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Hicham

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Tout ce qui a été posté par Hicham

  1. Hicham

    53.29 Mb/s

    même les européens n'ont pas pu réussir à dépasser les 30 Mbps avec l'ADSL et toi tu dépasses les 50 Mbps avec un vieux câble en cuivre d'algérie télécom ?? même les entreprises et les institutions tel que les universités .... etc qui sont abonnés au 100 Mbps et bien je peux t'assurer qu'ils n'ont jamais vu un débit de plus de 20 Mbps , et pour l'upload , 5 Mbps c'est le maximum en algérie même en fibre optique (la faible bande passante à l'international oblige cette restriction). et puis imaginons que tout celà est vrai , les modems sont synchronisés à 20 Max et en pratique c'est 10 Mbps pour la plupart et pour les modems d'AT n'en parlons pas ils ont leur propre limitation. en haut débit y a pas de recette miracle , si Algérie Télécom ne débloque pas une Somme d'argent et investir dans un câble à 1 Tbps , on pourra chanter tant qu'on veut y aura jamais de haut débit ! et puis comme je l'ai toujours dis , téléchargez un fichier sur internet et voyez la vitesse de téléchargement , vous serez vite fixé. @durn : tu peux nous donner les caractéristiques de ton modem , la synchronisation par exemple !
  2. internet explorer est mis à jour chaque année ou plus contrairement à firefox qui subit des mises à jours régulièrement (2 mois maximum) , donc ....
  3. olalala , j'aimerais bien savoir comment vous faites pour intégrer toujours l'islam et la chariya dans tous les Topics même quand ça n'a aucun rapport ?! c'est vrai que la Section "Guesra" permet de discuter de tout mais Tout est un Tout incomplet .
  4. on dit que le nombre mathématique "Pi" est un nombre infini , l'algérie vient de découvrir un autre nombre mathématique infini : le nombre "Dz"
  5. les films algériens sont presque tous en français (et quand ils parent arabe on dirait qu'ils se forcent) , je crois que bientôt on verra des films algériens sous titrés en arabe
  6. Allain Jules, l’homme qui a «tué » le président Bo^^^^^ika avec une rumeur, s’explique sur DNA Le journaliste Allain Jules La rumeur qu’il a balancée le 7 septembre aura provoqué un séisme médiatique en Algérie : Le président Abdelaziz Bo^^^^^ika serait décédé en Suisse, écrit le journaliste Allain Jules sur son blog. Reprise d’abord sur les réseaux sociaux, puis par des sites algériens, la rumeur sur la mort supposée du chef de l’Etat continue de provoquer des réactions en chaîne. D’autant plus que deux jours après, les supputations continuent. Elles continuent encore davantage que la communication officielle autour de la santé du président, voire de sa présence en Algérie, fait défaut. A DNA, nous avions délibérément choisi de ne pas traiter cette rumeur en tant que telle et tout le ramdam né autour de celle-ci. Mais dès lors que la presse continue d’en parler, d’éditorialiser, de s’interroger sur l’absence de communication officielle, nous avons donc décidé de donner la parole à la seule personne qui n’a pas été interrogée jusque là : Allain Jules, l’auteur de la rumeur qui a « tué » le chef de l’Etat algérien. Ce journaliste qui se revendique comme polémique, qui a déjà fait parler de lui notamment lors du conflit libyen en diffusant de "faux scoops", s’explique. DNA : Comment est partie cette rumeur sur la fausse mort du président Bo^^^^^ika? Allain Jules : Vous parlez de « rumeur » sur la fausse mort du président algérien ? La présidence de la République a-t-elle démenti ? Nous attendons de le voir en personne le 11 septembre prochain, d'après un message que nous avons reçu, quand il recevra le premier ministre du Qatar. Ainsi, nous ferons une ellipse et présenterons à nos lecteurs des excuses. Mais, sachez une chose, en tant que croyant, je ne peux souhaiter la mort d'une personne. Aviez-vous tenté de vérifier cette information auprès des responsables algériens? Si oui auprès de qui et que vous a-t-ont-ils répondu ? Oui mais, permettez-moi de ne pas vous donner les noms des personnes que nous avons contactées, mon confrère et moi, qui s'avère être un Libanais bien introduit dans les hautes sphères de l'administration algérienne. Les responsables algériens, pas moins de 5, nos téléphones portables peuvent être vérifiés en ce sens-là pour faire foi, nous ont presque répondu « nous ne savons pas », à la question de savoir si Abdelaziz Bo^^^^^ika était en Algérie ou à l'étranger. Dans votre article, vous citiez des « sources médicales » en Suisse. Or plus tard, vous expliquiez que l'info repose sur un seul coup de fil. C'est tout de même léger comme source d'information pour un sujet aussi sensible que la santé et la mort d’un chef d’État. Je sais. Mais, quelle est la personne qui était à l'autre bout du fil ? Loin du mystère et boules de gomme, c'est une personne bien introduite dans la sphère politique algérienne Et surtout crédible. Mais, de là à dire que ce sont des paroles d'évangiles, je ne m’aventurerai pas sur ce terrain. Je crois quand même que diffuser une rumeur au conditionnel fait partie de la prudence. Si certains esprits chagrins ne l'ont pas compris, je suis désolé. Je n'affirme donc rien. On vous accuse d'avoir propagé une information, d'avoir « tué » Bo^^^^^ika, sans l'avoir vérifié et recoupé. Pensez-vous avec commis une bourde. Vous croyez à cette fable ? Mon site fait 25 000 personnes en moyenne par jour, avec parfois des piques à 50 000. Est ce suffisant pour qu'on m'accuse d'avoir inondé des millions de personnes ? Ça n'est pas sérieux. Non, aucune bourde, à moins que je n'ai inventé la rumeur. Encore une fois, il serait prudent d'attendre. Plus de 30 personnes ont été contactées, dans l'administration, dans l'armée etc. J'écrirai au président algérien, pour m'excuser. Aviez-vous été contacté plus tard par des responsables algériens ? Oui, sous le coup de l'anonymat, nous avons reçu un démenti. Je n'en dirai pas plus. Vous vous réjouissez que les audiences de votre blog aient explosé. Vous dites même que l'Algérie « vous porte bonheur ». Cherchez-vous la gloire? La renommée? Faire le buzz? Susciter la polémique? J'ai lu ça. Il n'en est rien. Certains se permettent d'entrer par effraction dans ma petite tête. J'ai parlé des fréquentations parce que j'ai été surpris de voir des gens s'enflammer pour une brève écrite au CON-DI-TION-NEL. Non, je ne cherche ni la renommée ni le buzz, encore moins la polémique, même comme je me revendique et me réclame comme polémiste décomplexé. Si je voulais la gloire et tutti quanti, croyez-vous que j'allais voguer à contre-courant ? Au contraire, je n'allais jamais défendre ceux que le monde entier vilipende par des médias dont les journalistes ont baissé leur froc pour un plat de lentilles. Ce n'est pas mon genre. Source
  7. Bo^^^^^ika reçoit le nouvel ambassadeur de Belgique à Alger, met fin aux rumeurs sur son état de santé Le président Abdelaziz Bo^^^^^ika a reçu, ce dimanche 9 septembre, Frédéric Meurice, nouvel ambassadeur de Belgique à Alger, qui lui a présenté ses lettres de créance l'accréditant en sa qualité d'ambassadeur du Royaume de Belgique en Algérie, rapporte l’agence APS. L'audience s'est déroulée au siège de la Présidence de la République, en présence du ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, et du directeur de cabinet de la Présidence de la République, Moulay Mohamed Guendil, a précisé la même source. Plus tôt dans la journée, une source proche du gouvernement avait indiqué à TSA que le président Bo^^^^^ika devait recevoir, à la Présidence de la République, des ambassadeurs étrangers. Cette activité officielle, dont les images devraient être montrées à la télévision, met fin aux rumeurs sur la santé du chef de l’État. Source
  8. La guerre continue : Apple réduit ses commandes auprès de Samsung Après avoir remporté son procès américain contre Samsung, Apple réduit ses approvisionnements de puces en provenance du coréen pour son nouvel iPhone. Voici une des premières conséquences du conflit qui oppose Apple à Samsung : la marque à la pomme a décidé de réduire sa dépendance vis-à-vis de Samsung en diminuant le volume de ses commandes de puces mémoire pour son nouvel iPhone, selon une source proche du dossier rapportée par Bloomberg et Reuters. Le géant américain veut diversifier ses sources d’approvisionnement de composants. Samsung Electronics est l’un des premiers fournisseurs d’Apple : il produit des puces de mémoire vive DRAM et de mémoire flash NAND pour les iPhone et les iPad, toutes générations confondues. Selon le Korean Economic Daily, cité par Reuters, Apple a rayé Samsung des premiers fournisseurs du nouvel iPhone, au bénéfice des japonais Toshiba et Elpida, et du sud-coréen Hynix. « Samsung est toujours sur la liste des fournisseurs initiaux de puces mémoires (pour le nouvel iPhone). Mais les commandes d’Apple suivent une tendance baissière et Samsung compense ce repli auprès d’autres, notamment l’activité terminaux mobiles de Samsung lui-même ». Source
  9. Les corps communs de l’éducation en grève nationale du 16 au 18 septembre Le Syndicat national des corps communs et des travailleurs professionnels de l’éducation mènera, du 16 au 18 septembre, une grève nationale pour faire entendre ses revendications, annonce‑t‑il ce samedi 8 septembre dans un communiqué. Cette organisation syndicale représente, entre autres, les agents de l’administration, les travailleurs du service informatique et les agents de sécurité. Elle exige la révision de leur statut, de leur régime indemnitaire validé en conseil des ministres en février 2012 et l’intégration des corps communs dans le secteur de l’éducation. Elle réclame également la généralisation de la prime de rendement à 40 % au lieu de 30 %, une revalorisation du salaire de base pour les travailleurs et la prime du Sud. Le syndicat rappelle que ses revendications n’ont toujours pas été prises en charge. Il accuse certaines organisations syndicales d’utiliser les 130 000 travailleurs du secteur pour faire pression sur la tutelle en vue d’atteindre des objectifs personnels. Cette grève constitue un test pour le nouveau ministre de l’Éducation, Abdelatif Baba Ahmed, nommé la semaine dernière. Cette première confrontation avec la contestation dans le secteur de l’éducation sera déterminante pour M. Baba Ahmed, qui aura à gérer la grève et les revendications du syndicat. Son prédécesseur, Boubekeur Benbouzid, a souvent usé de menaces et de sanctions. Le nouveau ministre privilégiera‑t‑il le dialogue ? Source
  10. Hicham

    anis vers abis plus

    Fawri : 0/38 Easy : 0/35 Anis : 8/35 Anis + n'a rien avoir avec Anis , c'est le nom que donne AT au nouveau Réseau d'accès MSAN , il regroupe les 3 plateformes Easy , Fawri , Anis en une seule plateforme Anis Plus. le VPI/VCI pour Anis + c'est 0/38 (Confirmé)
  11. 8 millions d’élèves attendus dimanche pour une rentrée sans Benbouzid C’est la fin des vacances pour des millions d’enfants. Demain dimanche, quelque 8.300.000 élèves inscrits dans les trois paliers de l’enseignement rejoindront les bancs de l’école pour la rentrée scolaire 2012-2013. Ils seront 700.000 à aller en classe pour la première fois, selon les chiffres donnés par le ministère de l’Éducation. La rentrée scolaire de cette année intervient avec deux nouveautés. C’est la première rentrée scolaire sans Boubekeur Benbouzid comme ministre du secteur, depuis pas moins de 17 ans. L’ex-ministre de l’Éducation, recordman de longévité à la tête d’un portefeuille ministériel, ne sera donc pas dans les établissements scolaires demain, cédant la place à son successeur. Si les syndicats autonomes des enseignants ne risquent pas de le regretter tant leurs relations étaient constamment conflictuelles, il reste que les parents d’élèves ne peuvent être rassurés par ce changement à la tête du secteur, appréhendant une instabilité qui risque d’accompagner le changement, surtout que beaucoup d’entre eux n’ont pas connu un autre ministre que lui. La seconde nouveauté concerne la surcharge que connaitront les établissements scolaires, notamment les lycées et les CEM, dans au moins dix (10) wilayas du pays où les élèves s’entasseront à 40, voire 45 par classe. En raison du passage de deux groupes d’élèves au niveau secondaire (ceux ayant achevé le cycle moyen de l’ancien système et ceux du nouveau) et le non-achèvement des établissements secondaires en cours de réalisation, les classes seront surchargées notamment à Alger-est, Blida, Biskra, Djelfa, Jijel, Tiaret et Tébessa. Dans les autres wilayas, des mesures provisoires ont été prises pour faire face à ce problème, en attendant que les établissements à réceptionner seront achevés. La réception de certains d’entre eux est prévue pour décembre prochain, selon les services du ministère de l’Education. En tout, plus de 600 lycées sont attendus sur le territoire national. Source
  12. y a pas que le smartphone , ils ont aussi créé une tablette , et ils ont pour objectif de lancer un ordinateur à 100 euros .....
  13. en même temps c'est surement destiné à la consommation locale , ils n'ont pas l'intention de le commercialiser en amérique
  14. la chine c'est l'une des plus grosses puissances mondiales , tous leurs produits n'est pas de la contrefaçon , si tu mets le prix ils peuvent te faire des merveilles , faut pas confondre "made in china" exporté vers l'algérie et "made in china" exporté en europe , amérique ... etc.
  15. tout ça pour me dire que j'ai raison , bein fallait pas te déranger !
  16. il n'a pas fait de HS , il a juste corrigé quelqu'un , on appelle ça "avoir une discussion".
  17. @mahboul : que ce soit les citoyens qui ont décider ou bien la wilaya , on s'en fout el mouhim la ville est propre !!
  18. Le premier smartphone africain lancé au Congo Alors qu’elle avait déjà sorti la première tablette africaine, la société congolaise VMK en remet une couche avec le premier smartphone africain. VMK, la société congolaise qui avait lancé la première tablette africaine, vient de lancer Elikia (espoir en lingala, langue nationale de la République du Congo) lors d’une conférence de presse tenue à Brazzaville. Le Directeur Général de VMK Congo, Vérone Mankou, a déclaré lors de cette conférence de presse : « C’est un smartphone que nous avons-nous-mêmes conçu ici au Congo. En Afrique, il n’y a aucune entreprise qui l’a fait avant nous ». Le smartphone est cependant assemblé en Chine, car « les prix y sont très abordables ». Du côté des caractéristiques techniques, le smartphone se situe en entrée de gamme, écran tactile de 3,5 pouces, RAM de 512 MO, processeur de 650 MHz, et il tournera évidemment sous Android. Son prix est de 85 000 Francs CFA, soit 130 euros. Source
  19. Le site de la radio algérienne piraté Le site web de la radio nationale algérienne affiche désormais le message Hacked by SanFour 25. Ceux qui ont l’habitude d’écouter les émissions de Jil Fm en streaming sur le site web, peuvent désormais apprécier la chanson de Beyoncé »Halo « , en lisant un message laissé là par un certain sanfour25. L’ironie se trouve dans le message du hacker. Ce dernier s’adresse en fait à Algérie Télécom, l’unique ISP et s’indigne des coupures répétitives de sa connexion, de la bande passante faible, des prix élevés et du service de maintenance extrêmement lent. Voici donc le message dans son intégralité ( grossièretés censurées ). Source Bien fait pour leurs gueules
  20. Grande opération, aujourd’hui, à l’initiative de la wilaya Volontariat pour nettoyer Tizi-ville La ville de Tizi-Ouzou a droit, aujourd’hui, à un coup de lifting. Une opération de nettoyage, initiée par les autorités de la wilaya, qui vise à redorer le blason de la ville des genêts et tenter d’offrir à ses citoyens un cadre de vie beaucoup plus agréable. Il faut dire qu’il était vraiment temps, pour les autorités locales, de réagir face à la situation dans laquelle s’est retrouvée la ville de Tizi-Ouzou, devenue (on ne le dira jamais assez) un dépotoir à ciel ouvert, où même l’air est devenu irrespirable. Et ce n’est sûrement pas à cause de la grève des communaux, lancée mardi dernier, que les poubelles jonchent les rues de la commune. L’absence de ramassage des ordures aura, certes, permis une plus grande condensation des déchets, en tous genres, à travers les recoins de la ville des genêts, mais ce n’est pas à cause de ce débrayage que l’image du chef-lieu de la wilaya se retrouve ternie. La situation n’est, en effet, pas nouvelle à Tizi-Ouzou, le paysage à toujours été souillé par ces poubelles ménagères et autres détritus des commerces qui ornaient les trottoirs. Aujourd’hui, et pour la seconde fois cette année, les autorités de la wilaya vont, à coups de « balais », essayer de redonner au chef-lieu de la wilaya son charme d’antan. Un volontariat qui verra la participation de plus de 1500 personnes, mobilisés pour nettoyer plusieurs quartiers et artères de la ville. Pour l’occasion, des moyens humains et matériels sont prévus, avec le concours annoncé de certaines directions et autres associations, appelées à prendre part à cette action. C’est vrai que de simple actions de volontariat, qui ont lieu occasionnellement au niveau du chef-lieu de la wilaya, ne peuvent à elles seules parer définitivement au phénomène de la prolifération des déchets dans les lieux publics. D’autant plus que cette situation n’est pas propre à la seule ville de Tizi-Ouzou, mais au niveau de la wilaya toute entière. Ainsi, si le problème de ramassage des ordures peut être régler par une meilleure organisation des opérations de collecte et le concours des citoyens, dont le civisme peut changer beaucoup de choses, il n’en demeure pas moins que l’insuffisance, voir l’absence d’endroits adéquats pour contenir les tonnes de déchets quotidiens est à déplorer. Et l’autre phénomène qui nuit à l’image de la wilaya toute entière, c’est celui des décharges non contrôlés, que l’on rencontre pratiquement à chaque accès d’agglomération et de village. Selon les déclarations du premier responsable du secteur de l’environnement à Tizi-Ouzou, chaque village de la wilaya possèderait à ses alentours au moins une décharge sauvage. On peut donc estimer leur nombre, selon le même responsable, à plus de 1500 décharges. Ces dernières, en plus de nuire gravement au paysage, à l’air et à l’atmosphère, sont sources d’autres méfaits, tels les maladies. De nombreux sites illicites sont recensés à travers les quatre coins de la wilaya. Les plus importants demeurent ceux localisés au niveau des localités de Ouaguenoun, Aït Aggouacha, Bouhlalou, Yakouren, Souk El Tenine, Aït Chafaâ, Aghribs, Fréha, Azazga, Beni Zmenzer et tant d’autres. Et vu l’étendue de la catastrophe, des années ne suffiront pas pour réparer ce que la main de l’homme a causé à l’environnement. Une réalité qui interpelle les responsables, et avant eux, les consciences. La réalisation de sites d’enfouissement technique (SET) pour chaque localité, unique solution pour le traitement des déchets, tarde à venir. Même si certains ont vu le jour, comme celles de Tizi-Ouzou, qui couvre 9 APC, de Draâ El Mizan, qui prend en charge deux daïras, et d’Ouacifs avec 05 communes, la demande est, néanmoins, telle que ces SET ne peuvent accueillir tout les déchets de la wilaya. Source
  21. Google fête les quatre ans de Chrome Google célèbre le quatrième anniversaire de Chrome avec une machine à remonter le temps qui souligne les moments clés de l'histoire du navigateur. D'abord exclusive à Windows, la première version bêta publique de Google Chrome a fait son apparition le 2 septembre 2008. C'est to^^^^ois cette semaine que la firme de Mountain View a décidé de célébrer le quatrième anniversaire de son navigateur qui a gagné depuis de nombreuses plateformes, est devenu le socle du système d'exploitation Chrome OS. Pour fêter cet anniversaire, Google propose une sorte de machine à remonter le temps qui permet de voyager à travers les différents moments jugés clés de l'histoire de Chrome. L'équipe chrome y a dissimulé un cadeau spécial anniversaire : " si vous trouvez l'indice caché et saisissez le code secret ". La chasse est ouverte sur le site Chrome Time Machine spécialement conçu pour... Chrome. Au début de l'été, Google a revendiqué 310 millions d'utilisateurs actifs pour Chrome contre 160 millions un an auparavant. Source
  22. quel gâchis c'est ce qu'on appelle faire du bruit pour rien !
  23. Hicham

    anis vers abis plus

    amène ton modem chez AT pour le reconfigurer !
  24. 13 ans, 11 ministres de la Com : Le jour où Bo^^^^^ika a décidé de vampiriser la Communication En nommant ce mardi 4 septembre 2012 Mohand Oussaid Belaid comme ministre de la Communication à la place de Nacer Mehal, le chef de l’Etat aura désigné son 11eme ministre à la tête de ce département depuis sa prise du pouvoir en avril 1999. Onze ministres de la Communication en 13 ans, un record. Jamais depuis l’indépendance de l’Algérie en juillet 1962, un département ministériel n’a connu autant de valses, autant de titulaires. Pourquoi ? Parce que le président a toujours voulu gérer la communication et contrôler les médias, souffre que les médias le critiquent, ne supporte pas l’idée que ce pouvoir puisse lui échapper. Ce onzième remaniement au ministère de la Communication offre l’occasion de nous replonger au cœur d’un épisode, peu connu mais sans doute fondateur, qui remonte à juin 1999 au cours duquel le président a limogé son ministre de la Communication. Plongée dans un Conseil des ministres pas comme les autres. Premier Conseil des ministres Mercredi 29 juin 1999. Abdelaziz Bo^^^^^ika préside son premier Conseil des ministres. Remonté comme une pile contre les journalistes, le président se lancera dans une longue diatribe contre la presse de son pays. Les journalistes ? Il ne l’apprécie pas du tout. Mais alors du tout. Quatre mois auparavant, au cours d’un meeting électoral organisé dans le sud du pays, ne les a-t-il pas traités de tayabate el hammam (commères des bains maures) ? Et ce mercredi 29 juin, l’occasion est trop belle pour la dézinguer une fois de plus cette presse et de régler son compte à ce ministre de la Communication, Abdelaziz Rahabi. Trop ami avec les journalistes, trop généreux avec les médias, trop conciliant avec ces commères, M. Rahabi en aura pour son compte. Dans le bureau présidentiel Les hostilités du président contre la presse, contre ce ministre qui dépareille avec le reste des membres du gouvernement, commenceront avant même la tenue de ce conseil des ministres. Dans le bureau présidentiel d’abord. Selon les usages protocolaires, le chef de l’Etat s’entretient avec son Chef du gouvernement, Smail Hamdani, avant d’élargir la réunion au reste du gouvernement. L’entrevue dure presque une heure. Les deux hommes abordent les questions inscrites à l’ordre du jour du Conseil. Dans son bureau, Bo^^^^^ika se montre particulièrement préoccupé par un seul sujet : la communication. Pourquoi ? Parce qu’il juge que la manière avec laquelle est géré ce département ne correspond absolument pas à sa conception de la communication. Face à son chef du gouvernement, il critique violemment la presse privée et considère le ministre de tutelle comme l’allié de ces journaux qui ne cessent de le pourfendre avant même qu’il ne soit officiellement candidat à la présidentielle. Le chef du gouvernement fait la moue Bo^^^^^ika tranchant : « J’ai l’intention de récupérer le ministère de la Communication. » Smail Hamdani, fait la moue, s’y oppose avec tact, mais fermement : « M. le Président, je suis très satisfait du travail de mon ministre. Nous n’avons pas de problèmes avec la presse et je n’ai pas à me plaindre de lui. » Bo^^^^^ika attaque encore, mais cible cette fois-ci : « Rahabi est l’ami de la presse, ce n’est pas mon ami. Il l’a aidée matériellement. Il ne peut pas être mon ami.» Smail Hamdani est gêné par ces remarques, mais rien n’y fait. Il sait qu’il ne peut pas s’opposer au chef de l’Etat. Le Président a déjà pris sa décision. Il l’annoncera dans les minutes qui suivront cette rencontre. Les deux hommes quittent le bureau pour rejoindre les membres du gouvernement. Le président parle... Bo^^^^^ika fait son entrée dans la grande salle. L’ambiance est quelque peu tendue. Il salue l’assemblée et prend la parole. Les usages protocolaires expédiés, le Président évoque longuement la loi sur la concorde civile. Le temps est venu, dit-il, pour que les Algériens se réconcilient entre eux. Cette loi, explique-t-il, permettra aux terroristes ayant décidé de renoncer à l’action armée de regagner leur foyer et de reprendre leur place dans la société algérienne. Ceux qui s’y conformeront pourront bénéficier de la clémence de l’Etat. Emporté par son élan, Bo^^^^^ika se lance dans un long monologue sur la genèse du terrorisme qui frappe le pays depuis une dizaine d’années. « Si j’avais l’âge des terroristes, je serais certainement monté au maquis comme eux. » ...et choque Les propos justifiant le terrorisme ne suscitent pas de réaction parmi les membres du conseil. Un seul ministre prendra la parole pour donner son point de vue. « Attention, dit-il, il faudra juger ces gens. Ils ont les mains pleines de sang». Sa mise en garde passe inaperçue. Le président reprend la parole. De toutes les façons, dit-il, il fera aboutir son projet de loi. Il compte le soumettre dans les plus brefs délais aux deux chambres du Parlement avant d’organiser un référendum pour le faire approuver définitivement par le « peuple ». Le pouvoir, Bo^^^^^ika entend l’exercer pleinement. « Je ne suis pas un président stagiaire comme celui qui m’a précédé. » Pas un président stagiaire Silence. Puis murmures et chuchotements. Celui qui l'a précédé?! Certains ministres n’apprécient pas la réplique de Bo^^^^^ika et goûtent peu l’attaque perfide contre l’ancien président Liamine Zeroual, élu en 1995 et démissionnaire en 1998. « Il va trop loin. Il est indécent de s’en prendre ainsi à un homme qui a fait montre d’élégance en quittant le pouvoir», chuchote un ministre. Encore plus remonté, Bo^^^^^ika se lance ensuite dans une violente diatribe contre la presse non gouvernementale qu’il accuse de s’opposer à sa politique de main tendue à la mouvance is^^^^^^^. « La presse n’est pas reconnaissante de tout ce que je fais. Je ne comprends pas qu’on puisse aider des journaux qui nous tombent dessus tous les jours. Je ne comprends pas qu’on puisse aider une presse qui nous insulte tous les matins, une presse qui ne participe pas à la stabilisation du pays. » Il tape du poing Du poing, le président tape sur le pupitre, prend la pose, regarde ses ministres. Ses propos ? Ils visent indirectement Abdelaziz Rahabi. Les regards se tournent vers celui-ci, mais Rahabi ne bronche pas. Diplomate, ancien ambassadeur au Mexique et en Espagne, homme fin, cultivé autant qu’il est pourvu d’un humour taquin, le ministre de la Communication écoute calmement le Président parler. Et Bo^^^^^ika relance : « De toutes les façons, j’envisage de réformer totalement ce secteur. » Le chef du gouvernement qui subodore la décision, est mal à l’aise. Le président prend un air grave, balaie la salle de son regard avant d’annoncer : « J’ai décidé de recouvrer les attributions du ministère de l’Information et de nommer M. Rahabi, que je ne connais ni en bien ni en mal, ministre conseiller auprès du Chef du gouvernement. La charge du ministère de la Culture reviendra désormais à M. Salaoundji, que je ne connais ni en bien ni en mal, et que je n’ai jamais vu auparavant. » L’assistance est abasourdie. Bo^^^^^ika vient de limoger le ministre de la Communication en plein Conseil des ministres. « Je suis là! » Pendant un moment, la salle est plongée dans un long silence. Une voix s’élève du fond. Celle de Tidjani Salaouandji, ministre d’Etat aux Affaires étrangères. Il lève la main pour signaler sa présence. «Je suis là !», dit-il. Bo^^^^^ika le dévisage avant de lui signifier qu’il est choisi pour s’occuper uniquement du secteur de la Culture. Le ministre de la Communication est rouge de colère. Il fulmine. Il veut répliquer aux accusations du Président, mais se retient. Il se retourne alors vers un collègue, assis à côté de lui : « Mais pour qui se prend-il ce président ? Je vais lui rentrer dedans tout de suite. » Te voilà enfin débarrassé de Bo^^^^^ika Son collègue le dissuade. Un éventuel échange entre le Président et son ministre peut dégénérer. « Ne lui réponds pas, lui souffle à l’oreille ce ministre qui connaitra plus tard le même sort. Te voilà enfin débarrassé de Bo^^^^^ika maintenant que tu es nommé conseiller auprès du Chef du gouvernement ! Tu t’es débarrassé de lui. Ce qui n’est pas notre cas. » Le ministre de la Communication s’abstiendra de donner le change au président. Ambiance morose Le Conseil des ministres s’achève dans une ambiance morose. Bo^^^^^ika s’apprête à quitter les lieux sans mot dire. Il ne veut pas perdre son temps, pressé qu’il est de se rendre à une réception offerte dans une luxueuse villa d’Alger par Fatiha Boudiaf, épouse de Mohamed Boudiaf, président assassiné le 29 juin 1992. Alors que le président allait quitter la salle, le Chef du gouvernement s’approche de lui. Il veut lui faire part d’une observation : la tradition veut que le chef de l’Etat salue les ministres avant de prendre congé. Bo^^^^^ika est désarçonné par la remarque. Qu’à cela ne tienne ! Il s’exécute. Il passe devant ses ministres pour les saluer. Il s’attarde quelques secondes, un mot chaleureux pour les uns, taquiner les autres. Arrivé devant le ministre de la Communication qu’il venait de limoger quelques minutes plutôt, le président tend la main. L’échange est glacial, mais Bo^^^^^ika se montre doux comme un chat : « Comprenez que je sois le seul porte-parole du gouvernement. » Son désormais ex- ministre ne bronche pas. Il se retient devant ce Président qui, non seulement le critique, mais aussi le congédie sans aucune élégance devant ses partenaires. « Que Dieu vous en donne plus !», lui réplique le ministre de la Communication. Source
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