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nabilosdz

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Tout ce qui a été posté par nabilosdz

  1. Affaire Algérie Télécom-Eepad : Un grand préjudice pour les entreprises La coupure de la connexion internet de l’Eepad par Algérie Télécom a sérieusement mis dans l’embarras les abonnés du fournisseur d’accès privé, particulièrement les sociétés. En effet, ils se sont retrouvés tout d’un coup isolés du monde alors que le web fait partie de leur quotidien professionnel. Ce différend commercial leur a porté préjudice. Ainsi, ils n’ont pu ni lire ni envoyer des emails, ni télécharger de fichiers, encore moins naviguer pour récolter les informations dont ils ont besoin pour leur activité. Contacté, Nouar Harzallah, PDG de l’Eepad, nous confirme que « le centre d’appels explose. Nous avons reçu beaucoup d’appels téléphoniques pour nous demander de fournir une explication. Nous essayons de calmer nos clients et de leur promettre de tout faire pour revenir à une situation normale ». L’Eepad fournit l’accès à Internet à 720 entreprises, 9 ambassades et quelques institutions de l’Etat. A l’Eepad, on nous assure que cette situation était pour le moins inattendue. Selon certaines sources bien informées, un contrat de partenariat a été signé en juillet avec Algérie Télécom. Le deuxième fournisseur d’accès à Internet se dit prêt à opter pour une solution durable et définitive à ce contentieux en proposant même la reprise des actions de l’Eepad par Algérie Télécom : plus de 60% du capital (patrimoine et parc). Le dossier aurait eu l’avis favorable des deux PDG, mais il semblerait qu’il n’a pas abouti au niveau du conseil d’administration de l’opérateur public. La sortie médiatique de Hamid Bessalah, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, qui s’est exprimé à une heure de grande écoute sur la Chaîne III, a tranché dans le vif, écartant d’un revers de main cette proposition. Le ministre a affirmé qu’« une étude a démontré qu’elle n’a aucun sens ni pour AT ni pour le provider privé ». Pour l’Eepad, c’était la seule manière de préserver les 600 postes d’emploi directs et les 1200 postes indirects (revendeurs et distributeurs). M. Bessalah s’est néanmoins empressé d’évoquer la possibilité d’assurer un basculement au profit des clients de l’Eepad vers les réseaux d’Algérie Télécom. Or, selon certains techniciens, « le basculement demande beaucoup de temps et puis certains services n’existent pas chez AT, tel le Five Play ». Comment expliquer qu’une entreprise qui a plusieurs années d’existence (créée en 1991) et qui active dans le domaine dynamique des TIC, un secteur en pleine croissance, se retrouve dans cette position ? M. Harzallah aurait-il mal géré son entreprise ? Le PDG de l’Eepad plaide non coupable et met en avant l’existence de circonstances atténuantes. La baisse de 50% des tarifs de l’ADSL, décidée par l’ex-ministre de la Poste et des TIC, a fait baisser les recettes. L’opérateur a investi durant les quatre dernières années beaucoup d’argent dans l’infrastructure des réseaux sur l’ensemble du territoire national, y compris dans le Grand Sud (Tamanrasset, Adrar, Béchar) pour qu’internet arrive au fin fond du désert. Du côté d’Algérie Télécom, l’accent est mis sur le différend « strictement commercial ». « Nous n’avons aucun intérêt à la disparition de ce provider privé, au contraire, nous avons tout intérêt à ce que ce genre de sociétés privées se développe, mais l’Eepad doit payer ses dettes », a affirmé un responsable. Un litige qui « ternit non seulement l’image d’un secteur qui cherche à concrétiser le programme e-Algérie 2013, mais de tout le pays qui envoie ainsi un mauvais signal aux potentiels investisseurs », note un observateur du secteur des télécommunications. http://www.elwatan.com/Affaire-Algerie-Telecom-Eepad-Un
  2. nabilosdz

    Et maintenant que faire ?!

    oui comme a dit mon ami Didiss je vous conseil d'attendre au moins 2 jours et ne pas ce précipité
  3. je vous conseil pas la clé de mobilis vraiment khorda 1 ko
  4. nabilosdz

    algerie 1-0 zambie

    oualah khafouna alyoum mais la 2eme partie kanet hayla mabrouk ala djazair
  5. Source d'Eepad et la société et LINKdotNET d'Orascom qui est déjà installer en Algérie mais pas encore démarré. Notre ami l'1stinc dans un autre poste a dit : et si je vous disez que Nedjma allait prendre le controle d'eepad ? Nedjma sera certainement majoritaire dans le capitale d'eepad en tout cas les discutions entre eepad et nedjma (Qtel) vont bon train a moin que la main de l'etat ne s'introduise..... Source Nedjma incha allah et saha ftourkoum
  6. Allez un scoop sur forumdz !!!! Il y'a un grand opérateur téléphonique qui intéresse de reprendre Eepad je conseil nos amis de ne pas ce précipité chez AT sinon vous allez regrettés ...patience... Eepad n’a pas dit son dernier mot source sur
  7. c'est vrais une personne bien placé chez Eepad me la dit que le dossier et chez le président Bouteflika
  8. j'ai un ami qui est maintenant a l'Actel d'Alger il m'a dit qu'il y'a un monde fou je ne sais si c'est des ex Eepadiste a suivre...
  9. le problème est avec le clan Ben-Hamadi de Condor qui veux investir dans l'informatique
  10. Actualités : CONFLIT COMMERCIAL ENTRE ALGÉRIE-TÉLÉCOM ET L’EEPAD Le statu quo persiste Le conflit commercial entre Algérie Télécom et le fournisseur d’accès à Internet Eepad (Etablissement d’enseignement professionnel à distance) perdure. Au détriment de quelque 35 000 abonnés. Chérif Bennaceur - Alger (Le Soir) - C’est encore le statu quo depuis que l’opérateur historique a suspendu mardi dernier ses prestations de services au provider privé, pour non-paiement de ses dettes contractées. C’est également le flou concernant la réunion qui devait réunir hier les deux parties en conflit avec le ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, et dont une voie médiatique a fait état dans son édition d’hier. Si, du côté de l’opérateur privé, l’on observait hier le silence, ce n’était pas le cas au niveau de l’opérateur public. A Algérie Télécom, où l’on infirme la tenue d’une telle réunion, nos interlocuteurs affirment que les portes du dialogue et de la discussion sont toujours ouvertes pour régler un conflit «strictement commercial ». Pour peu, cependant, que l’Eepad honore son engagement de rembourser ses dettes vis-à-vis de son prestataire de services. Des dettes qui s’élèvent actuellement et globalement à 3,5 milliards de dinars, que le fournisseur privé s’était engagé à rembourser selon un échéancier agréé par les deux parties en mai 2009. Or, le fournisseur d’accès n’a pas honoré cet engagement, malgré le sursis accordé depuis mai dernier et l’intervention du ministère de la Poste. En d’autres termes, la solution de ce conflit reste encore incertaine, C. B. http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2009/09/06/article.php?sid=88122&cid=2
  11. maintenant en parle de 87000 clients, combien Eepad a d'abonnés ADSL ?
  12. L'opération de basculement a déjà commencé Algérie Télécom absorbe les 87 000 clients de l'Eepad Le conflit commercial entre Algérie Télécom et l'Eepad perdure. Il persiste déjà depuis quelques mois. Algérie Télécom a, en effet, suspendu, à la même date, la fourniture de ses services à l'Eepad, le fournisseur d'accès aux services Internet et ce, pour "non-payement" de ses dettes. Selon Algérie Télécom, l'Eepad n'a pas "honoré" ses engagements vis-à-vis de l'opérateur historique, du fait que ses responsables ne se sont pas acquittés de leurs dettes qui s'élèvent désormais à quelque 3,5 milliards de dinars. L'on se souvient, à ce propos, qu'Algérie Télécom avait déjà procédé, le 13 mai dernier, à la coupure du réseau Eepad pour les mêmes raisons, à savoir le non-recouvrement des créances détenues par l'opérateur historique sur ce fournisseur d'Internet. A cette date, les dettes de ce dernier étaient estimées à 2,6 milliards de DA, mais un compromis pour ne pas dire un sursis a été vite trouvé et l'Eepad a obtenu un échéancier de paiement grâce notamment à l'intervention du ministère de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, qui a mis en place une commission pour trouver une issue. Mais apparemment, la solution n'a toujours pas été trouvée, selon le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Hamid Bessalah. Pour le ministre, l'Eepad doit assainir la situation vis-à-vis d'Algérie Télécom, d'autant que "celui-ci a été avisé de cette mesure et que la connexion ne sera rétablie que lorsque le provider en question se décidera à payer sa dette conformément à l'échéancier mis en place par les deux parties en mai 2009 lorsque le litige a pris forme quelques jours auparavant". Concernant, par ailleurs, l'ouverture du capital de l'Eepad à Algérie Télécom, le ministre Bessalah nie toute opération de ce genre en déclarant que cela n'a aucun sens. Le problème ne se pose même pas. "Il n'a jamais été question d'ouverture du capital de l'Eepad, encore moins pour AT de reprendre des parts de l'entreprise, pour en devenir actionnaire" tranchera-t-il. Il faut dire que les rumeurs circulaient bon train sur le fait qu'Algérie Télécom allait prendre des parts de l'Eepad pour en devenir l'actionnaire majoritaire, après que le P-DG eue décidé d'ouvrir le capital de son entreprise pour un partenariat public-privé, au terme de beaucoup d'efforts pour honorer ses créances vis-à-vis de l'opérateur historique. En attendant le règlement de la situation des 87 000 abonnés de l'Eepad, ces derniers pourraient voir leurs connexion basculer vers Algérie Télécom. Cette dernière, a d'ores et déjà ordonné, selon le ministre des TIC, par une note envoyée aux agences commerciales, d'entamer l'opération de basculement "avec souplesse", en tenant compte des payements que les clients ont déjà exécuté.Il convient de rappeler que les "déboires" financiers de l'Eepad avec l'opérateur public ont vu le jour suite à la décision prise par les pouvoirs publics de réduire à hauteur de 50% les tarifs d'accès à l'ADSL. Cette baisse n'a, semble-t-il, été suivie d'aucune réduction sur la bande passante en faveur des ISP, ce qui a eu pour effet la baisse du chiffre d'affaires des fournisseurs d'accès aux services Internet, d'où d'ailleurs la revendication de 50% sur les liens spécialisés exprimée depuis par les providers. Cette décision d'Algérie Télécom s'explique également par le souci de ses responsables de recouvrer ses créances détenues auprès des institutions publiques et autres particuliers. Les impayés ont été, en effet, ramenés au mois de mars dernier à 40 milliards de DA, soit 30 milliards de DA de moins qu'auparavant. Lotfi C. http://www.lemaghrebdz.com/lire.php?id=20554
  13. Selon le ministre des Ptic Transfert des clients de l’Eepad vers AT Le conflit entre Algérie Télécom et l’Eepad rebondit. Le fournisseur privé d’accès à internet a été coupé du réseau des réseaux, privant ainsi ses 35 000 abonnés de l’accès à internet. Les raisons évoquées demeurent les mêmes : l’Eepad n’a pas payé ses dettes que lui réclame Algérie Télécom et qui sont passées de 2,4 milliards de dinars à 3,5 milliards de dinars. L’échéancier qui lui a été fixé (50 millions de dinars chaque mois) n’a jamais été respecté. Cette dette n’a jamais été du goût de Moussa Benhamadi, PDG d’Algérie Télécom, qui a été le premier PDG à réclamer l’argent détenu auprès des mauvais payeurs surtout après la signature d’un contrat de performance entre l’Etat et Algérie Télécom où « le rééquilibrage économique de l’entreprise est l’enjeu principal ». L’opérateur a besoin d’argent, car il est en phase d’investissement massif dans le cadre du renforcement de l’infrastructure des télécommunications à haut et très haut débit et fait face à une baisse des revenus de la téléphonie fixe. Aujourd’hui, il existe 3,2 millions de lignes téléphoniques fixes. Algérie Télécom paie aussi 400 000 euros par mois pour diverses prestations de l’Eepad, selon la direction de la communication de l’opérateur historique. Hamid Bessalah, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, a évoqué la possibilité d’assurer un basculement au profit des clients de l’Eepad vers les réseaux d’Algérie Télécom. Une note dans ce sens, de l’opérateur, va être adressée à toutes les agences commerciales. Mais dans ce cas, il faudra être sûr que les capacités de l’opérateur public seront suffisantes pour les accueillir, car les propres abonnés d’Algérie Télécom se plaignent souvent des lenteurs du débit et des coupures dans certaines régions du pays. Quant à une éventuelle prise de participation d’Algérie Télécom dans le capital de l’Eepad, le ministre a affirmé « qu’une étude a démontré qu’elle n’a aucun sens ni pour AT ni pour le provider privé ». La réaction de Nouar Harzallah, PDG de l’Eepad, ne s’est pas fait attendre. Sur le journal en ligne spécialisé mobilealgerie.com, il a expliqué que les raisons de la coupure sont d’ordre technique et ça n’a rien à voir avec les dettes entre son entreprise et l’opérateur historique. « Depuis 4 jours, nous assistons à une perturbation sur le débit de notre réseau internet qui est principalement vécu à l’est du pays », a-t-il soutenu, avant d’ajouter : « C’est ce qui nous a poussés à revoir tout notre réseau pour éviter de telles pannes dans le futur. » Les sites de l’Eepad et d’Assilabox étaient hier inaccessibles. Lors de la journée de sensibilisation contre la cybercriminalité en Algérie, qui coïncidait avec le vote d’une loi à l’APN, le PDG de l’Eepad était présent mais l’on a remarqué l’absence du PDG d’Algérie Télécom. « Nous sommes pour la sauvegarde de cette entreprise qui, faut-il le rappeler, a beaucoup fait pour les TIC. Si elle se renforce, ce sera pour nous un apport commercial appréciable », nous a-t-on-dit du côté de la cellule de communication d’Algérie Télécom. Affaire à suivre … Par Kamel Benelkadi http://www.elwatan.com/Transfert-des-clients-de-l-Eepad
  14. Conséquences du conflit entre les deux opérateurs Les clients de l’Eepad basculés vers le réseau d’Algérie Télécom 6 Septembre 2009 Le différend commercial entre Algérie Télécom et l’Eepad qui traine depuis déjà quelques mois, vient de franchir un palier supérieur qui pourrait signifier le début de la fin pour le fournisseur d’accès Internet privé. Considérant que ce dernier ne s’est pas acquitté de sa dette vis-à-vis de lui, l’opérateur historique a donc décidé de lui couper toutes les connexions, quitte à prendre en charge les clients afin qu’ils ne soient pas pénalisés. En effet, le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la Communication, Hamid Bessalah, a déclaré hier sur les ondes de la Chaine III que «l’opération de basculement des clients de l’Eepad vers le réseau d’AT a été entamée». Il fallait que cela soit assuré «avec le renforcement du réseau de l’opérateur public afin qu’il puisse supporter de nouveaux accès ». Algérie Télécom «a envoyé une note à ses agences dans ce sens, leur demandant de prendre en compte les payements déjà effectués par les clients de l’Eepad auprès de ce dernier et les demandes de modems». Pour expliquer le recours à cette démarche, le ministre a expliqué qu’il «a été demandé à l’Eepad d’assainir sa relation avec AT en payant chaque mois 170 millions de dinars à compter de janvier 2009, mais le provider privé n’a rien payé». Le directeur de la communication d’Algérie Télécom, Hakim Meziani, a assuré que le différend existant entre les deux parties est purement commercial, en expliquant que le montant des dettes accumulées par l’Eepad oblige Algérie Télécom à prendre de telles dispositions. «Il est normal qu’un échéancier soit établi pour l’Eepad», a-t-il dit à ce propos, tenant à écarter toute volonté d’AT de nuire ou de freiner l’activité de ce provider considéré comme partenaire essentiel. «Nous n’avons rien contre Eepad, nous voulons sauver l’entreprise», a-t-il affirmé, avant d’ajouter : «Peut-être même que nous allons contribuer à son capital». Une option que le ministre du secteur a vite écartée, en affirmant qu’ «une prise de participation d’AT dans la capital de l’Eepad n’a pas de sens ni pour l’opérateur public, ni pour le provider privé ni pour leur clients». Le conflit entre les deux parties avait, pour rappel, éclaté au grand jour, en mai dernier, lorsque des milliers de clients de l’Eepad s’étaient vus privés de connexion Internet après que l’opérateur historique ait décidé de déconnecter le provider faute de payement de ses créances estimées alors à 2,6 milliards de dinars. Après le déballage médiatique, AT avait consenti à donner à son partenaire un sursis de quelques jours et une commission mixte avait été mise en place pour suivre le dossier sans que le payement ne soit pour autant effectué, selon l’opérateur historique. AT s’était, depuis, abstenue de couper les connexions à l’Eepad pour ne pas pénaliser ses abonnés, jusqu’à mardi dernier, quand les clients de l’opérateur privé se sont de nouveau retrouvés sans connexion. L’Eepad avait alors évoqué «une panne technique». Depuis, le provider que nous avons tenté de contacter pour de plus amples explications, est resté injoignable. Par : MINA ADEL http://www.lemidi-dz.com/index.php?operation=voir_article&date_article=2009-09-06&id_article=evenement@art4@2009-09-06
  15. CONFLIT OPPOSANT L’EEPAD À ALGÉRIE TÉLÉCOM Le paiement est la seule issue possible 06 Septembre 2009 - Page : 7 Lu 23 fois Intransigeants, les responsables d’AT ont également décidé de changer le montant des échéances en fonction du volume des créances qui a atteint 3,5 milliards de dinars. Le conflit opposant l’Eepad à Algérie Télécom refait surface. Et une fois de plus ce sont les clients du provider Eepad qui sont pris en otage dans ce bras de fer qui ne semble pas trouver d’issue. En effet, quelque 35.000 abonnés de l’Etablissement d’enseignement professionnel à distance (Eepad) ont eu la mauvaise surprise d’être déconnectés du réseau Internet le 1er septembre à minuit. A l’origine de cette coupure, qui dure jusqu’à aujourd’hui, le refus du provider Eepad de respecter le calendrier d’échelonnement de ses impayés. Une décision qui vient en appui à celle qui a été prise en mai dernier à l’encontre du même provider faute de paiement de ses redevances, de laquelle le président-directeur général de provider, Nouar Harzallah n’a apparemment tiré aucun enseignement. Et pour cause, c’est le premier responsable du secteur, Hamid Bessalah, qui est intervenu en personne lors de la première suspension en décidant de ne pas mettre un terme à l’abonnement d’accès à Internet de l’Eepad et en réorganisant le calendrier des échelonnements de ses impayés à la condition que le P-DG se résigne à payer ses dettes. Un accord a alors été conclu entre les deux parties, mais n’a toutefois pas été respecté par Eepad, qui se voit une nouvelle fois déconnecté par Algérie Télécom et le restera jusqu’à apurement de ses dettes. Joint hier par téléphone, le responsable de la communication d’Algérie Télécom, Abdelhakim Meziani, a indiqué que «la coupure perdurera cette fois-ci jusqu’à ce que l’Eepad procède au paiement de son échéance». En termes plus clairs, cette fois-ci, l’Eepad ne bénéficiera d’aucun traitement de faveur et le paiement est la seule issue. Encore plus intransigeants, les responsables d’AT ont également décidé de changer le montant des échéances en fonction du volume des créances qui, soit dit en passant, a considérablement évolué depuis la première crise. En effet, au mois de mai dernier, lorsque AT à procédé à la première coupure, le montant global des créances détenues par l’opérateur historique sur ce fournisseur d’accès à Internet était de 2,6 milliards de dinars, alors qu’elles s’élèvent aujourd’hui à 3,5 milliards de dinars, soit presque un milliards de plus en l’espace de 4 mois. «Les créances de l’Eepad étaient au mois de mai dernier de 2,6 milliards de dinars (...) elles sont aujourd’hui de 3,5 milliards de dinars, et si nous n’avions rien fait elles seront de presque 5 milliards de dinars dans 4 mois, sans oublier les 400.000 euros que nous coûtent tous les mois, les services que nous fournissons à ce provider» a indiqué M.Meziani. Et d’ajouter: «Même les échéances vont maintenant changer, puisque le volume des créances a changé (...) elles étaient de 50 millions de dinars alors que maintenant elles ont augmenté». Désirant avoir plus de plus amples informations sur ce rebondissement, nous avons tenté de joindre le P-DG de l’Eepad, en vain. Cela étant, c’est dans une situation très critique que se trouve actuellement Eepad. Toutefois, la question qui se pose est de savoir comment ce provider privé en est arrivé à une telle situation. Son P-DG, M.Harzallah a tenté, il y a de cela quelques mois, d’expliquer la genèse de cette dernière en la ramenant à la décision de l’ancien ministre de la Poste et des TIC, Boudjemaâ Haïchour, de réduire de moitié les prix d’accès à l’Internet au profit du grand public. Une décision qui, selon lui, tous les providers privés, notamment l’Eepad devaient suivre au risque de voir la perte de leur parc au profit d’Algérie Télécom alors que cette dernière n’avait pas répercuté cette décision sur les provider, ce qui a entraîné leur endettement. Cela étant, réduction ou pas, l’Eepad était déjà dans le rouge. Il faut remonter 5 années en arrière, avec le lancement de l’opération Ousratic, pour le comprendre. Lancée en grande pompe en 2004 sous l’égide du Président Abdelaziz Bouteflika, l’opération «un PC pour chaque famille», communément appelée Ousratic, dans laquelle le provider a pris part, a échoué. L’Eepad devait alors, dans la cadre d’un accord qu’il a signé, fournir des PC portables Zala, issus de son usine de Annaba, ainsi que la connexion à Internet. Malheureusement, l’opération dans laquelle il s’est beaucoup investi a connu un grand revers qui s’est directement répercuté sur l’usine d’assemblage d’ordinateurs portables Zala puisque dans l’incapacité d’écouler sa marchandise. En effet, depuis le lancement de l’opération, seuls 50.000 ordinateurs sur 1 million prévus ont été vendus, ce qui représente moins de 6% des objectifs tracés. S’en sont alors suivi plusieurs autres vaines tentatives pour écouler les produits de cette usine. Loin de se laisser décourager par cet échec, le P-DG de l’Eepad a décidé de se lancer dans un nouveau projet, au moment où le conflit qui l’opposait à AT était à son summum. En effet, le provider a signé au mois de mai dernier, un protocole d’accord de partenariat avec le leader chinois dans le domaine de l’électronique et de l’informatique, China Great Wall Computer Shenzhen (Cgwc) pour la commercialisation par l’Eepad de micro-ordinateurs portables à seulement 18.000 dinars, à partir de septembre prochain. Les deux partenaires ont créé un joint-venture qui se chargera de fabriquer en Algérie des cartes mémoires pour les PC portables actuellement assemblés par l’Epead. Un nouvel investissement donc qui s’est fait au détriment des créances qui étaient détenues par AT et qui attendent toujours d’être honorées. Yasmine ZOUAGHI http://www.lexpressiondz.com/article/2/2009-09-06/67308.html
  16. allez une blague : Les usagers d’Algérie Poste ont couru dans toutes directions durant le week-end (vendredi-samedi) dans une tentative désespérée de retirer leur argent à partir des distributeurs automatiques. Le problème du réseau était perceptible partout et ceux qui s’entêtaient à insérer la carte magnétique ne pouvaient que se contenter de l’indication « opération interrompue ». Certains ne se sont pas empêchés de crier leur colère devant les distributeurs comme à la Grande Poste ou El Harrach, alors que d’autres se demandaient à quoi servent finalement ces distributeurs. Un citoyen a même lâché cette expression : « On croirait que le réseau de ces distributeurs dépend de l’EEPAD. » El Watan http://www.elwatan.com/On-vous-le-dit,136724
  17. CONFLIT ALGERIE TELECOM-EEPAD : Est-ce le bout du tunnel ? 04 September 2009 07:00:00 Abbas A. H. Entre le ministère de la Poste et des Technologies de la communication, Algérie Télécom et nousmêmes pour trouver une solution définitive pour le problème de connexion Internet et celui du non-paiement des dette». En effet, suite au non-payement des dettes antérieures, Algérie Télécom a procédé, encore une fois et cela depuis mardi dernier, à l’interruption de l’accès à Internet à l’Eepad. Les trois parties arriveront-elles à trouver une solution à un problème qui dure depuis plus de six mois ? «De notre côté, on va soumettre des propositions au ministère pour défendre les intérêts de notre entreprise, relatifs à la réduction de 50% des prix de connexion à Internet, qu’on considère comme une entrave au décret exécutif qui définit les modalités d’application et comme concurrence déloyale», a ajouté la même source. Pour ce représentant du provider privé, ce problème «n’est plus une affaire de paiement, mais une affaire globale à l’égard de l’Eepad» Du côté d’Algérie Télécom, le problème réside uniquement dans la maison de l’Eepad. La principale discorde entre le fournisseur et le client demeure dans le non-paiement des dettes. «On ne peut pas assister une entreprise endettée jusqu’au cou et qui ne n’honore pas ses promesses et ses engagements », a affirmé une source proche d’Algérie Télécom. Les dettes de l’Eepad se sont amplifiées, passant, selon notre source, de 2,4 milliards de dinars à 3,5 milliards de dinars. «Si on continue dans la même stratégie, on risque de détruire une entreprise qui, sur le plan des prestations de services, fait jusqu’à présent du bon travail». Pour ce qui est des abonnés de l’Eepad, qui sont pris en otage et qui sont également les premières victimes de ce litige, sans donner trop de détails sur leur avenir, «Algérie Télécom a tous les moyens de prendre en charge les abonnés ». Notre source a tenu à les tranquilliser, «tout se réglera, ce n’est qu’une question de temps». Pour rappel, c’est la deuxième fois qu’Algérie Télécom décide de rompre le contrat d’accès au réseau Internet à l’établissement Eepad. La première fois remonte au mois de mai dernier pour cause de non-payement de redevances estimées à un milliard six cent millions de centimes. Au mois de juin dernier, Algérie Télécom avait rétabli la connexion pour Eepad sur ordre du ministre lui-même, justifiant alors cela par les besoins des clients estimés à 40.000 abonnés à Internet et d’un grand nombre d’entreprises publiques et privées que fournit Eepad. http://www.horizons-dz.com/economie/1533.html
  18. Le Département de Bessalah pousse EEPAD vers la faillite Alger- Le ministre de la poste et des technologies de communication, Hamid Bessalah, a donné ordre à Algérie télécom l’interruption la fourniture d’accès à Internet aux établissements d’enseignement et de la formation à distance EEPAD. La décision est entrée en vigueur depuis trois jours, ce qui va pousser le plus grand fournisseur des services d’accès à Internet en Algérie vers la faillite. Selon des sources crédibles d’Ennahar, le ministre de la poste et des technologies de communication, Monsieur Hamid Bessalah aurait pris la décision de mettre fin au service Internet au profit de l’établissement d’enseignement à distance (EEPAD) suite au non payement par ce dernier de ses dettes antérieures malgré le contrat liant les deux parties publique et privée. C’est la deuxième fois que le ministère décide de rompre le contrat d’accès au réseau Internet à l’établissement EEPAD depuis le mois de mai passé pour cause de non payement de redevances estimées à Un Milliard six cent million. Au mois de juin, Algérie télécom avait rétablis la connexion Internet pour EEPAD par ordre du ministre lui-même, justifiant alors cela par les besoins des clients estimés à 40.000 abonnés à Internet. A noter que plusieurs sociétés publiques et privées sont des clients de l’établissement EEPAD. Cette décision du ministère de la poste et des technologies de communication, selon des informations reçues par Ennahar, prendra en otage la destinée de pas moins de 500 fonctionnaires employés par l’établissement EEPAD depuis son début d’activité et ce, malgré que les dettes soit infimes en comparaison aux dettes des institutions officielles et des citoyens estimées en milliards. Par ailleurs, le gouvernement œuvre, dans le but de facilité l’intégration des jeunes dans le monde du travail et aussi facilité l’accès aux financements par les banques. Par ailleurs, EEPAD n’a pas procédé au règlement de ses dettes à cause de la décision ministérielle de l’ex ministre de la poste et des technologies de communication, Boudjemaâ Hichour, relative à la réduction de 50% des prix de connexion à Internet, qui est considérée comme une entrave au décret exécutif qui définit les modalités d'application des tarifs des opérateurs du réseau public de télécommunication. La décision d’interrompre l’accès à Internet par Algérie télécom et intervenue d’une manière soudaine et sans préavis contrairement à la loi 39/2000 relative aux télécommunications selon laquelle les clients ne peuvent être privés des services Internet quelle que soient les conditions. Ennahar/ Mohamed Bousri http://www.ennaharonline.com/fr/news/2674.html
  19. ce billet n'est pas hors sujet au contraire ça donne a réfléchir
  20. un ami bien placé qui travail chez Eepad ma dit que c'est de nouveau le conflit entre AT et EEpad
  21. Le litige Algérie Télécom – EEPAD refait surface : L’opérateur historique réclame 3,5 milliards de dinars Algérie Télécom a suspendu, à la même date, la fourniture de ses services à l’EEPAD, le fournisseur d’accès aux services d’Internet et ce, pour “non-payement” de ses dettes. Selon en effet une source d’Algérie Télécom bien au fait du dossier, l’EEPAD (Etablissement de l’enseignement professionnel à distance) n’a pas « honoré » ses engagements vis-à-vis de l’opérateur historique du fait que ses responsables ne se sont pas acquittés pas de leurs dettes qui s’élèvent désormais, ajoute notre source, à quelque 3,5 milliard de dinars. On soutient du côté d’Algérie Télécom que l’EEPAD a été avisé de cette mesure et que la connexion ne sera rétablie que lorsque le provider en question se décidera à payer sa dette conformément à l’échéancier mis en place par les deux parties en mai 2009 lorsque le litige a pris forme quelques jours auparavant. L’on se souvient à ce propos qu’Algérie Telecom avait déjà procédé, le 13 mai dernier, à la coupure du réseau EEPAD pour les mêmes raisons, à savoir le non recouvrement des créances détenues par l’opérateur historique sur ce fournisseur d’Internet. A cette date, les dettes de ce dernier étaient estimées à 2,6 milliards de DA mais un compromis pour ne pas dire un sursis a été vite trouvé et l’EEPAD a obtenu un échéancier de paiement grâce notamment à l’intervention du ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication qui a mis en place une commission pour trouver une issue qui ne lèse aucune partie dans ce différend même si la première victime demeure les internautes algériens qui seront avec cette décision fortement pénalisés. Voulant connaître la réaction des responsables de l’EEPAD, la responsable de la cellule de communication nous a affirmé dans la matinée que l’entreprise n’a pris connaissance de l’information qu’à travers les colonnes d’El Moudjahid et a fait remarquer que l’EEPAD n’a pas reçu de réclamation de la part de ses clients. Il convient de rappeler que les «déboires» financiers de l’EEPAD avec l’opérateur public ont vu le jour suite à la décision prise par les pouvoirs publics de réduire à hauteur de 50% les tarifs d’accès à l’ADSL. Cette baisse n’a, semble-t-il, pas été suivie d’aucune réduction sur la bande passante en faveur des ISP, ce qui a eu pour effet la baisse des chiffres d’affaires des fournisseurs d’accès aux services d’Internet, d’où d’ailleurs la revendication de 50% sur les liens spécialisés exprimée depuis par les providers. Cette décision d’Algérie Télécom s’explique également par le souci de ses responsables de recouvrir ses créances détenues auprès des institutions publiques et autres particuliers. Les impayés ont été en effet ramenés au mois de mars dernier à 40 milliards de DA, soit 30 milliards de DA de moins qu’auparavant. Et comme dernière mesure prise dans ce sens, il a été décidé, concernant les créances de l’opérateur historique détenues sur les ministères, le prélèvement direct de cet argent sur leurs propres budgets. S.A.M http://www.elmoudjahid.com/accueil/filinfo/41724.html
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