Lemrid

Lors de son passage à la télévision nationale, le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a étalé «toute sa puissance» à l’égard de l’opposition politique et des propositions de sortie de crise qu’elle a formulées. Mais, face à ce qllé jusqu’à désigner nommément «ces barons». Lui, «serviteur de l’Etat» comme il aime à se définir, n’avait pas suffisamment de courage politique pour nous ’il a qualifié d’«alliance de la mafia financière avec les barons du commerce», le Premier ministre a, par contre, montré toute l’impuissance de l’Etat et du pouvoir qu’il représente. «Difficile de le combattre, car le combattre frontalement, c’est la stabilité du pays qui est remise en cause», a-t-il déclaré. Attestation formelle d’impuissance et encore un aveu d’échec de l’équipe au pouvoir. Est-il besoin de rappeler que le pouvoir politique veut dire gouvernance économique ? De ce fait, la responsabilité de l’Etat est entière. Les barons de l’informel sont-ils à ce point puissants ? Capables de mettre en péril la stabilité du pays ! Ouyahia, dont la mission, en sa qualité de chef de l’Exécutif, est d’apporter des réponses claires à des questions aussi sensibles, s’est «réfugié» dans des interrogations. «La Banque d’Algérie a augmenté en octobre 2010 l’émission de billets de banque de 10 à 18 milliards de dinars par jour.» «Les fonds émanant des centres de chèques postaux ont quant à eux augmenté de 250%. Où va donc cet argent ?» Le Premier ministre, qui a emprunté la casquette de patron du RND le temps d’un débat télévisé pour s’exprimer sur «les questions de l’heure», n’est pas ammer ces prédateurs de l’économie nationale. «Le meilleur service qu’il puisse rendre à l’Etat et à la société est d’identifier ces barons de l’informel pour pouvoir les combattre», a commenté Mourad Ouchichi, enseignant d’économie à l’université de Béjaïa. «La transparence économique» dont a parlé Ouyahia exige de lui, justement, de dire la vérité, toute la vérité aux Algériens. L’informel qui gangrène la sphère économique n’est pas le fait du hasard. Force est de noter, à la lumière de l’intervention du Premier ministre, que l’économie informelle conséquence, entre autres, de la non-application des normes de gestion économique et des atermoiements des choix économiques, bénéficie une fois de plus du manque de rigueur politique des autorités gouvernementales. Ce n’est pas la première fois qu’un haut responsable du pays admet la fragilité de l’autorité politique face à la prolifération à grande échelle des pratiques économiques informelles. L’informel est aussi politique L’on se souvient que le chef de l’Etat, au début de son premier mandat, avait déclaré que «quinze personnes» ont fait main basse sur le commerce extérieur. Cela dénote de la manière avec laquelle les affaires du pays sont menées. Il est demandé aux gouvernants de prendre des décisions allant dans l’intérêt du pays et non pas des discours. Il n’est un secret pour personne que l’informel et tout le lobby qui s’est constitué autour prospère essentiellement dans la sphère spéculative (import-export). Il n’est donc pas totalement étranger au pouvoir politique. De nombreux économistes et acteurs politiques affirment que l’économie informelle n’a pas pu se développer sans connexion avec les cercles de décision au sommet du pouvoir. Cela a donné lieu à une accumulation primitive des richesses et à l’apparition d’une nouvelle caste d’affairistes dont la proximité avec le pouvoir politique est avérée. En somme, réduire l’influence de l’informel sur la vie économique et sociale du pays exigerait non seulement du courage politique, mais également une légitimité démocratique pouvant susciter l’adhésion de toute la société dans cette bataille. Mais force est de constater que l’informel, en Algérie, n’est pas seulement économique. Il est fondamentalement politique. Le système politique algérien se caractérise justement par l’hégémonie du secteur informel sur le secteur formel. Même les décisions politiques sont prises en dehors des institutions démocratiquement élues, du reste, inexistantes à cet effet justement. «Ce rapport entre l’informel et le formel est la source fondamentale de l’échec des réformes en Algérie», avait déclaré le politologue britannique Hugh Roberts à l’occasion de son intervention aux Débats d’El Watan. On ne peut pas prétendre lutter contre l’informel et s’opposer farouchement à toute réforme politique. Articles de Hacen Ouali publiés par Mondialisation.ca

Pour moins que ça (1000DA). Y'en a même qui ont fait bien plus pour des considérations autres que matérielles. Et pour information, cette pratique est utilisée, en Algérie, depuis un bon moment, et pour des raisons très différentes ( Par des Partis, des Élus, des Importateurs, des pseudo barons ... ) du moins, c'est ce qui a été prouvé après enquêtes approfondis. Le problème, c'est que de telles informations, sont rarement divulgués à l'opinion publique

1 - il sera bouche B, j'en suis s^r surtout si c un AOP. 2 - il se remettra à sa propre place, à savoir, orner le décor comme toujours

re, je cite cette exemple : juste après les émeutes de janvier, dans un commissariat de quartier, un citoyen civil costumé et banal ( qui peut être votre voisin ) arrive, indigné, dépose une liste de noms et de prénoms de présumés émeutiers ( quelques noms n'y était pour rien, juste peut-être querelles de voisinage avec le type, les autres avaient réellement participé aux émeutes ) Le type était un indic officiel. c'est comme ça que ça marche @bassim : un scan de rapport !!!!!!!!!! tu risque pas de le voir de sitôt.

J'ai dépassé ya bien longtemps l'age de l'imagination, d'ailleurs ceci n'est que la partie apparente de l'iceberg @bassim "ma théorie" est basé sur des faits, des rapports ... anyway, comme dit plus haut ceci n'est que la partie apparente de l'iceberg

re, Les importateurs ont provoqué, financé (1000DA par personne), encadré les émeutes en début d'année en payant des 3raya pour semer les troubles. Objectif : retirer les dernières mesures anti-informel. et ce n'était nullement une théorie de complot. ceci est juste un aperçu. quant à la suite, c'est un peu plus compliqué et dépasse le cadre de ce forum.

salam Plateforme de revendications réduite à de la mendicité usant d'un chantage flagrant envers l'état et abusant de la conjoncture actuelle, c'est à cela que se résume la "crise sociale" et autres mouvements de contestations, et ce à l'exception de la marche des étudiants. au faite, le soulèvement des étudiants est judicieusement calculé et provoqué par le clan du président à la suite du conseil des ministres en février dernier, dont l'objectif est de maintenir la pression intérieure, et servir d'appui pour les futures étapes. on est encore loin des revendications politiques qu'à devancé le Président en coupant l'herbe sous nos pieds et initiant, du moins en paroles, des réformes de fond..

salam relisez le discours d'investiture de 2009, c'est quasiment les mêmes points qui reviennent. la leçon : paroles, paroles, paroles ; quand passeront nous aux actes ??????????

http://www.lavieeco.com/news/economie/Rapport-sur-le-climat-des-affaires--les-explications-de-la-Banque-Mondiale-1729.html

@Papi La grande question : Devons nous franchir le pas et cesser toute résistance pour adopter à jamais les recommandations du FMI en matière de dev. Sommes nous assez matures et puissants pour subir les revers d'une mondialisation imminente

aperçu sur l'équipe de nabni Author Info Benhamouche, Zoubir Abstract http://www.cepremap.ens.fr/depot/couv_orange/co0209.pdf Nassim Oulmane Économiste à l'ONU, Nassim Oulmane a été membre de la Commission Économique au siège d'Addis Abeba. Il a en outre été Chargé de mission à la DGTPE, Ministère français de l’Economie et des Finances , et Attaché d’enseignement et de recherche à l’Université de Montpellier I. Il est actuellement Economiste principal à la Commission Economique des Nations Unies pour l’Afrique au bureau Régional d'Afrique du Nord à Rabat. Il enseigne également l'Economie internationale comme expert invité dans de nombreuses universités d'Afrique, ainsi qu'aux universités de Toulon et de Montpellier.

Nabni 2012 http://nabni2012.org/ Qui sommes-nous ? من نحــــــن http://nabni2012.org/nabni/qui-sommes-nous/ http://www.facebook.com/pages/Nabni-2012/164824686904041

L'ajout des non issus du domaine risque de créer des conflits ( voir les quelques comments ). Je crois que c'est une mauvaise idée. Consolidez votre communauté active pour le moment, élargissez là par la suite vers d'autres tranches.

Vous avez accomplis un exploit là d'ailleurs j'ai contacté tous mes amis issus de votre secteur pour rejoindre votre page continuez La journée don de sang doit aussi être divulguée et médiatisée PS : votre action entre dans notre optique http://www.forumdz.com/showthread.php?30931-En-nettoyant-le-bas-on-isolera-le-haut-...&p=208750#post208750

Le régime excelle dans une discipline qui s'appelle diviser pour régner ( le citoyen accuse le médecin, le médecin accuse le citoyen) remonter des tranches de la société contre d'autres ... @inoue23 Mon post ne te concerne en aucun cas, c'est un constat que je fais. Depuis le début des années 80 beaucoup de gens ont essayé de "comprendre les problème et de trouver les meilleurs solutions pour ne pas tomber dans la même galère" lors de leurs jeunesse et durant leurs études. Le constat est là : personne n'est arrivé à briser le cercle vicieux et à mettre en échec la machine qui génère la médiocrité, au contraire, durant cette dernière décennie, cette machine a fonctionné à plein régime. Le résultat est ce que nous vivons aujourd'hui.

salam La gestion du secteur qui a instauré une anarchie au niveau des Hôpitaux et différents services, et le plus important, remonter, réciproquement, les médocs contre les autres tranches de la société, est la seule à blâmer. Et pour ceux qui clament "commencez par vous même", je dirais que cela a été entrepris depuis bien longtemps mais malheureusement sans succès. Ceux qui voulaient entamer des réformes ou du moins améliorer les choses juste à leur niveaux se sont vus soit écarté, soit ont carrément plié bagage. Ceci s'applique au niveau de tout les domaines dans ce pays.

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salam à la naissance de mon premier enfant, j'étais confiant mon bof y travaillait donc pas de soucis, le service de maternité était crasseux et délabré mais sans soucis (2001) à la naissance de mon deuxième enfant, j'étais mi confiant, mi suspicieux, mon bof avait quitté le bled, en laissant des bras cassés, le service de maternité été un peu mieux ( esthétiquement parlant) mais le service laissant à désirer, d'ailleurs complication + césarienne et j'ai faillé perdre mon enfant. (2005) à la naissance de mon troisième enfant, maternité : BA13, dalle de sol, spot de lumières, peinture préparée, salle d'attente tout le confort, eh ben croyez moi, je n'ai jamais été aussi inquiet que ce jour là tellement le laissé allé était flagrant, le nombre très élevé de "naissances ratés", si ce n'est des "meurtres", jamais impunies avec un "empereur" comme directeur de centre et des "spécialistes" dans leurs cabinets privés faisant du biz ... j'avais du faire intervenir un ami intime cardio pour contacter un gynéco qui n'a daigné venir que difficilement pour une visite de 3min chrono se limitant à lire le dossier sans rien de plus. c'était l'an passé. déduisez ce que vous en voulez.

De la Dictature à La Démocratie SOMMAIRE Préface par Gene Sharp Préface par Federico Mayor 1. Faire face avec réalisme aux dictatures 2. Les dangers de la négociation 3. D’où vient le pouvoir ? 4. Les faiblesses des dictatures 5. L’exercice du pouvoir 6. La nécessite de la planification stratégique 7. La planification stratégique 8. L’application de la défiance politique 9. Désintégrer la dictature 10. Les fondements d’une démocratie durable Annexe Les méthodes de l’action nonviolente Postface par Mayeul Kauffmann http://www.aeinstein.org/fdtd_fr.html

Obama, qui représente les "occidentaux" a entièrement raison de vouloir instaurer et imposer une démocratie nécessaire pour préserver les intérêts de son pays, et pas pour les beaux yeux des peuples, quiconque de raisonnable à sa place aurait fait la même chose. Alors si "les peuples arabes" sont "immatures" pour comprendre ceci, cela n'est aucunement la faute des US !!!!!!! Cette immaturité a conduit ces peuple a se faire gouverner par des dirigeants les connaissant si profondément, puisque issues de ces mêmes peuples, qu'ils se métamorphosèrent en dictateurs, et par la même occasion, transformèrent des "républiques, royaumes, ..." en dictatures sous leurs nez sans que ces peuples bougent le petit doigts. Ces dirigeants ont, eux aussi, raison, puisqu'ils ne font que consolider leurs positions et défendre leurs intérêts en instaurant des dictatures et centralisant tout les pouvoirs à leurs niveaux via des "hommes de mains". Alors tous ce beau monde a raison, qui a tord ????? Les peuples Arabes se libéreront si et seulement si tout les sujets, problèmes, conflits... soient traités avec pragmatisme. le problème est donc, sommes nous, en tant que peuples, en tant que société, pragmatiques ?????

salam l'épouvantail. le cas Irak remonte systématiquement en surface dès qu'une révolte se déclenche et par suite, cela me fais étrangement penser au prétexte du terrorisme via Ali benhaj, qu'on nous jette à la figure, dès qu'un semblant de soulèvement s'initie chez nous. sans oublier la 3awaw, boubou, el ghoula que sortait nos parents pour nous tenir tranquille. à méditer.

salam le pire c'est que même avec des milliards de DA on ressent de la mal-vie, tellement tout est médiocre, chaotique, injustice ... de plus, on peut se retrouvé multimilliardaire ou totalement fauché en un clin d'œil. PS : concernant facebook, et l'usage en général des ntics, les plus anciens doivent certainement se rappeler le sondage lors du lancement de la 1 Méga traçant le profil de l'internaute Algérien, qui a mit en avant la tendance "passive" de cet internaute. d'ailleurs cette passivité, cet immobilisme, cette léthargie, appelez là comme vous voulez, est générale et touche tout les domaines.

salam on ne retient pas un peuple qui se révolte. je dirais à ceux qui ont peur d'une somalisation ou irakisation de la Libye, n'ayez crainte, les libyens veillent à leurs propre sécurité plus que quiconque et bien mieux que M. Zenga lui même.

1 - les responsables à la tête de ces services ont été auditionnés par leurs sénat respectifs, information peu relayé, faire une recherche 2 - Égypte n'est pas la Tunisie, Le Maroc n'est pas l'Égypte ..., l'USA, la Chine, France, Irlande, Grèce ... les peuples commencent à sortir de leurs léthargies c'est ce qui explique ce qui se passe.

contre analyse. Deux points qui démentent cette analyse. 1 - La "révolution" dans les monarchies (Maroc, Arabie saoudite, Bahrein -risque iranisation-, Jordanie, Qatar, ... qui, selon cette analyse, sont des points acquis, or un début de soulèvement y est en cours. 2 - Les "reproches" faites aux intelligence services occidentaux (CIA, ...) de ne pas avoir "prédit" les événements (Tunisie & Égypte) EDIT : cette tendance a inspiré des US, des chinois et même des européens ... à méditer.