratuitement vers la prochaine version. Notons qu'une version pré-finale sera installée sur les appareils adoptant Windows RT, lesquels seront disponibles le 26 octobre, au lancement de Windows 8. L'éditeur ajoute que les clients d'Office 365 recevront une mise à jour dans le courant du mois prochain. Les entreprises ayant précédemment acheté une licence globale pourront télécharger SharePoint 2013, Lync 2013 et Exchange 2013 à la mi-novembre, période à laquelle les abonnés à TechNet et MSDN seront en mesure de récupérer la version finale. Source
  21. Palaiseau, première ville à basculer vers le tout-optique D'ici à la fin 2013, tous les habitants seront éligibles à la fibre optique d'Orange. L'opérateur aimerait déconnecter la boucle locale cuivre un an plus tard. Palaiseau, « première ville en France 100 % fibre ». C'est sous ce slogan qu'Orange va tester, pour la première fois, la migration d'une ville entière vers la fibre, et rien que la fibre. Exit donc le cuivre, et bienvenu dans un monde tout optique. L'annonce de ce projet expérimental a été faite mercredi 10 octobre, dans la mairie de Palaiseau, en compagnie de Stéphane Richard, PDG de France Télécoms-Orange, Fleur Pellerin, ministre déléguée aux PME et à l'Economie numérique, Francois Lamy, ministre délégué en charge de la Ville, et Claire Robillard, maire de Palaiseau. Le calendrier du projet est précis. D’ici à la fin 2013, 100 % des Palaisiens seront éligibles à la fibre. Tous – particuliers, professionnels ou entreprises – auront donc accès à la fibre jusqu’à leur maison, leur palier ou leur site. Le raccordement définitif de la population est prévu pour 2014. Tout le monde aura alors une prise optique chez lui. L'objectif ultime étant, bien sûr, de débrancher les prises de cuivre, pour ne pas avoir à exploiter deux boucles locales. C'est d'autant plus intéressant que, selon un porte-parole d'Orange, le réseau fibre sera moins coûteux à maintenir que celui en cuivre, plus sensible aux détériorations. Palaiseau, un « cocktail de diversité » Si Orange a choisit Palaiseau, ville moyenne de 30 000 habitants, c'est pour sa singularité en termes de population et d'activités. « Avec 16 000 logements, dont 4 500 pavillons, et 1 000 professionnels et entreprises, Palaiseau est un véritable cocktail de diversité tout à fait représentatif du déploiement de la fibre optique », explique Patrick Roussel, directeur de la stratégie et du développement chez Orange. L'opérateur pourra donc tester, dans un même espace, un grand nombre de procédures techniques, réglementaires et tarifaires différentes, en fonction des usages qui perceront (ou pas). A ce jour, le déploiement dit « horizontal », c'est-à-dire jusqu'au pied des bâtiments, est presque terminé. Le plus grand obstacle qu'il reste à franchir est celui des syndicats de copropriétaires dans les logements collectifs. Il faut compter au minimum un an pour obtenir le feu vert dans les assemblées générales. La fibre au prix de l'ADSL Ensuite, pour inciter les particuliers à sauter le pas, Orange promet qu'ils pourront bénéficier d'offres d'accès en fibre optique au prix de l'ADLS. Mieux : même les abonnements purement voix seront remplacés par leurs équivalents en fibre optique. Exemple : les seniors qui n'ont qu'un téléphone mais pas d'internet pourront, à l'avenir, passer leurs coups de fil via la fibre optique, avec le même terminal et pour le même tarif. C'est un peu comme faire du vélo sur une autoroute. Un vrai luxe ! Sur Palaiseau, Orange est un opérateur dit de zone. Les 26 opérateurs de boucle locale cuivre présents sur la commune pourront donc utiliser l'infrastructure optique à travers des accords de cofinancement. A ce jour, seul SFR a signé un tel accord, Free se montrant intéressé. Selon l'AFP, le coût de déploiement du réseau de fibre optique à Palaiseau est de l'ordre de 13 millions d'euros, y compris le raccordement. Source
  22. euuuuh on se moque des novices ? on a pas l'esprit de partage ? tu vises une certaine catégorie de gens peut être , mais généralise pas cette phrase , y a des gens ici qui sacrifient leur temps pour tenir les gens comme toi informer de ce qui passe en dehors de leur chambre à coucher , un peu de reconnaissance ne fait pas de mal. maintenant , pour en revenir au sujet , ton post est incohérent , c'est quoi ton problème au juste ? tu payes 1 Mbps et on te donne 0,97 Mbps , on ta volé 30 kbps (même pas 4 ko/s) , c'est la fin du monde , y a des gens qui ne reçoivent même pas 4 ko/s en download et ton upload 260 kbps , c'est l'un des meilleurs upload en algérie. N.B : ne pas connaître quelque chose, c'est pas grave il n y a aucune honte à avoir car on peut pas connaître sans passe par l'étape "ne pas connaître" , la connaissance vient de l'ignorance.
  23. Facebook : une panne en Europe revendiquée par un Anonymous Dans la nuit du 11 au 12 octobre, les services de Facebook ont été coupés en Europe. Un hacker revendique une attaque, mais la société évoque un problème lors d'un test d'optimisation. Pendant quelques heures, les services de Facebook ont été affectés en Europe dans la nuit du 11 au 12 octobre 2012. Sur Twitter, l’information s’est répandue comme une trainée de poudre. Cette panne aurait touché plusieurs pays parmi lesquels la Suède, le Danemark, l'Irlande, la Norvège et le Portugal. Facebook ne précise pas si le problème a touché d’autres pays, mais sur Twitter, des utilisateurs français disent avoir constaté un dysfonctionnement. La société a donné sa version dans une communication. Elle explique qu’un « changement de DNS dans le cadre d'un test d'optimisation du trafic a entraîné des coupures temporaires chez certains utilisateurs. » Elle ajoute que la panne a été détectée et résolue. « Nous sommes maintenant de retour à 100 pour cent, et nous nous excusons pour tout inconvénient. » Pourtant, sur Twitter un internaute qui se revendique des Anonymous affirme être l’auteur de cette coupure. Facebook a formellement démenti cette déclaration. Source
  24. Firefox 116 je sais pas mais Firefox 17 est prévu au mois de Novembre prochain
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