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koyot73

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Tout ce qui a été posté par koyot73

  1. pb résolu, j'ai echangé la barette de ram contre 2*512mo, mis en dual channel.
  2. bonsoir pour ta 2e question, c'est un minimum de 2 mois qu'il faut prendre.
  3. koyot73

    promo chez eepad demo offert

    Tu penses à qui ? on veut un/des noms . je pense migrer vers la box 2.
  4. oui j'ai y penser, egalement à flasher le bios de ma cm, est ce que c'est sans danger ? quelqu'un l'a déja fait ? j'attend vos conseils. merci. nb: je tourne avec windows 7
  5. koyot73

    promo chez eepad demo offert

    Si c'est gratuit leur demo, ça m'interresse. jusqu'a quand la promo ?
  6. je suppose que c'est analogue à mon cas de figure, rest à configurer les slots en dual channel. une idée ?
  7. koyot73

    Windows 7 RC le 10 avril 2009

    Je tourne depuis quelques jours sous la version 7022, je doit avouer que ça change de xp - vista connait pas - niveau ressource pas trop gourmand.
  8. je crois c'est un pb d'emplacement sur la carte mere. que pensez vous?
  9. oui je l'ai essayé seule, au demérrage c'est sans souci mais le pc plante juste aprés environ 5-10 mn. avec cpu-z la frq des 2ram tourne avec 267 mhz.
  10. salam alaikoum J'ai le même souci avec ma carte mere qui une gigabyte 945g-s3 avec 2 barette de 512 mo, quand j'ai rajouté une barette de 1gb : pc2 5300 ddr2 mon pc plante avec ecran bleu et avec "asymetric memory" . est ce un pb de compabilité ou une mise a jour du bios ? Merci de vos réponses. nb : les deux premieres ram DIMM1 512 Mo DDR2-533 DDR2 SDRAM (5-4-4-12 @ 266 MHz) (4-4-4-12 @ 266 MHz) (3-3-3-9 @ 200 MHz) DIMM2 512 Mo DDR2-533 DDR2 SDRAM (5-4-4-12 @ 266 MHz) (4-4-4-12 @ 266 MHz) (3-3-3-9 @ 200 MHz)
  11. http://www.youtube.com/watch?v=wx-HBsABhrw&feature=channel_page
  12. salamailakoum le HDD 500 go, il est de quelle marque ? WD ou seagate ou autre ? merci de répondre.
  13. salam alaikoum, voila j'ai decouvert ce logiciel trés pratique pour telecharger depuis des sites comme rapidshare et autres. http://jdownloader.org/fr/download/index
  14. chute de de débit, je down à 25ko/s , quelqu'un est-il dans le même cas ?
  15. koyot73

    ipod 30go/80go

    Bonsoir tous le monde, voilà je suis à la recherche d'un ipod 30 go ou 80 go avec un prix interessant, j'en ai trouvé sur le marché à 14000 dzd pour le 30 go et 19000 dzd pour le 80 go. merci pour vos réponses.
  16. merci pour les fonds d'ecran.
  17. Bien pratique le VirtualDub et trés simple.
  18. j'aime bien cette caricature de sine :
  19. salut wefix, tu peut menvoyer le lien en pm vu que la moderation l'a supprimé.

     

    merci

  20. Les GI’s ne sont pas les bienvenus en Afrique Triste activation pour l’AfriCom par Stefano Liberti George W. Bush voulait déployer les GI’s en Afrique à la recherche du pétrole et des matières premières. La création d’un commandement unifié des troupes US en Afrique était une priorité des deux dernières années de sa présidence. Le projet se bornera finalement à une réorganisation administrative, les États africains ayant refusé d’aide militaire généreuse de Washington. http://www.voltairenet.org/IMG/jpg/1-52.jpg Cérémonie d’activation de l’AfricCom (1er octobre 2008). De gauche à droite : amiral Mike Mullen (chef d’état-major interarmes), Henrietta H. Fore (directrice de l’aide internationale à l’USAID), Robert M. Gates (secrétaire à la Défense), porte-drapeau, général William E. Ward (commandant de l’AfriCom), sergent major Mark S. Ripka (AfriCom). Ils auraient voulu fêter la naissance de leurs activités sur le sol africain. Mais les responsables de l’AfriCom, le nouveau commandement pour l’Afrique créé par le département de la Défense, opérationnel depuis le 1er octobre 2008, ont du trinquer sur le sol froid de Stuttgart, en Allemagne, où la structure a du garder son quartier général, malgré elle. L’AfriCom avait été lancé avec l’objectif de « rationaliser la gestion existante » —jusque là les pays africains tombaient sous la compétence de trois commandements militaires US différents— et ceux, moins avouables, de contrôler les réserves pétrolifères du continent et de s’opposer à l’avancée chinoise dans la nouvelle lutte pour les ressources ; mais il a en fait connu un re-dimensionnement progressif et incoercible. Sa création a été annoncée dès février l’an dernier, avec de grands objectifs pour un avenir glorieux. « La base d’AfriCom sera installée sur le sol africain » avait déclaré le général William « Kip » Wald, ex-responsable des troupes US en Bosnie et vice-commandant européen, nommé pour diriger la nouvelle créature en vertu surtout de ses origines afro-américaines. « À partir d’octobre 2008, le commandement AfriCom sera installé en Afrique » avait repris en écho Jendayi Frazer, la sous-secrétaire d’État aux Affaire africaines. Au département d’État et à celui de la Défense, on semblait n’avoir aucun doute : les pays africains allaient se battre pour avoir la base d’AfriCom sur leur sol. Puis, face à une longue liste de refus, on a du peu à peu y repenser ; pour finir par admettre —il y a quelques mois, quand la situation était désormais définitivement compromise— que « pour le moment » la base d’AfriCom resterait en Allemagne. C’est l’Afrique du Sud qui allait entamer le chœur de critiques, par la déclaration de son ministre de la Défense qui avait affirmé que les pays africains « s’opposent à la création d’un commandement unifié sur le continent ». La position de Pretoria a été ensuite reprise par toute la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC), l’organisation régionale qui réunit 14 pays de l’Afrique australe. Suivie à très peu d‘intervalle par le non d’autres états de poids, comme l’Algérie, la Libye et le Nigeria. Tous pays qui non seulement ont exclus l’éventualité que la base d’AfriCom puisse se dresser sur leur sol mais ont aussi exercé une « persuasion morale » sur leurs aires d’influence respectives. C’est ainsi que la Communauté des États sahélo-sahariens (Cen-Sad) créée par la Libye, comme la la Communauté économique d’Afrique Occidentale (Cedeao/Ecowas) où le Nigeria a un rôle prédominant, se sont rangées officiellement contre la naissance d’AfriCom en Afrique. Finalement, un seul pays —le Liberia d’Ellen Johnson-Sirleaf, qui voyait dans la création du commandement une opportunité pour la reconstruction de son pays par ses amis de la bannière étoilée— s’est offert pour accueillir la base. Mais la carence en infrastructures dans un pays qui vient à peine de sortir d’une guerre civile dévastatrice, en plus de la contrariété suscitée chez les États voisins, a poussé le commandement à refuser l’offre de Monrovia. Il y a quelques mois, les anti-Africom avaient découvert un soutien inattendu de l’ex-président de la Banque mondiale, ex-secrétaire adjoint à la Défense et « faucon » impénitent de la première administration Bush, Paul Wolfowitz. « Je ne suis pas du tout convaincu qu’AfriCom, dont la création m’a pris par surprise, soit une bonne idée. Je peux parfaitement comprendre que les Africains, qui n’ont certainement pas oublié notre appui dans le passé à des dictateurs comme Mobutu, expriment une résistance à la présence de soldats américains (états-uniens, Ndt.) sur leur propre sol », avait déclaré celui qui a été l’architecte de la guerre en Irak. Aux critiques de Wolfowitz ont succédé celles de certains représentants démocrates, qui s’interrogent eux aussi sur l’utilité du nouveau commandement et qui, surtout, demandaient des comptes sur les dépenses et perspectives futures. « Il semble que nous soyons en train de créer AfriCom pour protéger le pétrole et combattre les terroristes, selon la même procédure erronée que celle avec laquelle nous sommes allés combattre des terroristes dans d’autres régions du monde » a dénoncé Stephen Lynch, représentant démocrate du Massachusetts. En effet, personne ne semble avoir de doutes sur les intentions réelles d’AfriCom : renforcer la présence militaire sur un continent de plus en plus important du point de vue géostratégique. Le vice président Dick Cheney l’avait déjà annoncé dans son National Energy Policy [1]en mai 2001 : les importations étasuniennes de pétrole du Golfe de Guinée doivent augmenter progressivement pour se substituer aux provisions de pays non fiables et peu amicaux, comme le Venezuela de Chavez. Ce qui, depuis lors, s’est produit de façon ponctuelle, même si ce n’est pas au rythme souhaité par le vice-président de Bush : les importations de brut d’Afrique de l’Ouest sont passées de 10 % en 2001 à 15 % actuels. AfriCom s’insérait aussi dans ce dessein général : établir des rapports militaires intégrés avec des pays producteurs et battre de vitesse la Chine dans la lutte pour s’accaparer le pétrole brut africain. La gifle du continent africain à propos de la création de la base n’est pas un bon signe pour les perspectives futures de Washington au sud de la Méditerranée.
  21. il y a mpc2000 , 108 rue des freres abdeslami vieux koube, il parait qu'ils ont des tarifs attractifs.
  22. Mais qui est Friedrich Ebert ? C’est un apprenti allemand, fils de couturier, qui découvre la misère du prolétariat et s’engage syndicalement dans son pays, participe à des grèves, défend le socialisme et les travailleurs pour finir premier Président élu démocratiquement en 1919. En 1924, la fondation Ebert est créée puis interdite par les nazis. Episode 1 : la fondation s’installe à Alger en 2002 alors que M. Sidi Saïd y est depuis des décennies. Episode 2 : Ramadhan 2008, la fondation programme une série de conférences avec des experts algériens sur le thème « L’Algérie de demain : relever les défis pour gagner l’avenir ». Etape 3 : M. Sidi Saïd s’énerve et, à partir du Club des Pins où il milite pour l’activité syndicale des ouvriers, somme la fondation d’arrêter de faire de l’ingérence, choqué que l’on puisse parler d’avenir et, surtout, de défis à relever. Episode 4 : la fondation s’explique. Grande amie de l’Algérie, elle a avec elle des relations de partenariat qui datent de la guerre d’indépendance. Episode 4 : connaissant les mœurs du système où la phrase d’un officiel a valeur de menace, la fondation prend peur et annule toutes ses conférences. Résultat 1 : le patron des travailleurs a bien travaillé. Il n’y a plus de conférences. Restent un concert de musique pour enfants aveugles, une exposition de vaisselle de la fin du XXe siècle et une rétrospective sur la poterie de Laghouat, des activités que M. Sidi Saïd semble préférer à ce qui touche aux défis à relever, bref, un riche programme culturel pour cette fin de mois de Ramadhan. Résultat 2 : dans cette triste histoire, on a au moins appris qui était ce Friedrich Ebert. Et que la fondation qui porte son nom a soutenu l’Algérie indépendante pendant les années 50. On n’a, par contre, aucune trace de M. Sidi Saïd pendant la Guerre d’indépendance. D’ailleurs, contrairement à celle d’Ebert, sa biographie est introuvable. Par Chawki Amari http://www.elwatan.com/Mais-qui-est-Friedrich-Ebert
  23. koyot73

    désinformation...

    c drole, mais justement j'etait entrain de regarder - de charger -cette video. en tout cas merci, moi j'ai prit mes distances avec les mainstream medias.
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