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Chez moi, les coupures sont identiques quelques soient les applis, intégrées ou non, les boitiers ou même les listes .... Ce soir encore , impossible de regarder DAZN , 2 boitiers differents, 2 applis differentes, 2 listes différentes . Avec VPN ou sans.
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un bon boîtier dédié xsarius par exemple ... ce genre d application c est pas ma tasse de thé c'est tj diverse soucis ... car faut aussi un bon support .. donc autant prendre un bon boîtier dédié ( application incorporée ) et tu es pas ennuyer..
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Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a présidé ce dimanche une réunion du Conseil des Ministres où plusieurs propositions concernant divers secteurs ont été abordées, en plus de questions liées aux préoccupations des citoyens. À l'issue de la réunion, plusieurs décisions importantes ont été prises, notamment, l’augmentation de l'allocation touristique à 750 euros pour les adultes, une fois par an et à 300 euros pour les mineurs. En plus, il a été décidé d’augmenter l'allocation du Hadj à 1000 dollars.
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J'ai ajouté le guide d'utilisation spécifique à la version 5.1.0 dans mon 1er message
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Grande offensive contre le marché noir des devises en Algérie, des mesures inédites annoncées Publié le 3 décembre 2024 à 12 h 52 à 12 h 52·Écrit parAhmed O.·Durée de lecture : 5 minutes © Dollar, euro et dinar Le marché noir, ou économie informelle, est un problème de longue date pour l’économie algérienne, où il a des impacts dévastateurs sur les finances publiques. L'ampleur de ce phénomène est telle qu'il empêche la collecte de taxes, fausse la concurrence et entraîne la croissance durable du pays. Face à ce fléau, la loi de finances 2025 propose des mesures stratégiques pour éradiquer le marché noir, réduire l'informel et encourager l'intégration de l'économie informelle dans le cadre juridique. Ces mesures viennent renforcer l'arsenal juridique et économique pour assainir le système, améliorer la transparence, et promouvoir une économie plus structurée. Le marché noir délimite l'ensemble des activités économiques réalisées en dehors des canaux officiels, échappant ainsi à la réglementation et aux obligations fiscales. Il représente une part significative de l'économie algérienne, dans de nombreux secteurs allant du commerce de biens de consommation aux transactions immobilières en passant par le secteur de l'artisanat. Ce marché parallèle pénalise non seulement l'État, qui perd une grande partie de ses recettes fiscales, mais aussi les entreprises qui respectent la loi et qui doivent faire face à une concurrence déloyale. Les conséquences sont multiples : évasion fiscale, blanchiment d’argent et manque de transparence dans les transactions économiques. Ces pratiques finissent par éroder la compétitivité du pays, tout en alimentant l'instabilité économique. C'est dans ce contexte que la loi de finances 2025 intervient avec des réformes pour lutter contre ce fléau. Les réformes clés de la loi de finances 2025 pour éradiquer le marché noir Le projet de loi de finances pour 2025 a été conçu avec l'objectif de structurer l'économie et de réduire progressivement la part de l'informel. Selon Me Lezzar Nasr-Eddine, avocat d'affaires et expert en droit économique, interrogé par le journal El Watan, la loi représente « une offensive contre l'informel », en visant une transformation radicale des mécanismes de contrôle fiscal, des pratiques commerciales et de l'accès aux ressources financières. Voici un aperçu des principales mesures proposées. La digitalisation des transactions économiques L'un des axes majeurs de la loi de finances 2025 pour lutter contre le marché noir est l'accélération de la digitalisation des transactions économiques. Cette mesure vise à réduire l'usage des paiements en liquide, souvent liée aux activités informelles. Le passage aux paiements électroniques permet non seulement de suivre les flux financiers mais aussi de limiter l'anonymat des transactions. Me Lezzar Nasr-Eddine souligne qu'« il est essentiel de développer une culture numérique forte pour dissuader les comportements frauduleux et renforcer la traçabilité des échanges commerciaux ». En encourageant les paiements par carte bancaire, les transferts électroniques ou les solutions de paiement mobile, l'État espère réduire les incitations à utiliser le marché noir. Renforcement des contrôles fiscaux et des sanctions Pour Me Lezzar , la révision du cadre de contrôle fiscal représente un tournant décisif. La loi de finances 2025 prévoit une série de sanctions renforcées pour les entreprises et les particuliers qui pratiquent des activités informelles ou qui dissimulent leurs revenus. Le renforcement des contrôles fiscaux se traduit par une meilleure coordination entre les différentes administrations fiscales, mais aussi par une augmentation des amendes et des peines de prison pour les fraudeurs. Le gouvernement met également en place des outils technologiques de surveillance des transactions financières afin de faciliter l'identification des fraudes et des irrégularités. Me Lezzar ajoute que « la mise en place d'un contrôle systématique des grandes transactions et l'application de sanctions strictes auront un impact significatif pour dissuader les acteurs du marché noir ». La simplification des démarches administratives L'un des freins à la formalisation de l'économie informelle est la complexité des démarches administratives et fiscales. La loi de finances 2025 propose de simplifier les processus pour l'enregistrement des entreprises et la déclaration des revenus, notamment pour les petites entreprises et les travailleurs indépendants. Les mesures comprennent la création de guichets uniques pour l'enregistrement des nouvelles entreprises, ainsi que la simplification des formalités fiscales. Me Lezzar Nasr-Eddine précise qu'« en simplifiant les démarches et en particulier les coûts d'entrée dans le formel, l'État cherche à encourager les acteurs économiques à s'affilier légalement et à bénéficier des protections sociales et fiscales associées ». Des incitations fiscales pour encourager la formalisation Une autre mesure phare de la loi de finances 2025 est l'introduction d'incitations fiscales pour les entreprises qui optent pour la régularisation. Ces incitations incluent des réductions d'impôts, des subventions et des facilités de financement. Ces avantages sont particulièrement destinés aux petites et moyennes entreprises (PME) ainsi qu'aux travailleurs du secteur informel, afin de rendre plus "agréable" le passage à l'économie formelle. Me Lezzar Nasr-Eddine a fait savoir que ces incitations fiscales étaient cruciales pour « réduire les barrières à l'entrée dans le formel » et qu'elles doivent être accompagnées d'une formation adéquate des entrepreneurs sur les avantages de la régularisation. Il ajoute également que « la loi vise à créer un environnement économique plus attractif pour les investisseurs légaux tout en éradiquant les pratiques informelles ». Le marché noir résiste La mise en œuvre de ces réformes ne sera pas sans défi. En effet, la résistance au changement de la part des acteurs du marché parallèle, qui bénéficient de la flexibilité et des faibles coûts associés à l'informalité, pourrait ralentir la transition vers l'économie formelle. Certains acteurs économiques redoutent également des charges administratives et fiscales supplémentaires en cas de régularisation. En outre, la modernisation des outils de contrôle et l'extension des systèmes de paiement électroniques nécessiteront des investissements lourds, tant en infrastructure qu'en formation. Le succès des réformes dépendra également de l’engagement des autorités à appliquer de manière équitable les nouvelles règles et à garantir l’efficacité des mesures de surveillance. Copie PDF jointe Ceci est un contenu masqué, merci de Sign In or Sign Up
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