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Hicham

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Tout ce qui a été posté par Hicham

  1. le Résultat pour l'algérie est exceptionnellement Faussé à cause des ip's dynamiques (et oué mazal ip Statique n'est pas arrivé chez nous , réservé aux pays moutaqadimin) donc une Personne ayant la fibre optique ou FTTH peut faire des centaines de tests et donc faire augmenté le débit moyen . c'est pour ça que Médéa est classé 1 ère en Algérie , parce que Médéa est équipé en FTTH (20 Mbps)
  2. Azouaou Mehmel : "Algérie Télécom doit d’abord se réconcilier avec ses clients" Les réflexes administratifs persistent encore à Algérie Télécom (Ph. A. Zahar) Dix ans après la création d’Algérie Télécom et son passage au statut de Société par action (Spa), les réflexes administratifs persistent. De l’avis même de son PDG, Azouaou Mehmel, nommé en avril dernier, le client est encore considéré comme "simple usager". Ce qui n’empêche pas AT d’avancer à petit pas et d’innover, ne serait-ce que pour introduire de nouveaux moyens de paiement des factures, pour soulager les chaines dans les agences commerciales. Comment va Algérie Télécom depuis votre nomination en avril dernier ? Azouaou Mehmel : Tout le monde connaît Algérie Télécom, à travers les services quelle propose. Ce n’est pas pour cacher les insuffisances, mais il faut comprendre que l’opérateur est issu de l’administration publique. Donc les réflexes administratifs persistent encore. Tout un travail d’accompagnement n’avait pas été fait à l’époque (du passage au statut de Spa, ndlr), pour lui donner les réflexes d’une entreprise commerciale et une organisation adaptée à celle d’un opérateur de télécommunications. Maintenant, on voit qu’on ne peut plus continuer à travailler de cette manière. C’est à dire ? On oublie que le facteur humain est essentiel pour le développement d’une entreprise. On a plus tendance à investir dans la technologie que dans la ressource humaine. De plus, les besoins ont évolué. Le pays est vaste. Il nécessite des investissements assez importants. A un certain moment, Algérie Télécom (AT) n’avait pas beaucoup investi dans la boucle locale. Avec l’engouement pour l’Adsl, il y a une pression terrible sur le réseau filaire, ce qui n’était pas le cas deux à trois ans après la création d’AT, en plus avec le développement de la téléphonie mobile, cela avait donné un semblant d’amélioration de la qualité de service. Maintenant qu’il y a un déséquilibre entre l’offre et la demande (pour l’Adsl), la société n’a pas pu suivre cette demande, en raison justement des procédures. Les procédures administratives ? Entre autres. Il y a aussi le personnel qui doit être formé à la réalité d’une entreprise commerciale. Oublier qu’on a affaire à un usager mais à un client. Mais en plus, acquérir le réflexe d’une entreprise qui intervient dans un environnement fortement évolutif en terme de technologie et d’usage. Tout le monde veut Internet, y compris ceux qui se contentent de connecter leurs démodulateurs numériques pour recevoir les chaines cryptées. Comment votre discours, depuis celui du 1er avril 2012, est-il perçu par le personnel d’Algérie Télécom ? Y a-t-il des résistances ? C’est normal. Vous allez dans toutes les entreprises du monde, il y a toujours des réticences aux changements. Il faut juste savoir être persuasif, montrer, par des exemples d’autres opérateurs, que le changement doit intervenir. On n’invente rien. Il s’agit d’organisations et de réflexes standards. Il faut se débarrasser d’un état d’esprit du fonctionnaire qui a en face de lui un simple usager et passer à l’attitude d’un acteur commercial qui a en face de lui un client, à qui il doit une qualité de service que paye ce client. Où en est le déploiement du MSAN ? On a un projet de 900.000 accès qui est en cours de déploiement. Bien sur les procédures gagneraient à êtres changées. Avec l’expérience des 900.000 accès, nous sommes entrain de capitaliser sur les erreurs et les procédures à suivre. Les erreurs sont internes ? Elles sont internes et même d’autres secteurs. Vous voulez déployer des équipements, il vous faudra des sites où les installer. Ce n’est pas évident de disposer de ces sites avec la célérité qu’il faut. Nous avons également appris comment gérer les projets à l’avenir. Il faut être proactif. Actuellement, nous sommes tellement noyés par les problèmes que nous faisons plus dans la réactivité. Algérie Télécom doit sortir de ce cycle, et aller vers la prospective, voire les plans de développement des projets (industriels ou à usage d’habitation) pour anticiper et déployer des réseaux de nouvelle génération, et ne pas attendre que la demande s’exprime pour commencer à travailler. Nous sommes une entreprise commerciale, nous devons allez vers le client. De récentes études placent le débit Internet en Algérie dans le bas du tableau mondial. Comparés à nos voisins marocains, par exemple, nous sommes loin en terme de qualité. Pour comparer entre les deux pays, il faut voir le nombre d’internautes et l’architecture du réseau comment elle est faite. AT offre l’Adsl à Tamanrasset et Tindouf. Pour le Maroc, il faut voir comment le secteur des télécoms a évolué chez eux. Dans les années 90, le secteur est sorti du statut d’administration en devenant un Office (Office national des postes et télécommunications, ndlr) puis, en 1999, il y a eu création de Maroc Telecom dont le capital a été ouvert en 2001 (entrée de Vivendi, ndlr). Ce qui fait qu’ils n’ont plus les mêmes mécanismes de fonctionnement que nous. Algérie Télécom a le statut de Société par action (Spa), elle a une autonomie de gestion, mais comme je vous l’ai dit, c’est un état d’esprit, sans compter le cadre économique qui bride un peu les gens. Vous visez la réglementation des marchés ? Bien sûr. La règlementation des marchés ne permet pas de suivre la demande. Il y a une cadence d’évolution qui n’est pas corrélée à celle de la croissance de la demande en terme d’accès et d’usage (débit). Avec les procédures actuelles, pour lancer des plans d’investissements, il n’est pas possible de suivre la cadence. D’où le déséquilibre entre l’offre et la demande. Quel est le volume d’investissement annuel d’AT ? On avait un plan d’investissement qui dépassait les 100 milliards DA sur trois ans. Mais il est entrain d’être revu. Il y a la mise à niveau, l’assainissement et l’extension des réseaux d’accès et de transport, et toutes les solutions de services. Aujourd’hui, on investi uniquement dans la partie infrastructures, maintenant il faut penser à tout ce qui est couches de contrôle, de service, et de contenus. Nous devons arriver à contrôle cette qualité de service et l’améliorer. Ne faut-il pas, comme pour Mobilis, faire jouer la concurrence à Algérie Télécom… La concurrence est bonne. Elle permet de secouer l’ordre établi pour évoluer. Mais ce qui serait bien, c’est que lorsque la concurrence est établie, il faut que les règles soient les mêmes pour tout le monde. Une entreprise publique a des contraintes spécifiques que les concurrents n’ont pas. C’est anti-concurrentiel. Cela étant dit, nous n’avons pas peur de la concurrence. Algérie Télécom est investie d’une mission. Elle doit assurer un service public. Mais après ça, c’est le marché. Il faut qu’elle soit compétitive. L’indicateur c’est le client. S’il est satisfait, c’est bon. Pensez-vous qu’il l’est ? Non, le client n’est pas satisfait. On le sait. On le reconnaît. Et ça ne date pas d’hier. On essaye d’améliorer les choses. La situation doit changer. C’est impératif. Qu’est-ce qui se fait pour que ça change ? Ce n’est pas apparent, mais beaucoup de choses sont entrain de se faire. Sur le plan de la formation et de sensibilisation des ressources humaines de l’entreprise pour changer d’état d’esprit. Qu’est ce qui empêche AT de lancer le paiement électronique et sur Internet de ses propres factures ? Ce n’est pas Algérie Télécom qui bloque le paiement sur Internet, qui n’existe pas encore en Algérie. Nous sommes entrain de développer des solutions alternatives. Dans un premier temps, nous allons permettre aux clients de payer leurs factures téléphoniques et leurs forfaits Internet dans tous les bureaux de poste. Et, pourquoi pas, étendre l’opération à d’autres partenaires comme les KMS et les Cybercafés. La solution des cartes de recharge aussi ? C’est possible. On envisage même le paiement à travers le crédit mobile. Nous sommes entrain de tester et de valider ces solutions avant de les lancer. C’est prévu pour quand ? Dès que possible. Avant la fin de l’année en cours, il y aura au moins un autre moyen de paiement que l’agence commerciale (Actel, ndlr). Il est anormal que l’on puisse payer les factures d’électricité et d’eau au bureau de poste et pas les factures de téléphone et d’Internet. Je voudrais aussi ajouter, que dans le cadre de l’amélioration de la relation client, nous mettront en ligne, dans environ deux semaines, un portail où les abonnés pourront mettre toutes leurs réclamations et doléances qui seront gérées à un très haut niveau pour qu’il y est un suivi, avec des réponses. D’ailleurs, en terme d’actions d’améliorations de la relation client, je ne sais pas si vous l’avez remarqué, l’accueil a changé quand vous appelez le service dérangement, « 12 », qui est désormais opérationnel de 8h à minuit. Mis à part une ou deux opérations, il semble que le déploiement du réseau triple play (Internet-Téléphonie et Télévision – FTTX) a été mis en berne. Pourquoi ? Il y a eu quelques opérations en partenariats avec un prestataire, mais là aussi, il faut prendre en considération le marché. Le FTTX on peut l’envisager pour le segment des entreprises, parce que c’est du très haut débit. Maintenant pour le résidentiel, on peut imaginer que le MSAN soit une forme de FTTX où il ne reste que le dernier km (entre l’armoire et le domicile du client) en cuivre. Nous pensons évoluer vers le FTTX (la fibre optique jusqu’au domicile, ndlr), mais là il faut que l’existence d’un contenu le justifie aussi. Dans le meilleur des mondes, est-ce que Algérie Télécom serait intéressée d’aller conquérir d’autres marchés, comme l’Afrique. Si c’est le cas, qu’est ce qui l’en empêche ? Bien sûr que ça nous intéresse. Mais il faudrait d’abord qu’Algérie Télécom conquiert sont propre marché, se réconcilie avec ses clients. Il y a quand même des actions qui son entrain de se faire. Nous sommes connectés vers l’Europe par plusieurs supports. Et il y a le projet de liaison de fibre optique Algérie-Nigeria (Alger-Lagos, 4500 Km) qui se fait dans le cadre du Nepad. On peut imaginer que le projet intéresserait aussi l’Afrique du Sud, pour l’étendre à plusieurs autres pays africains. Peut-on imaginer Algérie Télécom fournisseur d’accès Internet au Niger ou dans un autre pays africain ? C’est envisageable en fonction, aussi, de l’ouverture de ces marchés. Dans l’état actuel de la législation, AT a-t-elle les mains libres ? Algérie Télécom est une Spa. Elle a des organes sociaux, un conseil d’administration, une assemblée générale. C’est le propriétaire qui décide des investissements. Et si Algérie Télécom est capable d’investir ailleurs, je ne pense pas qu’il y aura des objections. Sur le plan des ressources humaines (technique et de gestion) en êtres vous capables ? Pas encore prêts. Techniquement si. Nous sommes de très bons techniciens, mais de piètres gestionnaires. Nous avons très mal investi dans la ressource humaine. Généralement, c’est le plus lourd investissement et le plus difficile à maintenir. Là aussi, nous avons un problème sur le plan de la rémunération et de l’intéressement. C’est très difficile de capter des compétences et de les retenir. Algérie Télécom, Mobilis, et autres, ont plus était des écoles de formation. Les ingénieurs viennent, se font les dents chez nous, après il y a des chasseurs de têtes qui les prennent ailleurs. Que disent les actionnaires sur le problème de rémunération ? Ils reconnaissent, mais que faire. Nous sommes une entreprise publique qui a un statut qui est le même que les autres entreprises publiques. Mais, les entreprises publiques en général, mis à part peut être le secteur bancaire, n’ont pas les concurrents que nous avons. Voilà, ce sont tous ces facteurs qui font que ce n’est pas facile de s’imposer et de s’affirmer. Cependant, si la tâche est difficile elle n’est pas impossible. Source
  3. A Suivre : http://www.forumdz.com/showthread.php?39724-D%E9bit-Internet-l-Alg%E9rie-en-douga-douga&p=269155&posted=1#post269155
  4. Anis + pas Anis y a pas de 2 Mbps chez Anis !
  5. pas la peine de faire tous ses calculs pour voir qu'en algérie on est mal barré ! regardez : le SMIG en france c'est 1500 euros / mois , en 1 ans , tu peux te payer largement un véhicule (18000 euros total). en algérie : le SMIG c'est 18.000 DA / mois , en 1 ans t'aura 216000 DA , même pas de quoi te payer un Bon Scooter. on va résumé avec la technologie pure , l'iphone 5 en france tu peux le payer avec un Demi Salaire mensuel , en algérie l'iphone 5 coûte 5 fois le salaire mensuel. vous voyez la différence en france ou en algérie , la Technologie coute vraiment rien , on peut tout avoir véhicules ..... etc , bon pour les appartements c'est partout pareil en france aussi ça coute cher mais le reste ..... biensur en france les charges ,la bouffe, l'éléctricité , le Gasoil , .... c'est là un vrai problème , chez nous c'est de ce coté là qu'on est gaté , la bouffe ne coute rien par rapport à la france , l'essence aussi , sérieux c'est pas l'arabie saoudite mais ça coute pas cher. si vous aimez mangé : venez en algérie . si vous êtes un Geek : cassez vous en France le calcul est fait
  6. Hicham

    frenchtorrentdb inaccessible?

    qu'est ce qui est trop cher et pas à la portée de tout le monde ?? Remarque : quand tu fais un Screenshot censure tout ce qui n'est pas utile !
  7. "peuple pauvre" c'est vite dit , quand on voit le pouvoir d'achat des algériens et nos rues pleines de voitures qui dépassent le Milliard on commence à se douter un peu ! mais peuple pauvre dans le sens où même avec de l'argent tu n'a pas ce qu'un européen peut avoir avec quelques euros , alors oui on est pauvre
  8. moi ce qui m'étonne c'est qu'à 76 ans il a toujours des pulsions sexuelles
  9. dommage que les gens se rapprochent de dieu que quand ils échappent à la mort ou quand ils perdent tout ce qu'ils ont !
  10. Pas de "bug" Facebook pour la Cnil La Cnil vient de rendre son enquête au sujet des critiques formulées par des utilisateurs de Facebook. Ces derniers estimaient que des messages a priori privés s'étaient retrouvés sur leur Timeline, lisibles de tous. L'autorité estime que ces messages ont bien été envoyés à l'époque de murs à murs. La Cnil a mené ses investigations et vient de livrer une partie de ses conclusions au sujet de la récente polémique touchant Facebook. Certains utilisateurs considéraient en effet que leurs messages privés apparaissaient dans leur zone de publication publique. Après un démenti formel du réseau social, la Cnil avait diligenté une enquête afin de tirer définitivement au clair cette histoire. La Commission estime ainsi que : « les messages incriminés par de nombreux utilisateurs de Facebook semblent être exclusivement des messages Wall-To-Wall et non des messages envoyés par l'intermédiaire de la "messagerie privée" de Facebook ». Elle concède néanmoins que « le caractère privé du contenu de certaines des communications révélées semble indiscutable. En d'autres termes, les utilisateurs avaient l'impression d'envoyer des messages privés lorsqu'ils utilisaient la messagerie wall to wall. » La Cnil affirme donc que certains utilisateurs ont donc pu redécouvrir ces messages lors du passage automatique à la Timeline. Elle demande à nouveau au réseau social d'être plus transparent quant à ses méthodes de diffusion de l'information de ses utilisateurs. L'autorité invite également ces plateformes à mettre en place des « paramètres par défaut protecteurs de la vie privée, en particulier lorsqu'ils modifient de manière unilatérale leur politique de confidentialité ». Mise à jour Facebook a rapidement répondu aux conclusions de la Cnil. Le service explique être satisfait de « l'aboutissement de nos échanges avec la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés (CNIL) qui ont permis de confirmer officiellement qu'il n'y a eu aucun "bug" ou défaillance technique rendant publiques les informations privées des utilisateurs de Facebook. Le bon usage de Facebook est notre priorité. Nous travaillons régulièrement et en toute transparence avec les autorités compétentes et les associations, en France et dans le monde, pour mettre en place des initiatives pédagogiques auprès de nos utilisateurs. » Le réseau social insiste également sur le fait que l'autorité irlandaise de protection des données (Irish DPA) avait précisé qu' il respectait la législation européenne relative à la protection des données. Source
  11. Inculpé de harcèlements sexuels : Le directeur de la chaine amazigh suspendu (officiel) Après le réquisitoire du procureur, la suspension conservatoire prononcée par le directeur général de la télévision. Une journée après le procès pour harcèlements sexuels au terme duquel le procureur a requis une année de prison ferme contre lui, le directeur de la chaîne 4 (amazigh), Said Larmani, a été suspendu de ses fonctions à titre conservatoire, a appris DNA de la direction générale de l’ENTV. Un intérimaire a été nommé. « Je vous confirme officiellement que j’ai pris une mesure de suspension conservatoire à l’encontre de M. Said Lamrani, directeur de la chaîne 4, affirme à DNA Tewfik Khelladi, directeur général de la télévision nationale. Cette mesure administrative prend effet à compter du lundi 1 octobre. » Said Lamrani, 76 ans, directeur de la chaîne 4 qui émet en berbère a été reçu dans la matinée du lundi 1 octobre dans le bureau du DG de l’ENTV pour se voir signifier cette mesure administrative. « Je l’ai convoqué pour lui annoncer qu’il est suspendu de ses fonctions dès lors que la justice a requis une peine de prison contre lui dans l’affaire qui le concerne, avance M. Khelladi. J’ai nommé Hadj Said Daoud en qualité de directeur intérimaire. Celui-ci occupait les fonctions de sous-directeur des programmes au sein de la même chaîne. » Le directeur de la télévision nationale qui a été nommé à ce poste en février 2012 précise que Said Lamrani n'a pas été nommé par décret présidentiel comme nous l'avions rapporté ici. Said Lamrani n’exercera plus de fonctions à la chaîne 4 jusqu’à l’annonce du verdict qui devra être prononcé le 14 octobre prochain. « Il n’est pas interdit de présence dans le siège, mais la convenance voudrait qu’il s’abstienne d’y venir », ajoute le directeur de l’ENTV. Tewfik Khelladi affirme qu’il est totalement opposé aux pratiques de harcèlements et d’intimidations, refuse de commenter l’affaire en cours et indique qu’il n’a pas reçu les plaignantes qui ont engagé des poursuites judiciaires contre M. Lamrani. Dimanche 30 septembre, le procureur du tribunal d'Alger a requis un an de prison ferme et 50 000 dinars d’amende contre Said Lamrani poursuivi pour harcèlements sexuels. Poursuivi sur la base de l’article 341 bis du code pénal, le directeur risque un emprisonnement de deux (2) mois à un (1) an et d'une amende de cinquante mille (50.000) DA à cent mille (100.000) DA. Le procès fait suite à une plainte introduite en août 2011 par deux journalistes et une scripte qui accusent le directeur de harcèlements, d’intimidations et de pressions sur leurs personnes. Dans des témoignages accordés sous le saut de l’anonymat à DNA, devant le magistrat instructeur ou au cours du procès du dimanche 30 septembre, les trois plaignantes ainsi que des témoins à charge ont raconté dans les détails les multiples pratiques auxquelles s’adonnent M. Lamrani au sein de cette chaîne qu’il dirige depuis plus de 3 ans. Pour sa défense, celui-ci a mis en avant la thèse d’un complot interne fomenté contre lui par des journalistes et des techniciens de la chaîne 4. Source
  12. L’Algérie dispose de 193 milliards de dollars de réserves de change L’Algérie est-elle encore plus riche ? Ses réserves de change pourraient le confirmer, car elles sont actuellement estimées à 193,7 milliards de dollars contre seulement 11,9 milliards de dollars en 2000. L'Algérie a gagné plus de 4 milliards de dollars dans ses réserves de change/ DR Le premier ministre Abdelmalek Sellal a indiqué que les réserves de change de l’Algérie ont atteint plus de 193 milliards de dollars à la fin du mois de septembre 2012. Un bilan positif puisqu’il est 10 fois plus élevé qu’il y a 10 ans. Moins d’endettement plus d’enrichissement L’économie algérienne a également connu une forte hausse de ses réserves de change depuis l’an dernier. Ses réserves, or non compris, étaient de 182,22 milliards de dollars à fin décembre 2011 et de 162,22 milliards de dollars à fin 2010. Entre 2011 et 2012, le pays aurait donc connue une hausse de plus de quatre milliards de dollars par rapport à la fin 2011. La dette extérieure de l’Algérie a quant à elle été ramenée à seulement 4,4 milliards de dollars, a précisé le Premier ministre, alors qu’elle avait atteint le seuil de 32 milliards de dollars au milieu des années 1990. Croissance économique assurée Ces chiffres prometteurs ont été assurés par une croissance économique soutenue. Ayant pour conséquence une chute du taux de chômage, qui est passé de 29,5% en 2000 à 9% en 2012, ou encore une augmentation du PNB (produit national brut) par habitant qui est passé de 1.540 dollars en 2000 à 4.003 dollars en 2012, d’après le premier ministre. Source
  13. Photos publiées sur les réseaux sociaux: TOUT CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR Publier des photos sur la Toile se fait de plus en plus en deux temps, trois mouvements. Depuis la généralisation des réseaux sociaux, de plus en plus d’internautes y mettent leurs photos pour permettre aux amis de les voir, de les apprécier et de les commenter. Des photos de vacances ou d’un événement heureux sont mis en ligne périodiquement. L’objectif est avant tout de partager des sensations et des émotions avec ses contacts. C’est le principe même des réseaux sociaux qui ont connu un succès phénoménal ces dernières années. Mais au-delà de ses aspects, une question revient avec insistance : à qui appartiennent réellement ses photos et surtout, que peuvent en faire les internautes qui les voient et les services qui les hébergent ? Lire les conditions d’utilisation Deux objectifs s’opposent diamétralement : rendre l’oeuvre accessible et reconnaître la contribution de l’auteur. La plupart des réseaux sociaux a établit des conditions d’utilisation qui requièrent que les utilisateurs cliquent et acceptent des clauses contractuelles rédigées dans des termes visant à restreindre de manière légale l’usage du contenu qu’ils sont en train de partager. En d’autres termes, chaque réseau est accompagné de sa propre série de conditions que les utilisateurs doivent accepter afin de pouvoir y accéder. Même si les utilisateurs conservent la propriété du contenu qu’ils publient, l’entité qui fournit le réseau social se voit accorder une licence non exclusive pour librement utiliser et distribuer le dit contenu, dévaluant alors la notion de propriété. Ce phénomène a été amplifié par deux facteurs : la généralisation des appareils photo numériques et la démocratisation de l’accès Internet haut débit. Il existe deux grands types de sites de partage de photos : ceux proposant un partage orienté vers la diffusion communautaire publique (Flickr, Panoramio, Drawin, Pinterest, ...) et ceux permettant une diffusion dans une communauté privée. Les photographes, et plus généralement les auteurs d’images, sont pour les droits d’auteurs parmi les répertoires les plus touchés par Internet: du simple téléchargement par « copier coller », en passant par les exploitations massives de leurs oeuvres par des sociétés commerciales qui agissent en toute impunité et le développement croissant des bases en ligne d’images fixes dites « libres de droits ». Le droit d’auteur et les réseaux sociaux ne font généralement pas bon ménage, puisque le réseau social a pour but de publier, d’exposer l’information, la photographie, alors qu’au contraire le droit d’auteur va consister à protéger au mieux l’oeuvre. Les réseaux sociaux obligent les internautes à accepter des conditions générales d’utilisation du site, des clauses contractuelles rédigées dans le but de restreindre l’usage du contenu qu’ils seront amenés à partager. Or, il apparaît que la plupart des réseaux sociaux ont inséré des clauses qui obligent l’utilisateur du réseau d’accorder au réseau et à ses affiliés une licence non exclusive, gratuite et définitive de leurs contenus. Ainsi, les utilisateurs restent propriétaires de leurs images même en les proposant sur le réseau. Les administrateurs du réseau pourront librement et légalement utiliser et distribuer le contenu alors même que le contenu reste de la propriété de l’utilisateur. La licence « non-exclusive » peut être résumée comme suit. Le service qui héberge la photo peut l’utiliser à des fins généralement définies dans les conditions d’utilisation (illustration, ciblage publicitaire, etc.). A partir du moment où la photo est rendue publique par son propriétaire, la licence non-exclusive s’applique aux autres utilisateurs du service. Le caractère « non-exclusif » de licence sous-entend que le propriétaire du cliché garde ses droits sur ce dernier et peut donc le proposer sous licence ou en autoriser n’importe quel type d’utilisation à un tiers. Ainsi, si l’internaute reste propriétaire de ses clichés, il accorde par exemple à Facebook le droit de les exploiter comme bon lui semble à partir du moment où les fichiers sont rendus disponibles par l’utilisateur. L’affaire Daniel Morel Un fait d’actualité avait suscité la polémique il y a quelques années. Un juge américain a tranché dans l’affaire qui oppose l’Agence France Presse (AFP) à un photographe professionnel : les conditions d’utilisation de Twitter ne permettent pas d’utiliser librement des photos publiées et créditées sur le site de microblogging, indique The Guardian. Daniel Morel, un photographe indépendant haïtien, avait porté plainte contre l’AFP. L’agence avait utilisé en toute impunité les photos du séisme en Haïti qu’il avait diffusées sur Twitter, via son compte Twitpic, sans jamais lui reverser le moindre droit d’auteur. Les photos en question, qui ont d’ailleurs fait « les Unes » des journaux du monde entier, avaient d’abord été reprises par un certain Lisandro Suero, simple internaute de République Dominicaine. L’AFP s’était ensuite servie chez cet internaute, ouvert à toute proposition, créditant les photos de son nom. Pour toute réponse à Daniel Morel, qui a dans un premier temps tenté de faire valoir ses droits, l’AFP avait répondu que les photos publiées sur Twitter «étaient libres de droit ». « L’issue de cette affaire aura des incidences pour tous ceux qui utilisent les réseaux sociaux et pour la pratique du journalisme sur Internet », avait indiqué Barbara Hoffman, l’avocate de Daniel Morel, au quotidien The Australian. Mais les réseaux sociaux sont d’abord une affaire de jeunes. En effet, ils sont bien plus nombreux à les utiliser très régulièrement pour poster des photos. Les Algériens publient le plus souvent des clichés d’eux-mêmes et de leur entourage proche (majoritairement de leur famille), avec un intérêt des internautes et des mobinautes à donner un sens à leur publication, souvent celui de faire le récit de leur quotidien et des événements marquants. Alors attention ! N’TIC Magazine vous conseille de publier vos photos avec…modération et surtout de bien lire les conditions d’utilisation. Source
  14. Le Pack N'ternet de Nedjma à 1 000 DA Nedjma propose à ses clients une nouvelle promotion concernant sa clé N'ternet. Elle vous sera proposée à 1 000 dinars seulement jusqu'au 29 octobre. L'opérateur donne à ses abonnés une nouvelle occasion de profiter d’Internet en mobilité et aux prix les moins chers du marché en lançant une promotion sur sa clé N'ternet. 1 000 dinars au lieu des 2 500 habituels. Rappelons que le Pack N’ternet de Nedjma vous offre la possibilité de choisir entre deux formules : - la formule journalière qui vous permet de vous connecter depuis votre ordinateur, en fonction de vos besoins, en achetant à votre convenance des forfaits Internet journaliers de 100 DA et de bénéficier, pour chaque forfait acheté, de 15 Mo d’Internet par jour valables jusqu’à minuit pour surfer, dialoguer et télécharger des fichiers etc.. Pour cela, il vous suffit d’envoyer un SMS au 305 via l’onglet de l’application de la clé Internet depuis votre ordinateur. L’offre a un engagement de 12 mois avec une utilisation moyenne de 3 fois par mois. - la formule mensuelle qui vous permet de profiter d’Internet mobile en illimité, avec un engagement d’une année, à raison de 2 500 DA par mois. Et pour vous garantir une plus grande facilité d’utilisation, vous pouvez payer vos forfaits ou vos mensualités via le rechargement électronique STORM, les cartes de recharges ou bien au niveau des Espaces Nedjma. La promotion Pack N’ternet est valable pour les particuliers et les entreprises. Elle est disponible dans tous les Espaces Nedjma, les City-Shops, les Espaces Services Nedjma (ESN) et les Points de vente à travers les 48 wilayas. Source L'Arnaque du Ramadhan a été fructueuse pourquoi ne pas renouveler ça ?!
  15. rien n'empêche de tenir un Fusil et tweeter en même temps
  16. The Pirate Bay n’est pas fermé juste une panne de courant ! The Pirate Bay (TPB) est encore inaccessible aujourd’hui, et ce depuis hier soir. Chaque fois que le site tombe en panne pendant plus de cinq minutes, les gens commencent à craindre le pire.. De plus, il y a aussi la coïncidence que des anciens responsables de The Pirate Bay aient été perquisitionnés par la police hier, ce qui a ajouté de l’inquiétude pour les inconditionnels utilisateurs du service. Mais, n’ayez crainte, les gens de The Pirate Bay sont là pour remettre les pendules à l’heure. En effet, ils ne semblent pas avoir été perquisitionnés par la police, et encore que le site The Pirate Bay est fermé. Alors, quel est le problème ? Selon TorrentFreak, et une publication ultérieure sur le mur Facebook du site indique qu’il s’agit seulement d’une simple coupure de courant. Pour l’instant, il n’y a rien à craindre ! Qu’en est-il avec l’ancien reponsable de The Pirate Bay ? Toujours selon TorrentFreak, la police aurait perquisitionné la société d’hébergement suédoise PRQ hier. Cette dernière était en train d’essayer de trouver des serveurs contenant des œuvres protégées. La société d’hébergement a été visée parce qu’elle a été fondée par deux co-fondateurs de The Pirate Bay, et utilisée pour héberger les serveurs de TPB en 2006. Plusieurs sites de torrent qui étaient hébergés sur les serveurs de PRQ ont été mis hors-ligne à la suite de la descente de police. Mais rassurez-vous, The Pirate Bay n’est pas hébergé chez PRQ, et une panne de courant est à l’origine de l’inaccessibilité du service. C’est un peu étrange que cette coupure ait coïncidé avec la descente de police, mais là il semblerait que ce soit réellement le cas ! Il faudra donc être patient avant de retrouver TBP… Source
  17. Iran : le blocage de Gmail tourne au comique En Iran, le gouvernement de Mahmoud Ahmadinejad s'apprête à faire marche arrière, après avoir annoncé le blocage de Gmail et Google. Les officiels du pays se sont rendus compte qu'ils étaient aussi utilisateurs des services de l'Américain, et les Iraniens ont acheté massivement des outils permettant de contourner le filtrage, pour accéder à leurs mails. Lundi dernier, nous rapportions que l'Iran avait pris une décision unique au monde, officiellement pour contrer la diffusion du film L'Innocence des Musulmans qui a provoqué la colère d'une partie du monde islamique. Plutôt que de bloquer simplement YouTube, qui était déjà inaccessible dans le pays depuis 2009, l'Iran a décidé de bloquer aussi Gmail et Google. La décision visait clairement à punir la firme de Mountain View, qui a aux yeux de l'Iran le gros défaut d'être américaine, mais officiellement il s'agissait d'éviter que les liens menant à la vidéo du film anti-islam puissent circuler (aussi absurde cela puisse paraître). "Google et Gmail seront filtrés à travers tout le pays jusqu'à nouvel ordre", avait annoncé sans ambiguïté Abdolsamad Khoramabadi, membre de l'organe iranien chargé de mettre en oeuvre la censure sur Internet. Or le blocage devient un véritable fiasco national, qui n'est pas sans avoir certains aspects comiques. Tout d'abord, l'AFP publie une dépêche dans laquelle elle raconte que l'Iran a fait demi-tour, après avoir expliqué qu'en fait, bloquer Gmail était une conséquence collatérale non voulue. "Nous voulions bloquer YouTube mais Gmail a été aussi bloqué, ce qui était involontaire", a assuré Mohammad Reza Miri, le responsable du blocage au ministère des Télécommunications. Ce dernier "cherche une solution technique pour régler ce problème afin de bloquer Youtube dans le protocole HTTPS et qu'en même Gmail soit accessible". Or si le blocage de Gmail était involontaire, pourquoi l'avoir annoncé avant-même sa mise en oeuvre ? Par ailleurs, Associated Press raconte qu'en fait, ce sont les officiels iraniens qui ont été les premiers à se plaindre du blocage de leur messagerie, et à faire remonter leur mécontentement au niveau du gouvernement. Les députés, en particulier, auraient été nombreux à trouvé quelque peu incommode que leurs e-mails soient inaccessibles. De plus, la première conséquence du filtrage a été une explosion du nombre de souscription à des services de proxy et/ou VPN, qui permettent de contourner les mesures de blocage imposées par le gouvernement. Samedi, l'hebdomadaire Asr-e Ertebat indiquait que les Iraniens avaient dépensé 4,5 millions de dollars dans des outils permettant de retrouver leur accès à des sites filtrés comme Facebook, Twitter, YouTube... ou Gmail. Source
  18. L'opérateur MTN Afghanistan l'a annoncé sur sa Page Facebook un Troisième Opérateur va lancer la 3G en Afghanistan à la fin de l'année c'est l'opérateur "Roshan" qui a reçu la semaine dernière sa Licence 3G Roshan se voit attribuer la licence 3G en Afghanistan - Nouvelle opportunité de développement pour son offre de services de télécommunications novateurs KABOUL, Afghanistan, 23 septembre 2012 /PRNewswire via African Press Organization (APO)/ --... KABOUL, Afghanistan, 23 septembre 2012 /PRNewswire via African Press Organization (APO)/ -- Fournisseur leader en matière de télécommunications globales en Afghanistan, Roshan a annoncé aujourd'hui que le Ministère des Télécommunications et des Technologies de l'information (MCIT) avait octroyé à la société une licence lui permettant de développer plus avant, grâce à la plateforme 3G, ses offres de services de télécommunications novateurs, qui triomphent déjà sur le marché national. C'est à Kaboul, au Ministère des Télécommunications et des Technologies de l'information, lors d'une cérémonie de signature présidée par son Excellence, le ministre Amir Zai Sangin, et par d'autres hauts dignitaires ministériels que Roshan a fêté l'attribution de cette licence. La société prévoit de commercialiser ses services 3G d'ici la fin de l'année. Roshan propose aux particuliers comme aux entreprises afghanes une large gamme de plateformes de données fiables. Récemment, Roshan a lancé « Kahkashaan », une palette innovante de services de portails Internet permettant à ses clients d'avoir accès à de nombreuses informations depuis leurs téléphones portables, notamment des sonneries, des images, des jeux et des applications. La société fut également la première à introduire BlackBerry en Afghanistan, ainsi que M-Paisa, service de paiement par téléphonie mobile. « Nous nous réjouissons de pouvoir proposer la technologie 3G aux six millions de clients que compte aujourd'hui Roshan. Grâce à un accès plus large à des produits fournissant des données en abondance et à des solutions convergentes, nous pourrons désormais répondre à leurs attentes », souligne Karim Khoja, président directeur général de Roshan, lors de la cérémonie. « Cette licence vient non seulement renforcer encore davantage les services de télécommunications de Roshan, fiables et extrêmement performants, mais elle complète également parfaitement notre réseau existant ultramoderne et qui propose à l'heure actuelle la meilleure couverture, la plus étendue et la plus fiable, dans l'ensemble des 34 provinces du pays », précise en outre M. Khoja. « La technologie 3G est absolument essentielle à la croissance économique et au développement de l'Afghanistan dans de nombreux secteurs, de l'éducation à la santé, sans oublier le commerce » indique son Excellence le ministre Amir Zai Sangin. Il ajoute ensuite : « En octroyant cette licence à Roshan, nous prenons part à la révolution du réseau mobile à large bande, développant ainsi les services de télécommunications du pays et leurs capacités, dans le but d'améliorer la vie des citoyens afghans pour qu'ils puissent rester en contact au niveau national et international ». À propos de Roshan Roshan (Telecom Development Company Afghanistan Ltd) est le fournisseur de services de télécommunications leader sur le marché afghan, comptant plus de 6 millions d'abonnés actifs et une couverture de plus de 230 villes dans les 34 provinces du pays. La réussite de Roshan sous-tend véritablement la croissance et sert le développement économique à long terme du pays. Depuis sa création il y a huit ans, Roshan a investi plus de 550 millions de dollars en Afghanistan, devenant ainsi l'investisseur le plus important. La société est également le plus grand contribuable afghan, avec un impôt représentant près de 5 % des recettes nationales du gouvernement. En outre, Roshan emploie directement plus de 1 300 personnes (dont 19 % de femmes) et crée des emplois indirects pour plus de 30 000 personnes. Roshan est particulièrement impliqué dans la reconstruction et dans le développement de l'Afghanistan. Le Fonds Aga Khan pour le développement économique (Aga Khan Fund for Economic Development, AKFED), une branche du réseau de développement Aga Khan (Aga Khan Development Network, AKDN), est un actionnaire majeur de Roshan qui promeut des initiatives privées et la mise sur pied d'entreprises économiquement viables dans les pays en développement. Détenue en partie également par Monaco Telecom International (MTI) et TeliaSonera, Roshan met au service du pays une expertise internationale et respecte les normes les plus strictes en matière de qualité de réseau et de couverture pour le peuple afghan. Source en Tout c'est 3 Opérateurs qui lancent la 3G en Afghanistan , Etisalat en Mars 2012 , MTN en Octobre et Roshan en fin d'année !
  19. Le Rap c'est pas une insulte et c'est pas incompatible avec l'islam ?? Alors je vois pas ce que Booba attend pour se convertir
  20. Diam's elle chante pas elle Rap , et je sais pas si tu le sais mais le RAP c'est pas des chansons d'amour qu'on chante elle peut pas rester musulmane et rapper c'est contraire à l'éthique et à la Religion sans compter que la célébrité rend parfois fou et on sombre dans l'alcool la drogue , ..... , c'est ce qui lui est déjà arrivé alors , elle est obligé d'arrêter !
  21. HP lance une tablette Windows 8 facilement réparable Hewlett-Packard a annoncé lundi une tablette à destination des entreprises baptisée ElitePad 900. Celle-ci sera équipée de Windows 8 et a été conçue dans le but de pouvoir être facilement démontée. Le but, selon HP, étant de permettre le remplacement des composants sans forcement passer par le service après-vente. Avec sa tablette ElitePad 900, HP innove avec un concept encore rare sur le marché : proposer un produit dont les composants peuvent être facilement remplacés afin de réduire les coûts de maintenance. Pour cela, la firme s'appuie sur une stratégie baptisée "Smart Jacket". Proposée "de base" avec peu de fonctionnalités, la tablette pourra en effet être améliorée selon les besoins de l'entreprise qui l'utilise. Au programme par exemple, un dos de protection comprenant un lecteur de carte magnétique ou encore une coque antichoc pour l'utilisation du terminal sur des chantiers. Dans sa version originale, la tablette dispose d'un écran Gorilla de 10,1 pouces avec une résolution de 1280 x 800 pixels. Le dispositif utilise aussi un stylet électronique et se base sur un processeur dual-core Intel Atom Z2760 (Cover Trail) cadencé à 1,8 GHz. Côté poids, le produit pèse environ 680 grammes pour une épaisseur de 9,2-millimètres. L'autonomie n'est pas en reste puisque HP annonce 10 heures après une charge complète. Enfin, un emplacement pour carte SIM complète le tout. La tablette dispose également d'une caméra haute définition à l'avant et d'un capteur photo de 8 mégapixels sur la face arrière. L'ElitePad 900 devrait être lancée au prix de 699$ dans sa version 32 Go mais HP serait actuellement en train d'ajuster le prix. La tablette sera également disponible avec une capacité de stockage de 64 Go. Une fente pour carte SD permettra par ailleurs une extension de la capacité de stockage. Une tablette démontable pour faciliter les réparations "maison" Mais l'atout du produit reste la possibilité de démonter facilement la tablette afin d'y remplacer des composants tels que la batterie, l'écran ou encore la carte mère. Les tablettes, un peu comme les smartphones, sont généralement difficiles à entretenir et la plupart des fabricants, en cas de panne, procèdent à un échange matériel. Dans certains cas, la tablette peut même finir ses jours en simple presse-papier lorsque la garantie n'est plus valable. Mais HP a séparé la carte mère, l'écran, la batterie et la coque de sorte que l'ElitePad 900 peut être entretenue par les utilisateurs eux mêmes. "L'utilisateur gagne ainsi du temps en évitant une expédition au SAV et peut poursuivre l'entretien de sa tablette même après l'expiration de la garantie", déclare Ajay Gupta, directeur de produits commerciaux portables chez HP. Les différentes parties de la tablette sont maintenues par des loquets et des aimants en lieu et place des vis et un outil spécial fourni par HP permet d'ouvrir le terminal, donnant accès aux composants. "Si l'autonomie de la batterie, au bout de trois ans d'utilisation, n'est plus ce qu'elle était dans sa première année, vous pouvez la remplacer facilement. Si la carte mère doit être remplacée, vous pouvez en mettre une nouvelle. Vous pouvez même remplacer l'écran sans envoyer l'appareil au SAV et sans vous soucier de la sécurité de vos données" poursuit A.Gupta. HP se rapproche prudemment du marché des tablettes HP, qui revient avec prudence sur le marché des tablettes, entamera un vaste programme d'évaluation de sa tablette en l'envoyant à 2500 clients dans le monde pour tester le terminal avant sa sortie sur le marché. HP a choisi le processeur Cover Trail pour exécuter Microsoft Windows 8, que A.Gupta décrit comme un "système d'exploitation complet". "Le système d'exploitation est plus pertinent pour le marché des entreprises et s'inscrit dans les infrastructures existantes qui utilisent déjà des milliers d'applications Windows" poursuit-il. L'appareil peut également être rendu inaccessible en cas de perte ou de vol et HP travaille en ce moment en collaboration avec LANDesk sur les services de localisation. Les technologies Bluetooth et NFC seront en outre supportées. Source
  22. Open webOS sort en version 1.0... et tourne déjà sur Google Nexus La première version open source du webOS de HP est officiellement disponible. Elle peut être portée sur plusieurs types d'environnements. Les développeurs du projet Open webOS ont publié, il y a quelques jours, la version 1.0 d’Open webOS, la version open source de webOS. Exactement comme c’était prévu par la feuille de route annoncée en janvier 2012. Cette version 1.0 comporte au total 75 composants issus de webOS, soit 450 000 lignes de codes, accessibles sur le dépôt logiciel GitHub sous licence Apache 2.0. Par rapport à la version beta, des fonctions de base ont été ajoutées, comme l’e-mail ou le navigateur internet. Cette première version est compatible avec l’environnement de développement Enyo 2.0. Il intègre par ailleurs deux types de portage (build) : l’un pour les systèmes Linux embarqués (OpenEmbedded), l’autre pour des postes de travail Linux (Desktop). L’architecte en chef, Steve Winston, a d’ailleurs fait la démonstration d’Open webOS sur une station de travail HP à écran tactile. Mais ce n’est pas tout : Open webOS tourne aussi sur les téléphones Google Nexus. En effet, ne perdant pas une seule minute, les développeurs de weOS-ports.org ont immédiatement porté la version 1.0 sur ce type d’appareils, vidéo de démonstration à l’appui. Bon, c’est vrai, la réactivité de l’interface n’est pas encore au rendez-vous, mais les développeurs planchent sur la question... Dans les mois qui viennent, d’autres fonctions seront ajoutées, comme le support Bluetooth ou des composants audio. Source
  23. Brevets: Motorola perd une manche face à Microsoft aux Etats-Unis Une interdiction de vente de certains produits Microsoft, appliquée en Allemagne, ne sera pas transposée aux Etats-Unis. Motorola Mobility, filiale de Google, a perdu une manche vendredi dans une affaire de brevets l'opposant à Microsoft, la justice américaine confirmant qu'il ne pouvait faire appliquer pour l'instant une interdiction de vente de produits Microsoft qu'il avait obtenue en Allemagne. Motorola Mobility et Microsoft s'affrontent depuis plusieurs années en justice des deux côtés de l'Atlantique pour des questions de brevets. En Allemagne, un tribunal de Mannheim a tranché début mai en faveur de Motorola, interdisant à sa demande la vente dans ce pays de certains produits Microsoft, notamment le système d'exploitation Windows 7 et la console de jeux Xbox. Motorola avait to^^^^ois entamé sa procédure en Allemagne en 2011 seulement, alors que les deux groupes s'affrontaient déjà depuis près d'un an aux Etats-Unis dans une affaire plus large, portant sur des brevets valables dans plusieurs pays et qui devrait déboucher sur un procès plus tard cette année. En attendant, Microsoft avait obtenu au printemps devant un juge américain que l'interdiction obtenue en Allemagne ne soit pas appliquée, ce qu'a confirmé vendredi une Cour d'appel. "En fin de compte, cette affaire est un contentieux selon la loi des contrats de l'Etat de Washington, entre deux entreprises américaines", souligne la Cour dans sa décision. Elle relève également qu'en fonction de l'issue de l'affaire en cours aux Etats-Unis, "Motorola pourrait bien finalement pouvoir faire appliquer aussi l'interdiction (de vente de certains produits) en Allemagne". Source
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