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algérien_dz

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Tout ce qui a été posté par algérien_dz

  1. algérien_dz

    Quelle version de Vista

    Oui tu vas surement rencontrer des problèmes avec le 64-Bits 64Bits (AMD64-EM64T) pour 4 Go de RAM et plus, 32Bits (architecture x86) supporte jusqu'à 3 Go de RAM maximum.
  2. Trois gendarmes algériens ont été blessés dimanche après-midi dans un attentat à la bombe. L'attaque a été perpétrée près d'une plage de Tighzirt en Kabylie, à l'est d'Alger, a-t-on indiqué de source sécuritaire. La bombe, dont la nature n'a pas été indiquée, a explosé près d'un poste de gendarmerie installé à proximité de la plage de Tassalalt, selon les mêmes sources. La région de Tighzirt est célèbre pour ses plages très fréquentées en été notamment par des émigrants algériens rentrés d'Europe pour des vacances. Les forces de sécurité avaient auparavant désamorcé deux autres bombes dans la même zone. L'attentat s'est produit quelques heures après une opération kamikaze perpétrée dans la nuit de samedi à dimanche à Zemmouri el Bahri dans la département de Boumerdés, à l'est d'Alger, qui a fait 8 morts et 19 blessés. (ats / 11 août 2008 03:20)
  3. malheureusement tu ne peux pas jouer sur le réseau mondial mais sur le réseau local du FAI donne ton IP 10.10.xxx.xxx:27015 aux abonnés FAwri
  4. La production de céréales de l’Algérie devrait atteindre 2,1 millions de tonnes en 2008 contre 4,1 millions de tonnes en 2007. Cette importante baisse est due essentiellement aux insuffisances pluviométriques, notamment dans la région de l’ouest du pays où plus de 1,7 million d’hectares ont été affectés par la sécheresse, selon la même source. Cette forte baisse de la production céréalière va être compensée par une augmentation des importations pour pouvoir répondre aux besoins nationaux, a fait savoir dimanche à Alger ce même responsable qui s’exprimait lors d’un point de presse en marge d’une réunion entre le ministre de l’Agriculture, Rachid Benaïssa, et les présidents des Coopératives de céréales et de légumes secs (CCLS). Les chiffres fournis par M. Assabah font état d’un bilan provisoire de production céréalière en Algérie de 17 millions de quintaux jusqu’au 10 août, alors que le bilan définitif devrait atteindre les 21 millions de quintaux à la fin de cette campagne, contre 41 millions de quintaux récoltés en 2007. Ce recul de la production céréalière de l’Algérie de l’ordre de 50% est dû essentiellement aux « importantes insuffisances pluviométriques » survenues notamment dans la région de l’ouest du pays. D’après le représentant du ministère, plus de 1,720million d’hectares destinés à la culture de céréales dans cette région ont été touchés par la sécheresse, soit la moitié de l’ensemble de la superficie de terres destinées à cette production à travers le territoire national. En conséquence, a-t-il poursuivi, ce déficit de la production nationale devrait amener l’Etat à augmenter les importations céréalières afin de pouvoir répondre aux besoins de l’Algérie estimés entre 60 et 80 millions de quintaux par an pour une consommation moyenne de 200 kilos par habitant annuellement. L’Algérie a importé pour près de deux milliards de dollars de céréales en 2007, contre 1,39 milliard de dollars en 2006, enregistrant ainsi une hausse de 35,11%. La facture des céréales, semoules et farines avait atteint 1,90 milliard de dollars au 1er semestre 2008, contre 910,4 millions à la même période 2007, enregistrant ainsi une hausse de 109,53%, rappelle-t-on.
  5. Algérie: près de 100 harraga arrêtés au large des côtes-est en deux semaines. Douze harraga, candidats à l'émigration clandestine en Europe, ont été arrêtés samedi par les gardes cotes au large d'El-Tarf, dans l’est du pays. Ces harraga étaient à bord d'une embarcation artisanale et se dirigeaient vers les côtes italiennes, selon le commandement territorial des gardes-côtes d'Annaba. Ils ont été arrêtés à la suite d'informations fournies aux garde-côtes par leurs proches, faisant état d'une panne de leur embarcation. Ces nouvelles arrestations portent à près de 100 le nombre de harraga arrêtés en deux semaines au large des côtes-est du pays, d'Annaba et d'El Tarf. Le 6 août, 19 candidats à l'émigration clandestine avaient été arrêtés par les garde-côtes au large d'Annaba, alors qu'ils essayaient de rejoindre l'Europe à bord d'une embarcation artisanale, selon les garde-côtes. Le 30 juillet, 66 candidats à l'émigration clandestine avaient été appréhendés au large d'Annaba, selon la même source. Les candidats à l'émigration clandestine arrêtés ces derniers dans cette région par les gardes cotes étaient tous originaires des villes de l'est du pays. Durant le premier semestre 2008, 718 Algériens tentant d'émigrer clandestinement en Europe ont été arrêtés et 38 embarcations saisies, d'après les forces navales algériennes. Plus de 1.500 candidats à l'émigration clandestine avaient été arrêtés en 2007 en Algérie, contre 1.016 en 2006, selon la même source.
  6. Cent cas de suicide et quelque 134 personnes ont tenté de mettre fin à leurs jours durant les 7 premiers mois de l'année en cours en Algérie . Pour la plupart, ces candidats au suicide sont des jeunes dont l'âge ne dépasse pas 40 ans et des deux sexes, selon des statistiques fournies par le commandement de la Gendarmerie nationale. Apparemment, les pouvoirs publics ne semblent pas mesurer la gravité de ce nouveau drame qui prend chaque jour un peu plus d'ampleur et dispute le leadership à un autre phénomène, «celui des harraga», auxquels maux l'Etat ne semble trouver d'autre solution que de recourir à des mesures répressives au lieu de tendre sa main en guise de soutien socio-psychologique. La tranche d'âge la plus touchée par le suicide est celle des 18/30 ans avec 41 suicides et 79 tentatives. Chez les moins de 18 ans, il a été enregistré 11 cas de suicide et 26 tentatives. Par contre, chez les plus de 45 ans, le bilan démontre que 23 personnes ont abrégé dramatiquement leur vie et 11 autres y ont échappé de justesse. L'autre fourchette d'âge ciblée par l'autodestruction, celle variant entre 30 et 45 ans avec 25 suicides et 18 tentatives avortées. Par tranches sociales touchées par ce phénomène, le bilan fait ressortir en première place les sans-profession avec 66 cas mortels et 100 tentatives, les fonctionnaires avec 13 suicides et 8 tentatives, les agriculteurs 4 suicides et 2 tentatives. Par contre, on enregistre 1 cas de tentative de suicide d'un commerçant alors que les autres professions comptabilisent 17 cas de suicide et 23 tentatives. Concernant la répartition géographique du phénomène, le bilan de la Gendarmerie de la wilaya de Béjaïa émerge tristement du lot avec 12 suicides et 8 cas de tentatives de suicide, suivi de ceux des wilayas de Médéa avec 10 cas mortels et 4 tentatives et Sétif avec 6 suicides et 10 tentatives. Dans les autres grandes villes comme Alger et Constantine, le suicide a atteint 5 cas alors qu'à Saida, on comptabilise 7 tentatives de suicide. Le phénomène du suicide est toutefois présent dans presque toutes les wilayas du pays, avec au minimum une tentative, comme c'est le cas à Chlef. Plus inquiétant encore, comparativement aux années précédentes, le phénomène est en nette hausse avec un taux plus important durant les 7 premiers mois de cette année que celui comptabilisé à la même période de l'année dernière. Ainsi, les statistiques de l'année 2007 font ressortir pas moins de 107 hommes et 21 femmes qui se sont suicidés alors qu'ils étaient 41 hommes et 87 femmes à tenter le suicide. L'année précédente, ils étaient 87 cas de suicide pour les hommes et 30 pour les femmes alors que 37 tentatives pour hommes et 72 autres pour femmes ont été enregistrées. Le commandant de la Gendarmerie nationale au niveau du commandement de Chéraga, Abdelhamid Kerroud, nous explique qu'aucune ville du pays n'est épargnée par ce phénomène dont les proportions à travers toutes les régions du pays ont pris les dimensions d'un phénomène de santé publique. «Cependant, on constate que les tentatives de suicide touchent beaucoup plus les femmes que les hommes», a-t-il dit. Le sexe féminin, selon ses explications, utilise un mode opératoire différent de celui du sexe masculin. «La femme exécute son suicide avec «souplesse », en absorbant des produits détergents, des médicaments, etc, et souvent, la mort ne vient pas. En revanche, l'homme utilise des moyens plus violents pour mettre fin à ses jours, comme la pendaison, défenestration ou section des veines, etc. Ce qui ne lui donne aucune chance de rater la tentative», précise encore notre interlocuteur. Malgré leurs appels de détresse, ces victimes dont la liste ne cesse de s'allonger, n'ont trouvé certainement aucune oreille attentive, ni au niveau familial, encore moins au niveau institutionnel. Ce drame tragique est dû essentiellement à la dépression nerveuse, aux problèmes familiaux, au désespoir et la maladie mentale, toujours selon le bilan de la Gendarmerie nationale. La dépression figure parmi l'une des principales causes, sinon la première cause de mortalité. Pourtant, elle serait aisément évitée pour peu qu'une prise en charge psychologique soit largement étendue à travers les structures spécialisées de l’Etat. La multiplication de ces espaces thérapeutiques de proximité dans les établissements éducatifs permettrait à coup sûr de traiter la souffrance morale des sujets en détresse. En dépit des campagnes de sensibilisation sur le suicide et la drogue, lancées par la Gendarmerie nationale à l'endroit des jeunes, beaucoup reste à faire en la matière, car le travail de ce corps de sécurité n'est qu'un maillon d'une longue chaîne inscrite normalement dans une politique globale, qui verrait intervenir d'autres secteurs
  7. ALGER, 10 août (Xinhua) -- Le gouvernement algérien estime dimanche que l'attentat à la voiture piégée perpétré samedi soir à Zemmouri, du département de Boumerdès, à l'est d'Alger, est un acte de représailles des terroristes. Cet attentat "peut être interprété comme une réaction des groupes terroristes après l'opération menée contre eux récemment par l'armée et les forces de sécurité à Beni Douala", a estimé dimanche le ministre d'Etat algérien, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales Noureddine Yazid Zerhouni. S'exprimant devant la presse sur les lieux de l'explosion, M. Zerhouni a indiqué que ce serait les mêmes terroristes qui avaient perpétré l'attentat de Tizi-Ouzou la semaine dernière, et qu'ils avaient mené l'attaque pour "relever leur moral" après l'élimination à Beni Douala, du département de Tizi-Ouzou, de douze terroristes, dont des responsables du Groupe salafiste de la prédication et du combat (GSPC). Selon M. Zerhouni, l'attaque de Zemmouri a été perpétré par un kamikaze qui visait un poste des garde-côtes et de la Gendarmerie nationale. Le terroriste s'est fait exploser après qu'un gendarme l'eut repéré et tiré dessus, et la voiture piégée semble avoir contenu entre 200 à 300 kgs d'explosifs, a ajouté M. Zerhouni. L'attaque de Zemmouri a fait 8 morts et 19 blessés, dont 9 sont encore hospitalisés, indique le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales.
  8. algérien_dz

    Quelle version de Vista

    je te conseille la version Premium mais ton Ordi devrai faire marcher la version Ultimate sans problème (d'après mes tests)
  9. algérien_dz

    la kata chez easy

    pour vous dire la vérité elle est toujours aussi pourrie, personnellement je m'évade sur une autre plage d'ip après une centaines de déconnexions (je sais que c'est pas évidant :s) pour garder un ping stable toute la journée
  10. FAI fournisseur d'accès Internet | Fawri ? | EEPAD ? | EASY ADSL ? | mobiconnect ? bon tu l'auras compris c'est le nom de ton Founrisseur qui nous intéresse La marque du modem Routeur Ethernet ou Modem USB ?
  11. ça bouffera pas mal de bande passante un serveur cs plus teamspeak 1024Kbps upload maximum chez free 1024Kbps/s / 10 = 102.4 Ko/s X 8 => "819Kbps/s upload chez le client" serveur cs 14 slots il bouffe = 640 Kbps le reste sert a communiquer par Teamspeak
  12. algérien_dz

    la kata chez easy

    tu télécharge a combien avec un logiciel multi-connexions ? juste un aperçu
  13. Zineddine est un frêle garçon d’à peine huit ans, qui n’a pu, à cause d’une maladie invalidante, rejoindre les bancs de l’école. Sa maladie congénitale porte le nom de spina bifida, elle lui a provoqué une hydrocéphalie (présence de liquide en excès dans la boîte crânienne) avec des membres inférieurs lourds frisant la paralysie. Le sourire angélique de Zineddine conjugué à son intelligence n’ont pas eu raison de son handicap qui le cloue à longueur de journée sur son fauteuil roulant, acquis, après tant d’économies consenties par un père pauvre, qui n’a d’yeux que pour son fils. Quand il en parle, Youssef Haddad, arrive à peine à contenir ses larmes, tant la douleur ne peut être ressentie que par un père qui assiste impuissant à la douleur du fils. Après tant d’années de calvaire et de douleur, la maladie de Zineddine s’est compliquée et a affecté un de ses reins. Et comme si le fardeau du fauteuil ne semble pas assez lourd, les médecins ont prescrit une sonde à suspendre aux testicules de l’enfant pour l’aider à uriner. Derrière ses lunettes, l’enfant, par qui le malheur est arrivé, esquisse un sourire d’espoir et dira avec une voix éreintée et douceâtre : « Je veux aller en France pour me soigner, j’aimerais aussi quitter ce fauteuil et jouer au ballon comme Zidane. » « Il est vrai, dira le père, que beaucoup de gens au village n’ont pas lésiné sur leurs minces moyens pour m’aider à couvrir les lourdes dépenses qui se résument aux différentes interventions chirurgicales effectuées dans des cliniques, mais il s’avère aujourd’hui que l’apport du ministre de la Solidarité nationale est souhaitable, et ce n’est pas l’argent qui vient à manquer dans ce bled ! » s’exclame-t-il. Enfin est-il nécessaire de rappeler à nos responsables que Zineddine n’est qu’un échantillon des fils de l’Algérie libre qui ne saurait dénier à ses enfants leur droit aux soins, même outre-mer. Synthèse de l'article - Equipe Algerie-Monde.com D'après El Watan- Le 7 août 2008.
  14. Un car de marque Hyger de 54 places venant d’Oran et allant vers Frenda est entré en collision avec un fourgon J5 transportant des voyageurs entre Sig et Zahana. Le bilan dressé par la Gendarmerie nationale et communiqué ce jour-là à 18h faisait état de la mort de 18 personnes dont trois n’avaient alors pu être identifiées, et 21 blessés dont neuf évacués vers le CHU d’Oran dans un état jugé très grave. Trois d’entre eux devaient malheureusement succomber à leurs blessures, suivis le lendemain à 10 heures par une femme (S. Fatima âgée de 51 ans) puis une fillette de 10 ans (H. Atka) qui était prise en charge au centre de chirurgie infantile) de l’hôpital d’Oran. Le bilan est passé ainsi à 23 morts. L’enquête de la Gendarmerie a établi que le car effectuait un dépassement dangereux quand il s’est trouvé subitement face au fourgon qui a été littéralement broyé et la plupart de ses occupants affreusement mutilés. Des passagers du car ont confirmé par la suite que leur chauffeur, âgé de 36 ans, était pleinement fautif et responsable de la survenue de ce drame. Devant cette énième tragédie de la route et son bilan catastrophique, le commandement de la Protection civile a réquisitionné 65 pompiers et déployé le plan Orsec. Les victimes ont été extraites, difficilement, du tas de ferraille du véhicule et dirigées, selon les cas, vers les structures sanitaires appropriées. Par ailleurs, une fois l’état d’alerte donné, des urgentistes des hôpitaux voisins se sont dépêchés vers les urgences pour prêter main forte. Il faut dire que la gravité de l’accident et des blessures de certains laissaient présager, avant-hier, que le macabre bilan demeurait ouvert. Et cela n’a pas été démenti puisque cinq autres victimes venaient alourdir le premier qui faisait état de 18 morts. Toujours est-il, à peine le drame connu, les autorités locales se sont immédiatement rendues sur les lieux où les nombreux éléments de la Protection civile et les gendarmes activaient, les uns désincarcérant les morts et les blessés et les évacuant aussitôt, les autres réglant la circulation et lançant leurs premières investigations. Le wali, en congé, était, nous a-t-on dit, régulièrement informé de la situation, supervisant ainsi les secours en cette dramatique circonstance. La route nationale n°04, particulièrement le tronçon entre Sig et Tlélat, est devenue une voie à grands problèmes assez fréquents pour que les pouvoirs publics en prennent conscience, car, d’emblée, malgré les causes directes des accidents de la circulation, qui trouvent toujours un fautif et une victime, c’est l’exiguïté de la voie qui est remise en cause devant un parc qui s’accroît de plus en plus. Aïd K. et Hasna Y. — la vois de l’Oranie
  15. algérien_dz

    la kata chez easy

    elle est bonne chez moi
  16. Ce que de nombreux patriotes avaient annoncé depuis des mois, est en passe de se réaliser : La privatisation rampante des ressources hydrocarbures au profit des barons du régime. Ainsi, la boucle sera bouclée. Le pays tout entier leur appartiendra. Ils deviendront nos maîtres au sens propre du terme. Le quotidien d’Oran qui relaie l’APS, nous apprend que: “Le premier appel à la concurrence national et international pour l’octroi de périmètres d’exploration et d’exploitation d’hydrocarbures a été lancé, hier, par l’agence nationale de valorisation des hydrocarbures (Alnaft). Selon l’APS, qui cite le site internet du ministère de l’Energie et des mines, l’appel concerne quelque 45 blocs, partagés sur 16 périmètres qui sont situés dans une dizaine de bassins, notamment à Illizi, Gourara, Béchar, Berkine, etc…” Ce que l’on ne nous dit pas, par contre, est que cette opération, menée en catimini par notre ministre américain de l’énergie, dans une opacité totale, est destinée à ouvrir la porte de notre ressource essentielle aux barons du régime et à leurs clientèles. Aucun doute ne subsiste qu’une vaste magouille a été montée pour permettre à ceux qui ont mené le pays à la dérive, de faire main basse sur cette manne qui les faisait tant rêver. Nous connaissons déjà le modus operandi avec lequel ils vont mettre le grappin sur le trésor tant convoité, et qui s’offre dorénavant à leur voracité. Ils vont commencer par noyer le poisson en laissant s’engouffrer dans l’opportunité, des compagnies plus ou moins patentées. En prélevant toutefois leur traditionnel “droit d’entrée”. Pas celui officiel, mais celui que toutes les compagnies autorisées à activer dans le pays doivent payer sous la table à qui de droit. Quelques millions de dollars qu’elles ne tarderont pas à récupérer sur la bête. Ensuite, les barons, ou plutôt les parrains qui ont réussi à mettre en place cette vaste fumisterie, à faire entrer leur cheval de Troie dans la place, vont se trouver quelques compagnies pétrolières en difficulté, texanes, russes, britanniques ou autres, qu’ils vont inviter à venir s’installer dans notre Sahara où ils leur auront déblayé tout le terrain, et ouvert toutes les perspectives, à la seule condition qu’ils seront leurs associés. Cette combine a déjà fait ses preuves. Comme dans le cas d’une certaine compagnie aérienne de droit français, qui avait deux coucous et un vieux hangar, et qui est devenue une entreprise florissante, grâce à un certain général major Smaïl Lamari et Cie. Et puis, doucement, doucement, quand l’opinion publique se sera résignée, quand elle aura été suffisamment conditionnée, nous apprendrons que le fils du général H’mida et l’épouse du général Hamdane sont les actionnaires principaux de la Compagnie Tikharbichine, de Vautour des Dunes et autres Ched Med. Et si d’aventure, nous pourrions faire la moindre moue désabusée, on nous demanderait pourquoi des Algériens n’auraient-ils pas le droit de posséder des compagnies pétrolières dans leur propre pays. On nous taxerait même d’anti patriotes, puisque nous acceptons que des étrangers s’installent chez nous et pas nos propres compatriotes qui ont sauvé la république. C’est d’une logique! Donc voilà! Que personne ne dise demain qu’il ne savait pas! Ne comptons pas trop sur notre presse “indépendante” pour nous alerter. Ni sur nos partis des travailleurs qui ont découvert une façon plus dorée sur tranche de dénoncer le complot! Ils ne nous seront d’aucun secours. C’est à nous de faire connaître cette Naqba à nos compatriotes. Car c’est une Naqba. Ils se sont arrangés sur notre dos, ces odieux manipulateurs. Ils ont conclu un horrible marchandage sur l’avenir de nos enfants. Ils ont scellé notre destin. L’Algérie va devenir leur propriété pleine et entière. Et leurs enfants feront subir aux nôtres bien pire que ce que eux nous ont fait subir. Puisque nous deviendrons tous leurs esclaves. Le retour de Ouyahia aux affaires, ou dans les affaires, n’est pas fortuit. Il procède du deal qu’ils viennent de conclure. Ils se sont mis d’accord pour que Bouteflika reste Président. D’une manière ou d’une autre. En échange, ils ont exigé de cet homme aveuglé par le pouvoir, et qui ne voit même plus qu’il est à l’article de la mort, de prendre Ouyahia comme chef de leur gouvernement. Parce que Ouyahia est leur meilleure garantie d’arriver à leurs fins. A toutes leurs fins. Ils ont exigé de lui que le viol de la Constitution, qu’ils vont faire perpétrer par leur parlement de vendus prévoit la création d’un vice-président. Poste déjà destiné à ce même Ouyahia. Ils vont y prévoir qu’en cas de vacance du Chef de l’État, c’est Ouyahia qui en assumera la charge. Et ils ont déjà prévu que le peuple l’élise à une forte majorité comme président de la république. Leur république. Ils croient ainsi avoir tout réglé. Peut être même ont-ils consenti à Bouteflika des faveurs dont nous finirons par savoir la teneur. Une fortune pour sa famille qu’il chérit tant, un poste pour son frère préféré. Peut être aussi, dans son délire et dans sa haine inextinguible de ce peuple qu’il déteste tant, et qu’il méprise, Bouteflika a cherché à se venger de cette populace que nous sommes, qui a laissé Chadli Bendjedid l’humilier et le bannir. On ne saurait pas expliquer d’une autre manière qu’il nous livre ainsi, pieds et poings liés, à ces monstres sanguinaires qui vont nous dévorer tout crus. Mais tant va la cruche à l’eau. Cette ultime forfaiture donnera peut être le signal au sursaut et à la résistance. Debout les morts! La nation est en danger. L’heure est venue de remiser nos divergences. Plus rien ne doit se mettre en travers de notre volonté de récupérer notre liberté et notre pays. Que vienne l’heure de la délivrance et de la dignité! D.B
  17. ALGER - Le groupe public pétrolier algérien Sonatrach a annoncé mercredi quatre nouvelles découvertes d'hydrocarbures dans le sud algérien à l'issue de travaux d'exploration réalisés par lui. Les quatre découvertes ont été réalisées dans les bassins d'Illizi et de Oued Mya situés dans le sud du pays, a précisé la Sonatrach. Ces découvertes ont été obtenues à la suite des forages des puits ISNO-1(Issaouane Nord Ouest-1) situé sur le périmètre In Amenas, TTDS-1(Tin Tadda Sud-1) situé sur le périmètre Oudoumé Est (blocs 244b) dans le bassin d'Illizi, NHN-3 (Nechou nord-3) et MBB-1 (Madjbeb-1) situés sur le périmètre El M'Zald Sud dans le bassin de Oued Mya. Sonatrach a annoncé un total de treize découvertes depuis début 2008 dont sept réalisées par elle et six en association avec des compagnies étrangères. En 2007, Sonatrach et ses partenaires étrangers avaient découvert vingt gisements d'hydrocarbures, selon le bilan annuel du groupe pétrolier algérien. (©AFP / 06 août 2008 12h45)
  18. Alger : De violentes émeutes ont éclaté, mercredi, entre des citoyens et des agents de sécurité d'un établissement hôtelier à Sidi Aïssa, dans la wilaya de M'Slia (150 km au sud est d'Alger), faisant quatre morts et plusieurs blessés, rapporte jeudi le quotidien algérien El Watan. La genèse de l'affaire remonte à 15 jours lorsque le propriétaire d'un hôtel, à bord de son véhicule, a renversé un citoyen qui a rendu l'âme mardi et a été enterré mercredi. Suite à l'enterrement de la victime, des centaines de citoyens, en colère, se sont rendus à l'établissement hôtelier où les agents chargés de la sécurité les auraient accueillis avec des coups de feu, précise le journal, qui fait état de quatre morts dont le propriétaire de l'hôtel, auteur de l'accident. La route nationale 24 reliant M'Sila et Tébessa (est algérien), a été fermée à la circulation, les émeutiers ont mis le feu aux pneus et dressé des barricades, indique-t-on de sources médiatiques. Les émeutes se poursuivaient dans la soirée sans l'intervention de la police, souligne encore le journal.
  19. En Algérie, selon le centre de sécurité routière du pays il y aurait moins d’accidents de la route, mais davantage de victimes. Durant le premier semestre de cette année, 2000 personnes sont mortes sur les routes. Les autorités tentent de trouver des solutions pour réduire le phénomène. Les Algériens continuent de rouler trop vite, mettant ainsi en danger leur vie et celle de leurs concitoyens. L’excès de vitesse et le dépassement dangereux sont à l’origine des accidents enregistrés. « Les chocs dans les accidents deviennent de plus en plus violents », attestent les participants à une conférence de presse animée, hier à Alger, à l’occasion du lancement officiel de la campagne de sensibilisation contre les dépassements dangereux. Les causes principales des accidents sont, selon eux, à 90,61% humaines, suivis de l’état du véhicule (5,06%) et de l’état de l’environnement (4,33%). Qualifié par certains de coercitif, le nouveau code de la route, mis en œuvre il y a deux ans, est, selon le représentant de la Gendarmerie nationale, le lieutenant-colonel Kara Amar, inefficace. « Il est grand temps que le législateur algérien intervienne pour élaborer un code de la route conforme aux normes internationales », déclare-t-il, en précisant que des bus et des véhicules de transport en commun impliqués dans des accidents sont, entre autres, à l’origine de l’augmentation du nombre de victimes. Le responsable de la gendarmerie insiste, dans ce sens, sur la nécessité de réprimer les excès de vitesse et les dépassements dangereux. « Les dépassements dangereux sont à l’origine de 9 accidents sur 10 », déclare pour sa part Tahar Messaoud Nacer, sous-directeur du transport urbain et de la circulation routière au ministère des Transports. Selon lui, il faut évaluer le nouveau code de la route sur plusieurs aspects pour corriger les insuffisances constatées. Les moyens mis en œuvre pour ce code, explique ce responsable, demeurent insuffisants, citant le cas de l’observation de la route et de la quantité de radars placés à cet effet. « Nous avons 108 000 km de réseaux routiers. Combien de radars a-t-on mis en place pour observer toute cette distance ? », s’interroge-t-il. Outre les insuffisances du code de la route, les conférenciers mettent également en avant les carences en matière de formation des conducteurs au niveau des auto-écoles.
  20. On enregistre actuellement une augmentation de violence dans notre société; la presse nous rapporte au quotidien des actes violents: vols, drogue, agressions, viols, kidnappings, etc. Pourquoi tant de violence ? Est-il un phénomène spécifique aux Algériens ? En outre, nous assistons ces derniers mois à une autre forme de violence, à une multiplication d'émeutes dans certaines villes algériennes: à la moindre revendication, les jeunes sortent dans les rues pour exprimer leurs mécontentements. Souvent, ces manifestations sont suivies d'actes de violence et de destruction inouïs, qui nous rappellent les événements d'octobre 1988, mais aussi les événements du 8 novembre 2005 qui se sont déroulés dans les banlieues françaises. Devant cette escalade de destructions, certains analystes, comme nos gouverneurs, parlent du manque d'encadrement associatif, d'irrationalités collectives et de contagion. Certains expliquent cette violence par l'étouffement social. Au début du XXe siècle, Gustave Le Bon fut le premier à comparer la propagation des troubles sociaux à une infection microbienne (Cf. La psychologie des Foules de Gustave Le Bon). Cela est-il vrai ? Oui ! Dans quelles conditions les groupes deviennent-ils violents ? On constate souvent que les facteurs latents de la violence sont: la dévalorisation (chômage, stigmatisation et discrimination), l'incohérence des statuts (diplômé sous-employé), la justification morale de la violence (doctrinale, religieuse, ...), des normes sociales délinquantes et violentes, des faiblesses au niveau des compétences verbales et de l'insertion sociale. Les interactions sociales au sein du groupe augmente l'effet de masse en désinhibant la violence par une désindividualisation (anonymat et impunité), avant le passage à l'acte. En criminologie contemporaine, on propose généralement trois grandes explications sociales de la délinquance: l'absence de contrôle, l'imitation et l'apprentissage social des conduites délinquantes et la frustration. L'absence de contrôle est à l'origine de la criminalité. Ceci dit, il existe plusieurs formes de contrôle: le contrôle direct, le contrôle interpersonnel et le contrôle interne. Pour comprendre le contrôle direct, il suffit de poser la question suivante: pourquoi ne sommes-nous pas des êtres violents ? En effet, le contrôle direct correspond à un jeu de surveillance, de contraintes physiques et de sanction. On observe par exemple que la quantité de dégradations et de violences observées dans les lieux publics urbains est liée à l'importance du contrôle formel ou informel qui y est effectivement exercé, qu'il s'agisse de dégradations dans les espaces publics ou scolaires. Ce contrôle direct peut s'appliquer dans d'autres contextes, au sein de la famille par exemple, où l'on constate que la délinquance des adolescents est inversement proportionnelle à la surveillance parentale. Ce contrôle direct parental permet de comprendre en partie pourquoi les aînés, les personnes de sexe féminin ou encore celles issues de fratries peu nombreuses, sont moins enclins à la délinquance que les autres. Ceci montre l'importance du contrôle de la famille qui peut jouer un rôle régulateur de l'agressivité des adolescents, par le biais de la communication. Mais comme nous le constatons souvent dans notre société, la communication entre les générations se réduit souvent à des ordres et à la moralité. Rien n'est fait pour communiquer et débattre des vrais problèmes au sein de la famille, de l'administration, etc. sans oublier l'ampleur du conservatisme traditionnel. Cependant, le relâchement du contrôle direct crée des opportunités déviantes que certains s'empressent de saisir. (L'exemple de pillages à La Nouvelle-Orléans aux USA et à Bagdad en Irak). Quant au contrôle interpersonnel, c'est une autre forme de contrôle qui influence durablement les êtres humains. Une étude réalisée en France auprès de milliers d'adolescents scolarisés indique que la délinquance diminue quand l'attachement aux parents, aux enseignants, aux autorités telles que la police, augmente. Ce qui nous laisse penser que les principaux régulateurs des comportements sociaux proviennent d'autres êtres sociaux et institutions. Une importante synthèse réalisée par Lawrence Sherman de l'Université de Pennsylvanie a montré que le taux de récidives de conjoints ou de maris violents est plus faible lorsqu'ils sont arrêtés immédiatement après les faits que lorsqu'ils sont simplement réprimandés par les forces de l'ordre, mais ce uniquement s'ils ont un attachement social significatif tel que la profession ou le lien conjugal. Dans le cas contraire, la sanction augmente les risques de récidives. Autrement dit, le succès d'une politique répressive dépend de la bonne insertion des citoyens dans un tissu social. Or, en Algérie, on peut se poser deux questions fondamentales: la société s'adapte-t-elle à l'évolution des valeurs des jeunes ? Ou sont-ce les jeunes qui s'adaptent aux valeurs de la société ? La pesanteur de la culture traditionnelle rend parfois l'adaptation des jeunes aux valeurs existantes dans la société difficile. Car la société algérienne s'enferme de plus en plus dans des valeurs qui sont parfois dépassées. D'une part, les jeunes ont cette opportunité de voir ce qui se passe ailleurs, via les médias et l'internet et d'autres part, ni la famille, ni les gouvernements (particulièrement le système éducatif) n'ont préparé un espace pour que ces nouvelles valeurs qui émergent soient acceptées en les exerçant. Prenons la sexualité comme exemple: les jeunes se marient de plus en plus tard (Cf. 33,5 ans pour les hommes et 29,9 ans pour les femmes, selon le dernier rapport du CNES, 2008). Cependant, nous savons tous que hors mariage, les rapports sexuels sont dits illégitimes, ce qui a pour effet de créer un déséquilibre au niveau personnel dans les deux formes de contrôle: contrôle interpersonnel (qui réduit la liberté d'intégrer les valeurs sociales, mais aussi augmente les frustrations et une forme de violence, que les psychanalystes nomment pulsion violente) et contrôle interne (ou moral). Ce dernier correspond aux normes morales intériorisées par l'individu, et s'exprime par exemple à travers le jugement de gravité porté sur tel ou tel comportement. Des adolescents qui jugent sans gravité telle conduite délinquante en ont plus fréquemment été auteurs dans le passé. Ce jugement de gravité n'est pas statique. Au niveau individuel, il existe de nombreux tours de passe-passe mentaux pour neutraliser les injonctions morales: dévaloriser la victime éventuelle, minimiser la gravité de l'acte ou mettre en avant sa nécessité absolue, et d'autres. Ceci dit, dans notre société, la culture violente est parfois traditionnelle (comme le «nif», qui pousse certaines personnes, parfois dans l'excès, à sauvegarder leur dignité et leur honneur, mais en s'exprimant avec une violence injustifiée et désuète). Cette violence est légitimée dans la société, soit pour sauver l'honneur de la famille ou par l'esprit revanchard. Une étude menée par Dane Archer, de l'Université de Santa Cruz, a analysé les données statistiques fournies par 110 pays entre 1900 et 1970. Elle a constaté que dans les pays qui ont été en guerre, l'augmentation des homicides résulte d'une légitimation de la violence inhérente aux conflits. L'école algérienne n'a su inculquer ni l'esprit de tolérance et d'ouverture à l'autre ni l'esprit critique. Je tiens à préciser qu'il s'agit ici d'esprit critique et non pas d'esprit de critiquer. La différence est importante, car j'ai constaté souvent que, dans notre société, on rencontre des personnes dotées d'un esprit de critiquer, c'est-à-dire qu'elles critiquent pour le plaisir sans recours à la raison au lieu d'apporter une critique constructive. C'est une forme d'annihilation de tout ce qui existe ou qui est produit par l'autre, comme si l'autre était un ennemi potentiel dans sa structure cognitive, de pensée. De ce fait, celui qui a recours à cette forme de critique porte un jugement dysfonctionnel. Cette forme de critique est malheureusement omniprésente dans les différents milieux socioculturels. Cependant, l'esprit critique, c'est la capacité à argumenter en comparant la validité des différents choix éthiques et intellectuels possibles sur le sujet donné. L'objectif de l'esprit critique est d'apprendre à critiquer pour faire avancer les problématiques et la société, mais aussi d'avoir un esprit modéré en acceptant la critique de l'autre. Ainsi Kant a lancé l'idée de «la pensée élargie»(1) qui est, selon lui, le contraire de l'esprit borné. C'est la pensée qui parvient à s'arracher à sa situation particulière d'origine pour s'élever jusqu'à la compréhension d'autrui. Il appartient à la famille de jouer son rôle pleinement pour inculquer les valeurs fondamentales telles que le respect, la tolérance et l'acceptation de l'opinion différente. Ces valeurs doivent être appliquées au sein de la famille. Les parents doivent montrer l'exemple aux enfants. L'autorité n'est pas l'exercice de la force, mais elle consiste en la communication, l'écoute, l'initiation à l'esprit critique et l'acceptation de l'opinion différente. Pour exercer l'autorité, il faut d'abord se respecter soi-même et donner l'exemple avant d'exiger des enfants qu'ils nous respectent. Ceci dit, la tolérance ne doit pas rester qu'une idée énoncée dans les textes. Elle n'a de légitimité pleine et durable que si elle s'applique réellement aux individus. La tolérance n'a de vertu que si elle ouvre à l'autre. Elle est faible si elle consiste à mettre en pratique la négation de l'autre.(2) Synthèse de l'article - Equipe Algerie-Monde.com D'après Le Quotidien d'Oran- par par Yazid Haddar. Le 7 août 2008.
  21. ALGER, 8 août 2008 (AFP) - Douze islamistes armés présumés ont été tués dans la nuit de jeudi à vendredi par les forces de sécurité algériennes à Tizi Ouzou en Kabylie (est d'Alger), a annoncé vendredi le ministère algérien de l'Intérieur. Les militants islamistes ont été tués dans une embuscade tendue par les forces de sécurité algériennes près de Beni Douala dans le département de Tizi Ouzou en Kabylie, à 110 km à l'est d'Alger, a précisé le ministère. Sept fusils d'assaut Kalachnikov, deux fusils Semenov, un fusil à pompe, une carabine, un pistolet automatique Beretta, une grenade, un poste radio et trois téléphones cellulaires ont été récupérés par les forces de sécurité à l'issue de l'opération, a ajouté le ministère de l'Intérieur.
  22. Vingt-et-une personnes ont été tuées et 22 blessées jeudi dans un accident de la route près de Mascara (360 km à l'ouest d'Alger), selon un nouveau bilan fourni vendredi par l'Agence algérienne APS. Un précédent bilan faisait état de 18 personnes tuées et 25 blessées, dont sept dans un état grave, selon la Protection civile. Trois des sept blessés graves, tous de sexe masculin âgés de 20, 39 et 48 ans, ont succombé à leur blessures à l'hôpital d'Oran (430 km à l'ouest d'Alger), selon une source hospitalière citée par l'APS. L'accident s'est produit à la suite d'une collision entre une fourgonnette de transport public un bus de voyageurs, selon la gendarmerie nationale. Un total de 1.968 personnes ont été tuées et 29.200 autres ont été blessées dans 18.775 accidents de la route survenus en Algérie au premier semestre 2008, selon le Centre national de prévention et sécurité routières (CNPSR). (belga/7sur7)
  23. a prendre au seconde degré
  24. l'humain est condamné a devenir de plus en plus malade surtout ces derniers siècles on retrouve les maladies les plus répandues: cancer tumeur myopie paralysie etc... pour la fatigue générale vue trouble et indigestion etc.. je te conseille d'acheter une écran Plat qui consomme moins pollue moins et qui n'a pas d'effets de radiation
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